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Une belle soirée

Chapitre 1

Hétéro
Une belle soiréeNous nous étions rencontrés sur un site connu, après des heures de palabres, et à l’aide de conversations complices, d’un humour commun et de quelques photos devenues plus osées les jours passant, sans tomber dans la vulgarité, nous avions eu ce besoin de nous voir. En chair et en os. Une alchimie virtuelle au minimum était bien là.
Elle est professeur, je suis fonctionnaire, les rêves idéologiques sont passés, écrasés, nous avons ce besoin commun de remettre un goût plus intense dans nos vies, pourquoi pas par les relations humaines passionnées ?
Je lui ai proposé de boire un verre dans un bar de nuit, de ceux où tout peut arriver, le meilleur comme le pire. Lorsque j’arrive devant chez elle, je lui envoie un SMS pour lui signaler ma présence, elle répond au bout de quelques dizaines de secondes qu’elle arrive. Sa porte d’entrée s’ouvre, nos regards se croisent, nous nous sourions et à cette seconde, je sais déjà que ça va être une belle soirée. Elle referme sa porte à clé, je me penche pour entrouvrir la porte passagère, qu’elle ouvre plus grand pour monter et s’installer. Nos énergies subtiles se flairent et intuitivement nous avons du plaisir à être enfin ensemble.
Evidemment, les photos qu’elle m’a envoyées sont gravées dans ma mémoire, certaines très suggestives, qui m’avaient empêché de trouver le sommeil parfois tellement j’avais envie d’elle, ou d’imaginer sa poitrine entière après en avoir vu une partie dans l’échancrure d’une chemise mal fermée, ou d’un vêtement d’intérieur cool dénudant une épaule, voire un peu plus...
Sophie a 54 ans, 1,65 m, cheveux châtains frisés, de corpulence normale, une légère tendance à une physionomie plantureuse, très légère et j’adore. Elle est habillée d’une robe bleu nuit, avec des bas ou des collants, des bottes noires, un manteau recouvre sa tenue. Nous nous embrassons sur la joue, mais déjà une tension est perceptible dans l’approche maladroite. Un trouble, presque imperceptible et qui pourtant témoigne de bons augures.
— Bonsoir Sophie, ça va ? dis-je radieux.— Oui, dit-elle avec un sourire, tu es comme sur les photos.— C’est la rançon lorsque l’on envoie des photos de soi.
Nous nous reconnaissons immédiatement, je veux dire par là qu’il arrive qu’une gêne survienne lors d’une rencontre après un passage virtuel, que la voix, ce qui se dégage de nous ou de l’autre crée un sentiment d’être soudain en présence d’un ou d’une inconnue. Pas là, pas du tout, nous sommes d’emblée à l’aise, juste cette tension peut être due au fait que nous avons franchi des étapes intimes avec ces satanées photos faussement anodines. Et nous avons joué tous les deux. Et que c’était délicieux !!
Je démarre, nous sommes donc contents de nous rencontrer enfin, le virtuel c’est génial tant que la frustration ne s’en mêle pas, ce qui ne peut plus être le cas lorsqu’on prend du plaisir à passer parfois quelques heures à bavarder, à se charmer verbalement et encore moins lorsque l’on s’échange des photos prometteuses.
Nous bavardons avec légèreté, plaisantons, signe que l’alchimie virtuelle était sans doute une intuition de ce qui allait suivre. Lors d’un arrêt à un feu rouge, je me tourne vers elle, la dévisage, je remarque que sa poitrine est généreuse sans excès par l’ouverture de son manteau et l’ouverture de sa robe, simple, mais efficace, descendant à mi-cuisse. Un tout petit peu moins maintenant assise dans ma voiture. Loin en moi un frisson agréable me traverse, de ceux qui donnent envie d’être bien là ici et maintenant, de savourer cette soirée. Je sens mon sexe sous mon jean s’éveiller, je n’ai pas mis de sous-vêtements, j’aime ce côté naturel, le contact du jean sur mon sexe, avec en arrière plan, une touche charnelle dans mon esprit. Je ne m’explique pas tout, c’est ainsi. Je lorgne sur ses jambes laissées à ma vue par le manteau, j’adore les jambes d’une femme et le galbe des siennes, avec des imperfections dues à l’âge, mais à mes yeux, elles n’en sont que plus excitantes justement.
