Comme la veille Lenka et moi allons prendre notre douche ensemble au bord de la piscine, et cette fois alors qu’elle me savonne la première, elle enfonce son doigt dans mon anus pour le nettoyer. Ce qui ne me dérange pas outre mesure étant donné qu’elle y a déjà mis sa langue, et cela me procure une sensation que je qualifierais d’agréable. Ensuite après que nous nous soyons mutuellement séchés elle s’assoit sur une chaise du salon de jardin, et tandis qu’elle téléphone à mon père, je défais sa natte pour brosser ses longs cheveux de jais encore humides qui une fois libres lui arrivent au creux des reins, puis je la recoiffe comme elle l’était. Bien entendu c’est elle qui me l’a demandé car ça ne me serait pas venu à l’idée, et je trouve ça agréable même si je n’ai jamais joué à la poupée quand j’étais enfant. Je ne vous raconterai pas la conversation entre mon paternel et ma très Belle-Maman, d’autant plus que je n’en entends que la moitié, sauf pour vous dire qu’il y est fortement question de mon ami Enzo, et qu’après que deux ou trois questions ont été posées dans le but d’obtenir des renseignements, un accord parental est donné. Ce qui m’est confirmé lorsque Lenka a raccroché, et qu’elle me dit : ― Tu avais raison, Můj Králík. Lolo aime bien ton... pote, car il pense qu’il t’a beaucoup aidé quand tu allais pas bien. Alors si il en a envie nous aussi on va l’aider, et le guérir de sa timidité. Ensuite nous nous habillons pour aller comme prévu faire des commissions, et une fois au supermarché la nouvelle femme de notre foyer évolue comme un poisson dans l’eau. Car si elle ne maîtrise pas notre langue les emballages sont assez explicites pour qu’elle s’y retrouve, et elle prend même des produits dont j’ignorais l’existence. Ce n’est qu’au moment de régler la note qu’il y a un léger problème. Car si j’estime que c’est à moi de le faire, elle pense au contraire que c’est à elle que revient ce devoir. Mais tout rentre dans l’ordre car je fais preuve de conciliation en la laissant utiliser sa carte de crédit, mais en lui annonçant que la prochaine fois ce sera mon tour. Ce qu’elle accepte avec un petit sourire aux lèvres, qui me fait douter que les choses vont réellement se passer de cette manière...
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Quand nous sommes de retour à la villa et après nous être remis nus, Lenka me dit : ― Tu devrais inviter ton ami pour manger ce midi. Comme ça on se connaîtra, et ce sera plus facile pour lui d’accepter le massage. ― Ok, mais je lui dis quoi pour le nudisme ? ― Tu lui proposes d’en faire avec moi, et si il est pas d’accord je me rhabillerai avant qu’il arrive, ou on se rhabillera toi et moi. L’important pour l’instant c’est qu’il soit au courant, pour la nudité comme pour le sexe, et nous on attendra qu’il soit prêt. Car c’est lui qui doit prendre les décisions, et pas toi ni moi. Je ne peux qu’être d’accord c’est pourquoi je me contente de hocher la tête, et elle ajoute : ― Dis-lui aussi qu’on va manger quelque chose de simple, un steak avec des frites. Car pour la nourriture tchèque j’ai besoin de plus de temps, alors je vous la ferai goûter plus tard.
Tandis qu’elle se rend dans la cuisine je vais sur la terrasse avec mon portable, j’appelle Enzo et j’entame la conversation : ― Allô, comment tu vas mon pote ? ― Bien, et à t’entendre on dirait que toi aussi. C’est ta nouvelle reum, qui te rend tout joyeux ? ― Oui. Elle est super cool et elle voudrait faire ta connaissance, car je lui ai parlé de toi. ― Ah bon ?! Mais pourquoi ?! ― Parce qu’elle a appris que tu m’as aidé quand j’allais pas bien, et elle voudrait te renvoyer l’ascenseur. ― Euh… mais comment ? ― Par rapport au petit problème, que t’as avec les meufs. ― Euh… je comprends pas trop, là… ― T’inquiète, je vais t’expliquer. Déjà, y faut que tu saches qu’elle est très belle, et très ouverte d’esprit. C’est la raison pour laquelle je vais beaucoup mieux, car elle m’a fait un massage très particulier. ― Genre ? ― Genre massage sexuel.
