Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 95 J'aime
  • 0 Commentaire

Une bonne alchimie

Chapitre 2

Hétéro
Il est bientôt l’heure.
Je me prépare pour rejoindre la boîte de nuit de la ville afin de retrouver mon inconnue.Je prends une douche puis je regarde, perplexe, ma valise, et je remarque que je n’ai pas pris d’affaires adéquates à une boîte de nuit.Je décide d’aller toquer à la chambre de mon pote.
J’entends juste un « Entrez ».
Je rentre et je le regarde, il est affalé dans son lit avec un pot de crème glacée.
Je ne dis rien et je me contente de lui faire un sourire moqueur jusqu’à ce qu’il brise le silence.
— Quoi ?
Tout en commençant à fouiller dans ses affaires sans son accord, je lui dis :
— Je sors, j’ai besoin d’habits à me mettre.— Cool, me répondit-il avant de reprendre une grosse cuillère de crème.
Je sors pratiquement toutes ses affaires de son sac jusqu’à ce que je trouve une chemise noire basique taille M.
— Parfait, dis-je.
Avant de sortir de la chambre, je me retourne pour croiser le regard perdu de mon pote et lui sors :
— Si tu continues comme ça, tu finiras ta vie seul avec tes sept chats et chiens comme ta tante.— Cool, j’aurai au moins de la compagnie qui sera contente de me voir le soir en rentrant du taffe.
Et en plus de sa réponse, il me fait un doigt d’honneur.
Un léger rictus se fait voir sur mon visage puis je quitte sa chambre afin de finir de me préparer.
J’enfile la chemise noire que je ne ferme pas totalement et je retrousse les manches jusqu’aux trois quarts de mes avant-bras, je mets un jean noir et j’enfile une paire de chaussures de ville noires.
Un dernier regard au miroir et je m’en vais.

