Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 499 J'aime
  • 20 Commentaires

Une Belle-Maman particulière

Chapitre 4

De visite, en visite...

Hétéro
Après cette révélation faite le plus naturellement du monde, un peu comme si elle m’avait dit qu’elle aime les fraises presque autant que les framboises, Lenka redescend souplement de la table de massage, sans se soucier qu’une partie de mon sperme est en train de couler le long de ses jambes. Une fois debout, elle me dit après avoir éteint la musique :
 ― Maintenant on va prendre la douche, pour enlever toute cette huile. Et tu dois pas t’inquiéter, car elle part bien au savonnage.  ― OK, tu y vas en premier ? ― Non, on y va ensemble. Car ton père m’a bien écouté, et il a fait installer le grand modèle.  Puis elle ajoute, tandis que je suis perplexe car j’ai des doutes sur le fait qu’on puisse se laver à deux de cette manière, sans se donner des coups de coudes :
 ― Moi je te frotterai et après toi tu me frotteras. Et quand il fera plus chaud ça sera encore mieux, car on pourra aller dehors.  Il y a effectivement un pommeau près de la piscine, car ma mère insistait pour qu’on se lave avant et après chaque baignade, la première fois afin d’éviter de salir l’eau avec la poussière et la transpiration, mélange qu’elle appelle de la crasse, et la deuxième pour se débarrasser des produits anti-bactériologiques ajoutés à l’eau du bassin. Inutile de préciser qu’après son départ cette obligation est devenue facultative, pour ne pas dire qu’elle a carrément été abandonnée, car mon père qui l’a remplacée en tant que patron de la maison n’a pas les mêmes priorités.   Toujours est-il que la douche est bien là, et je fais remarquer à ma très Belle-Maman avec une légère ironie :
 ― Parce que tu trouves qu’y fait froid, en ce moment ? 
 Elle sourit, avant de me répondre :
 ― Tu as raison Můj Králík, ici il fait déjà assez chaud car on est dans le sud de la France.
χ

 Sans attendre Lenka va prendre deux serviettes éponge et du savon liquide dans le meuble, puis elle sort sur la terrasse par la porte-fenêtre. Je ne tarde pas à la suivre plus amusé qu’autre chose, et quand elle a posé les linges sur un support prévu pour ça, elle se mouille sans aucune hésitation tout en s’exclamant :
 ― Waouh, elle est glacée !!

 Ça je n’en doute pas un seul instant, car si ma mère étant frileuse elle a fait en sorte que la douche soit équipée d’un mélangeur, il faut du temps à cause de la longueur des canalisations pour que l’eau soit à la bonne température. Je m’en veux de ne pas avoir prévenu ma très Belle-Maman, qui ne semble pas m’en tenir rigueur puisqu’elle annonce plus calmement, au bout d’une vingtaine de secondes :
 ― Ouf, ça va beaucoup mieux maintenant.
 Pendant ce laps de temps j’ai vu son corps se couvrir de chair de poule alors que ses tétons se dardaient, mais pas cette fois à cause de l’excitation, ce qui n’a rien enlevé à sa superbe et je souris quand elle me demande :
 ― Alors, tu viens pas te laver Můj Králík ?
 C’est avec le sourire aux lèvres que je vais la rejoindre, puis une fois que nous sommes tous les deux trempés et que l’arrivée d’eau a été coupée, ma compagne de nettoyage se penche souplement en avant pour récupérer le flacon qu’elle avait posé sur le sol. Ce qui fait pendre d’une manière très attrayante son admirable poitrine sous son buste, avant qu’elle se redresse sans aucun effort apparent. 
 Ensuite elle commence à me savonner notamment sur les parties de mon corps qui ont été enduites d’huile, et la pression de sa main me semble naturelle même si sa peau doit être bien plus douce que le mienne. Ce que je ne peux pas ressentir, étant donné que comme quand elle m’a massé elle est enduite d’un produit visqueux.
 Lorsqu’elle s’occupe de mes fesses, n’hésitant pas à passer sa main entre elles pour frotter mon anus quelques instants, puis de mon sexe en allant jusqu’à le décalotter pour me savonner également le gland, je ne réagis pas très certainement parce qu’elle m’a fait jouir peu de temps auparavant. Pourtant ses doigts s’activent avec beaucoup de délicatesse ce qui me fait plus penser à des caresses qu’autre chose, et je rougis quand elle me dit sur le ton de la conversation, tout en nettoyant à leur tour mes testicules :
 ― Après je vais te raser la bourse, Můj Králík, car ça sera plus facile pour sucer tes olives.
χ

