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Une bien agréable fin de soirée

Chapitre 2

Hétéro
Je n’ai pas revu Annabelle ce soir-là ni le lendemain. J’étais un peu étonné qu’elle ne cherche pas à me parler puis j’ai compris ce qu’elle devait avoir en tête: elle avait fait le premier pas (et quel premier pas !) alors c’était à mon tour de lui montrer mon attirance et mon intérêt.
J’ai fait livrer chez elle un énorme bouquet de roses rouges, blanches et nacrées avec une invitation en guise de mot de d’accompagnement. "Accepterais-tu de m’accompagner pour dîner à la table de Jeanne vendredi prochain".
Je lui proposais le meilleur restaurant de la ville, tout juste lauréat de sa troisième étoile au guide à la couverture rouge. Elle me répondit par sms le soir même."Les fleurs sont superbes et j’accepte ton invitation avec plaisir".
Les trois jours suivants je lui fis livrer des bouquets également pour qu’elle ait une pensée pour moi le soir en rentrant chez elle. C’était horriblement vieux jeu mais ce n’était pas pour me déplaire de mon montrer sous ce jour.
Quand le vendredi arriva enfin, je trouvais Annabelle superbe en la voyant rejoindre ma table. Je brisais la glace en lui disant qu’elle m’avait séduit lors de la fête du personnel, qu’elle avait été ce que tout homme rêve d’avoir alors qu’à mon tour j’allais être celui qu’elle méritait. J’allais lui faire la cour respectueusement comme il se devait; Cela prendrait du temps avant que je ne pose mes mains de nouveau mes mains sur elle: si elle était d’accord j’allais la choyer comme un diamant. Nous sortirions, il y aurait des cadeaux, des attentions et pourquoi pas des poèmes.
Elle n’en croyait pas ses oreilles. Elle a soufflé d’un air coquin:".... et si j’ai envie de toi dès ce soir ?".
Je lui ai souri avant de poser mes lèvres sur le revers de sa main.— "Profites-en; Prenons notre temps... Je vais te traiter comme un princesse".
Ses yeux brillaient et elle n’était pas loin de pleurer quand j’ai lu sur ces lèvres "Merci".
Le repas fut plus détendu après que j’aie dévoilé mes intentions. Nous nous racontions nos vies, nos voyages et quelques anecdotes du bureau même si nous tentions le plus possible d’éviter de parler du travail.
Ce soir-là comme les suivants nous nous quittâmes sagement, je me voulus le parfait prétendant: galanterie, élégance, cadeaux et autres attentions étaient mes leitmotiv. Annabelle resplendissait, elle se prêtait à ce jeu de bonne grâce, trop heureuse d’être devenue la huitième merveille du monde. J’attendis le sixième rendez-vous pour l’embrasser: elle se laissa faire avec gourmandise mais j’en restais au stade du baiser encore une semaine.
Le dernier soir quand je quittais ses lèvres devant son immeuble, elle retint ma langue pour mimer une fellation quelques secondes. Ce fut divinement érotique et l’envie d’enfin la cueillir fut incroyablement difficile à repousser. Celle qui était devenue ma petite amie me murmura à l’oreille:
— "Je n’en peux plus. J’ai trop envie de toi".
Je lui soufflais que l’attente prendrait fin le lendemain après que nous ayons dîné chez moi.
Elle arriva à dix-neuf heures trente, elle s’était faite toute belle. Je cuisinais pour elle puis enfin nous nous laissâmes aller. Je lui fis de long de préliminaires jusqu’à la faire jouir du contact de ma langue sur son bourgeon et la repoussais quand elle voulut en faire de même. Je résistais aussi à l’envie trop masculine de malaxer ses fesses et ses seins et je lui fis l’amour avec douceur d’abord en missionnaire puis dans la position de la cuillère. Je lui provoquais un second orgasme sans cesser de la serrer contre moi. Je voulais que jusqu’à ce moment tout soit à l’inverse du début de notre relation: j’avais privilégié ses envies et son plaisir plus que les miens et j’en tirais une satisfaction qui même moi m’étonnait.Apres un rapide passage à la salle de main, nous restâmes blottis l’un contre l’autre jusqu’à nous endormir.
Annabelle me réveilla le matin suivant en m’embrassant sur le torse et elle me souffla à l’oreille:— "Merci pour ce que tu viens de me faire vivre ces trois dernières semaines. Je n’espérais plus connaitre ça. C’était comme j’en rêvais étant gamine... je suis folle de toi".
C’était une déclaration adorable. Je l’ai serré dans mes bras, moi aussi j’étais vraiment bien avec elle.— "Tu as toujours ta soirée foot avec tes amis ce soir ? Ça fini à quelle heure ?"— "Le match fini à vingt-trois heures. On fait ça ici mais ils partiront rapidement après".— "J’arriverai vers vingt-trois heures trente alors et je te remercierai d’avoir été aussi parfait avec moi".
Elle est partie s’habiller en me faisant un signe de la main et en roulant ses hanches avec élégance.
Le soir, je ne fus pas très attentif au match de league de champions que je regardais avec trois amis. Nous descendîmes tout de même plusieurs bières chacun en appréciant de nous retrouver ensembles. Tous partirent rapidement après le coup de sifflet final: nous étions au milieu de la semaine et tout le monde travaillait le lendemain.
Annabelle a toqué à ma porte comme elle me l’avait promis et après un tendre baiser, elle m’a demandé de m’installer dans le canapé et de la laisser ranger le salon. Elle m’a soufflé à l’oreille: "Ce soir, c’est moi qui te fais plaisir".
