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Une Belle-Maman particulière

Chapitre 10

La vie suit son cours...

Hétéro
Après que Lenka m’a sucé je décide de l’emmener à Marseille, car même si je n’aurai pas le temps de lui faire visiter la ville parce qu’il me faudrait au moins une semaine pour tout lui montrer, je veux au moins l’emmener dans le quartier du Panier, qui est l’un des plus touristiques étant donné qu’il s’agit de la Vieille Ville. C’est sans surprise de ma part qu’elle accepte cette idée avec enthousiasme, et en chemin elle m’annonce :
 ― C’est bien qu’on aille à la mer mercredi, car demain je devrai rester à la maison, parce que le camion avec mes affaires va arriver. 
 Vu que personne ne m’a prévenu je suis étonné mais pas tant que ça, puisque je me doute que la vie de ma très Belle-Maman ne doit pas tenir dans une seule valise, et après avoir souri je lui dis pour la taquiner :
 ― Ah. Tu vas pouvoir remettre des culottes quand tu sortiras, car j’imagine que tu les as oubliées dans ton ancienne maison, et qu’elles seront dans ce camion. 
 Le fait est qu’avant de partir Maminka a enfilé une nouvelle petite robe à bretelles, cette fois verte, mais sans rien dessous. Et même si j’ai utilisé un ton humoristique, elle me répond très sérieusement :
 ― Tu sais, j’en mets que quand je vais chez le médecin ou quand il fait froid, car je me sens plus à l’aise sans. Lolo trouve ça fun, mais si ça t’embête,quand je suis avec toi je peux en enfiler une avant de sortir.  ― Non, moi aussi je trouve ça fun. En plus, tu as pu remarquer comme moi hier que ma M’man était complètement nue sous sa blouse. Ce qui n’a pas manqué de m’épater, car j’étais pas au courant qu’elle fait aussi comme ça. C’est juste que je me demande ce qui se passerait si un coup de vent soulevait ton jupon, et que d’autres personnes le remarquaient.   ― Ils verraient mon gros cul, mais comme je l’aurais pas fait exprès ça serait pas une provocation. ― Il est pas gros du tout ton cul, et moi je le trouve très beau. 
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 Lenka me caresse tendrement la joue, puis elle m’explique :
 ― Tu est très gentil Můj Králík, et je suis heureuse d’avoir trouvé un fils comme toi, même si je suis un peu triste de ne pas t’avoir vu grandir. Mais je suis certaine que tu vas préférer celui de Cilka, de cul, car je t’ai pas dit non plus mais elle arrivera samedi. ― C’est super, car je vais pouvoir rencontrer ma nouvelle sœur. Mais dis-moi, elle est aussi cool que toi ? ― Encore plus, car elle est jeune.  ― Mais… euh… au niveau du sexe, elle est aussi pareille ? ― Oui, car je l’ai élevée comme ça. Mais bien sûr sans la forcer, et j’ai attendu qu’elle soit devenue assez grande. Et si tu te poses la question sans oser le demander, elle est aussi une amie de sexe de ton Papa. Il a même été son premier pour plein de choses. Car je lui avais demandé d’attendre à ta sœur, parce que je voulais lui trouver un homme doux et avec de l’expérience, pour qu’elle garde un très bon souvenir, et elle m’a écouté. Car si toi tu est un bon garçon, elle c’est une bonne fille. 
 Je suis carrément scotché par ces révélations, mais pas vraiment choqué car ça va dans le sens d’une certaine logique libertine, et je suis moi aussi en train d’en devenir un. Cependant je chasse vite l’idée de mon père en train de déflorer la fille de sa nouvelle compagne, de peur de me chopper une érection, et je dévie un peu du sujet :
 ― Mais puisque tu parles de mon père, y t’a dit quand y va rentrer ? ― Malheureusement pas tout de suite, car après Moscou et Saint Petersbourg, il doit ensuite aller en Estonie, en Létonie et en Lituanie. Mais après il sera en vacances, et toute la famille sera enfin réunie.
