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Une Belle-Maman particulière

Chapitre 5

Double plaisir.

Hétéro
Le lendemain matin, je me réveille pour la première fois heureux depuis le mois de Mars. Allongé sur le dos dans mon lit je prends le temps d’analyser mes sentiments, et j’en arrive logiquement à la déduction que ce changement bienvenu dans mes états d’âmes, a été provoqué par l’arrivée de Lenka ma très Belle-Maman.  Bien entendu je ne suis pas amoureux d’elle, ce qui serait au contraire dramatique étant donné qu’il s’agit de la nouvelle compagne de mon père. Mais sa manière d’être très simple malgré sa grande beauté, sa façon de croquer la vie sans se poser de questions, de pratiquer le sexe dans le but de donner et recevoir du plaisir sans faire d’amalgame avec ses sentiments profonds, et surtout sa joie de vivre communicative, font de sa présence un baume pour mon cœur blessé. Pourtant elle n’est pas très différente de mes parents qui eux aussi sont libertins, sauf qu’avec elle il n’y a pas la barrière de l’inceste, que nous n’avons même jamais envisagé de franchir mes géniteurs et moi.  C’est par conséquent de très bonne humeur que je me lève, que je m’habille dans le but d’aller chercher du pain frais, et pourquoi pas des viennoiseries puisque nous sommes dimanche. Avant de sortir je me rends compte que Lenka est dans la cuisine, je décide d’aller lui dire bonjour, et je la trouve complètement nue et chaussée cette fois de mules à talons aiguille, qui doivent mesurer dans les cinq centimètres de haut. Elle est toujours aussi belle, même si sa natte de jais s’est un peu défaite pendant la nuit, et je lui demande :
 ― Je vais à la boulangerie. Tu veux un pain au chocolat où autre chose, Maminka ?
 Elle me fait un sourire chargé de tendresse, avant de répondre :
 ― Oui. Car Lolo m’a parlé des pains aux raisins, et j’aimerais bien en goûter un pour voir si ils sont aussi bon qu’il le dit. Mais tu me fais pas un bisous, avant ?
 Tandis que je m’approche, elle ajoute :
 ― Tu es d’accord pour que je fasse comme avec ta sœur, Můj Králík ? ― Bien sûr, Màma. 
 Elle pose alors ses mains sur mes joues, nos lèvres se collent, je sens sa langue s’insinuer entre elles pour venir toucher la mienne et se retirer aussitôt, puis lorsqu’elle a reculé sa tête elle m’explique :
 ― Cilka et moi on appelle ça had dětská pusinka, le petit baiser du serpent. Avant c’était que pour elle, mais maintenant ça sera aussi pour toi. Car tu es devenu aussi un peu comme mon enfant. 
χ

 J’ai vécu ce bref contact comme on reçoit une décharge électrique, et j’éprouve à présent des sentiments qui ne sont pas très compatibles, puisqu’il s’agit d’un mélange de tendresse filiale pour Maminka et d’excitation sexuelle envers la très belle femme qu’elle est. Cependant j’arrive à faire la part des choses dans ma tête, même si je reste ému d’avoir à présent deux mamans qui m’aiment d’une façon très différente, cependant ce n’est pas la même chose au niveau de mon corps. Car c’est excité et le sexe à demi gonflé dans mon boxer que je quitte la villa, mais heureusement pour moi quand j’entre dans la boulangerie tout est rentré dans l’ordre, et je reviens une quinzaine de minutes plus tard à la maison. 
 Ma très Belle-Maman est toujours dans la cuisine, et la première chose qu’elle me demande avant même de s’intéresser à ce que je ramène, c’est :
 ― Tu veux un café, Můj Králík ? Je l’ai pas fait avant car je sais pas si c’est ce que tu bois le matin, et en plus il aurait refroidi.  ― Oui, je veux bien Maminka. 
 Pendant qu’elle met une capsule dans la machine je déballe les viennoiseries, et lorsqu’elle vient s’asseoir à mes côtés sur un tabouret, posant au passage une tasse fumante en face de moi sur le comptoir américain, elle prend son pain au raisin pour mordre aussitôt dedans, avant de me dire la bouche pleine :
 ― Ton Papa a pas exagéré, c’est super bon. Vous les français, vous êtes très forts pour la nourriture. 
 Puis elle ajoute, après m’avoir fait un sourire coquin :
 ― Et pour le sexe aussi.
 Je lui réponds non sans avoir avant délicatement enlevé avec mon pouce, une miette qui était restée collée au coin de sa bouche :
 ― Pourtant, le massage que tu m’as fait hier, je savais même pas que ça existait.  ― Mais c’est pas nous les tchèques, qui avons inventé ça. Le massage Nuru il vient du Japon, et au départ c’était les geishas qui en faisaient.  ― Mais quand tu auras ton salon, tu les pratiqueras aussi sur tes clients ? ― Non. Car déjà il faut bien se sentir avec la personne pour lui faire ce genre de choses, et ici il y a que Lolo et toi que je connais. Pis en plus, le sexe contre de l’argent c’est de la prostitution, et dans ce pays c’est interdit. Moi j’ai appris à faire ça que pour le plaisir d’en donner, alors je garderai ma spécialité pour les bons amis et seulement ici. Car tu sais, faire les massages touts simples c’est ça mon vrai métier. 
χ

