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Une branlette de papa tourne mal

Chapitre 2

Inceste
Il était 7h30 du matin, Carole, ma femme, venait de partir, elle commençait assez tôt à travailler, ce jour là. 
Toute nue dans son lit, Amandine avait entendu la porte de la maison se refermer. Elle avait le champs libre. 

Sans prendre le temps de s’habiller, elle sortit alors de sa chambre et se dirigea vers la mienne. Sans faire de bruit, elle grimpa sur mon lit. Elle ouvrit les draps, se glissa dessous, et se colla tout contre moi, comme elle faisait lorsqu’elle était petite.

Mais Amandine n’était plus petite. C’était même une belle plante de 18 ans, une jolie blonde d’un mètre soixante cinq, qui avait tous les attributs physiques pour exciter son papa... et elle le savait.

— Papa, tu ne dors pas ?
— Mmmh hein ? Heu, non ...
— Tu le fais pas aujourd’hui ?
— Quoi, ma chérie ?
— Hé bien comme tu fais d’habitude, te masturber. Tu aimes bien faire ça, le matin, en général...

C’était exactement ce que j’appréhendais. Depuis qu’elle m’avait surpris dans cette délicate position, en train de me masturber un matin dans mon lit, elle semblait ne penser qu’à ça. Elle avait aimé me regarder en train de me donner du plaisir et j’avais eu le tort de lui obéir, le refaire devant elle. Et elle avait voulu participer aussi, de belle façon, puisqu’elle était allée jusqu’à me sucer... Depuis ce jour, elle ne me lâchait plus. Elle disait que c’était intéressant... Depuis quand les jeunes filles trouvent t-elle la masturbation de leur papa "intéressante"?

— Amandine, non, j’en ai marre de faire des quatre volontés, il faut arrêter tout ça. Je suis ton père, pas ton petit copain. Ce n’est pas normal que je fasse ça devant toi.
— Allez papa, ne sois pas si coincé. Et puis si tu refuses de le faire je raconte à maman que tu me montres ta queue, et que tu te masturbes devant moi. Et je lui dirai aussi que tu me forces à prendre ton pénis dans ma bouche pour le sucer.
— Mais c’est n’importe quoi, Amandine ! Ce serait un gros mensonge, c’est toi qui a voulu faire ça, et c’est toi qui m’a forcé à me masturber devant toi ! Et quand tu m’as sucé, au début je ne voulais pas ! Je ne t’ai jamais forcée à quoi que ce soit !
— Je sais papa. Mais maman te croira pas. Et toi tu passeras pour un vieux pervers, et peut être même qu’elle demandera la divorce ! Et là fini les matinées où tu n’as rien d’autre à faire que te branler dans ton lit tranquillement, mon pauvre papa...
Amandine pouvait être méchante parfois. Il ne fallait pas me laisser faire. 
— Petite salope ! Ne t’avise pas de faire ça !
— Sinon ?... Allez papa, excuse moi. Je ne veux pas me fâcher avec toi. Mais soit gentil. C’est pas très difficile après tout, non ? Pour une fois que c’est une fille qui demande ce genre de choses à son papa... Je parie que tu as des tas de copains qui rêveraient de faire ça avec leur fille.

Elle n’avait pas tort. J’avais plusieurs copains, dont certains avaient des filles de l’âge d’Amandine, et qui m’avaient avoué avoir souvent fantasmé sur leurs petits culs, leurs petits seins et leurs jolies minettes. Mais aucun d’eux n’avait eu le courage de passer à l’acte. Ils n’avaient pas non plus eu la chance que ce soit elles qui viennent les chercher, les poursuivre de leurs exigences sexuelles, ces coquines.

Est ce que je devais me plaindre du fait que ma fille me demande tout ça ?

— J’ai une idée papa. Si on se faisait un peu plaisir, chacun de notre côté.
— Pardon ?