 Cette annonce a été faite avec l’enthousiasme dont elle sait faire preuve à l’occasion, ce qui me fait sourire, et nous continuons notre route en parlant de choses et d’autres.
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 Une fois arrivés à Marseille j’ai la chance de pouvoir me garer sur la place Jules Verne, j’emmène Lenka directement sur le Vieux Port pour qu’elle sache où elle se trouve, puis nous nous enfonçons dans la Vieille Ville. Nous marchons pas mal alors que le terrain n’est pas vraiment plat puisqu’il y a quantité de petits escaliers, et lorsque éprouvant du remord parce que je n’ai pas pensé à dire à ma très Belle-Maman de se chausser en conséquence je m’en inquiète, car elle a aux pieds ses sandales à talons plein de dix centimètres de haut, elle me répond sereinement que pour elle tout va bien. Je suis rasséréné, convaincu que si ce n’était pas le cas elle me le dirait avec sa franchise coutumière, d’autant plus qu’elle se déplace avec aisance alors que nous avançons d’un pas tranquille. 
 Bien entendu nous ne faisons que flâner dans ce quartier, cependant je lui montre où se trouvent les différents musées, la Cathédrale de La Major, l’Hôtel Dieu et la Vieille Charité, ainsi que les théâtres au cas où elle voudrait y revenir plus tard, et nous avons par moments une belle vue sur Notre Dame De La Garde, qui domine au loin la ville. 
 L’heure tournant, nous retournons sur le Vieux Port dans le but de trouver de quoi nous restaurer, et chose anecdotique nous nous décidons pour des moules frites Quai Des Belges, dans un bistrot dont c’est le plat du jour. Tout en mangeant, ma très Belle-Maman me dit :
 ― Je sais que tu vas vouloir payer notre repas, mais il faut que tu penses que moi même si je ne fais rien en ce moment, contrairement à toi je gagne de l’argent.  ― Moi aussi j’en ai de l’argent, Maminka.  ― Oui, mais moins que moi. Car je suppose que c’est ton papa qui te le donne, et tu devrais plutôt t’en servir pour te faire plaisir.  ― Mais c’est un plaisir de t’inviter, Màma.  ― J’aime beaucoup ce que tu me dis, seulement…
 J’ai parfaitement compris où Lenka veut en venir, tout comme le fait qu’elle prend des gants afin de ménager ma fierté. De plus elle a totalement raison, car elle a deviné que ma source de revenus même si elle est aussi régulière que la sienne, est beaucoup moins importante. Je ne veux pas qu’elle se torture l’esprit à cause de moi, c’est pourquoi je lui annonce :
 ― Tu es la maman et je suis le fils, alors je vais t’obéir. Mais il faudra quand même que de temps en temps, tu me laisses payer. 
 Tandis qu’elle écoute mes paroles un sourire d’abord timide finit parilluminer son visage magnifique, ce qui vaut toutes les concessions du monde, nous finissons tranquillement notre repas en discutant de choses moins importantes, et je la laisse régler l’addition quand nous avons fini de manger.
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 De retour chez nous et alors que nous nous sommes remis nus dans l’entrée, Lenka m’annonce : 
 ― Tu as déjà visité mon fourreau, mon petit trou et ma bouche, alors ce soir je te laisse choisir où tu veux retourner. 
 Je lui fais un sourire coquin, avant de répliquer :
 ― Très bien, puisque c’est à moi de décider, tu vas aller te mettre à quatre pattes sur mon lit. 
 Ma très Belle-Maman ne tarde pas à se retrouver dans la position demandée, la même que deux jours plus tôt quand je l’ai sodomisée, et alors que je suis debout derrière elle le sexe devenu bien raide, son petit œillet fripé m’attire à nouveau alors qu’il n’est plus dans ma tête un fruit défendu, mais une bague très accueillante. Pris d’une inspiration subite je me mets à genoux sur le sol, j’écarte un peu plus ses fesses avec mes mains, et je donne un coup de langue sur sa rondelle. 
