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Une branlette de papa tourne mal

Chapitre 1

Ma fille se révèle d'une grande habilité manuelle

Inceste
Bonjour. Je m’appelle Philippe, j’ai 45 ans, marié à une femme que j’aime et à laquelle j’ai toujours été fidèle, Carole.
Le matin j’aime bien en général me faire une petite branlette, alors que ma femme est déjà levée et partie pour le boulot. Je précise que je fais ça uniquement lorsqu’elle est absente car elle n’aime pas ça. C’est sans doute dû à son éducation catholique très stricte... Carole est très belle mais plutôt coincée. Nous faisons l’amour, mais assez rarement et toujours de façon assez classique, car elle n’aime pas trop les originalités sexuelles. Une fois j’ai eu le malheur de me branler en sa présence et elle a été choquée.
— Je n’aime pas que tu fasses ça.— Et pourquoi ? C’est naturel.— Je sais. Mais c’est pas très respectueux pour moi je trouve.
Je ne voyais en quoi ce n’était pas respectueux, mais quoi qu’il en soit je pris la décision de le faire uniquement quand elle n’était pas là.Ce matin là j’étais donc tranquillement en train de m’astiquer le manche, tranquillou dans mon lit. J’avais mon braquemart bien en main, bien en érection.De ma queue bien dure, quelques gouttes de liquide pré séminal avaient commencé à couler, lubrifiant mes mouvements, de façon très agréable, amplifiant encore mon plaisir et mon érection. Quel pied !
Je commençais à avoir bien envie de me laisser aller à la jouissance... Lorsque tout d’un coup j’entendis la poignée de la porte de ma chambre s’abaisser. Ma fille fit irruption dans ma chambre, en t shirt et petite culotte. Elle ouvrit les yeux en grand, visiblement surprise de trouver son papa dans cette position. Complètement affolé, je tirais le drap pour cacher mon sexe en érection.
— Amandine, t’es pas à l’école ?— Ben non il y a grève. T’avais oublié ?— Mince, j’ai complètement oublié, oui.— Dis moi papa, tu faisais quoi, là quand je suis entrée ?— Heu, mais rien, ma chérie...— Si, t’étais en train de te masturber !— Mais non, pas du tout, Amandine.— Menteur ! J’ai tout vu !
Ma petite chipie de fille me regardait avec un air narquois qui ne me disait rien de bon. A sa place je me serais éclipsée, toute honteuse d’avoir vu mon papa dans cette position. Mais Amandine eu la réaction inverse. Elle sembla réfléchir, puis avec un petit sourire elle lança :
— Papa, montre moi ! — Que je te montre quoi ? — Ce que tu faisais quand je suis entrée.
Elle indiqua l’endroit de mon bas ventre et fit un geste assez explicite qui mimait une masturbation.
— Mais enfin pourquoi tu me demandes ça ? — Comme ça. J’ai envie de voir. J’ai jamais vu faire ça !
J’étais stupéfait. Encore heureux qu’elle n’ait jamais "vu faire ça" ! Notre fille avait l’âge de faire ce qu’elle voulait (c’était une belle jeune fille de 18 ans), mais nous avions tenu à la préserver des mauvaises fréquentations, notamment des garçons qui mélangent trop vite amour et sexe. Pourtant ce matin là c’était bien ça, le sexe, qui semblait le plus l’intéresser.
— Mais enfin, ca va pas ? Je peux pas faire ça devant toi. Je suis ton père.— Et alors ? J’ai juste envie de voir. Tu vas pas faire ton coincé, comme maman ?— Amandine, il n’en est pas question. Point final ! — Si, montre moi, papa. Sinon... — Sinon quoi ? — Je vais dire à maman que tu le fais, tous les jours, et que je t’ai vu.