Elle se leva brusquement et alla ouvrir les rideaux. Une douce lumière inonda la pièce. Amandine revint s’asseoir sur le lit, exhibant sans pudeur son petit corps nu. Elle se positionna en face de moi, jambes écartées, sa minette bien en évidence. Comme d’habitude j’étais subjugué. Que c’était beau ! Sa chatte était plutôt poilue, avec des longs et doux poils blonds. Au milieu, entre ses grandes lèvres, dépassaient des ravissantes petites lèvres rosées. Amandine glissa un doigt au milieu.

— Papa, on pourrait se masturber ensemble, tous les deux. J’en ai bien envie ce matin.

Je restai bouche bée, stupéfait.

Elle commença à se caresser, passant ses doigts entre les lèvres de son sexe, vers son clitoris. Elle remuait à cet endroit, avec des va et vient réguliers. Après un moment de ce traitement, elle glissa un doigt dans son vagin.

— Mmh c’est bon... Je suis déjà toute mouillée. Allez, à toi papa ... Je veux que tu le fasses aussi, en même temps que moi.

Quel culot ! Quel genre de père serais-je pour céder aussi facilement aux exigences de sa coquine de fille ?
Mais hélas avec son petit chantage, elle me tenait par les couilles (pour l’instant au sens figuré, mais bientôt au sens propre)...
Alors, d’une main, sans cesser de la regarder, je sortis ma queue. Il faut dire que j’étais déjà excité, et que même si je ne voulais pas l’avouer, au fond de moi ça me plaisait bien d’exhiber mon sexe devant les yeux de ma fille...

Amandine ouvrit des yeux ronds et afficha un petit sourire coquin.
Je me mis à mon tour à me masturber. Bien entendu l’effet recherché fut vite atteint : ma queue se mit à grossir, durcir dans sa main. Mon érection devint vite conséquente.
En même temps, Amandine continuait a se caresser, excitant son petit berlingot avec ses doigts. C’était très étonnant comme situation. Un père et sa fille, assis face à face, en train de se masturber ensemble, s’excitant mutuellement, se régalant de la vision du sexe de l’autre.

Amandine poussa quelques gémissements de plaisir.

— Mmmh c’est bon, n’est ce pas, papa ?
— Heu oui.
— Il est bien gros, ton truc là, papa. Il est beau. Il me donne envie. Tu es excité ?

Evidemment que j’étais excité ! Mon gros braquemart bien dans la main, je ne pouvais nier. Je faisais des mouvements de va et vient délicieux. Quelques gouttes de liquides pré séminal vinrent lubrifier très agréablement ma masturbation.
Amandine sembla satisfaite que j’apprécie le spectacle. Elle rentra ses doigts dans sa chatte, les ressortit, plusieurs fois, avec délice. Le sexe de ma petite fille était gorgé d’un liquide blanc. Cette cyprine ne laissait aucun doute sur son excitation.

— Attends papa, je me rapproche un peu.

Elle déplaça alors son basin vers moi, entre croisa ses jambes avec les miennes. Dans cette position sa minette était tout proche, à quelques centimètres tout juste de ma queue, devenue énorme.

Amandine se rapprocha encore, enleva sa main et laissa sa vulve venir au contact de ma queue. Je sentis ses poils et le doux contact des lèvres de son sexe.

— Amandine, non, ne te frotte pas contre moi comme ça. C’est dangereux !
— Pourquoi dangereux ? C’est cool plutôt ! Moi j’aime bien sentir ta queue contre ma minette.

Elle se mit alors à se frotter de plus belle à mon membre, imprimant des mouvements de haut en bas à son bassin. Dans cette position ma queue glissait de tout son long entre les lèvres de son sexe, venait stimuler son clitoris. Et Amandine, toute excitée par cette sensation, poussait avec son bassin pour bien se coller contre moi, qu’il y ait le maximum de points de contact.
J’étais aussi paniqué qu’excité. Ce frottement avec le sexe de ma fille était délicieux.

Amandine ne savait pas à quoi elle s’exposait. Ou peut être qu’elle le savait trop. Car plusieurs fois mon gland menaça de pénétrer sa petite foufoune.