 J’ai bien évidemment remarqué que mon père est chauve à cet endroit depuis des années, ce qui de mon point de vue est un résultat assez étrange au niveau de l’esthétique, puisque cela fait un contraste avec les poils qu’il a sur le torse. C’est la raison pour laquelle je réponds : 
 ― Je sais pas trop, si j’ai envie de ressembler à un acteur de films de boules. ― C’est quoi ça, un acteur de films de boules ? ― C’est ceux qui font de la pornographie. ― Oui, je suis d’accord que c’est pas toujours très beau, et Lolo veut pas que je lui enlève les autres même si j’ai insisté. Mais avec toi ça sera différent car t’en as pas beaucoup sur le ventre, et les raser aussi ça peut faire normal. En plus, je sais pas en France mais en Tchéquie beaucoup d’hommes nudistes font ça. Au début les autres étaient curieux et des fois se moquaient, mais maintenant tout le monde est habitué.   ― Bon, alors comme je fais pas de naturisme, je suis d’accord.  ― Ah bon ? Et pourquoi tu en fais pas ? ― Parce que j’en vois pas l’intérêt, vu qu’ici et chez ma mère y a une piscine.  ― Oui, mais se baigner dans la mer avec ou sans maillot, c’est quand même pas pareil. Pis en plus, elle est tout près d’ici car je l’ai vue de l’avion. Donc si je te rase la bourse, tu iras pas avec moi ? ― Si ça t’embête d’y aller seule je t’accompagnerai, avec ou sans mes poils. 
 Cette affirmation me vaut un doux sourire de sa part, plus maternel qu’autre chose, puis elle réplique : 
 ― Ça c’est très gentil, Můj Králík.Car non seulement tu seras un bon fils, mais en plus si c’est comme dans mon pays, une femme seule se fait souvent embêter. Car si elle est pas avec un homme les autres imaginent qu’elle est libre, alors y essaient leur chance. Ce qui parfois fait plaisir, mais le plus souvent ennuie.
χ

 Je ne doute pas un seul instant que ce soit la même chose sur la Côte d’Azur, ainsi que partout ailleurs dans le monde,et alors qu’après avoir terminé de me savonner Lenka avait gardé le flacon à la main tout en discutant, elle me le tend pour que je lui rende la politesse. Ce que bien entendu je fais, et si je m’applique sur son corps comme s’il s’agissait du mien, je ne peux pas m’empêcher d’apprécier les différences. À commencer par ses gros seins, qui sont quand elle est nue ce qui se remarque en premier chez elle. 
 Lorsque je pose la main sur le premier pour le savonner je suis quelque peu hésitant, car j’ai peur d’avoir l’air de le caresser, puis me trouvant ridicule après ce qui vient de se passer entre nous j’y vais plus franchement. Ma très Belle-Maman a l’air de trouver ça complètement naturel, ce qui m’aide à gagner en assurance, et c’est sans arrière-pensée que j’enfile ensuite à mon tour ma main entre ses fesses, étant donné que je m’applique à reproduire les mêmes gestes qu’elle un peu plus tôt. Pourtant survient un incident, puisque mon index lorsqu’il frotte sa rondelle la trouve tellement souple, qu’elle s’ouvre pour le baguer. Alors que je l’ai retiré précipitamment en rougissant, Lenka m’explique après avoir souri :
 ― Tu sais, Můj Králík, c’est normal quand une femme aime le… 
 Puis elle continue, se parlant à elle-même :
 ― Comment on dit déjà, Anální sex en français ? 
 Comme elle n’a pas eu de réaction négative mais a au contraire été amusée par la mienne, je demande en ayant repris de ma contenance :
 ― La sodomie ? ― Oui, c’est ça ! Lolo dit aussi enculer, je crois, alors moi j’adore quand on m’encule.Et toi, tu aimes faire ça à une femme ? ― Je… je sais pas, je l’ai jamais fait.  ― Il faudra essayer avec moi, alors, pour savoir. Et si tu aimes, tu pourras le faire après avec les autres. En attendant, tu peux enfoncer ton doigt pour me nettoyer profond, et même le faire drážkovat, car c’est normal quand on se lave. ―Drážkovat ? ― Oui, c’est quand on le fait bouger comme ça, comme une bite mais en plus petit. 
χ