 Ce qu’elle vient de m’apprendre m’a donné une idée, mais j’attends qu’elle ait fini de manger pour la partager avec elle :
 ― T’as parlé des bons amis, et justement il m’en reste un seul après ce qui m’est arrivé. Car mon père a dû te dire que quand j’ai surpris ma copine, elle était avec mes deux meilleurs potes.  ― Oui il l’a dit, et ça aurait été moins triste pour toi avec des inconnus. Alors un pote, c’est aussi un ami ? ― Oui, c’est comme ça qu’on dit dans le français populaire, celui qu’on apprend pas à l’école. Et celui que j’ai encore, de pote, il est très timide. Surtout avec les femmes.  ― Hé hé, je crois que j’ai compris où tu veux m’emmener. Il a en déjà vu une toute nue, de femme ? ― Non, je crois pas. Quand on se baignait à poil dans la piscine avec les autres, y trouvait toujours une excuse pour pas venir, où s’en aller avant.  ― Alors il est encore panenský? Je crois qu’on dit puceau dans votre langue.  ― J’en suis pas sûr, car je lui ai jamais posé la question pour éviter de le mettre mal à l’aise. Mais je pense que oui. ― Alors si c’est vraiment ton ami, moi je veux bien l’aider. Mais pour ça il y a deux conditions, et la première c’est que Lolo soit d’accord. Car je veux rien faire, si il est pas au courant. Il le connaît, ton ami ?  ― Oui, et quand tu lui téléphoneras pour lui demander, dis-lui qu’y s’agit d’Enzo. Car en plus, je crois qu’il l’aime bien. Et sinon, la deuxième condition c’est quoi ? ― Mais bien sûr que ce Enzo soit aussi d’accord. Car je peux pas le forcer, si il a pas envie.  
 Cette dernière remarque me fait sourire, car je me demande bien qui pourrait ne pas avoir envie de faire l’amour avec ma très Belle-Maman. Son dévouement ne manque pas non plus de m’épater, car je m’attendais à moins de compréhension de sa part, et aussi à des objections. Même s’il va me falloir convaincre mon ami, ce qui je pense sera plus difficile qu’avec mon père, je suis très content que ce qui au départ n’était qu’une idée, ait finalement de bonnes chances d’être mis en pratique. C’est pourquoi alors que nous avons siroté nos cafés tout en discutant, je conclue :
 ― Ok, alors le mieux c’est que tu appelles P’pa en premier, et s’il est d’accord j’en parlerai ensuite à Enzo. Car ça serait pas sympa de lui annoncer qu’y va enfin pouvoir avoir sa première expérience, pour lui dire après que finalement c’est pas possible. 
χ

 Une fois que nous avons débarrassé les reliefs de notre petit déjeuner, Lenka m’annonce :
 ― Il faut qu’on aille faire des commissions, Můj Králík, car hier on l’a pas fait. Mais avant la douche je dois aussi te raser la bourse, car ça non plus je l’ai pas fait. 
 En entendant ses paroles je sens mes testicules remonter comme s’ils voulaient se cacher à l’intérieur de moi, ce qui est peut-être le cas, et même si j’ai envie de faire plaisir à ma très Belle-Maman, je tente une esquive :
 ― Mais t’as ce qui faut ? Car je suppose que pour des poils aussi longs,y faut un vrai rasoir. Pas un qu’on achète au super-marché, et qui en plus a des lames qui coupent moins bien après quelques utilisations.  ― Tu dois pas t’inquiéter pour ça car Lolo m’avait dit qu’il en a un, et il appelle ça un coupe-chou. Je l’ai trouvé ce matin dans sa salle de bain, et il est bien aiguisé, puisque je me suis coupé le doigt en le passant dessus pour l’essayer. Il y a même du vrai savon à raser, comme on en utilisait avant.  ― Et… tu es sûre de toi ? Parce que tu sais, mes boules ça fait pas très longtemps que je m’en sers, alors ça serait dommage de les abîmer.  ― Tu as pas remarqué hier, que je suis très capable pour me servir de mes mains ?
 Puis elle ajoute, tout en me caressant tendrement la joue :
 ― Tu sais, Můj Králík, c’est normal d’avoir la peur la première fois, et encore plus parce que toi et moi on se connaît que depuis hier. Mais tu peux avoir la confiance, car je ferai tendrement comme si j’étais ta vraie maman. 
 Je suis convaincu que Mélanie Rougon, la femme qui m’a mis au monde, malgré toute son ouverture d’esprit ne m’aurait jamais proposé de raser mes testicules. Et encore moins en avançant comme prétexte, qu’il serait ensuite plus agréable de me les sucer. Cependant j’ai envie de faire plaisir à celle qui l’a remplacée dans notre foyer, et c’est la raison pour laquelle je fais taire mes doutes. 
χ

