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Une bonne, qui m’offre sa patronne, sous les yeux du patron…

Chapitre 2

Une patronne aussi bonne que sa bonne….

Avec plusieurs femmes
Il faut préciser que cette histoire s’est déroulée depuis des années dans un pays du tiers-monde, où le sexe avec autre que le conjoint légal est strictement interdit. Ceci en théorie... La nature est autre... Pratique sans limites, et transgression des tabous... Tous les fantasmes sont permis...Avant de raconter cette histoire, je me permets de préciser qu’elle est librement inspirée de ce que m’a raconté un ami, originaire de ce pays. Sans que je ne puisse certifier la part du réel, ou de l’apport du fantasme...
Les pierres sont réelles... Le mur est éphémère...
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Elle pose le combiné, me regarde, et me demande avec un sourire malicieux :
— Je lui dis combien ?— La vérité... 21 centimètres...— Je laisse un peu temps, et je dirai que je t’ai demandé de prendre un bain...
On s’embrasse tendrement. Elle me dit :
— Je sens mon liquide sur tes lèvres :— Ça te plaît ?— Pas mal... Même, j’adore.
J’introduis mes doigts dans son sexe mouillé, et je les fais porter dans sa bouche :
— Mmmmmmmmmmm... Plus que délicieux...— Téléphone à ta patronne.— OK...
Elle fait un appel à sa patronne, qui répond :

— Oui, quelle taille ?— 21 centimètres...— Non, tu divagues...— En tout cas, plus que le double décimètre, que j’ai dans le tiroir de ma table de nuit...
Un silence pèse sur le lieu :
— Patronne, si tu veux, viens avec nous...— Il t’écoute en ce moment ?— Non... Je lui ai demandé de prendre un bain... — Merci pour l’invitation... Mais un homme avec deux femmes... Jamais, je ne ferai ça.— Qui te parle de sexe... Je suis folle de baiser avec lui... Mais je ne veux pas qu’il comprenne que je suis tellement en manque... — ...— Je dois me garder un prestige, et ne pas donner l’image de la femme qui n’a que lui pour la baiser.— Tu as raison...— Viens, on va manger, discuter, et même, on va prendre notre temps, toi et moi pour discuter de banalités...— Ah...— J’aime le voir excité, lui avant moi... Mourir d’envie de baiser, sans pouvoir s’exprimer.— Ah... Dans ce cas, je viens...
Elle pose le combiné, très souriante. Puis se dirige vers mon sexe, et me suce un peu, puis sursaute :
— Vite dans la salle de bain... Prends ton temps... Elle doit mourir d’impatience...
Elle me dirige vers la salle de bain. Je commence à me déshabiller. Elle me rapporte un cap de bain blanc...
— Tu le portes sans rien dessous en sortant...

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Sous l’eau, j’ai entendu frapper à la porte, et des voix qui discutent ... Je décide de mettre encore cinq minutes pour sortir. J’utilise toutes les serviettes pour me sécher. Je mets le cap de bain, et je sors.Je vois une femme d’âge mûr, très classe, 1,70 m, 65 kilos, 90C. Aussi, une peau très claire et des cheveux d’un noir total. Elle porte une robe moulante, qui met en valeur son corps. Peut-être, sans rien dessous, à moins un soutien-gorge léger, et string fin...Elle se lève à mon arrivée. La bonne fait la présentation...
— Mille excuses, je n’ai pas de rechanges... Et j’ai horreur en sortant du bain de remettre les mêmes habits... Je suis dans l’obligation de porter ce cap de bain.— Sois à ton aise... Personnellement, ça ne me dérange guère...— Merci.
Assis, je me place face à elle. Je suis certain qu’elle a compris mon geste, et prend une position assez négligée. La bonne prend place à mes côtés...
— Puisque tu vas revenir souvent, pourquoi ne pas apporter des vêtements, et les laisser ici ?
La bonne marque un temps d’arrêt, puis dit :
— Ainsi, tu ne seras plus obligé de porter de cap de bain...— Vous êtes tous les deux obsédés par ce cap. Il lui va très bien. Je le trouve charmant avec.— Mais madame, il ne cache presque rien...
Un silence pèse sur le lieu, et un échange de regards, et la bonne ajoute :
— Il peut s’ouvrir et tout montrer.
Sa patronne paraît plus qu’excité, et répond :
— On ne va pas mourir toi et moi, devant un homme nu... On n’est plus deux novices...
On rit tous les trois, et la patronne ajoute en regardant la bonne :
— Après tout, c’est ton homme. Et si ça te plaît de le montrer nu, la décision te revient.— Madame, si je comprends bien, le voir nu ne te dérange pas ??— En aucun cas... Peut-être, il va me plaire... Qui sait ? ... Je le trouve bel homme...