 Sa saveur est légèrement âcre mais pas dégoûtante comme je m’y attendais, et elle est beaucoup plus souple que la mienne, puisqu’un minuscule point sombre comme la nuit apparaît en son centre. Maminka a poussé un petit geignement, et je lui demande pour la taquiner :
 ― Tu aimes ça, Màma ? ― Oh oui, Můj Králík. Màma aime beaucoup se faire lécher le petit trou, et encore plus quand c’est toi qui le fais.  ― Alors tu vas te redresser et écarter tes miches avec tes mains, pour que je puisse te faire jouir avec ma bouche.
 Même si elle ne savait probablement pas ce que sont les miches avant que j’emploie ce mot, ses doigts viennent remplacer les miens alors qu’elle s’est mise elle aussi à genoux en se cambrant, et à présent que je suis libre de mes mouvements je commence à caresser sa vulve, tout en donnant un deuxième coup de langue sur son anus, puis un troisième qui sont suivis par plein d’autres. 
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 Je m’applique à alterner comme Lenka me l’a fait les grandes léchouilles qui couvrent un bonne partie de sa raie, avec les pointes plus précises sur le centre de son œil cyclopéen, à la différence que ce dernier s’ouvre beaucoup plus rapidement que la mien, et que je peux pour ainsi dire lui branler l’anus avec mon appendice buccal. Toute notion de répugnance a été éliminée en moi, je trouve même ajouté à l’attrait de la nouveauté le plaisir que je lui procure très jouissif, et pas seulement dans ma tête, puisque mon membre pourtant délaissé est devenu aussi dur qu’un bout de bois. 
 En même temps légèrement plus bas j’ai refermé ma main pour que seul mon index soit tendu, et je m’en sers pour jouer avec son anneau le faisant aller d’avant en arrière, de manière à ce qu’il coulisse dans le petit bout de chair qu’il traverse. Ce qui doit être très stimulant pour mon amie de sexe si j’en juge les couinements que j’entends, et qui me font penser à ceux d’un très jeune chiot en train de manifester sa joie. De cette manière ma très Belle-Maman finit par jouir du clitoris et de l’anus en même temps, en poussant un long gémissement, et satisfait le lèche quelques instants sa vulve pour récolter la mouille qui en a perlé, ce qui lui donne le loisir de reprendre ses esprits. 
 Ensuite je me relève alors qu’elle reste à genoux et bien cambrée, se contentant de poser ses menottes sur ses cuisses, j’hésite un bref instant sur la voie à suivre puis je pose mon gland contre ses grandes lèvres, et après l’avoir attrapée par la taille je donne une lente poussée. Son vagin qui est inondé ne m’oppose qu’une résistance symbolique, c’est pourquoi je ne tarde pas à déplacer mes propres mains pour les poser sur ses gros seins, que je caresse tout en commençant à faire coulisser mon membre dans son fourreau très accueillant. 
 Maminka ne tarde pas à se mettre elle aussi en mouvement, nous déplaçons à présent nos bassins en rythme mais sans aucune hâte, et ils vont à la rencontre l’un de l’autre jusqu’à se toucher pour ensuite s’éloigner, en s’arrêtant avant que mon gland ne ressorte, pour repartir ensuite en sens contraire. Tandis que Màma a recommencé à geindre mais d’une manière plus sobre qu’avant, je pétris ses gros nichons ce qui ne semble pas la déranger, je prends même la liberté de pincer ses tétons entre mes doigts sans qu’elle manifeste la moindre protestation. 