La petite peste ! J’adorais ma fille mais sur le moment je la détestai. Elle avait toujours été assez manipulatrice. Elle avait parfaitement compris que sa mère n’était pas du genre à rigoler avec ces choses. Ha, elle avait envie de voir ma queue ? Hé bien j’allais lui montrer ! Je rabattis mon drap, libérant mon sexe devant ses yeux stupéfaits. Elle le regarda bouche bée : elle ne pensait pas que j’allais céder si facilement à ses injonctions.Ensuite, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’était peut être stupide de ma part de faire ça, mais je repris ma queue en main et recommençai mes mouvements masturbatoires. Malgré la présence d’Amandine (ou à cause d’elle) mon sexe reprit rapidement sa taille maximale. J’évitais de trop regarder ma fille pour ne pas me déconcentrer. J’avais peur aussi de sa réaction, qu’elle soit choquée, qu’elle m’en veuille. Mais pas du tout. Elle semblait ravie.
— Papa, c’est gros quand même ! remarqua t-elle. — Tu trouves ? Tu es satisfaite comme ça ? Je peux arrêter ? — Non, continue un peu s’il te plaît.
La petite avait grimpé sur mon lit et pour mieux voir elle s’était approchée tout près. A travers son t shirt trop fin je pouvais sans peine deviner les deux tétons de ses seins qui pointaient. Et puis il y avait sa petite culotte qui était elle aussi trop fine. Dans la position où elle était, assise sur mon lit jambes repliées, je distinguais le renflement des lèvres de sa vulve. Je m’étais toujours demandé à quoi ressemblait le sexe de ma fille. Elle était blonde, ça je le savais. Mais je n’avais pas vu Amandine toute nue depuis bien des années et j’ignorais quelle était la forme de sa vulve de jeune fille. Le seul aperçu de ce qui se cachait derrière cette petite culotte m’excita et j’accélérai mes mouvements masturbatoires.
Pour sa part, Amandine ne semblait pas perturbée, bien au contraire. Plus je me branlais, plus elle était intéressée et se rapprochait de moi. Elle devait sentir que j’étais très excité. Bientôt je commençai à sérieusement perdre pied. Je n’étais pas loin de jouir.
— Papa, tu as envie de gicler ?— Hein ?— Oui, si tu as envie de jouir, vas y. J’aimerais bien voir ça.— Amandine, je ne peux pas.— Allez, papa, s’il te plaît...
Je regardais Amandine de plus en plus stupéfait. Je ne pouvais quand même pas faire ça devant ma propre fille ! Même si j’en avais très envie. J’eu alors le malheur de reposer le regard sur son entre jambe. La coquine avait encore écarté les jambes, volontairement sans doute, et je constatai qu’une des lèvres de son sexe était presque visible sur le côté de la culotte, trop lâche. Quelques poils blonds dépassaient même de la culotte.
J’imaginai alors le reste de sa petite vulve. Cette pensée me fit perdre toute maîtrise. Et... trop tard... Je sentis une vague de plaisir m’envahir. Tout mon bas ventre se contracta et un jet de sperme chaud jaillit de mon sexe. Le liquide blanchâtre retomba sur mes doigts.
Il y eu encore quelques contractions et quelques giclées de sperme... J’en avais partout. Je laissai mon foutre s’étaler sur ma main, mon ventre.Amandine, les yeux grands écarquillés, était visiblement impressionnée. Sans doute en effet était ce la première fois qu’elle voyait ça, et même si c’est elle qui me l’avait demandé, je pense qu’elle était surprise que j’accepte d’aller jusque là. Elle était attentive, regardant mon sperme couler, aussi ravie qu’amusée.
Je pris alors un kleenex sur la table de nuit dans l’intention de me nettoyer, lorsqu’Amandine interrompit mon geste. Elle attrapa le kleenex et commença à me nettoyer elle même.
— Laisse moi faire papa, je suis meilleure que toi pour le ménage. Houlala ! Il y en a beaucoup, papa !— Oui, pas mal...
Elle passa plusieurs kleenex pour éponger le foutre étalé sur mon bas ventre, mes cuisses. Elle faisait ça avec un petit air mi dégoutée mi fascinée, c’était incroyable. Encore une fois je me sentis terriblement coupable de la laisser faire. C’était indigne d’un papa. Mais je ne trouvais pas la force de la rabrouer. Lorsqu’elle eu fini de me nettoyer, elle posa son doigt sur un mouchoir trempé et recueillit un peu du liquide blanc.