La bonne se lève, se dirige vers moi, je comprends et je me lève. D’un geste rapide, elle ôte le cap. Me voilà à poil, et sujet d’un jeu subtil, et objet d’une confrontation qui s’annonce tendue...Sans regarder sa patronne, la bonne me dit :
— Je pense que tu es à l’aise maintenant ?— Ouiiiii...— Tu me plais... Même, tu m’excites...
Elle reprend sa place à côté de moi... Un grand sourire, embrasse ma main. Puis se dirige la patronne :
— Je pense que madame n’est pas choquée ???
La patronne semble revenir d’un autre monde... Elle fixe mon sexe et semble sous l’effet d’une magie inconnue...
— Choquée non... Au contraire... Cacher cette beauté constitue un crime grave...
Elle se ressaisit, et s’adresse à la bonne :
— Si j’étais à ta place, je m’offrirais avec lui tous les plaisirs du monde.— Madame, pourquoi ce « si j’étais à ta place »...
Les deux femmes se regardent dans les yeux profondément :
— Viens prendre ma place.
La patronne est plus qu’étonnée. La bonne lui tend la main, et lui dit :
— Pourquoi ne pas inverser les rôles... Je deviens la patronne ???
Le silence est total :
— Tu deviens la bonne...
La patronne répond fermement :
— Je serai folle de rater une telle offre.
La patronne tient la main de sa bonne. Les deux se mettent debout, et échangent de places. Assise à côté de moi, la patronne fixe mon sexe à l’image d’une lionne affamée devant une jeune gazelle. La lionne à côté de moi commence par faire bouger sa main, et la glisse sur ma cuisse.
— Attends, avant d’aller plus loin...
Je lève la main de la patronne et je dis d’un ton ferme :
— Les bonnes, je les veux soumises qui ne refusent jamais rien.
La bonne me sourit du fond du cœur. La patronne dit :
— J’ai rêvé toute ma vie de jouer ce rôle...
Elle se dirige vers moi, et me dit :
— J’adore jouer ce rôle, mais à une seule et unique condition.— Laquelle ?— Ne jamais demander mon avis. Si on me laisse le choix, je me bloque et je quitte.— ...— OK ?— OK...— Je suis à vous. Et tant je suis satisfaite, je jouerai ce rôle sans jamais me lasser. Ici ou dans la vie courante.
Elle se tourne vers la bonne :
— De ce jour, tu peux m’humilier en public.
Puis s’adresse à moi :
— Si besoin d’une fellation dans un lieu public, je ne vais pas hésiter.
Elle me regarde dans les yeux et dit :
— J’ai compris dès les premiers mots au téléphone que vous avez élaboré un stratagème pour me baiser. J’ai accepté de plein gré...
Elle met sa main sur ma cuisse et ajoute dans le même sens :
— La connaissant peu intelligente, et ne connaissant rien au stratagème, j’ai décidé de passer à l’action et vous provoquer, si je sentais l’utilité... J’ai décidé de porter une robe sexy, sans rien dessous, et de l’enlever sans dire un mot, au moment opportun. Heureusement, vous avez pris l’initiative...
Elle marque un temps d’arrêt, puis ajoute :
— Elle (en s’adressant à la bonne) sait que mon mari est impuissant. Ceci est une partie de la vérité... Il est devenu impuissant, des années avant de faire chambre à part. Au début, je me contentais de me masturber, en l’écoutant me raconter comment il aime me baiser. Puis il a viré vers le candaulisme. Exprimant son souhait de voir des hommes me baiser. Au début, j’ai pris la chose pour un simple fantasme, mais ai commencé à insister pour qu’on passe à l’acte.
Elle manque un temps d’arrêt, respire et ajoute :
— Il a tellement insisté que je lui ai promis de chercher un homme pour ça. Je n’ai jamais eu le courage de passer à l’acte avant ce soir...
Elle me regarde dans les yeux, et me dit tendrement :
— Si tu veux me réconcilier avec mon mari... Il sera voyeur et serviteur, je serai la plus épanouie des femmes. En tous les cas, je serai la chienne docile à la demande...— J’aime bien un couple candauliste... Il fera partie de notre groupe, mais pas maintenant...— OK, dernière chose avant de conclure...— Quoi ? — Je ferai tout par plaisir. Sauf me faire baiser par un autre homme que toi. Si ordre, je le ferai sans refuser, mais j’aurai mal.— Je n’ai jamais fait ça.— Alors que la fête commence. Quels sont les ordres ?
