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Une belle-fille particulière

Chapitre 2

Divers
Stéphanie remarque immédiatement mon changement de comportement et me demande devant les filles : « Qu’est ce qui ne vas pas Olivier ? T’es tout bizarre d’un seul coup ! »
Comment ne serais-je pas bizarre avec ses deux déesses à bites assises à moins d’un mètre de moi ?« Oui tu as a raison, je vais aller m’allonger un peu ça me fera du bien ». Je regagne la chambre avec la tête qui tourne et me dis qu’il faut que je fasse quelque chose, je ne peux pas rester comme çà ?
Quand Stéphanie vient me rejoindre je suis en train de me branler mais je ne pas peux pas lui dire que la seule chose que j’ai en tête c’est de sucer et baiser sa fille avec sa meilleur copine.
C’est dans ces moments qu’on se rend compte que les femmes sont de redoutables psychologues puisque qu’elle me dit : « Je suis sure que c’est Chloé et Camille qui te mettent dans cet état, je me trompe ? »
« Tu ne te trompes pas du tout, ça me retourne le cerveau et ce n’est pas normal, c’est quand même ta fille de 18 ans et sa copine de 19. »
« Ce qui n’est pas normal c’est qu’elles soient nées comme ça, il n’y a absolument rien de malsain de ta part à avoir des pensées cochonnes les concernant, d’ailleurs j’aimerais bien que tu me raconte ce qui te passe par la tête, je suis sure que ça m’exciterait beaucoup.
Et puis ne t’inquiètes pas, moi aussi ça m’a obsédé pendant une période. Je m’imaginais avec elles dans des scènes où elles me baisaient et me remplissaient la chatte et le cul de leurs bonnes giclées de crème bien chaude ».
« Et tu n’es jamais passée à l’acte ? Non, mais quand j’étais célibataire j’ai bien failli basculer à plusieurs reprises quand je les entendais se gouiner toute la nuit dans la chambre d’à côté »
« Moi je n’ai jamais ressenti la moindre attirance pour le sexe masculin mais je dois dire que depuis ce matin je ne sais plus quoi penser, j’ai l’impression que toutes mes convictions volent en éclats ! Pour l’instant je mets ça sur le compte du choc, on verra bien ce qui se passera après. »
Le reste de la journée se déroula fort bien et je m’améliorais beaucoup à gérer mes émotions au contact des filles. A un moment, en chahutant je me suis même retrouvé avec Camille sur les genoux !
J’avais d’ailleurs mis au point une technique de diversion de mon esprit pour ne pas perdre les pédales : dès que je sentais que j’allais me mettre à bander je visualisais ma Belle Mère et ainsi mes pensées déviantes m’abandonnaient instantanément. Subterfuge qui ne fonctionnera pas très longtemps quand vous connaîtrez la suite !
Inutile de mentionner qu’avec Stéphanie, nous attendions le soir avec impatience pour nous retrouver enfin dans la chambre pour partager tout ça.
Ce qui arriva vers minuit, Chloé dans sa chambre, et nous dans la nôtre. Stéphanie m’appris alors qu’elle avait dit à Chloé que j’étais au courant pour sa « différence » et que je considérais cela plutôt comme une chance et un cadeau au lieu d’un problème.Ce qui apparemment eut pour effet de la soulager et de lui enlever un énorme poids dans la poitrine.
Mais après une journée comme celle-ci on est vite passés aux choses sérieuses, moi allongé et Stéf me chevauchant tendrement quand elle me dit à l’oreille : Chloé nous observe par la porte entrouverte !
La connivence de nos regards nous épargna de dire quoi que soit et Stéphanie se leva, ouvrit la porte et dit à Chloé : « Eh bien ma chérie tu voudrais bien nous regarder, c’est ça ? Alors ne reste pas dans le couloir, entre. »Je me recouvre du drap mais Stéphanie est toujours nue.
Quand elle entre dans la chambre mon cœur tambourine tant elle était magnifique dans sa chemise de nuit en soie.
Dans ses grands yeux noirs on pouvait lire deux sentiments qui reflétaient sa pensée à cet instant, le premier était celui de quelqu’un qui est sur le point d’accomplir une mission, avec toute l’excitation qui l’accompagne.
Le deuxième était celui de quelqu’un qui sait qu’il va devoir être à la hauteur, avec toute la crainte et l’appréhension qui l’accompagnent aussi.
Dans un premier temps il fallait donc la rassurer afin qu’elle se sente le plus à l’aise possible. Ce que sa mère fut très bien faire sa mère en lui disant : «Tu sais que l’on peut tout ce dire ici ma puce, tu n’as aucune crainte à avoir de quoi que ce soit. Tu peux rester tant que tu veux ou quitter la chambre si tu te sens mal à l’aise. Tu peux venir à côté de nous sur le lit ou rester en retrait.
N’hésite pas à nous interrompre et à nous poser des questions, sur tout ce qui te passe par la tête, même si ça te parait idiot».« Qu’est-ce que tu en penses Olivier ? »
« Je crois que tu as tout dit, peut-être qu’on peut juste ajouter que tout ce qui ce passe dans cette chambre n’est que douceur, sensualité, humour et amour ? Et toi Chloé tu en dis quoi ? »
« Pour le moment je vais rester assise en vous regardant, faites comme si je n’étais pas là»
Nous tamisons donc la lumière et reprenons nos ébats. Quand je dis reprenons c’est inexact car on décide en fait d’être les plus sensuels possible, avec des massages-caresses, gratouillis, baisers, etc..
Et après dix bonnes minutes de préliminaires Stéphanie s’apprête à me prendre en bouche délicatement lorsqu’on entend Chloé, qu’on avait presque oubliés, qui gigote sur sa chaise en rotin.
« Tout va bien pour toi ma fille ? Tu es assez confortable là ? »
« Oui c’est bon Maman, ne vous en faites pas pour moi, j’aime bien voir ce que vous faites, c’est tellement doux ! »
Je pense en fait que si elle bouge sur sa chaise c’est parce qu’elle ne sait pas quoi faire de son énorme queue qui doit être dure comme du bois. Alors, toujours et seulement animé par le souci de son bien être je lui dis :
« Tu sais Chloé il n’y a aucun mal si tu te caresses en nous regardant, hein Stéf ? ».
« Non, au contraire, ça nous ferais même plaisir, ça nous montrerait que tu aimes bien ce qu’on fait »
« Ok ! Mais je n’osais pas, je ne voulais pas trop m’agiter pour pas vous déranger, vous avez l’air tellement concentrés sur ce que vous faites ».
Et là nous reprenons notre étreinte qui devient de plus en plus fougueuse, on se lâche un peu et on commence à se lécher, se sucer.
Stéphanie regarde sa fille dans les yeux quand elle enfourne ma bite dans sa bouche. Je la fixe tendrement du regard lorsque j’enfonce ma langue dans les fesses de sa mère qui pousse un râle de plaisir.
Enfin Chloé a dénoué sa chemise de nuit, les jambes écartées, sa somptueuse poitrine découverte, ce qui me permet de constater ce que m’avait dit Stéphanie au sujet des dimensions de ses attributs.
Oh mon Dieu ! Cette verge de 25 centimètres, fièrement dressée et cette paire de couilles qui ont l’air si dures et si douces à la fois ! Je n’en revenais pas ! Je lui fais un grand sourire accompagné d’un clin d’œil et d’un petit bisou soufflé. Elle fait de même.
(à suivre… )
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