 Joignant le geste à la parole Lenka a tendu son propre index à l’horizontale,pour le faire avancer et reculer plusieurs fois afin de me montrer ce qu’elle a voulu dire, et le comprenant je lui explique :
 ― En français, on dit coulisser. 
 Elle répond, après qu’un sourire charmant soit apparu sur son magnifique visage :
 ― Merci, car j’ai encore beaucoup de choses à apprendre dans ta langue. Alors fais-le coulisser dans mon petit trou.
 Puisque c’est elle qui me le demande, je remets du savon sur ma main et j’enfonce le même doigt dans sa rondelle pour le faire aller et venir quelques instants, ce qui lui provoque un soupir de satisfaction, et lorsque je l’ai retiré je lui demande :
 ― Mais si c’est normal de faire ça quand on se lave, pourquoi tu m’as pas fait pareil ? ― Parce que quand je t’ai touché là, tu t’es resserré. Il y a des hommes qui aiment pas ça, ou alors c’est parce qu’on se connaît pas encore assez et que tu as pas la confiance totale. C’est pourquoi j’ai pas voulu te forcer. 
 Je rougis légèrement parce que je ne me suis pas rendu compte que j’avais contracté mon anus, alors que paradoxalement j’ai trouvé ce contact agréable. Enfin, à partir du moment-où c’était une femme qui me le faisait, parce que je ne suis pas convaincu qu’avec un homme ça aurait eu le même effet. 
 Toujours est-il que ma très Belle-Maman m’a laissé réfléchir à tout ça sans impatience, comme si elle comprenait ce qui se passe dans ma tête, et je reprends sa toilette intime en m’intéressant cette fois à son sexe. Elle ne réagit pas lorsque je passe mes doigts dans les replis qu’il y a entre le haut de ses cuisses et les grandes lèvres de sa vulve, ni quand j’enfonce l’un d’eux entre ces dernières, mais elle pousse un petit couinement au moment-où je touche son anneau très certainement en métal. 
 Cette fois encore je retire rapidement mon index, et je lui dis pour m’excuser :
 ― Pardon, je voulais pas te faire mal. 
 Mais elle me répond, après un nouveau sourire :
 ― C’est le contraire, Můj Králík. Car il est là pour que mon klitorissoit toujours excité. Pour que je sois toujours prête. 
χ