La bonne vient m’embrasser, avec des larmes aux yeux. Je l’embrasse plus fort encore. Et j’ordonne à la patronne :
— Salope, embrasse les pieds de ta maîtresse...— A vos ordres.
La patronne se baisse et commence à lécher les savates de la bonne avec un sérieux apparent... Du salon, j’ordonne le passage vers le lit, les deux femmes obéissent. J’ordonne à la patronne de déshabiller la bonne, elle exécute l’ordre.
Nue, la bonne m’embrasse tendrement, me chuchote à l’oreille de la baiser et qu’elle est fortement mouillée. Je la place sur le dos, et je prends la patronne par les cheveux, elle suit mon geste, et je pose sa tête sur le sexe de la bonne. Sans aucun ordre, elle se lance dans un cunni qui pousse la bénéficiaire à gémir fortement. La bonne me regarde dans les yeux, comme pour me dire de ne pas oublier la pénétration.
Je me couche à côté d’elle, et je la mets sur le côté. Elle obéit et la bouche de la patronne suit le mouvement. Mon sexe passe derrière ses fesses. La bonne lève son pied supérieur pour m’offrir son sexe. La pénétration se fait très doucement. Je m’immobilise à fond.
La bonne commence à gémir, de quoi m’inciter à partir dans un va-et-vient, qui s’accentue au rythme de ses gémissements. Elle se caresse les seins, touche la tête de la patronne, et se met à l’insulter... La vibration augmente au gré des insultes. Les deux m’excitent. Je sens monter en moi le plaisir, qui arrive à l’explosion au moment de l’arrêt des insultes. La bonne se crispe. D’une main, elle me bloque, de l’autre, elle maintient la tête de la suceuse. Nous restons immobiles...
— Waww... Un plaisir énorme...
Elle me caresse l’épaule.
— Epanouie ?— Oui, j’aime recevoir ce plaisir tous les jours.
La bonne commence à bouger :
— Ne bouge pas...
Je me dirige vers la patronne :
— Tout doit aller dans ton estomac...
Quelques minutes après, la bonne tape sur la tête de sa suceuse, et lui dit :
— Ça va ? Tu as tout vidé ?— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...— Je me lève...
Elle se dirige vers moi, me serre tendrement :
— On prend une douche ensemble ?— Avant de prendre cette douche, j’ai besoin de toi.— A tes ordres...
Je me dirige vers la patronne :
— Dis-moi...— Oui maître...— Ton cocu est ici ?— Oui, dans sa chambre à visionner des cassettes X, fidèle à ses habitudes...
Je me dirige vers la bonne :
— Tu vas mettre la tenue la plus transparente possible.— Oui...— Tu montes chez son cocu, pour lui dire que sa femme veut qu’il vienne ici.
Je me tourne vers la patronne :
— Prépare-toi pour une levrette. Il doit nous voir en plein acte...
Elle saute de joie. La bonne paraît sceptique :
— Je n’ose pas... Je le respecte trop.— Salope, je t’ai donné un ordre... Tu exécutes ?
La bonne paraît plus qu’étonnée :
— Je t’ai dit de lui dire de venir, pas plus...
La patronne ajoute :
— Si, nous deux, on assume qu’il nous trouve en levrette... — OK, comme vous voulez.
La patronne commence à enlever sa robe, je la stoppe en disant :
— Tu vas seulement la lever... Tu dois paraître la plus salope devant lui...
Elle lève sa robe à découvrir ses seins... Et adopte la position demandée...
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Soudain, on frappe à la porte. La patronne, tout en recevant un pilonnage de mon sexe, tellement excitée de prendre cette position cochonne devant son mari, dit :
— Entre...
La porte s’ouvre, et je vois la bonne en premier. Ensuite apparaît un homme qui appelle la patronne par son prénom, pousse la bonne, et entre dans la chambre. Je vois un homme élégant, avec une barbe fine, pas très grand, portant une robe de chambre. Il est sidéré dans le vrai sens du mot :
— Waw salope... Tu as osé ???
Je lui réponds avec violence :
— Un cocu n’a pas le droit d’appeler sa femme « salope »... Compris ???
Il paraît plus qu’étonné, et dit :
— Oui... Oui... J’ai compris...— On l’appelle « Ma Reine »...— OK...— Viens ici...
Il arrive au bord du lit :
— Tu vas lécher mon sperme sur ta femme.— Je suis hétéro.
La patronne lui dit :
— Ecoute cocu... Je suis devenue salope pour te plaire. Alors sois le cocu que je veux.— OK.— Deux : il t’a ordonné de lécher, et non pas si tu es hétéro ou homo.