Elle a filé dans la chambre pour en ressortir deux minutes plus tard vêtue d’une nuisette très courte, d’une culotte à volants et de bas opaques qui se terminaient sur ses jolies cuisses par des volants également. L’ensemble était noir et violet, mon Annabelle aurait fait bander un mort.
Elle a commencé à ranger le salon et la cuisine en déambulant avec féminité. Elle se penchait plus que nécessaire et se mettait à quatre pattes pour ramasser les capsules tombées au sol. C’était délicieux de la voir en rajouter juste pour me plaire.Quand elle eut fini, elle vint s’asseoir sur mes cuisses le dos contre mon torse. J’avais déjà une érection complète et elle en profita pour langoureusement onduler es fesses sur moi. Elle s’appuya plus franchement contre moi avant d’ôter les bretelles de sa nuisette et ainsi libérer ses deux lobes imposants.
Elle prit mes mains pour les placer sous ses seins puis elle me souffla à l’oreille:— "Tu les as à peine touchés, tu voulais être un gentleman... mais je suis sûre que tu en envie... alors... touche moi, tripote moi, joue avec mes seins comme si tu n’avais rien à faire de ce que je peux penser".
Elle a poussé un gémissement coquin pour m’encourager puis un second quand elle a senti que je commençais à faire glisser mes doigts sur sa peau.— "Prends tout le temps que tu veux".
L’invitation était charmante, j’ai pressé et caressé ses formes comme j’en avais rêvé. Parfois je dessinais les contours de sa poitrine avec la pointe de mon index puis je frottais ses seins l’un contre l’autre. Je me laissais aller comme Annabelle m’y avait autorisé et je la caressais en n’ayant en tête que mon propre plaisir.
Elle soufflait avec érotisme pour parfaire ce moment et elle gémit un "oui" pour que je comprenne que tout m’était permis lorsque je saisis ses pointes et commençais à les tirer.
Je me mis en tête de faire ce que je n’avais jamais osé avec une autre: j’étirais ses jolis tétons, je les pressais et je les pinçais jusqu’à ce que ma partenaire pousse des petits cris implorants.Elle m’encourageait tout de même à continuer consciente des pulsions qu’une poitrine comme la sienne provoque chez n’importe quel mâle normalement constitué.— "Pense à tous les types au bureau qui ont eu envie de me faire ce que tu es en train de faire…"
J’ai tiré plus fort les tétons de la prétentieuse qui gémissait sur mes cuisses; C’était fabuleux mais j’avais envie de plus. Annabelle l’a compris et elle a soufflé à mon oreille: "J’ai envie que tu baises mes seins".
Elle était vraiment parfaite.
Elle s’est installée assise dans le fauteuil à ma place et je suis venu face à elle pour caler ma verge au centre de sa poitrine mais Annabelle m’a arrêté.— "Ça ne va pas marcher comme ça"
Elle s’est contorsionnée pour amener son visage à hauteur de mon sexe et elle s’est mise à le lécher sur toute la longueur en bavant abondement en même temps. C’était divin, autant de sentir cette caresse que de la voir faire. Elle a continué ainsi une minute puis elle a repris sa place au fonds du fauteuil.
Elle a laissé un filet de salive couler entre ses seins puis elle m’a envoyé un signe de tête pour m’inviter à approcher. J’ai positionné ma queue largement lubrifiée entre ses lobes et elle les pressés avant de lentement commencer à imprimer un mouvement de bas en haut.
J’ai cru que je n’allais tenir que quelques secondes tant c’était bon: la fermeté de sa poitrine, le contact humide de nos peaux, le glissement sur la longueur complète de ma tige ainsi que son sourire coquin me faisaient fondre.
Je l’ai laissé faire longtemps puis j’ai placé mes mains à la place des siennes pour moi-même serrer ses seins autour de ma queue et me masturber de leur douceur. — "Aussi longtemps que tu voudras. J’adore que tu sois comme ça contre moi".
J’ai continué ainsi jusqu’à sentir mon plaisir égoïste commencer à bouillir. Je me suis alors libéré du charmant fourreau qui m’avait donné tant de plaisir et j’ai regardé les lèvres d’Annabelle avec envie. Elle a vite compris mon idée et elle a fermé les yeux puis entrouvert les lèvres.
J’avais plusieurs fois rêvé du plaisir que j’avais eu à me sentir entièrement dans sa bouche lors de notre premier moment intime un mois plus tôt alors j’ai craqué: j’ai placé ma main derrière sa tête et en trois vas et viens j’ai investi sa cavité buccale en totalité.
Annabelle ne s’y attendait pas, elle a d’abord paniqué mais rapidement j’ai senti ses mains agripper mes fesses: elle ne me repoussait pas, bien au contraire. J’ai baisé sa bouche sans ménagement en butant contre ses lèvres retroussées à chaque poussé. C’était incroyable mais cela ne dura finalement que quelques secondes.
Je m’extirpais au dernier moment pour éjaculer sur les lèvres, le menton et les seins de ma partenaire. Cela avait été divin mais j’avais pété les plombs et je m’en excusais immédiatement. Annabelle en rigolait:-"C’est exactement ce que je voulais: que tu te laisses aller et que tu t’éclates. Ne t’excuses pas, c’était génial de te sentir avoir autant de plaisir grâce à moi".
Nous sommes allé nous coucher rapidement ensuite, ma petite amie portait toujours ses dessous affriolants et nous n’avons pas résisté à l’envie de refaire l’amour, plus calmement et surtout pour son plaisir à elle, une demi-heure plus tard.
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