 Ensuite nous nous rinçons et nous séchons mutuellement, et comme il est encore tôt je propose à Lenka :
 ― Marseille c’est un peu loin, mais on pourrait aller faire un tour à Aix, et je te montrerais deux où trois choses. 
 Elle s’exclame comme une petit fille, en battant des mains :
 ― Oh oui ! Aix-En-Provence, la citée de Paul Cézanne !!
 Comment résister à un tel enthousiasme ? Surtout lorsqu’il est exprimé par une aussi charmante personne. C’est pourquoi je décide que je vais l’emmener au Jas de Bouffan, qui est la demeure dans laquelle le peintre a grandi, et qui depuis à donné son nom à tout un quartier de la ville. Mais avant cela nous nous rhabillons sans que ma très Belle-Maman ne s’inquiète de sa natte encore humide, qu’elle a redétachée et qui pend à nouveau dans son dos, et qui mouille l’arrière de sa jolie petite robe à bretelles rouge, sous laquelle elle ne prend pas la peine de mettre de sous-vêtements. Au point que je me demande, si elle en a apporté dans sa valise. 
 Jas en provençal ça veut dire bergerie mais celui de Bouffan est en fait une bastide, habitation plus conséquente de la taille d’un manoir, et qui a été le foyer de la famille Cézanne pendant seulement deux générations. Ce qui n’a pas empêché que le peintre, y a laissé une empreinte indélébile. Aujourd’hui la propriété que l’on peut visiter appartient à la ville, et lorsque nous nous en approchons après avoir traversé un parc ombragé, Lenka bat à nouveau des mains et elle s’écrie :
 ― C’est la maison de Paul Cézanne !! Je le sais, car je l’ai vue sur un tableau à Prague !
 J’ignorais que la demeure de l’impressionniste avait voyagé jusque là-bas sur une toile, qu’il a d’ailleurs certainement peinte lui-même, à moins que ce soit Auguste Renoir qui y a fait un séjour. Mais cela n’a pas vraiment d’importance, car ce qui en a par contre c’est que ma très Belle-Maman est heureuse d’être là, indifférente aux regards appréciateurs que les hommes que nous croisons lui lancent en vain. 
χ

 Cette visite terminée nous allons sur le Cours Mirabeau, et après l’avoir traversé dans le sens de la longueur nous entrons un peu mais pas complètement par hasard dans un restaurant, afin d’y prendre notre repas du soir. Car nous avons avant consulté la carte des menus, qui est affichée dehors. 
 Finalement nous nous installons en terrasse, et je laisse mon invitée choisir les plats qu’elle va manger tout en la guidant, car il m’apparaît que si elle a une bonne connaissance de la cuisine française en général, celle de notre région lui est par contre quasiment inconnue. Lenka écoute mes conseils tout en goûtant la tapenade qui nous a été servie avec l’apéritif, qui est une purée d’olives noires, d’anchois dessalés et de câpres, le tout mélangé à de l’huile d’olive et des aromates.Nous commandons en entrée une bouillabaisse, suivie de moules à la provençale, et pour terminer un plateau de fromages typiques de notre pays. 
 Cette fois encore nous buvons du vin, blanc, et bien avant que nous en ressentions les effets je constate que ma très Belle-Maman est tout à fait à l’aise, bien qu’elle ne porte rien sous sa robe légère. Cela lui semble complètement naturel, et elle se moque éperdument qu’un coup de mistral puisse soulever sa jupe pour dévoiler ses fesses nues, et même plus. 
 Bien entendu tandis que nous mangeons nous en profitons pour discuter, faisant ainsi encore mieux connaissance, et je suis épaté, qu’elle n’ait pas l’air de remarquer les hommes qui sont assis autour de nous, et qui la guignent. Pas tous d’ailleurs célibataires, si j’en juge les femmes qui les accompagnent. Ils sont pour elle invisibles, et n’y tenant plus je finis par me pencher vers elle par dessus notre table, pour lui demander discrètement :
 ― Ça te dérange pas, tous ces mecs qui te matent ? ― Mec je connais, mais c’est quoi matent ? ― Mater c’est regarder avec insistance, alors que normalement c’est impoli. 
 Elle me sourit, avant de me répondre sur le même ton de confidentialité :
 ― Ah ça. Tu sais, les mecs en Tchéquie c’est les mêmes. Pour eux, je suis juste un morceau de viande qu’ils ont envie de manger. Mais moi j’ai pas faim de ça parce que j’ai Lolo. Alors je m’occupe que de ce qui est intéressant, comme toi, mais pas d’eux. Au restaurant ou dans la rue, ça va parce qu’ils font que… mater. Mais sur la plage ils sont plus persistants, et c’est pour ça que je voudrais qu’on y aille tous les deux. 
χ