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 J’en éprouve un sentiment de possessivité très satisfaisant, car même si nous savons tous les deux que ce n’est que temporaire puisqu’elle est la compagne de mon père, j’ai la conviction que ce soir elle a décidé de se donner à moi sans restriction. Cependant je n’en profite pas pour aller plus loin, et nous continuons à faire l’amour jusqu’à ce que l’orgasme nous emporte en même temps. Lorsque nous avons joui nous restons quelques instants emboîtés l’un dans l’autre, mes mains toujours posées sur ses gros seins mais à présent au repos, et Lenka me dit alors que je sens mon membre se dégonfler en elle :
 ― Elle aura beaucoup de chance la prochaine dont tu vas tomber amoureux, Můj Králík, car tu es un amant à la fois attentionné et très viril. Et plus tu auras l’expérience, et plus tu deviendras meilleur. 
 C’est un très beau compliment qu’elle vient de me faire, c’est la raison pour laquelle je lui fais plusieurs bisous dans le cou pour la remercier, avant de répondre :
 ― C’est moi qui ai beaucoup de chance, d’avoir une deuxième maman comme toi. Car tu m’as appris tout ce qu’une femme a à offrir, mais aussi tout ce que je peux lui donner en échange. 
 À ma grande surprise elle devient écarlate, sa confusion me fait éclater de rire, et tandis que je me suis retiré d’elle je lui donne une claque sur les fesses, et je m’exclame, pour faire diversion :
 ― Allez Maminka !! On va prendre une bonne douche et après on ira faire un gros dodo ! Si demain j’aurai pas le temps de te faire visiter un peu plus mon beau pays comme tu l’appelles, car tes culottes vont arriver, j’espère qu’on aura quand même celui de devenir encore un peu plus des amis de sexe.
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 Le mardi comme prévu le camion arrive en fin de matinée, et il ne s’agit pas d’un gros véhicule car il doit pouvoir se conduire avec un permis ordinaire. À l’intérieur il n’y a pas de meubles mais juste des cartons, plein de cartons, qui une fois qu’ils ont été déchargés sont dispatchés dans la maison, grâce à des lettres écrites dessus au feutre. La plus grande partie allant dans la chambre parentale ainsi que dans celle avec laquelle je partage ma salle de bain, et qui va devenir le nid de ma nouvelle sœur. 
 Car s’il y en a une quatrième, de chambre, nous avons décidé avec Lenka de la garder pour le cas où nous aurions des invités, car elle possède elle aussi sa propre salle d’eau. Quant à la mienne elle deviendra commune avec Cilka, ce qui ne devrait pas nous poser de problèmes puisque nous sommes nudistes tous les deux.
 Étant donné que je me suis proposé pour aider à déballer, ce qui a été accepté par ma très Belle-Maman avec un sourire en même temps tendre et reconnaissant, nous commençons par ses affaires à elle. Je découvre que ses paquets contiennent pour la grande majorité des vêtements, dont certains sont destinés à être portés pendant les autres saisons, mais également des chaussures en quantité plus importante que ses petites culottes, ce qui me fait sourire. 
 Il y en a des godasses de toutes sortes, la plupart avec des talons aiguille de différentes longueurs, allant jusqu’à une douzaine de centimètres de long. Le plus surprenant étant qu’elles arrivent à toutes rentrer dans le même placard, que mon père a dû prendre soin de vider en prévision avant de partir, à moins qu’il le soit resté depuis le départ de ma mère.
 Maminka ne semble pas avoir de secrets à me cacher, car une fois que nous avons rangé ses pompes elle me montre des déshabillés qu’elle sort d’un des cartons, et qui doivent dévoiler plus qu’ils ne cachent son corps tant au niveau du minimalisme que de la transparence. Si j’arrive à rester impassible même en les imaginant sur elle, je rougis lorsqu’en continuant le déballage je tombe par hasard sur des sex-toys, et elle m’explique tout en les rangeant après avoir souri :
 ― Tu sais, être libertin ça veut pas dire qu’on trouve un partenaire dès qu’on a envie d’avoir la jouissance. Et si tu m’avais pas demandé de te faire mon Massage Spécial, car je t’aurais pas obligé non plus, je me serais enfilé mes jouets en attendant le retour de ton papa.