— Ça colle, c’est bizarre...
J’étais stupéfait, incapable de réagir. Comment avais je pu la laisser me regarder me masturber, et comment pouvais je la laisser toucher mon sperme de la sorte ? Une vague de culpabilité m’inonda. J’étais un père horrible, pensais je. Heureusement Amandine ne sembla pas m’en tenir rigueur. Elle se pencha vers moi et m’embrassa.
— Merci papa. C’était très instructif ! Et assez joli...
Elle sortit de la chambre, toute contente, tortillant abusivement de son petit cul.
Le soir, lorsque Carole revint du boulot, je dois avouer que je n’étais pas très à l’aise. Elle ne sembla pas remarquer ma gêne, mais comment aurait elle pu se douter de ce qui s’était passé ? Amandine était impeccable de nonchalance, calme et détendue, comme à son habitude. Elle était juste habillée d’une petite jupe un peu trop courte. C’était pour moi, évidemment. Elle était souriante, comme si rien n’était. J’en vins presque à me demander si les événements du matin n’avaient pas été qu’un mauvais rêve...
Le lendemain matin, cependant alors que je n’étais pas encore réveillé, j’entendis la porte de ma chambre s’ouvrir... C’était Amandine.

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— Bonjour papa, il est temps de te réveiller !
Amandine entra, avec un plateau à la main. Elle le posa sur la table de chevet à côté du lit et alla ouvrir les rideaux. La lumière matinale inonda la pièce.Ma chère fille était habillée d’une petite robe très mignonne, plutôt légère, et de basquettes blanches à la mode. A 18 ans elle était magnifique. Elle qui la veille m’avait regardé en train de me masturber semblait complètement détendue.
— Je t’ai amené un bon petit déjeuner, mon papa !
Je regardai le plateau à côté de moi. Il y avait du pain, de la confiture, un jus de fruit, du café. Tout ce que j’aimais.
— Merci ma chérie, c’est très gentil...
Amandine s’assit sur le coin du lit, toute souriante, et me regarda boire mon café. Encore une fois je ne pus que constater à quel point elle était belle, avec ses jolis cheveux blonds et ses petits seins qui pointaient à travers le fin tissu de sa robe. Une fois que j’eu mangé, Amandine récupéra le plateau sans tarder et vint se rasseoir sur le lit.
— Papa, et si on recommençait comme hier.
Je m’étranglai.
— Co... comment ?— Hé bien tu sors ta queue et tu te fais plaisir.
Je n’en revenais pas.
— Mais enfin Amandine, je ne vais pas faire ça tous les jours !— Hier tu l’as fait pourtant...Et j’aimerais que tu recommences. Si tu veux je peux t’aider.— Comment ça ?
Sans un mot Amandine releva sa robe et l’enleva. Par dessous elle ne portait qu’une petite culotte, pas de soutien gorge. Ses petits seins étaient superbes. Leur forme était parfaite, deux jolies petites pommes toutes fraîches, avec ses deux petits tétons roses qui pointaient fièrement.
— Alors ? Ca te plaît ? Ça devrait te motiver, non ? Allez à ton tour, montre moi !
Elle s’approcha alors de moi et tira sur le drap. J’étais en caleçon par dessous.
— Allez papa. Enlève ça. Ça ne me gêne pas tu sais, de te voir. Au contraire, c’est sympa !— Amandine, on va arrêter ça tout de suite. Je suis désolé pour hier, mais on ne va pas recommencer. — Papa, c’est trop tard. Sinon je dis à maman ce qui s’est passé. Elle ne va pas aimer à mon avis.
La petite peste ! Je n’en revenais pas. Du chantage, à nouveau ! Comment pouvait elle me faire ça, à moi son père ?