 Notre repas fini et après que j’aie réglé l’addition nous rentrons à Meyreuil, car même si Aix est assez animée en soirée nous n’éprouvons ni l’un ni l’autre l’envie de traîner. Une fois que nous nous sommes remis nus dans l’entrée de notre villa, ce qui a encore pris beaucoup moins de temps à Lenka qu’à moi, elle me demande de but en blanc : 
 ― Tu as envie d’essayer la sodomie, Můj Králík ?
 Je rougis, avant de m’exclamer bêtement :
 ― Maintenant ?! ― Oui. Sauf si tu es fatigué, ou que tu as pas envie de le faire avec moi.  ― Je… si… j’ai envie…
 Comme pour le confirmer, mon sexe qui avait déjà pris du volume rien qu’à cette idée est en train de se dresser lentement, ce qui amuse ma très Belle-Maman, qui me dit après avoir souri tout en me décalottant le gland :
 ― Alors on va dans ta chambre. Car je veux rien faire dans celle de Lolo, quand il est pas là.  ― OK. Mais tu sais, maintenant c’est aussi la tienne, de chambre.  ― C’est vrai. Mais c’est comme pour toi m’appeler Maminka, j’ai besoin de temps pour prendre l’habitude. 
 Lorsque nous sommes dans mon antre, qui pour une fois est impeccable parce que je l’ai rangé en prévision de la venue de la nouvelle membre de notre foyer, à qui je l’ai fait visiter comme tout le reste de la maison en fin de matinée, cette dernière va directement se mettre à quatre pattes sur mon lit. Elle écarte ses genoux l’un de l’autre après les avoir posés sur le bord, en gardant ses mollets à l’horizontale dans le vide, pour que ses pieds toujours chaussés de ses sandales à talons plein se retrouvent à la même hauteur. 
 Elle s’est mise de profil par rapport à moi, ce qui fait que je peux admirer son superbe corps de maman, avec ses gros seins qui pendant sous son buste, et cette position ne laisse aucun doute sur ce qu’elle attend de moi. 
χ

 C’est la raison pour laquelle je demande à Lenka, plus hésitant que mon membre qui est raide comme la justice :
 ― Euh… je dois faire quelque chose pour te préparer, Maminka ?
 Elle me répond, tout en tournant la tête vers moi afin de me regarder :
 ― Si tu veux, tu peux me lécher le petit trou car j’adore ça. Mais tu es pas obligé car j’ai l’habitude du Anální sex, alors tu peux aussi m’enfoncer ta bite directement.
 J’ai fait la grimace quand elle m’a proposé de poser ma langue sur son anus, elle l’a remarqué sans en être vexée mais au contraire amusée, et elle me dit :
 ― C’est normal au début d’avoir cette réaction. Mais j’aime aussi beaucoup lécher les petits trous, des hommes et des femmes. Alors demain je te le ferai, et quand tu auras eu la jouissance comme ça, peut-être que toi aussi tu auras envie de la donner pareil.   
 Je ne suis pas convaincu mais nous verrons bien le moment venu, car pour l’instant je vais me mettre debout derrière elle, et j’admire quelques instants son œillet fripé qui est du même brun-clair que ses tétons, et par conséquent en harmonie avec sa peau mate. Il m’attire comme un fruit défendu, alors tout en plaçant mes mains autour de sa taille je vais poser mon gland contre tandis qu’il s’ouvre de moitié, comme s’il voulait m’avaler. Ce qui ne manque pas de m’étonner, car j’étais convaincu qu’il me faudrait forcer le passage. 
 J’ai toutefois une dernière hésitation, et ma très Belle-Maman qui l’a compris me dit :
 ― Tu sais, l’anus c’est du muscle. Alors c’est comme la gymnastique, plus on fait et plus c’est facile. Mais tu dois quand même aller doucement au début, pour faire l’échauffement avant l’effort. Après, quand tu sens que ça coulisse mieux, tu vas plus vite. 
 Cette analogie me fait sourire, sans plus me poser de questions je donne une lente poussée, et je regarde fasciné mon membre disparaître millimètre après millimètre. 
χ