Je conduis avec tranquillité, à vrai dire, je conduis machinalement tellement mes pensées sont dirigées sur son corps. La conversation va bon train, nous abordons même un moment la politique, osé pour une première, points de vue quelquefois divergents, j’argumente, elle réplique, nous campons chacun sur nos positions et peu importe. Ca passe. On tolère sans sourciller l’opposition. Et on confirme que nous avons deux bons caractères, au sens propre comme au figuré. 30 minutes après, nous sommes dans le centre-ville, je trouve rapidement une place, terminons nos phrases avant de sortir de la voiture. Je réalise que nous bavardons comme si nous nous connaissions depuis toujours. Nous avons passé des heures à papoter certes au préalable par écrans interposés, mais tout de même !
Sortis de la voiture, nous marchons dans le centre de cette ville de province. Je lui ai pris le bras, elle a soupiré en me disant qu’elle devait se méfier de moi, dans le sens supposé que j’étais sûr de moi et que j’étais un danger pour elle. Ceci avec légèreté, mais je sens bien que je lui plais, c’est d’ailleurs très agréable de le ressentir, voire d’en abuser, de continuer à jouer comme avec nos photos avant. Je ne suis pas sûr de moi en général, ce soir je me sens bien avec elle et ça me donne des ailes. Pas mal de gens ont eu la même idée que nous en ce jeudi soir, il y a du monde dans les rues, on sent la fin de semaine, ça parle fort, ça rit, ça se lâche. Ca vit !
Je l’emmène dans un bar ambiance mexicaine, décor sympa, musique rythmée et pas trop assourdissante, et ils font de bons mojitos. Nous nous installons au bar sur des tabourets hauts, je commande deux mojitos. Le bar n’est pas plein, on lance un regard alentour, on sent la salle, détendue. Parfait ! Nous revenons à nous, elle me dévisage plus intensément...
— Tu es beau Alain, dit-elle, d’un air presque grave.— Alors dans ce cas nous sommes bien accompagnés l’un et l’autre, dis-je d’un ton gêné.
Sa façon de m’envoyer ça en pleine figure sans crier gare me perturbe, j’en frissonne presque, elle a du charme aussi, avec ce je ne sais quoi qui la rend désirable. Elle a ôté son manteau et je me rends compte qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Torture douce pour mes sens quand je m’en aperçois alors qu’elle se penche un peu en avant. Le tissu de sa robe n’étant pas très épais, je constate que ses seins d’un bonnet C sont bien dessinés. Mon sexe devient dur, une chaleur sourde m’envahit, j’ai envie d’elle. Le serveur nous apporte nos verres, je lui tends le sien, nous trinquons et buvons en appréciant l’alcool descendre le long de notre gorge. Hmmmmmm !
Nous partons dans une conversation sur les vacances, échangeons nos goûts, ça dure un moment, le temps de finir notre verre et d’en commander un deuxième. En le dégustant, et en sentant cette petite chaleur de gaieté drainée par l’alcool nous envahir lentement, malicieusement je peins une plage, la douce quiétude d’un soleil couchant sur une plage de sable blanc, avec un dîner les pieds dans l’eau, elle aime l’image, elle sourit, me regarde attentivement, se mordille la lèvre. En regardant furtivement ses cuisses croisées que la robe ne peut entièrement couvrir, je distingue l’extrémité de... ses bas. Ce qui ne fait qu’accentuer une envie qui ne cesse d’augmenter. Elle ne s’en rend pas compte, je pense. Je défais un bouton de ma chemise, non pour lui montrer mon torse avec une pilosité moyenne, mais parce que j’ai chaud, chaud de l’alcool sûrement, mais chaud d’envie d’elle, c’est sûr.
Je pose machinalement ma main sur sa cuisse en lui expliquant avec moult détails la température tiède de l’eau le soir, les sensations sur notre corps, et notre esprit, j’en rajoute, car elle s’est prise au jeu et cherche à attiser mon désir mine de rien. Elle regarde fixement ma main posée, puis mes yeux, se mordille encore rapidement la lèvre, la tension devient quelque peu palpable entre nous, et j’aime, j’aime cet avant, j’aime sentir monter le désir dans nos corps. Et elle aussi apparemment, car elle décroise soudain légèrement ses jambes en me regardant d’une manière délicieusement provocatrice, assez pour me permettre de voir sa peau au-delà de ses bas. Là ça devient presque douloureux, le désir monte toujours, poussé par l’alcool, par nous qui nous sentons vivants, libres dans cette atmosphère festive. La musique en fait danser quelques-uns sur la toute petite piste, mais à vrai dire, on s’en fout, nous sommes dans notre bulle et voulons y rester.