— C’est agréable ça, papa. C’est super. Pour toi aussi c’est bon ?
— C’est bon, oui, mais c’est pas raisonnable Amandine.
— Allez détends toi papa. On ne fait rien de mal. C’est juste une façon de se caresser l’un l’autre.

Mais évidemment je savais que les choses n’allaient pas en rester là. Il fallait être idiot pour ne pas comprendre que lorsqu’une jeune fille de son age fait ce genre de choses, commence à frotter son petit minou contre votre grosse queue, la situation va vite dégénérer.

Elle orienta son bassin perpendiculairement à moi et se leva doucement, se mit en position juste au moi, au dessus de ma queue, sa vulve au contact de mon gland.

— Amandine, non ! Pas ça...

Mais la petite coquine ne m’écoutait plus. Elle était bien au dessus de moi.

— Papa, j’ai envie !

Elle se rassit sur moi, doucement. D’une main elle orienta ma queue là où elle avait envie de l’amener, vers l’entrée de sa chatte. Une fois les lèvres de la vulve passées, ma queue commença à pénétrer son vagin. C’était plutôt étroit, et la pénétration difficile. Mais bientôt le vagin se détendit doucement, laissant un passage de plus en plus large. Ma queue pénétra peu à peu dans l’intimité de ma petite chipie de fille.

C’était terrible ! Quel père indigne je faisais ! J’étais en train de baiser ma propre fille ! Et même si c’était Amandine qui dirigeait les opérations, le résultat était le même...
J’avais des remords, certes, mais c’était tellement délicieux ! Ma queue était maintenant entièrement rentrée au fond de son vagin.
Amandine complètement assise sur moi, ne bougeait pas, me regardait avec des yeux ronds, toute étonnée de la sensation, nouvelle pour elle, de sentir un membre d’homme au fond d’elle. Le sexe de son père qui plus est.

— C’est gros, papa ! Je le sens bien, ça fait bizarre !
— Ha, ça te fait mal ?
— Non pas du tout ! C’est bon au contraire !

Alors elle ferma les yeux à moitié et commença à bouger lentement sur moi, se mordant les lèvres de plaisir...

— Mmmh papa c’est bon... Je sais pas pourquoi maman dit que c’est pas bon.
— Ta mère dit ça ?
— Oui. Elle dit que les hommes ne l’excitent plus. Mais moi j’adore.

Je fus un peu vexé car dans "les hommes", j’étais inclus. Mais j’étais flatté que ma fille adore ça, à l’inverse.

— Alors profites en ma chérie. Et tant pis pour ta mère...

Ravie de ma bonne volonté (et ravie aussi de marquer un point face à sa mère) Amandine se mit à monter et descendre encore plus rapidement sur mon membre dressé. Pour une première fois, elle faisait fort, s’agitant comme une diablesse sur mon membre. Je regardais ma queue s’enfoncer en elle, et un liquide blanc commença à couler abondamment de son sexe. Amandine prenait vraiment du plaisir. Elle resta un moment comme ça, imprimant ses mouvements à son rythme, libre de son plaisir.

— Ha mince, papa, c’est trop bon !
— Oui ma chérie, tu es merveilleuse !

Elle se retira alors et vint s’allonger à côté de moi.

— Papa, mets toi au dessus de moi. J’ai envie de te sentir dans cette position.
— OK ma chérie. Tu vas voir comme papa va bien s’occuper de toi.

À ce stade, autant dire que j’avais oublié ma femme et tous mes remords. Je n’avais qu’une idée en tête, faire l’amour à ma petite fille chérie le mieux possible. Elle avait choisi son papa pour sa première fois il fallait que ça soit réussi.

Je vins au dessus de son petit corps frêle, j’écartai ses jambes, jouissant à nouveau de la vision de sa petite chatte blonde, et doucement je la pénétrai. Ma queue à nouveau glissa entre les lèvres de son sexe, avec facilité. Quel plaisir !

— Ça va ma chérie ?
— Ho oui papa, c’est bon, vas y continue... Je te sens tellement bien comme ça !