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Il y a un long silence, pendant lequel je lui laisse le temps de digérer l’information, puis je lui demande : ― T’es toujours là, Enzo ? ― Oui Clément. Je me demande juste, si t’es pas en train de te payer ma fiole. ― Après ce que t’as fait pour moi, je serais vraiment un enfoiré de me comporter comme ça avec toi. ― Bon OK, alors je résume. Ta nouvelle reum, la meuf de ton père, est masseuse ; et elle t’a fait un massage sexuel, pour te faire oublier Anaïs. C’est bien ça ? ― Exactement. ― Mais il est au courant, ton vieux ? ― Évidemment. C’est un truc qui (z’)ont décidé ensemble quand y (z’)étaient à Prague, et quand elle est arrivée elle me l’a proposé. Car tu te doutes bien, qu’elle m’a pas mis un couteau sous la gorge. ― Et maintenant elle voudrait faire pareil avec moi, toujours avec l’accord de ton père ? ― T’as encore tout juste, Auguste. J’ai parlé de toi à Lenka en lui disant que t’es timide avec les femmes, et que je voulais t’aider parce que t’es le seul ami qui me reste. Alors elle a téléphoné à P’pa pour lui demander son avis, et comme il sait que toi aussi tu m’as aidé quand il était pas là, il a dit oui. ― C’est juste hallucinant, ce que t’es en train de me raconter. ― Oui, enfin, c’est pas comme si je t’avais pas mis au jus que mes parents sont libertins. Et même si je le savais pas avant qu’elle arrive, il est logique que la nouvelle femme de mon père le soit aussi. Sinon, y seraient un drôle de couple. ― Parce que là, tu trouves pas ça zarbi ? ― Non, je trouve même ça super cool. ― T’as pas dit ça, quand t’as trouvé tes deux amis d’enfance en train de s’envoyer en l’air avec ta copine, pendant qu’y croyaient que t’étais chez le dentiste.
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De la part d’une autre personne j’aurais pensé qu’elle venait de m’envoyer un coup bas, mais pas Enzo. C’est pourquoi, je lui réponds calmement : ― Tu trouves les libertins zarbis, mais y (z’)ont leurs propres règles. Par exemple, Lenka veut rien faire si mon père est pas au courant. Et même si j’en ai pas la preuve, je suis convaincu que quand mes parents étaient ensemble, y faisaient pareil. Avec Anaïs et les deux autres salopards, ça s’est passé différemment parce qu’y (z’)ont tout fait dans mon dos. Je sais même pas pendant combien de temps, y se sont foutus de ma gueule. Et peut-être que si ma meuf m’avait parlé de ses besoins et de ses envies, avant de me faire un enfant dans le dos, ça se serait passé différemment. Peut-être même qu’on serait devenus comme mes parents, un couple libre et partageur. ― Là tu marques un point, et un gros. En attendant, pour ce que tu me proposes, je sais pas trop… ― Écoutes, je vais te mette à l’aise. Car Lenka même si elle a une sexualité très libre, elle va pas non plus te sauter dessus. Elle a proposé que vous vous rencontriez, au départ habillés si tu préfères, et pour le nudisme on verra après. Pour le massage c’est pareil. C’est une proposition que t’as le droit de refuser, mais pour avoir essayé je peux te dire que tu perdrais quelque chose. Car j’avais jamais imaginé, que ce genre de trucs pouvait exister. En plus ça peut t’aider à prendre confiance en toi, car même si on en a jamais parlé je suppose que t’es jamais allé avec une meuf. Alors ta première fois avec une qui a de l’expérience et qui en plus est loin d’être moche, ça serait tout bénéfice. Je marque une courte pause, puis je conclue : ― Y faut juste que tu te dises que les portes qui avant étaient verrouillées, maintenant elles le sont plus, et que t’as qu’à les ouvrir si t’en as envie. D’abord la première qui va te faire entrer dans le monde des nudistes, celui dans lequel y aura aussi des meufs, et après la deuxième qui te mènera à celui du sexe. C’est pas plus compliqué que ça.