Au troisième verre, j’ose masser subtilement sa cuisse avec ma main toujours posée dessus, le contact avec son corps me transcende, elle pose sa main par-dessus la mienne et c’est à ce moment-là que j’approche mes lèvres des siennes et nos bouches se trouvent. Nos langues se rencontrent, tournent l’une autour de l’autre, notre respiration s’accélère, sa main est plus ferme sur la mienne, personne ne fait attention à nous, je monte ma main un peu plus haut sur sa cuisse, ses cuisses qu’elle ouvre un tout petit peu plus, je sens l’élastique de ses bas sous mes doigts, puis sa peau, la lisière de son string...
Nos bouches se dévorent, notre baiser au mojito devient plus enflammé, sa main posée quitte la mienne et se pose le gonflement de mon jean, au niveau de mon gland, elle fait glisser ses doigts sur le tissu, me donnant des piqûres aiguës de plaisir. Mes doigts vont jusqu’à son sexe par-dessus son string, je ne peux pas aller plus loin à moins qu’elle n’ouvre grand ses jambes, ce qui ne serait pas très discret à cet endroit. Je remarque d’ailleurs qu’un serveur nous observe, amusé, je délaisse sa bouche, reprend une posture plus convenable, Sophie me sourit, je lis dans ses yeux le désir, elle doit lire dans le mien un désir encore plus fou.
— Et si nous rentrions ?— Oui bel Alain, emmène-moi.— Tu me flattes Sophie, gare à toi !
Je règle l’addition, le serveur me souhaite une bonne fin de soirée avec un sourire entendu, nous nous habillons et sortons. L’air un peu plus frais qu’à l’arrivée nous saisit, je la prends par la taille et nous déambulons dans la rue vers ma voiture garée à 400 mètres.
— C’est une belle soirée Sophie, merci.— De rien Alain, le plaisir de te connaître enfin est largement partagé.— Tu sais quoi ? J’ai aimé t’embrasser tout à l’heure.— Moi aussi beau mâle, dit-elle en me souriant.
Sa façon de me parler a un effet puissant sur moi, je sens mon sexe redevenir dur alors qu’il s’était assoupi, elle a un truc, nous avons un effet l’un sur l’autre, quelque chose d’impalpable, de subtil, mais de vif. J’imagine la baiser tout en marchant, je dessine ses seins dans mon esprit, la suite de la nuit n’est qu’une évidence.
J’ouvre la porte à l’aide de la télécommande quelques mètres avant d’arriver à la hauteur de ma voiture, nous montons, je mets le contact, me tourne vers elle, m’avance et l’embrasse, elle ne se fait pas prier, elle passe sa main derrière ma nuque pour appuyer notre baiser, ma langue renoue avec la sienne avec un goût plus nature de nos bouches, je pose ma main sur sa cuisse, l’enserre tout en jouant avec sa langue, sa respiration devient moins régulière, elle pousse des soupirs, elle s’agrippe à ma nuque, je monte ma main sur sa cuisse, la caresse, arrive en haut de ses bas, elle ouvre un peu les jambes, sa main laisse ma nuque et passe sous ma chemise, le contact de sa main sur mon ventre puis mon torse m’électrise, elle caresse ma peau avec avidité, avec fermeté trahissant son envie de moi, je caresse ses cuisses au-dessus de ses bas, son sexe au travers du string avec la bonne surprise de la sentir humide sur mes doigts et je me redresse d’un coup.
— Ne restons pas là, on va chez moi.— Pfffoooo, tu aimes vraiment jouer toi, ce n’est pas possible ! Tu m’embrasses, me caresses partout et me laisses en plan ! Et elle éclate de rire.— J’aime jouer, mais j’ai encore plus envie de toi.