Je rentre sans problème dans la boîte de nuit et je commence à scanner toutes les personnes présentes afin de retrouver mon inconnue.
Je me dirige vers le bar quand je la vois assise au bar, seule avec un verre à la main. Elle porte un haut à dos nu doré avec une jupe noire qui lui arrive juste au-dessus des genoux. Elle a fait un chignon avec ses cheveux, avec juste deux mèches qui descendent de part et d’autre de son front.
Je me fraie un chemin jusqu’à elle lorsqu’au dernier moment, un gars se pose juste à côté d’elle et commence à lui sortir des phrases d’accroches vaseuses.
J’arrive à l’entendre et la fille n’est pas du tout réceptive, c’est limite si elle l’entend à peine.Le gars est lourd et ne s’avoue pas vaincu, il lui propose un verre qu’elle répond sèchement qu’elle en a déjà un.
C’est à ce moment que j’interviens tel un sauveur, je pose ma main dans son bas du dos et je réplique :
— Excuse moi chérie, je suis en retard, il y avait des embouteillages.
Son regard s’illumine en me voyant et elle me répond :
— C’est pas trop tôt. Avant de me faire un bisou sensuel sur ma joue.
Elle se lève et me prend par la main pour m’emmener sur la piste de danse et au dernier moment, je me retourne vers le gars qui est resté au bar désabusé, il est toujours en train de nous regarder, je lui fais juste un hochement d’épaule avant de rejoindre ma belle.
On commence à danser, elle se déhanche parfaitement au son de la musique avant de se retourner et de plaquer ses fesses parfaitement mises en valeur par sa jupe contre mon entrejambe. Pendant plusieurs minutes, nos corps ne font qu’un. Mon corps suit son déhanchement, mes mains sont posées sur ses hanches et ma tête est au-dessus de son épaule, elle ressent chaque souffle dans son cou, ce qui la fait frémir de plus en plus.
Quant à moi, cette danse commence à me chauffer de plus en plus, et mon membre gonfle de plus en plus et elle est obligée de le sentir, mais elle n’arrête tout de même pas sa danse, au contraire, ses mouvements sont de plus en plus explicites.
À la fin de la musique, elle me prend par la main et m’emmène hors de la boîte. Nos têtes se rapprochent mutuellement et nos bouches se scellent, nos langues se confondent pendant plusieurs secondes, nos corps sont collés, ses deux bras entourent ma tête pendant qu’une de mes mains la tient par sa nuque et l’autre est sur sa hanche.
On se regarde intensément puis elle me prend par la main et m’emmène dans sa chambre d’hôtel qui se trouve à l’autre bout de la rue.
Arrivé à sa chambre, elle me retire ma chemise avant de me pousser sur le lit. On s’embrasse encore un peu, je lui retire son haut dévoilant sa paire de seins bien fermes qui surplombe son ventre plat dessiné. Je lui malaxe les seins un court instant avant qu’elle ne me repousse sur le lit, elle descend de tout mon corps quand elle arrive à ma bosse. Elle me retire d’abord mon jean avant de me retirer mon caleçon où mon pénis surgit devant elle. Elle écarquille les yeux devant mon sexe. Il mesure un peu plus de vingt centimètres et a une bonne largeur.
Elle lèche toute la longueur de ma hampe avant de suçoter mon gland. Elle est extrêmement douée, une de ses mains me malaxe les couilles pendant que l’autre me branle et suit les mouvements de sa bouche. Elle commence à descendre plus bas et essaie de me faire une gorge profonde qu’elle arrive avec mon aide. Une de mes mains tient sa tête et l’aide à avaler tout mon membre jusqu’à ce qu’elle atteigne mon pubis avec ses lèvres et son nez.
Je ne me rappelle pas d’une pipe aussi bien réalisée. Tandis que sa gorge profonde va de plus en plus vite, ses doigts massent mon périnée et effleurent mon anus, améliorant mon excitation et faisant gonfler davantage ma verge.
À ce moment, plus aucun doute, c’est la meilleure fellation de toute ma vie.
Son doigt masse ma prostate et décuple mes sensations. Je vais exploser et dans un brin de lucidité, je la préviens :
— Je... je... je vais jouir...
Elle accélère la succion et serre ses lèvres sur ma colonne de chair, et j’éjacule au plus profond de sa gorge plusieurs jets en hurlant de plaisir, mon orgasme a atteint un niveau de plaisir que je n’ai jamais ressenti. Elle laisse ressortir ma verge de sa bouche et pas une goutte de sperme n’apparaît, elle a tout avalé.
Elle se relève, retire son chignon et laisse ses cheveux retomber sur ses épaules tout en me regardant avec un sourire aux lèvres avant de m’embrasser.
Je la prends par les hanches et je la retourne sur le lit. Je retire sa jupe et son string.
À moi d’honorer sa fellation en lui prodiguant, j’espère, le meilleur cunni de sa vie.
Je commence mes coups de langue directement. Et tout de suite, je la sens réceptive. Je tourne et retourne ma langue dans son intimité, elle lâche plusieurs gémissements :
— Oh, c’est bon... continue comme ça... oui ! Encore !
Tout en la fixant, je me mets à lécher son clito et ça la fait crier de bonheur, elle est trempée, son jus coule abondamment, j’insère un doigt puis deux dans son vagin pendant que mon pouce masse sa rondelle, elle se tortille. Pendant qu’une de ses mains passe sur son visage et que l’autre pince son téton, elle sombre dans la jouissance. Elle crie de plaisir et jouit à son tour, pendant que ma langue tourbillonne sur son clito, mes doigts jouent avec son point G et mon pouce flatte son anus.
Après avoir repris ses esprits, elle se relève, m’allonge sur le dos, se positionne sur moi et insère mon membre qui a repris sa taille initiale, dans son vagin, et elle commence à se déhancher. Je la regarde prendre du plaisir sur mon pieu pendant que je lui masse la poitrine. Elle prend très vite son plaisir et jouit.
Je la mets à quatre pattes et je m’insère à nouveau en elle sans aucun problème, elle écarte à fond ses cuisses et se cambre le plus possible, ce qui me permet d’avoir une sublime vue de son fessier.
Je me mets à la pilonner de toutes mes forces pendant que mon pouce continua à masser sa rondelle. Elle crie de plaisir de manière continue.
Je sens que je vais bientôt jouir et qu’elle aussi, je décide de la relever et avec mon coude, je l’attrape par la gorge pendant que mon autre main attrape un de ses seins. Je la pilonne encore un peu jusqu’à ce que je sente sa paroi vaginale se resserrer à nouveau sur mon membre, alors je donne un dernier coup de boutoir qui lui donne raison, elle jouit et en même temps je lâche plusieurs jets dans son intérieur.
On s’allonge sur le lit, entrelacés, essoufflés et couverts de sueur. Et on tombe dans les bras de Morphée.
Le lendemain, en me réveillant, je suis seul dans la chambre, et je remarque un bout de papier sur la table de nuit avec écrit :
— Merci pour cette nuit incroyable.
Je souris, prends mes affaires puis sors de la chambre.
Diffuse en direct !
Regarder son live