 C’est ainsi qu’environ cinq minutes plus tard, je me retrouve assis sur le rebord de la baignoire de la salle de bain de mon père, les pieds à l’extérieur avec les cuisses grandes ouvertes, Lenka juste en face de moi les genoux sur le carrelage, et les fesses sur les talons. Elle commence par m’expliquer :
 ― Tu dois tenir ta bite en haut, pour qu’elle me gêne pas. 
 Je prends donc mon sexe flasque en main pour le soulever car il n’a absolument pas envie de se dresser tout seul, étant donné que même si la femme avec qui je me trouve alors que nous sommes complètements nus est toujours aussi belle, je ne suis absolument pas dans le bon état d’esprit. D’autant plus qu’elle tient ce qui est considéré comme étant une arme blanche dans la sienne, de main. Pourtant tout se passe très bien car elle ne s’est pas vantée, et elle procède avec une douceur et une habileté que je qualifierais de professionnelles, ce qui fait que je ne tarde pas à me sentir en confiance. 
 Lorsque mes couilles sont devenues chauves elle me les nettoie avec une lingette, puis elle passe rapidement le rasoir qui ne me fait plus peur sur mon torse, pour y enlever les rares poils qui y sont apparus. Quand elle a terminé il ne me reste plus que ceux de mon pubis, ce qui a l’air de satisfaite ma barbière. Pourtant je me trompe à ce sujet, puisque alors que j’ai lâché mon sexe qui a recommencé à pendre, elle dépose un tendre baiser dessus puis elle me dit :
 ― Je suis très fière de toi, Můj Králík, mais maintenant il faut que tu te retournes pour que j’enlève ceux qu’il y a de l’autre côté. 
 ― Euh… de l’autre côté ? ― Oui, pour le rimming.  ― C’est quoi ça, le rimming ? ― Je sais pas comment on dit en français, mais c’est le mot américain pour lécher le petit trou.  ― Ah… je crois qu’on dit anulingus.
 Elle tape des mains toute contente, et s’exclame avec la spontanéité dont elle a déjà fait preuve depuis son arrivée : 
 ― Ouiiii !! Tu vois, ça c’est du latin ! Alors ça veut dire que l’anulingus il existe depuis très très longtemps, et que c’est normal de se le faire. 
 Malgré son enthousiasme je ne suis pas vraiment convaincu au sujet de la normalité dela chose, mais à nouveau pour lui faire plaisir je me mets à genoux, je me retourne, et je pose cette fois mon torse sur le rebord de la baignoire, pour pouvoir à sa demande écarter mes fesses avec mes mains, tout en étant parfaitement stable. Car que je reste immobile, est j’en suis certain une des clefs de la réussite de la suppression de mes poils, à cet autre endroit de mon anatomie. 
χ