Le pilonnage a trop duré... Je me retiens pour ne pas jouir en même temps qu’elle. Satisfaite, je la pousse sur le lit, et je lance mon jet sur son dos :
— Cocu, ne laisse rien, nettoyage total...— OK...
Tandis que le mari cocu se penche sur sa femme, qui me dit :
— Maître, je peux faire une demande ?— Oui...— Je pense que mon sexe a besoin de nettoyage, aussi...
D’un clin d’œil, j’ordonne à la bonne d’accomplir la tâche... Elle se dirige vers la patronne, et se met à genoux entre ses cuisses...
— Maître, je ne peux pas la sucer dans cette position...
Le cocu a fini le nettoyage... La patronne change de position, et se met sur le dos, lève ses jambes au maximum... La bonne fonce entre ses cuisses comme une lionne affamée.
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Sous la douche, je sens la porte s’ouvrir... Mes deux femmes entrent ensemble. Elles me serrent tendrement, et paraissent un peu troublées... Je ferme le robinet...
— Accouchez... Vous avez quelque chose à dire.
Les deux disent « oui » de la tête, avec un large sourire.
— Je vous écoute... Mais je veux, le plus direct, et le plus clair possible...
La bonne s’exprime la première :
— Il est vrai que j’ai voulu t’offrir ma patronne, par vengeance, parce qu’elle est plus riche et plus instruite que moi, et j’ai eu un plaisir à la voir me lécher les pieds. Mais je veux être esclave comme elle... Tu as deux esclaves.
La patronne ajoute :
— En ta présence, on fera à ta guise, et selon tes ordres. Mais en ton absence, on veut de la tendresse, entre elle et moi.
La bonne précise :
— Tu as deux esclaves sans limites...— OK, et la deuxième demande ?
Les deux se regardent. La bonne se dirige vers sa patronne :
— Tu es plus instruite que moi. Tu sais mieux parler.— OK...
La patronne s’adresse à moi :
— Elle (en regardant la bonne) t’a fait entrer chez elle pour du sexe. Moi, je suis venue chez vous en recherche d’une grosse bite. Mais on sent plus que du sexe avec toi... Vraiment plus...— Alors ?
Les deux femmes se regardent, la bonne dit :
— On ne peut imaginer la vie sans toi... Tu laisseras un vide atroce.— Ce n’est pas un peu tôt pour parler de ça ?
Les deux femmes se regardent, la patronne m’annonce :
— Je peux te faire un contrat de location de la maisonnette pour dix ans, avec un reçu prouvant que tu m’as payé d’avance... Tu feras un tour demain dans la villa, et tu peux choisir la chambre qui te plaise.— J’ai déjà choisi ?— Laquelle ?— La maisonnette.— Mais...— Pas de mais...— Vous allez dormir les deux avec moi.— OK.
Les deux femmes se regardent, et éclatent de rire :
— On a un plaisir à te proposer.
La patronne me dit :
— Ecoute, j’ai une cousine lointaine, qui vient quelques fois se masturber avec nous. Elle adore les gros « engins ». Avant chaque rencontre, on lui prépare concombres et aubergines de très bonne taille. Elle se masturbe au début, puis introduit tout ce qu’on lui présente.— Vous voulez quoi ?— Que tu la baises avec nous, quelques fois.
La patronne ajoute :
— Je ne peux nier que j’ai envie de la sucer aussi.
La bonne réplique :
— Moi, encore plus...— Que dois-je répondre ?— Nous faire confiance et t’associer à notre plan.
Je hausse le ton :
— Qui vous dit qu’elle n’a pas un amant ?— Non, elle est timide d’une façon que tu ne peux pas imaginer.— Nous sommes plus que certaines qu’elle n’a personne.
J’insiste encore plus :
— Existent des femmes plus que folles en masturbation, mais n’osent jamais passer au réel.
La patronne me coupe court :
— Tu fais confiance à tes deux esclaves ?— Certainement.— Alors laisse nous faire.— OK...— Vous allez programmer cette conquête quel jour ?
La patronne me répond direct :
— Demain est dimanche, elle ne travaille pas. Je vais lui téléphoner pour une masturbation à trois... elle est toujours partante...
La bonne ajoute :
— En début d’après-midi. Tout sera prêt...
Je proteste :
— Tout est aussi simple pour vous ?— Certainement.
La bonne m’embrasse et me demande :
— Dis oui...— Tu ne vas pas le regretter...— Oui...
Elles s’embrassent toutes heureuses...J’ouvre le robinet :
— Si on prenait un bain à trois...— Prendre un bain oui, mais aussi prendre du plaisir...

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A suivre...
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