Jean Louis prit congé de Charline le lendemain matin après lui avoir fait l’amour une deuxième fois juste avant la douche. — Tu reviendras me voir hein?— Promis! Quand je suis dans le coin, je dors chez toi...— Chez moi et...avec moi! Il avait franchi le pas et, finalement assumait complètement de tromper sa femme qui, de toute façon, se refusait à lui. Dès lors, à chaque déplacement, il répondait favorablement aux sollicitations de la gent féminine quand d’ailleurs ce n’était pas lui qui sollicitait. Il fit même une expérience inédite pour lui. Lors de la visite d’une usine, un repas était organisé avec le gérant et une bonne partie de l’équipe de direction. Il présidait la table, entouré de deux charmantes secrétaires, visiblement assez frivoles...L’entrée à peine terminée, chacune des deux a posé une main sur chacun des genoux. Il trouve la situation cocasse et assez excitante. Il décide de laisser faire...Les mains remontent, remontent et finissent par se retrouver en même temps sur sa braguette! Les deux friponnes sursautent, se regardent et éclatent de rire. — Vous arrivez ex-aequo Mesdemoiselles! ricane Jean Louis. La conversation étant par ailleurs particulièrement animée, personne d’autre ne se rend compte de ce qu’il s’est passé. Le repas continue ainsi sans autre incident.Après le café, le gérant propose de finir la soirée en boîte. Jean Louis décline la proposition prétextant d’une grande fatigue et d’une longue route à faire le lendemain. Les deux secrétaires déclinent également. L’une d’elles propose à Jean Louis: — On peut vous déposer à votre hôtel si vous voulez...— Bien volontiers! Quelques minutes plus tard, ils arrivent à l’hôtel. L’homme propose: — Vous accepterez bien de prendre un verre dans ma chambre? La conductrice demande à sa collègue:
— Tu crois que c’est raisonnable Muriel?— Pas du tout Corinne...c’est pourquoi il faut y aller! Toutes les deux éclatent de rire. Ils arrivent dans la suite luxueuse. Jean Louis sort une bouteille de champagne et sert trois coupes. Tout en œuvrant, il leur dit: — Vous pouvez vous mettre à l’aise les filles...— Volontiers, il fait si chaud ici! Quand il se retourne, il constate que les deux copines ont fait mieux que se mettre à l’aise: elles sont en porte-jarretelles et bas, totalement impudiques, les mains sur les hanches, les jambes un peu écartées. Elles défient du regard Jean Louis. Celui-ci sourit et, l’air de rien propose: — Asseyons nous sur le lit! Ils trinquent tous les trois puis Jean Louis reprend la parole: — Vous aviez l’air de chercher quelque chose sous la table pendant le repas?— Oui ça! répond Corinne. Les mains des deux femmes se posent de nouveau sur la braguette enflée. — Et on a trouvé! conclut Muriel. Il ne faut pas longtemps aux deux secrétaires pour extirper le membre bien dur de leur patron. Les voilà maintenant qui lèchent la bite et les couilles de notre homme. Ensuite, elles le sucent à tour de rôle. Jean Louis se dit que ces deux là sont coutumières du fait. — Vous avez une superbe pine patron! constate Muriel tandis que Corinne continue à pomper.— Merci mais comment ne pas bander devant deux magnifiques femmes comme vous!— Vous allez nous baiser patron? La question était superflue! Jean Louis, en grande forme va limer les deux chaudasses à tour de rôle les faisant reluire à plusieurs reprises. Les deux femmes savent y faire, elles sont visiblement expérimentées. Il finit par leur arroser le visage avec son sperme... Au petit matin, les deux secrétaires prennent congé de leur patron. Il leur promet de demander au gérant qu’il leur accorde une promotion... C’est le week-end et Jean Louis va retrouver le domicile conjugal sans grand plaisir. La perspective de passer deux jours avec son épouse frigide ne l’enchante guère. Il se gare devant chez lui et sort de la voiture quand une voix féminine l’interpelle: — Bonjour! Il se retourne et avise une belle blonde aux yeux bleus, un sourire séducteur affiché. — Je suis votre nouvelle voisine! Je me suis déjà présentée à votre épouse, je m’appelle Marie Paule!— Eh bien enchanté Marie Paule moi c’est Jean Louis. Vous êtes charmante!— Oh merci! Il salue son épouse et lui annonce qu’il a fait connaissance de la voisine. — Ah! Elle a mauvais genre!— Ah?— Oui viens voir... Elle l’emmène dans le jardin. Dans celui de le voisine, une lessive est accrochée. Une lessive de sous vêtements tous plus coquins les uns que les autres: des porte-jarretelles, des guêpières, des bas résilles, des culottes fendues... — Tu as vu ça?—...— Et puis elle a déjà reçu deux hommes depuis le début de la semaine, pas le même à chaque fois. Comment une femme seule peut se payer une telle maison? Elle se prostitue, c’est une poule de luxe! Jean Louis ne répond rien. Lui les mœurs de la voisine ne le choquent pas...au contraire! Il se dit qu’avoir une femme facile comme voisine va agrémenter sa vie...Le samedi, il fait un grand beau temps et il constate qu’elle prend un bain de soleil en bikini ce qui lui permet d’admirer les formes de la belle blonde...Celle-ci croise son regard et, manifestement, ça ne lui déplaît pas d’être ainsi reluquée... Le dimanche, comme à son habitude, Nicole se rend à la messe. Ca fait longtemps que Jean Louis a renoncé à cet exercice. Il se dit que l’occasion rêvée d’approcher cette charmante voisine...Il se rend dans le jardin. Il fait encore plus chaud que la veille et, comme la veille, Marie Paule se fait bronzer en bikini. Elle est sur le ventre et, accoudée sur le transat, lit un livre.Le bikini est très osé (surtout pour l’époque): un string ficelle retenu par une ficelle sur la hanche et un soutien-gorge qui ne cache pas grand-chose de ses gros seins. Il détaille du regard le fessier ferme et les seins en position de chute...Après un moment, elle se sent observée et tourne la tête vers Jean Louis. — Bonjour voisin, vous admirez le paysage? Le ton est chaleureux, elle ne semble pas du tout choquée mais plutôt flattée. Il franchit le petit muret qui sépare les deux jardins et répond: — Oui, il est vallonné, avec des courbes harmonieuses...— Oh vraiment? Elle s’est retournée sur le dos, ses seins tendent le tissu. Les tétons pointent, trahissant une certaine excitation... — Votre femme n’est pas là?— Elle est à la messe...— Oui évidemment...Elle n’a pas l’air commode dites-donc?— Ah ça, c’est pas drôle tous les jours... Jean-Louis porte un short. Il a un début d’érection qui tend un peu le tissu. Marie Paule regarde tranquillement son entre-jambe. Lui ne cherche pas à masquer son érection. — Et au lit, ça doit pas être terrible non plus? Décidemment, la conversation prend un tour scabreux. Manifestement la belle blonde est partante pour un moment intime. Jean Louis répond: — Alors là, c’est le calme plat...— Oh mon pauvre! Si je peux rendre service? En disant cela, elle effleure la braguette du short. — C’est fort aimable de votre part!— C’est normal voyons entre voisins... Elle débraguette son interlocuteur, la grosse bite jaillit à l’horizontale. — Oh quel calibre! Elle le saisit à pleine main. Tout en le regardant dans les yeux, elle approche ses lèvres du gland...
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