 Là encore tout se passe en douceur, et je comprends que c’est terminé quand Lenka applique une autre lingette dans ma raie. Alors qu’après avoir retiré mes mains de mon postérieur je m’apprête à me redresser, elle m’arrête en posant une des siennes sur mes reins, et elle me dit : 
 ― Non, tu dois te remettre comme tu étais. Car pour savoir si tu aimes l’anulingus, il faut essayer. 
 J’obéis docilement, elle commence par lécher la peau qui se trouve entre mes bourses et mon anus,et tandis que j’analyse ce que je ressens je me rends compte qu’il s’agit du prolongement de mon sexe, mais à l’intérieur, même si je ne l’avais jamais remarqué avant. Car cette douce stimulation buccale le fait augmenter lentement de volume, jusqu’à ce que je me retrouve en érection. Je ne doute pas que c’était le but recherché, étant donné qu’une fois son forfait accompli ma bienfaitrice attrape la partie extérieure de mon membre, et commence à me masturber très lentement, tandis que sa langue sans se presser s’approche de ma rondelle. 
 Je premier coup de langue sur mon œillet contracté me prend au dépourvu, il me fait pousser un petit geignement qui n’a rien de viril, et regretter qu’il ne soit pas suivi d’un deuxième puisqu’au lieu de ça, ma très Belle-Maman me demande : 
 ― Alors, tu aimes que Màma te lèche le petit trou, Můj Králík ?
 Sans avoir besoin de réfléchir, je réponds :
 ― Oh oui Màma, c’est très bon ce que tu me fais. 
 C’est la stricte vérité, puisque malgré mes réticences du départ un seul contact entre les picots râpeux de sa langue et l’endroit le plus privé de mon anatomie, a suffit pour me faire changer d’avis. C’est pourquoi lorsqu’elle me pose une deuxième question :
 ― Alors, tu veux que je te donne la jouissance comme ça ?
 Je manifeste mon impatience :
 ― Oui Màma, recommences !
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 Je serais prêt à parier que Lenka a souri en m’entendant m’exclamer, mais pas longtemps puisqu’une deuxième caresse identique à la première me provoque la même réaction, tandis qu’elle continue à me branler toujours aussi lentement. Ensuite elle alterne les grands coups de langue gourmands couvrant une surface conséquente, à ceux plus rapides et précis qui visent directement le centre de la cible, qui me provoquent de délicieuses titillations. C’est au point que même si je ne m’en rends compte que quand elle y enfonce la pointe de son dard, ma rondelle se détend et s’ouvre, comme si elle voulait être pénétrée. 
 Dans ma tête tout est chamboulé, parce que je me demande si comme certaines femmes j’aimerais être sodomisé, étant donné que mon anus est identique aux leurs. Mais je chasse bien vite cette idée, pour me laisser aller à la volupté que je ressens. D’autant plus que ma très Belle-Maman comme si elle avait entendu le dilemme qui a eu lieu à l’intérieur de mon crâne, ressort le bout de sa langue pour recommencer à me lécher. 
 Le plaisir que j’éprouve est de plus en plus intense, et il est double puisqu’il est allé se loger en même temps dans ma queue et mon petit trou comme elle l’appelle, si bien que je ne tarde pas à geindre doucement sans plus me soucier de ma virilité. Car après tout il n’y a pas d’autre témoin que celle qui est en train de me prodiguer ces caresses très voluptueuses, et je suis convaincu qu’avec son expérience, elle en a fait gémir plus d’un avant moi. Y compris mon propre père.  
 Je finis par jouir du sexe et du cul, et mon sperme en giclant doit aller s’écraser sur le carrelage qui recouvre l’extérieur de la baignoire, ce que je ne peux pas voir puisque ma tête est au dessus de cette dernière. Une fois que nous nous sommes redressés pour nous retrouver à genoux l’un derrière l’autre, Lenka me dit après avoir posé son menton sur mon épaule et tout en me caressant le torse :
 ― Je suis très fière de toi, Můj Králík.Car certains hommes réfléchissent pendant des mois, avant de se laisser faire l’anulingus, et d’autres arrivent jamais à prendre la décision. ― Et P’pa, il a mis combien de temps ?
 Elle éclate de rire, puis elle me répond :
 ― Si tu veux la réponse à cette question, il faudra que tu demandes à ta vraie Maman. Car sauf pour les massages Nuru, j’ai jamais été sa première fois.
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 Je suis scotché d’apprendre que ma mère a fait des anulingus à mon père, et que très probablement l’inverse a eu lieu également. Mais bon, ils sont libertins tous les deux, ils ont parfaitement su préserver mon innocence pendant mon enfance puis mon adolescence, et à présent je suis adulte par conséquent cela ne risque plus de me choquer. Enfin plus maintenant, parce qu’hier encore...
 Je suis même curieux, de savoir ce qu’ils ont pu faire d’autre pendant que je jouais tranquillement aux Légos et aux Playmobils, sous la surveillance d’une baby-sitter. Mais pour l’apprendre, encore faudrait-il que j’aie je courage de le demander à l’un ou à l’autre, et qu’il ait ensuite envie de me répondre. Car après tout, ce qui se passe entre un papa et une maman sur le plan sexuel, ne regarde pas leur fils même s’il a 19 ans. 
 En tout cas pas dans les familles ordinaires, et je ne suis plus tout à fait sûr que nous en soyons une...
χ χ

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