Sans même me laisser le temps de réfléchir elle entreprit alors de me retirer le fameux caleçon. Je dus avouer ma faiblesse : je la laissai faire. Ce n’est pas très digne de la part d’un papa, mais après tout c’est elle qui me faisait du chantage ! Alors tant pis pour elle... Je me retrouvai le sexe à l’air libre. J’étais déjà en érection et Amandine me regarda avec fascination.
— C’est vraiment beau, papa. Je peux toucher ?— Mais, non Amandine, c’est pas une bonne idée, ça. Allez, s’il te plaît, laisse moi tranquille, retourne dans ta chambre.— Non papa ! Et si je te montre ma minette, tu me laisses toucher ?
Là encore j’étais éberlué. Quel culot elle avait ! Je me demandais si elle n’était pas juste en train de me provoquer. Elle me fixait avec un petit sourire d’effrontée qui m’exaspérait. Alors, comme j’hésitais, ni une ni deux, elle leva les fesses, fit glisser sa petite culotte sur ses chevilles. Elle la fit passer sur ses basquettes, et la retira entièrement. Assise sur le lit, jambes écartées vers moi, elle exhiba très fièrement sa petite chatte. Elle était poilue, des poils blonds très fins, et des lèvres rosées, bien visibles, plutôt charnues.
— Et voilà, on est à égalité maintenant. Tu aimes ?
J’étais stupéfait. Je n’avais plus vu sa petite fente depuis qu’elle était enfant, et je devais avouer que maintenant c’était une vraie chatte de jeune fille, bien fendue, très appétissante.
— Mais enfin Amandine, pourquoi tu fais tout ça ?— Parce que ça m’amuse ! Allez, maintenant que je t’ai laissé voir ma minette, laisse moi toucher ton truc.
Je ne répondis rien. Les yeux rivés sur son bas ventre, j’étais complètement sous le charme. Profitant de mon état de sidération elle s’avança et saisi ma queue à pleines main.
— Ouahou ! C’est grave doux !
Elle commença des mouvements masturbatoire, imitant les gestes qu’elle m’avait vu faire la veille. Et moi je la regardais, stupéfait. La petite peste se débrouillait sacrément bien. Contrairement à sa mère il était évident qu’elle aimait ça. Ses mains étaient d’une douceur exceptionnelle. Je bandais de plus en plus dur, c’était presque insupportable tellement c’était bon.
— Papa, papa, regarde, une petite goutte !
Elle recueillit cette goutte de liquide pré séminal avec le doigt, et le posa sur sa langue.
— Mmmh, c’est bon, un peu salé...Il va y avoir d’autres gouttes si je mets ton truc dans ma bouche, papa ?— Dans ta bouche ? Amandine, non, ne fais pas ça, s’il te plait !— Ho arrête, papa, ne fais pas ton timoré ! C’est juste pour goûter.
Décidemment, Amandine aurait toujours le dernier mot. Sans plus me laisser le temps de protester elle s’avança encore et mit ma queue dans sa bouche. Elle commença alors une lente fellation, très appliquée.J’étais médusé, persuadé qu’il s’agissait d’un mauvais rêve. Comment mon enfant, ma petite chérie d’amour pouvait elle faire ça ? Mais non, Amandine était bien là, et suçait ma bite comme s’il s’agissait d’une grosse sucette, "slurp ! slurp !", d’abord avec douceur, lenteur. Puis de temps en temps elle envoya des petits coups de langue coquins.Elle s’enhardit alors, accélérant son rythme, enfournant ma queue entière dans sa bouche. Elle mouillait beaucoup, y mettait beaucoup de salive. Pour une première fois, c’était absolument délicieux. Je me demandai d’où elle tirait ce savoir faire.
— C’est bon papa ? Tu aimes ça ? Je continue ?
Mais ma chère fille n’attendit pas de réponse de ma part. Elle semblait se régaler de ma queue, jouait avec, la suçait, la léchait, la dégustait avec un mélange de gourmandise et de curiosité. Et moi aussi j’étais aux anges, excité comme un fou. Lorsqu’une petite chipie vous fait ce genre de gâterie, tout en exhibant sa petite minette blonde de jeune fille en fleur, que voulez vous faire ?