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 Ensuite nous allons dans la chambre de Cilka, ce qui m’étonne parce que j’aurais cru que ma nouvelle sœur voudrait ranger elle-même ses effets personnels. Cependant je ne pose pas de question à ce sujet, et là encore en plus des habits il y a des chaussures même s’il me semble qu’elles sont en moins grande quantité, cette dernière étant tout de même plus importante que celle des petites culottes, et ces pompes n’ont rien à envier au niveau de la féminité à celles de sa mère. Il en va de même en ce qui concerne les tenues d’intérieur tout aussi suggestives, mais il n’y a pas de jouets intimes et Maminka qui a parfaitement compris que je m’attendais à en trouver, me dit après un nouveau sourire :
 ― Cilka va amener ses outils avec elle, car elle a pas voulu s’en séparer. 
 Ensuite nous passons au reste de la maison, dans la cuisine des ustensiles viennent s’ajouter à ceux qui sont déjà là, dont certains ont un usage qui m’est inconnu, et pour le reste de la maison il s’agit de bibelots qui doivent avoir une valeur sentimentale. Ils ont pour la plupart un style typique de l’Europe Centrale, mais qui à mon avis s’intègre assez bien dans le décor, tout en lui donnant une petite touche originale. 
 Il y a toutefois une chose qui m’étonne, et lorsque je pose la question à ma très Belle-Maman, elle me répond :
 ― J’ai gardé mon appartement à Prague car je suis la propriétaire, alors tous les meubles ils sont restés là-bas. Ça sera pratique quand on ira voir la famille, et ton père pourra aussi y dormir quand il ira pour son travail. Tu pourras même y aller en vacances, si tu veux. Car tu sais, la Tchéquie c’est aussi un beau pays à visiter. 
 Pour midi nous mangeons de pizzas que nous faisons livrer, et Lenka ce même mardi me prodigue mon deuxième massage sexuel, aussi bon que le premier, mais elle change ce qu’elle appelle la finition puisque tout en étant sur moi comme la première fois, elle introduit mon membre en elle pour me chevaucher. Inutile de préciser que j’adore lui servir de monture, d’autant plus qu’étant sur le dos je peux voir son corps superbe monter et descendre lentement, car elle n’y met aucune hâte, et qu’il me suffit de tendre les bras pour pouvoir caresser ses gros nichons moelleux.  
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 Le lendemain comme ça a été décidé nous allons faire du naturisme, et mes deux mamans ont prévu d’emmener un pique-nique pour notre repas de midi, ce qui implique que nous partions dès le matin. Notre destination est la calanque de Port Pin, pour l’atteindre il nous faut une demi-heure de marche depuis Cassis, et Enzo et moi portons dans des sacs-à-dos notre repas ainsi que nos nécessaires de plage, ce qui se résume à des serviettes et de l’ambre solaire. 
 Car à ma grande surprise mon ami a décidé de nous accompagner, mais ce n’est pas le plus étonnant étant donné que non seulement il n’est plus intimidé par ma M’man, mais en plus une complicité est née entre eux deux. Il s’est même mis à la tutoyer, ce qui par contre semble naturel puisqu’il la connaît depuis des années, et fait que de ce côté-là nous sommes tous sur le même pied d’égalité. Bien entendu pour sauvegarder les apparences ils font mine de rien, mais Lenka et moi ne sommes absolument pas dupes, et nous échangeons des regards amusés quand les deux amants cachés ne nous voient pas. Car pour nous ce rapprochement soudain mais pas vraiment inattendu, ne peut s’expliquer que de cette manière. 