Je démarre, je ne m’inquiète pas trop pour le taux d’alcool, il a dû redescendre, glisse suffisamment, je conduis plus nerveusement, mon sexe reste dur, j’ai hâte de faire les 25 kilomètres qui nous sépare de chez moi. Elle se tourne vers moi pendant que je conduis, je pose à nouveau ma main sur sa cuisse, avoir une voiture automatique, c’est pratique. Elle me caresse le visage, vient m’embrasser quand nous sommes à l’arrêt à cause d’un feu rouge, je monte ma main sur son sexe alors qu’elle a ouvert ostensiblement les jambes, écarte son string et mets mon doigt dans sa fente mouillée, je me délecte de le faire glisser dedans. A côté, Sophie s’est remise contre son siège, jambes ouvertes et pousse de petits soupirs, ôte son string en le faisant glisser en bas de jambes, elle déboutonne le haut de sa robe, j’entrevois ses seins, elle écarte les pans du haut de sa robe pour les libérer du tissu, les enserre dans ses mains en me laissant la masturber.
Heureusement, il y a peu de circulation à cette heure-ci, et j’en profite à un nouveau feu rouge où je me penche vers elle, l’embrasse d’un baiser fougueux, qu’elle me rend au centuple, tout en caressant enfin ses beaux seins lourds puis ma bouche va sur ses seins, je suce l’un de ses seins en l’enfermant de ma main tandis qu’elle fait glisser fiévreusement sa main dans mes cheveux...
Moment de pure extase pour nos sens. Le feu repasse au vert, je repars, excité au plus haut point, bandant comme un taureau, je repose ma main sur sa chatte mouillée, mais elle se penche vers moi, plus exactement vers mon bas-ventre alors que nous sortons de la ville et prenons une départementale, elle défait ma ceinture, je rentre le ventre pour l’aider, elle dégrafe mon jean, y parvient et sors ma queue dure.
— Hmmmmm, tu n’as pas mis de sous-vêtements, j’adore mon bel Alain.
Elle caresse mon sexe lentement et le prend dans sa bouche, commence à me sucer presque tout de suite. L’effet de sa bouche chaude sur mon sexe en feu me fait suffoquer de plaisir, je dois faire un effort surhumain pour me contenir et ne pas jouir dans sa bouche. Je dois réduire ma vitesse sinon on va finir dans le fossé, elle fait tourner langoureusement sa langue autour de mon gland, puis prend mon sexe dans sa bouche, le suce, je ne sais plus où je suis. Je parviens malgré tout à garder le cap avec ma voiture, à quelques 50 kilomètres-heure, vérifie qu’il n’y a personne ni près ni loin. J’ai remis ma main contre sa fente, mon doigt dans sa chatte, elle soupèse mes couilles délicatement tout en me suçant, orgie de sensations d’extase, je perçois l’envie qu’elle a de baiser dans chacun de ses mouvements, se contorsionne à cause de mon doigt qui va-et-vient en elle, instant où plus rien n’existe d’autre que nous.
Elle se relève au bout de quelques minutes, vient m’embrasser, là ça devient dangereux et me dit :
— J’ai envie de toi bel Alain, besoin que tu me baises maintenant.— Je n’en peux plus non plus, c’est trop loin chez moi.
L’état d’urgence ! J’accélère, ouvre grand les yeux et cherche un chemin, quelque chose et au bout d’une vingtaine de secondes, je vois l’entrée d’un chemin dans lequel je m’engage rapidement, fais 200 mètres et abrite la voiture derrière une grande haie d’arbres. Là, nous nous déchaînons l’un sur l’autre, nos bouches se plaquent l’une sur l’autre, nos lèvres se lèchent, nos langues se déchaînent, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse fiévreusement, je caresse ses seins, les suce, surtout les bouts, ce qui la fait gémir, mets deux doigts dans sa fente, la masturbe alors qu’elle saisit ma queue dure et me branle avec douceur, mais envie...
— Attends chérie, je viens avec toi.
Je passe par-dessus la console centrale en ayant repoussé son siège au maximum en arrière auparavant, me mets à genoux entre ses jambes devant son siège et viens mordre ses cuisses par-dessus les bas puis les fais descendre pour mordiller sa peau, dans l’entrejambe, là où la peau est tendre et douce... Je fais descendre le dossier de son siège électrique, elle se laisse aller contre, passe ses mains dans mes cheveux, pousse des soupirs de plaisir sous mes morsures, sa petite et jolie toison brune visible grâce à la faible lueur de la lune m’attire irrémédiablement, je dépose des baisers sur les morsures puis ma langue serpente jusqu’à sa fente trempée de son jus, que je goûte en passant le bout de ma langue sur son clitoris, ce qui lui exhorte des spasmes plus violents, elle m’excite terriblement, je pose enfin complètement ma bouche sur sa chatte, la suce à grande bouche, la lèche, elle ouvre un peu plus les jambes...