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J’ai je pense clairement expliqué la situation à Enzo, et comme il est à nouveau silencieux je lui demande avec humour : ― T’es toujours avec moi, mon pote ? Ton cœur a pas lâché, sous le coup de l’émotion. ― Oui, je suis toujours là, et je réfléchissais. Car t’avoueras que c’est pas banal, comme proposition. ― T’as raison, car des comme ça on t’en fera pas tous les jours. Mais pour toi, c’est une occasion en or de faire un grand pas en avant. Surtout que Lenka, dans le genre milf elle est bombasstique. ― Pour de bon ?!?! ― Bé oui. À la manière dont tu reluques ma vraie mère, alors qu’elle a toujours été habillée quand t’étais là, tu dois te douter que la nouvelle meuf de mon Padré, c’est pas un thon. ― Parce que tu t’es rendu compte, que je reluquais ta reum ?! ― Tout le monde s’est rendu compte, qu’elle te fait le même effet qu’Anaïs. Même mon père, qui pourtant était pas là plus souvent que maintenant, quand y (z’)étaient encore ensemble. Mais y faut pas te biler, car ça a jamais dérangé personne. ― C’est quand même la grosse honte. ― Non. C’est normal qu’un homme jeune en bonne santé, soit attiré par les femmes qui sont belles. Et personne a jamais pensé du mal de toi. En tout cas, pas ceux avec qui j’en ai discuté. Parce que j’imagine que mon ex et ses deux queutards, y (z’)ont pas dû se gêner pour baver quand on avait le dos tourné. ― Justement, puisque tu parles de ça… ― Vas-y, craches le morceau. Parce que venant d’eux, plus rien peut m’étonner. ― Je sais pas si je fais bien de te le dire, mais y a une vidéo qui circule en ce moment… ― Genre ? ― Genre sextape, mais en plus hard. ― Sado-maso ? ― Non, gang-bang. ― Écoutes, moi en ce qui concerne Anaïs, j’ai enfin réussi à tourner la page. Et si ça me fout les boules, c’est pour ses parents qui eux sont des gens bien. Alors dis-toi que je préfère apprendre le truc par toi, que par un autre qui chercherait à me blesser. Maintenant, je lui dis quoi à ma très Belle-Maman ? Car elle m’a demandé de t’inviter pour midi, et ce sera pas pour manger un plat de son pays mais un steak-frites. ― Dis-lui que je vais venir, mais qu’on va procéder par étapes. ― Pas de problème. Je te la présente, et on verra après pour le plus. Ça va pas la déranger, car c’est elle qui a proposé la première qu’on fasse comme ça. Tu viens vers 11 heures ? ― OK. ― À plus alors. ― Oui, à plus mon pote. Une fois que j’ai raccroché, je vais trouver Lenka qui est dans la cuisine et a presque fini d’éplucher les pommes de terre, pour lui annoncer : ― Enzo va venir, mais y préfère qu’au début on soit habillés. ― Ok. Mais… tu lui as tout expliqué ? ― Oui. Je lui ai parlé des massages, et il est pas contre sauf qu’y se sent pas encore prêt. ― Alors on attendra qu’il le soit, même si ça prend des jours. Et avant, on sera juste des amis.