 Cette relation ne me dérange absolument pas, d’autant plus que la situation de Cougar est entrée lentement dans les mœurs et qu’ils sont discrets. J’espère juste qu’Enzo ne s’attachera pas à celle qui m’a mis au monde, car elle m’a habitué depuis sa séparation d’avec mon père, à changer de mec aussi souvent que de petite culotte. Et même plus, puisque j’ai remarqué depuis peu que comme celle qui lui a succédé dans notre foyer, porter des sous-vêtements est devenu pour elle très facultatif.  
 Mon ami une fois sur place et que nous nous sommes déshabillés, semble tout à fait à son aise ou en tout cas autant que moi, et je suis épaté qu’il ait suffi d’un simple déclic pour qu’il change totalement sa manière d’être. Il n’a pas l’air de faire cas que son gros sexe attire les regards, et pas que ceux des femmes. Ce qui moi me dérange par contre, c’est que les deux superbes milfs qui nous accompagnent suscitent beaucoup plus d’intérêt que lui, de la part d’hommes d’âges divers qui ne se privent pas de les mater sous tous les angles. 
 Cela m’étonne également, car j’étais convaincu que les naturistes par courtoisie adoptaient le principe de l’indifférence réciproque, mais il est vrai que nous ne sommes pas dans un centre dans lequel des familles viennent passer leurs vacances, et que par conséquent nous pouvons avoir affaire aussi bien à des puristes qu’à des exhibitionnistes-voyeurs. Heureusement malgré leurs regards très insistants aucun d’entre eux ne vient tenter sa chance, Enzo et moi servant très certainement de force de dissuasion, ce qui me fait mieux comprendre pourquoi Lenka tenait à ce que je l’accompagne. Quant à nos deux superbes milfs, elles semblent indifférentes au manque de savoir vivre de ceux qui nous entourent. 
 Nous Passons tout de même une journée agréable, même si je ne vois absolument pas l’avantage qu’il y a à me baigner nu dans la mer plutôt que dans une piscine, et après avoir constaté qu’ici l’eau n’est pas que salée mais également plus froide, je reste sur ma position de départ. 
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 Le jeudi et le vendredi se passent tranquillement, j’ai droit à d’autres massages spéciaux mais aussi à une discussion franche et téléphonique avec mon ami, qui me confirme qu’il a bien des rapports intimes avec celle qui m’a mis au monde. Bien entendu je dois lui tirer les vers du nez, en lui précisant que je ne serai pas en colère s’il me dit la vérité. 
 C’est comme ça qu’il m’avoue que quand nous étions dans la cuisine Lenka et moi le lundi midi, ma mère a pris son numéro de téléphone et que s’il nous a quittés en même temps qu’elle, c’est qu’il espérait qu’elle l’appellerait le plus rapidement possible. Ce qui n’a eu lieu qu’en début de soirée, alors imaginez son attente fébrile, cependant les deux amants cachés se sont revus dans la foulée et ils ont entamé une relation qui ne fait de tort à personne, même pas à la morale puisqu’ils sont majeurs tous les deux. 
 Je le préviens qu’il ne faut pas qu’il s’attache et il m’affirme que ça ne sera pas le cas, pour ensuite me faire promettre de ne rien répéter à personne. Et en quelque sorte je tiens parole puisque Lenka n’apprend la chose que parce que j’élude ses questions, autrement dit en faisant des déductions. Car bien entendu, elle était autant curieuse que moi d’en apprendre plus. 
 Cette situation nous amuse plus qu’autre chose, d’autant que le forban ne se prive pas de venir réclamer son dû à savoir de nouveaux massages sexuels de la part de ma très Belle-Maman, jusqu’à ce qu’elle ait rempli les conditions du marché qu’ils ont passé. Je ne lui pose pas la question de savoir si ma vraie M’man est au courant, et je présume que c’est le cas ou alors que dans leur tête se faire prodiguer un massage Nuru n’est pas tromper, étant donné qu’elle vient elle aussi pour son tout premier, qui à l’air en même temps détendu et satisfait qu’elle affiche en sortant du salon, a entièrement répondu a ses attentes. Les gémissements que j’ai entendu quand elle s’y trouvait et qu’elle n’a pas cherché à étouffer, n’étant pas venus contredire la chose.  