Ses mains tirent mes cheveux, elle est prise dans un tourbillon de plaisir, je savoure son jus, sens l’odeur de son sexe, j’ai le goût de son jus dans toute ma bouche, mon sexe me fait mal, envie de jouir. Je me redresse, elle comprend, me dit de venir.
Je finis d’ouvrir mon jean, elle ouvre ses jambes pour que je me glisse entre ses cuisses, enlève ma chemise, ouvre complètement sa robe et m’allonge contre elle, mon torse contre ses seins. De sentir mon corps contre le sien, ma peau contre la sienne déclenche un plaisir sourd terriblement présent, indescriptible, délice de chair.
Elle m’embrasse frénétiquement, nos langues dansent, se touchent, je sens sa main glisser sur mes fesses pour descendre mon jean un peu plus, zone très sensible.Je bande comme un taureau, mon sexe contre le sien, mon gland contre sa vulve mouillée
— Ohhh oui baise-moi beau mâle, baise-moi fort.
Alors d’un mouvement de rein, je me glisse en elle, vais au fond de sa chatte et c’est un torrent d’extase qui s’empare de nous, moi de sentir ma queue dans sa fente trempée et brulante et elle sentir ma queue dure dans ses entrailles. Nos corps semblent se comprendre parfaitement, tout est fluide, alchimique, intense, très intense !Je vais et viens entre ses cuisses, me retiens à chaque instant, elle s’accroche à mes fesses, me tire vers elle pour que je la baise plus fort, je vais et viens lentement en elle, profondément, nous respirons fort.
— J’aime ta chatte Sophie, c’est booooon.— Oui mon beau mâle, j’aime comme tu me baises, encore, encore.
En réponse, elle ouvre encore un peu plus ses cuisses, signe corporel qu’elle désire me prendre plus fort en elle. Je me mets en appui sur mes bras, m’écarte et me cambre en avant pour sucer ses beaux seins, les mordiller... Elle caresse mon torse, referme ses mains dessus. Je reviens contre elle, elle passe ses bras autour de mes épaules, me serre, elle respire de plus en plus fort, je sais qu’elle est déchirée par l’envie de jouir, moi aussi, je suis en feu, mon jus est bouillant dans mes couilles, mon sexe est luisant de son jus, un délice charnel puissant, je l’embrasse,
— Oooohhhh Alain, mets-moi encore des coups de queue, me dit-elle dans un demi-souffle, presque hagarde.
Electrisé par ses mots, je passe mes mains sous son cul pour la tirer à moi, aller tout au fond d’elle, sa chatte suce littéralement ma queue dure, là aussi parfait accord de nos sexes, mais la tension est trop explosive, le désir trop violent.
— Alaiiinnn, viens, viens en moi, donne-moi ton jus, tout » sa voix est suave, à peine audible, transcendante.— Oui ma Sophie, je vais jouir dans ta fente, ta chatte, — Hmmmmmm oui viiiiiennsss dit-elle, les cuisses complètement ouvertes pour que je décharge en elle.
Sa Respiration explose, elle plaque soudain une de ses mains sur mon cul pour prendre tout mon jus dans sa belle chatte de femme. L’effet de sa main sur mon cul ajouté au délice sublime du glissement de ma queue dans sa fente trempée me fait jouir, mon jus bouillant gicle littéralement dans ses entrailles, je me vide totalement entre ses cuisses, nous jouissons violemment, intensément, poussons ensembles un long râle de libération, que c’est bon de décharger en elle !!!Je sens sa main se relâcher mes fesses, je me redresse un peu, la regarde et l’embrasse tendrement, mon sexe encore dans le sien, elle et moi baignés dans l’odeur enivrante de notre luxure.Nous restons un moment enlacés à contempler la lune.
— Ma chère Sophie, je pense que nous allons nous revoir souvent.— Je le crains mon bel Alain. Viens, on finit la nuit chez moi.
D’accord. Nous nous sourions.
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