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Enzo arrive à 11 heures pile, alors que Lenka a remis la petite robe à bretelles cette fois bleue qui l’a habillée quand on est allés faire les commissions, tandis que je me suis contenté d’enfiler un bermuda sans rien dessous. Ce qui nous met au diapason puisqu’elle ne porte pas non plus de sous vêtements, ce que notre invité va probablement remarquer en ce qui concerne le haut mais pas au niveau du bas, car ses gros seins débordent à nouveau de chaque côté de son corsage, semblant vouloir s’en échapper. J’accueille dans l’entrée mon ami qui a acheté des fleurs, et le trouvant légèrement stressé j’essaie de le détendre : ― Relax Max, comme je te l’ai dit, elle est super cool. ― C’est facile pour toi. Tu vois des femmes à poil pour de vrai, depuis que t’es minot. ― Sauf que là elle est habillée, et elle le restera tant que tu te seras pas habitué à sa présence. Tu pourras prendre tout le temps qu’y te faudra, alors c’est pas la peine de te mettre la pression. Il hoche la tête en me lançant un regard reconnaissant, ce qui ne l’empêche pas de devenir écarlate quand nous allons retrouver ma très Belle-Maman sur la terrasse, où nous avons décidé de prendre l’apéritif. Pourtant elle lui fait un sourire désarmant chargé de tendresse, avant de s’exclamer en tapant des mains en voyant le bouquet, qu’il tient gauchement à la main : ― Des roses rouges ! C’est mes préférées !! La magie commence à fonctionner, car un sourire timide se dessine sur les lèvres d’Enzo quand il les lui tend, mais alors qu’il avait commencé à reprendre son teint normal, il s’empourpre à nouveau quand elle lui fait spontanément la bise, après avoir pris les fleurs. Mais ne semblant pas le remarquer, elle annonce : ― Ce soir je les mettrai dans ma chambre, mais en attendant je vais vite chercher un vase pour qu’elles restent belles plus longtemps. Tu peux me dire où je peux en trouver un, Můj Králík ? ― Oui Maminka. Dans la salle à manger, le meuble long, et la porte de droite en bas. Même si ma mère a emmené tous les autres, je crois qu’elle en a laissé un. ― Alors j’y vais. Pendant ce temps, sers quelque chose à boire à notre invité.
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Une fois que Lenka a disparu, je demande à mon ami : ― Tu veux un blanc ? ― Oui, merci. Mais dis-moi, elle est… époustouflante. ― Oui, c’est le mot juste. En même temps belle, simple et spontanée. Une vraie beauté naturelle. ― C’est un sacré veinard, ton paternel. ― Oui, enfin, elle est peut-être un peu âgée pour un type comme toi. Alors vous serez que des amis de sexe. ― Des amis de sexe ?!? ― Oui, c’est comme ça qu’elle dit pour avoir un rapport avec quelqu’un dont elle est pas amoureuse. Comme moi par exemple. Je pense que c’est emprunté à l’expression sex-friends, mais j’en suis pas certain, car ça pourrait être les tchèques ou d’autres qui ont inventé le principe. Parce que les anglo-saxons ont la réputation d’être puritains, et pas libertins. J’ai réussi à le faire sourire, il est plus détendu quand ma très Belle-Maman revient vers nous, et qu’elle pose sur la table de jardin qui est à l’ombre les fleurs qui trempent à présent dans l’eau. Je demande à cette dernière : ― Tu veux aussi un verre d’Alsace, Maminka ? ― Oui merci, Můj Králík. J’en ai parlé hier soir à Lolo, et il m’a dit qu’on a le droit de siffler toutes les bouteilles qu’on veut. ― À ce rythme, tu vas parler l’argot aussi bien que le français. ― C’est quoi l’argot ? Le langage du sud de la France ? ― Non, ça c’est le provençal. L’argot au départ, c’était le parlé des bandits. Mais avec les films au cinéma et à la télévision, y s’est répandu et maintenant on emploie plein de mots de ce genre, sans même y penser. ― Moi qui voulais faire des progrès dans votre belle langue… ― Mais c’est aussi bien comme ça. Parce que si tu parles comme c’est écrit dans les livres, les gens vont te prendre pour une extra-terrestre.