 Bien entendu mon père à des milliers de kilomètres de là, est informé de l’évolution de la situation à Meyreuil par sa nouvelle compagne, qui lui téléphone tous les jours sans rien lui cacher, et Maminka qui n’a pas non plus de secrets pour moi, m’annonce que mon paternel est content que les choses se passent de cette manière. 
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 Pour ma part, quand arrive le samedi matin et que je regarde en arrière pour faire le bilan de tout ce qui s’est passé en une semaine, de quelle manière ma philosophie de la vie a changé et la facilité avec laquelle je me suis adapté à tout ça, je ne manque pas d’être épaté. Je ne suis pourtant pas au bout de mes surprises, puisqu’en fin de matinée à l’heure approximative à laquelle Lenka a atterri dans ma vie sept jours plus tôt, j’entends le carillon annonçant l’arrivée de visiteurs retentir.
 Ma très Belle-Maman est partie faire des commission, refusant que je l’accompagne sans que je comprenne vraiment pourquoi, mais elle a emmené un jeu de clef qui désormais lui appartient, par conséquent je suis convaincu que ce n’est pas elle qui vient de sonner. Je sais que ce n’est pas non plus l’heure du facteur, et quand je réponds à l’interphone, une voix charmante avec un accent que je reconnais m’annonce :
 ― Bonjour, je suis Cilka. 
 Bien entendu j’ouvre le portail, je vois une Dacia assez récente pénétrer dans la propriété, et quand cette dernière est à nouveau hermétique je sors nu pour accueillir ma nouvelle sœur, convaincu qu’elle n’en sera pas choquée étant donné qu’elle est comme tout le reste de la famille une nudiste. Lorsqu’elle descend de sa voiture pour me faire face, j’ai un choc car je plonge en un instant et en même temps, une semaine mais aussi une génération en arrière. 
 Car j’ai affaire à une copie conforme, comme si Lenka avait été clonée. Le même visage triangulaire avec sa fossette au menton, son nez aux ailes bien dessinées droit et court, sa bouche moyennement pulpeuse, et surtout ses beaux yeux bleu-vert irisés. Le tout sans aucune trace de maquillage, respirant la sincérité et la joie de vivre.Sans parler de la même chevelure de jais attachée dans le dos en une natte, qui je l’ai remarqué quand elle était de profil lui arrive au milieu du dos. 
 Mais si elle porte elle aussi une petite robe à bretelles et des sandales à talons plein hauts d’une dizaine de centimètres, la comparaison s’arrête là. Car sa silhouette est plus fine, sa peau mate a l’air plus ferme, bien entendu elle n’a aucune ride, et ses seins hauts perchés plus petits que ceux de Maminka, soutiennent son fin vêtement plutôt que l’inverse. 
 Tandis qu’elle s’approche de moi je sens mon sexe se mettre en érection, cependant je n’ai pas le temps d’en avoir honte car le sourire dont elle me gratifie illumine son visage, et il n’a rien de moqueur même si ses yeux pétillent à présent de malice. Quand elle est assez près et que je décèle une odeur de violette elle me fait le petit baiser du serpent, décalottant mon gland dans la foulée, puis elle me dit alors que cette fois sa main caresse mes fesses :
 ― Je suis très contente de te rencontrer, Můj krásný hřebec, et comme je vois que je te réjouis autant que toi tu me réjouis, je crois qu’on va devenir encore plus que des amis de sexe. 
 Une fois revenu de ma surprise je glisse sans hésitation une main sous son jupon pour caresser à mon tour son petit cul, car il me semble en même temps logique et naturel de lui rendre la politesse, et je le trouve à la fois doux et ferme sous mes doigts. 
 Je ne suis absolument pas étonné, de constater que Můj dětská Králík ne porte pas de petite culotte.
FIN

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