Encouragé par la belle énergie de ma fille, j’entamai des va et vient délicieux à l’intérieur d’elle. Et plus j’y allais, plus elle aimait.

— Ha oui papa, mais comme c’est bon ! Je ne savais pas ça !

Je fus tenté de lui dire que j’aurais du m’occuper d’elle bien avant. Mais elle était mineure, et même si à cette époque elle avait déjà un corps et des besoins de femme, il était hors de question de faire ça.
Par contre, là elle avait l’âge requis, et elle avait tellement insisté que je n’avais plus l’intention de prendre de gants. J’étais déterminé à bien la laisser déguster la queue de son papa.

Peu à peu j’accélérai mes va et vient, et bientôt j’y allais même franchement.

— Ha oui papa, tu me baises bien là !
— Ho oui tu aimes ça, hein ma chérie ?
— Oui mon papa, j’aime ça, elle est bonne et si grosse, ta queue !

Je regardai mon organe entrer et sortir d’elle et je me demandai comment un tel engin pouvait pénétrer si profondément un corps si mignon, si fluet. Y avait-il autant de place là, à l’intérieur d’elle, dans son vagin ? Amandine n’était vraiment pas grosse et j’imaginais que ma bite remontait vraiment haut, tout au fond d’elle.
Mais la nature est bien faite. Non seulement le corps de ma petite Amandine supportait vraiment bien cette intrusion, mais en plus elle se régalait véritablement.

Je la pris par les chevilles et je la décollai du matelas, envoyant des coups de rein de plus en plus puissants. J’avais un peu peur de la démonter, mais elle était solide.

— Hi oui papa, c’est vraiment bon quand tu y va fort ! Vas y !
— Ho oui ma chérie ! Je t’aime trop, tu es géniale !
— Moi aussi, mon papa je t’aime ! Baise moi encore !
— Alors prends toi ça ma petite cochonne !

Et vlan ! Je lui envoya un nouveau coup de bite encore plus puissant !

— Ha oui papa, j’aime être ta cochonne ! Plus fort encore !
— Plus fort encore ? Mais je vais te faire mal ! 
— Non, c’est pas grave ! Vas y !

Je me lâchai véritablement, libérant toute ma puissance, envoyant ma petite fille valdinguer à chaque coup de bite. 

Hélas Amandine allait apprendre que la résistance d’un homme a des limites. J’étais littéralement dépassé par le plaisir.
Après quelques va et vient supplémentaire j’étais prêt de craquer.

— Ha je n’en peux plus, je vais venir ma chérie.
— Pas à l’intérieur de moi papa, je ne prends pas la pilule !
— Je sais, ne t’en fais pas ma chérie. Je vais jouir sur tes seins.
— Viens dans ma bouche plutôt papa, j’ai envie de prendre tout ton jus !

Je me retirai alors et Amandine vint rapidement mettre ma queue dans sa mignonne bouche.
Elle se mit à la sucer comme une vraie diablesse, avec gourmandise.

Il était temps car il ne fallu pas plus de quelques secondes pour que je me lâche.
Un incroyable jet de sperme jaillit de ma queue, c’était fou ! Ça coulait, coulait ! Et Amandine suçait, suçait !

— Ha putain que c’est bonnnnn !

Amandine me suça jusqu’au bout et avala tout mon sperme.

— J’adore ton jus papa !
— Merci ma chérie, tu es fantastique.
— J’ai adoré que tu me baises, papa ! Tu es fantastique. On recommencera demain ?
— Heu je sais pas... On verra.
— Oui oui, on recommencera ! Tu sais quoi ? J’ai envie d’essayer que tu me prennes par le cul. J’ai des copines qui ont essayé et elles ont adoré...
En plus je suis sûre d’un truc, c’est que maman ne t’a jamais laissé faire ça avec elle ! 

Amandine ne prenait pas de risque. Evidemment la sodomie ne faisait même pas partie du langage de ma femme. Mais ma fille à l’inverse avait bien envie de tester la chose.

— Ha... Heu, oui, si tu veux ma chérie...
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