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Nous continuons de discuter tout en buvant l’apéritif, et Enzo l’alcool mais aussi le naturel désarmant de Lenka l’aidant, finit par se sentir à l’aise. Encore plus qu’en présence de ma mère, qu’il connaît pourtant depuis des années. Ma très Belle Maman qui s’en est rendue compte lui annonce après être allée mettre les frites à cuire, et alors que nous sommes sur le point de terminer notre deuxième verre d’Alsace : ― Tu sais, Můj kachna, bien sûr tu pourras prendre tout le temps qu’il te faudra pour te mettre à poil, car rien n’est pressé. Mais il faut avant que tu saches, que si tu deviens en érection en me voyant quand j’aurai fait pareil, il faudra pas avoir la honte. Car je recevrai ça, comme un compliment à ma beauté. Mon ami s’étouffe avec la gorgé de vin qu’il était en train de boire, ce qui fait que nous ne savons pas s’il est devenu écarlate à cause de ça, ou de ce que vient de lui affirmer son hôtesse le plus naturellement du monde. Toujours est-il qu’à notre grande surprise il se lève précipitamment, et qu’il entre dans la maison en bougonnant : ― De toute façon, ça va se finir comme ça, alors… Lorsqu’il a disparu Lenka hausse les sourcils perplexe, probablement parce que c’est la première fois de sa vie qu’elle fait fuir en homme en lui proposant de se mettre nue devant lui, et elle me demande : ― Tu crois que je l’ai fâché, parce que je l’ai appelé Můj kachna ? Sa candeur me fait sourire, et je lui réponds : ― Y sait pas plus que moi ce que c’est, un kachna, et d’après ce qu’il a dit, je pense plutôt qu’il est allé dans l’entrée pour enlever ses vêtements. Car il est au courant que le porte-manteaux qui s’y trouve, sert à les accrocher.
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Effectivement Enzo revient peu de temps après complètement nu et un peu moins rouge, et Lenka lève à présent un seul sourcil, en voyant la taille de son sexe qui pend entre ses jambes. Visiblement mon père pour lui faire la surprise ne l’a pas prévenue à ce sujet, et je dois avouer que je n’y ai pas pensé non plus. Cependant elle n’en est pas émue outre mesure, probablement parce qu’elle en a vues d’autres, et elle nous annonce toujours sur le ton de la conversation : ― Quand vous aurez fini le vin blanc, parce qu’après on va en boire du rouge, vous viendrez me retrouver dans la cuisine. Car moi, je vais aller m’occuper du manger. Quand elle est partie à son tour, je fais remarquer à mon ami tout en retirant mon bermuda pour que nous soyons à égalité : ― Tu vois, c’était pas si dur que ça. ― Le plus dur figure-toi, y reste à venir. ― Oui, quand tu deviendras en érection pour faire un compliment à sa beauté. Nous nous fixons un bref instant avant d’éclater tous les deux de rire, puis il me dit une fois qu’il a retrouvé un peu de son sérieux : ― Elle est quand même pas croyable, ta belle-mère. ― Si ça peut te rassurer, moi aussi elle m’épate. Car elle parle du sexe et elle le fait, comme si c’était un truc aussi naturel que manger ou dormir. ― Et apparemment, elle est allergique aux poils sur les couilles. Je rougis légèrement, avant de répondre : ― Même si elle me l’a pas encore fait, elle a voulu me les enlever parce qu’elle dit que c’est mieux pour les sucer. Il ne réplique pas et cette explication semble l’avoir laissé songeur, alors j’en profite pour lui demander : ― Je te l’ai pas demandé avant pour pas te gêner, mais c’est à cause de la taille de ton outil, que t’as peur d’aller avec une meuf ? T’as la trouille qu’elle se mette à crier, ou qu’elle se barre en courant ? ― Oui, en partie. Car si à la base je suis vraiment timide, j’ai aussi peur de la réaction qu’elle pourrait avoir. ― Alors de ce côté là tu peux être rassuré, car ma très Belle-Maman a pas eu l’air effrayée en le voyant. Et je peux te garantir qu’elle s’est pas enfuie, mais qu’elle est partie pour te laisser le temps de t’habituer. Car je pense qu’elle a connu beaucoup d’hommes, mais aussi qu’elle sait faire preuve de tact quand le besoin se fait sentir.
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