 Tandis que je m’enfonce lentement en elle en sentant tout de même une résistance, Lenka émet un long geignement. C’est la raison pour laquelle sans être vraiment inquiet, je me renseigne :
 ― Ça va, Maminka ? ― Oh oui, Můj Králík. Màmaaime beaucoup que tu l’encules. 
 Lorsque mon bassin est arrivé contre ses fesses je marque une pause, je sens alors une tensions au niveau de mes bras, et comprenant que ma très Belle-Maman que je maintiens fermement veut elle aussi se mettre en mouvement, je lui donne du mou. Tandis qu’elle s’éloigne de moi en poussant un nouveau geignement, je me recule en essayant de calquer mon rythme sur le sien, m’arrêtant avant que mon gland ne ressorte.Commence alors véritablement, la toute première sodomie de ma vie. 
 Le plaisir est différent de celui que je ressentais quand je faisais l’amour à Anaïs, puisqu’au lieu d’être gainé dans son intégralité par un vagin mon membre est juste bagué par une rondelle, et au-delà il semble flotter comme dans du coton. Je comprends alors que certaines personnes une fois le stade de la répulsion passé, deviennent de fervents adeptes de cette pratique.
 Nous accélérons progressivement la cadence, ce qui me permet de prendre mes marques mais aussi de l’assurance, et nous finissons par arriver à une allure relativement soutenue, puisque les gros seins de Maminka qui ont commencé par se balancer doucement, en arrivent à aller claquer contre ses bras en faisant un bruit mat. Ses geignements quant à eux ont gardé la même intensité mais sont devenus plus rapides, étant donné que le temps de la pénétration et du retour en arrière sont devenus plus courts, et donc plus rapprochés. 
 Je ne sais pas combien de temps nous nous emboîtons l’un dans l’autre, mais ma très Belle-Maman finit par pousser cette fois un véritable gémissement libérateur assez clair, alors qu’avant ses manifestations sonores ressemblaient plus à des râles, et simultanément je sens son anus se contracter de manière spasmodique, ce qui provoque mon éjaculation et la jouissance qui va avec. 
χ

 Car nous sommes arrivés tous les deux à l’orgasme, qui plus est en même temps ce qui me fait énormément plaisir. Je ne suis d’ailleurs pas le seul, puisque alors que nous nous sommes immobilisés depuis quelques instants, et que je suis planté au plus profond d’elle, Lenka me dit : 
 ― Màma est très fière de toi, Můj Králík. Car même si c’était ta première fois, tu as duré assez longtemps pour la faire venir elle aussi. 
 Je suis en même temps amusé et ému, car non seulement elle parle d’elle à la troisième personne comme Alain Delon, mais en plus elle s’adresse à moi comme si j’étais réellement son fils. Ce qui bien que ça ait une petite connotation incestueuse, implique tout de même une grande tendresse pour moi de sa part. Lorsque je me retire cette fois complètement d’elle, je vois comme par magie son œil cyclopéen à présent parfaitement lisse rester ouvert quelques instants, puis se refermer lentement pour redevenir fripé. 
 Ensuite ma très Belle-Maman descend du lit avec souplesse avant que je pense à l’aider, puis elle m’annonce :
 ― Ton Papa va être content, car il avait un peu peur que si ta copine est allée avec d’autres hommes, c’est parce que tu lâchais ton jus avant qu’elle ait eu sa jouissance. Mais je vais pouvoir le rassurer, car même pour ton premier Anální sex tu as été très bien. 
 Puis elle ajoute, alors que je me contente de rougir de fierté suite à compliment : 
 ― Maintenant on va aller prendre une douche dans ta salle de bain, et après j’irai téléphoner à Lolo pour lui dire que je suis très contente de mon premier jour en France, et de la façon que tu m’as accueillie. Et encore après je ferai un gros dodo, car demain j’aurai à nouveau plein d’amour à te donner, mais j’aimerais aussi un peu visiter ton beau pays. 
χ χ

Vous aimez cette histoire et vous voulez la suite ?
Alors montrez-le !
Comment ?
En cliquant sur j’aime !

Et si vous voulez savoir quand le prochain épisode arrivera, cliquez sur « S’abonner aux histoires de Conteuse ».
Diffuse en direct !
Regarder son live