— Papa c’est vraiment très bon ! Je ne comprends pas pourquoi maman n’aime pas ça... Tu sais quoi ? Quand tu auras envie, j’aimerais que tu te laisses aller dans ma bouche. — Hein ? Comment ça ? — Hé bien laisse toi aller à jouir dans ma bouche. J’ai envie de sentir ton jus chaud ! — Mais je ne peux pas faire ça comme ça Amandine. — Pourquoi ? Hier tu l’as bien fait, ça aussi. — Oui mais c’était hier. Et c’était pas dans ta bouche. — Ha ? Et qu’est ce que ça change, ma main ou ma bouche ? — C’est pas pareil Amandine. Tu vas en avoir partout. C’est dégueulasse ! — Ça ne va pas être dégueulasse puisque ça vient de toi, mon papa chéri !
Elle me regarda en souriant, et profitant de mon trouble elle remit ma queue dans sa bouche pour me sucer de plus belle.
Je n’en pouvais plus. Après tout pourquoi pas ? Certes c’était ma petite fille, que j’avais vu naître et grandir, mais là c’était une belle jeune fille qui s’avérait être très cochonne. Et je ne lui avais rien demandé après tout, elle était majeure et vaccinée depuis plusieurs mois déjà.
C’est là qu’elle me porta le coup de grâce.
Je ne sais pas comment elle eu l’idée de faire ça, peut être l’avait elle vu dans des vidéos sur internet, mais elle mouilla un de ses doigts et le mit à l’entrée de mon anus. Là elle poussa un peu et le rentra à l’intérieur. J’adorai ça ! Il était clair que jamais sa mère ne m’aurait fait ça, et pourtant c’était mon pêcher mignon. Son doigt dans mon cul était délicieux.
Alors je lâchai prise. Avec délice j’explosai. Un énorme jet de sperme jaillit dans la bouche d’Amandine. Elle ne s’arrêta pas pour autant de me sucer, laissant ma jouissance s’épanouir, dans un orgasme qui dura plusieurs dizaines de secondes. Elle garda ma queue dans la bouche jusqu’au bout, ne lâchant pas une goutte de sperme.
Une fois l’orage passé elle se redressa, et s’essuya la bouche, toute contente.
— Alors, tu vois papa, ça s’est bien passé ! — Amandine, tu as... tout avalé ???? — Ben oui papa, pourquoi ? J’allais pas gâcher tout ce bon jus. J’ai adoré ! C’est chaud, et j’aime bien le goût que ça a !
C’était dingue. Ma petite fille de 18 ans qui pratiquait la première fellation de sa vie, avait avalé tout mon sperme. Même sa mère, à presque 50 ans n’avait jamais fait ça.
— Merci mon papa ! Bon allez, j’y vais, j’ai bientôt cours, moi !
Elle attrapa sa culotte, la remit devant moi, sans bien sûr omettre de bien me montrer sa petite fente une dernière fois, rabattit sa robe et se leva. Elle posa un baiser sur ma tête.
— Allez, bonne journée mon papa !
Et elle s’en alla...
Inutile de dire combien ma journée fut perturbée par ce qui s’était passé. J’y repensais toute la journée, partagé entre étonnement et honte. Et je dois dire excitation aussi... Au boulot, entre deux rendez vous, je cédai même à la tentation d’aller me masturber aux toilettes. L’image du sexe d’Amandine s’imposa à moi tout de suite. J’étais excité comme un fou, et à nouveau ma jouissance fut intense. 
Le soir Amandine était gaie et insouciante, comme à son habitude, comme s’il ne s’était rien passé. Je m’efforçai de ne pas trop la regarder, de ne pas trop penser à sa minette, à son petit cul trop bien moulé dans un jean trop serré.
Le lendemain matin, Carole devait partir encore plus tôt que d’habitude, vers 7h du matin. J’appréhendais la suite. Amandine allait elle encore venir torturer mon esprit par sa douce présence ?
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