Marc, 27 ans, et Amandine, 26 ans, se côtoient depuis bien longtemps. Après un après-midi bien trop chaud pour la saison, il décidèrent de se rendre à la piscine municipale afin de faire quelques longueurs. A la sortie du bassin, le couple se sépara pour aller se doucher avant de retourner dans les vestiaires de la piscine, qui ont la particularité d’être mixtes.Chacun prit sa serviette et ils se dirigèrent vers leurs cabines mitoyennes qui contenaient leurs affaires. Marc commença à se rhabiller, avant qu’une idée saugrenue lui passe par l’esprit. Il sortit de sa cabine seulement vêtu d’un pantalon léger pour toquer à la porte de la cabine d’Amandine. Celle-ci entrebâilla la porte avant de se rendre compte qu’il ne s’agissait que de Marc. Après avoir vérifié que personne ne les voyait, Marc rentra dans la cabine d’Amandine et ferma la porte derrière lui. Amandine était encore dans son maillot et n’avait eu le temps que de sécher ses cheveux, qui restaient encore bien humides. Marc s’approcha et les deux s’embrassèrent tendrement. Amandine se serra contre Marc, qui eu le réflexe de reculer de peur d’être mouillé. Mais après tout, il n’avait que le bas et celui-ci pouvait très bien subir quelques gouttes. La respiration de chacun des deux amants s’accélérait à mesure que leurs embrassades devenaient de plus en plus serrées. Marc passa sa main dans les cheveux encore moites d’Amandine, comme elle aimait tant qu’il fasse. Cela la rendait toute chose et ici, l’effet fut plus qu’escompté. Avec son autre main, Marc commença à caresser la poitrine encore couverte par le maillot dont seule l’encolure avait été retirée. Les seins d’Amandine étaient le péché mignon de Marc, car ils étaient comme ils les aimait, pas trop gros, avec une forme qui tient dans la main. Et justement, Marc en tenait un et le caressait légèrement du pouce, afin de faire apparaître le téton durci à travers le maillot. Amandine n’était pas en reste, toujours se délectant des baisers de Marc, elle parcourait son torse de part en part. Elle alla jusqu’à son bas ventre, avant de remonter lentement et langoureusement.C’est marc qui entama les choses sérieuses. Toujours en veillant à ne pas faire trop de bruit pour ne pas éveiller les soupçons des baigneurs qui passeraient devant la porte, il fit glisser le maillot d’Amandine afin de dégager un premier sein, puis l’autre. IL les palpa avec délice, puis lâcha la bouche de sa douce. D’une main, il la plaqua contre l’un des murs de la petite pièce à peine suffisante pour une personne, et commença à embrasser goulûment le cou d’Amandine, avant de descendre vers ses deux seins fraîchement dégagés. En quelques coups de langue bien sentis, les tétons d’Amandine étaient devenus proéminents, durs comme après un bain d’eau glacée. Lorsque sa bouche embrassait et aspirait un sein, l’autre était pris en charge par les mains affolées de désir d’Amandine, chez qui la caresse des seins la faisait mouiller comme jamais. Marc continua à abaisser le maillot de bain une pièce d’Amandine, pour faire apparaître son ventre qu’il s’empressa d’embrasser également avec toute la fougue qui l’habitait. Il ne put malheureusement pas s’y atteler bien longtemps, car s’il sentait qu’à quelques centimètres une source de chaleur commençait à ruisseler, les mains d’Amandine lui ordonnèrent de se relever et le plaquèrent contre le mur opposé à son tour. Amandine lui embrassa le torse puis descendit rapidement vers son bas ventre : elle en avait trop envie. A genoux par terre, elle jeta un dernier regard à Marc qui lui glaça le sang. Ses mains s’empressèrent de déboutonner le pantalon de Marc et elle saisit son sexe tendu de sa main droite, avant de commencer à l’enfoncer dans sa bouche. Marc poussa un râle de plaisir à mesure que son sexe rentrait de plus en plus loin dans la bouche d’Amandine, qui tentait d’en faire rentrer le plus possible. Elle enchaîna les va-et-vient rapides, pendant que d’en haut, Marc observait son membre disparaître et réapparaître à toute vitesse dans une sensation délicieusement chaude et humide. Il admirait également les seins d’Amandine, qui se balançaient à la cadence de ses coups de langue. Elle prenait un malin plaisir à lécher toute la surface du sexe de Marc, du gland jusqu’aux testicules. Ce dernier reprit ses esprits et décida de retirer son jouet de plaisir à Amandine, qui après un dernier coup de langue poussa ses affaires du petit banc qui occupait le dernier mur qu’ils n’avaient pas encore exploré. Elle s’assit et Marc se mit à genoux avant de retirer par le bas le maillot trempé par le sexe brûlant d’Amandine. Il s’empressa de plonger son visage au cœur de cette antre détrempée, et lécha si bien sa partenaire qu’elle du refréner un petit cri qui aurait certainement alerté plus d’une personne sur ce qui se passait à l’intérieur de la cabine. Marc avait désormais la bouche pleine de la cyprine d’Amandine. Il releva la tête, leurs regards se croisèrent, et d’un hochement de tête il surent ce qui allait suivre. Marc se leva et retira ce qui lui restait comme vêtements. Ils étaient maintenant tous les deux entièrement nus. Amandine écartait les jambes, en se caressant lentement le sexe, comme pour le préparer à ce qui allait suivre. Marc se remit à genoux, le sexe à la main. Il avait à peine eu besoin de le masturber afin qu’il regagne sa rigidité tant la vue d’Amandine offerte à lui le rendait fou. Il plaça son sexe en face de celui d’Amandine, et commença à rentrer doucement en elle. La chaleur de son vagin entourait tel un fourreau son sexe devenu très sensible. Il pu lire le plaisir sur le visage d’Amandine qui, les yeux fermés, semblait comme pousser un cri muet. Marc allait et venait doucement dans le corps d’Amandine, en tenant ses jambes bien relevées afin de la pénétrer au plus profond. Il adorait regarder ses formes rebondir sous les coups de son sexe, ses seins tremblaient délicieusement, et Marc n’hésita pas à les lécher goulûment avant de rejoindre la bouche de sa douce. Le rythme des coups de reins alla de plus en plus vite, et les respirations s’accélérèrent. Amandine plaça ses mains sur sa bouche afin d’empêcher tout gémissement d’en sortir. Marc sorti du vagin d’Amandine, la prit par la taille et la retourna. Elle plaça son pied sur le petit banc et tourna le dos à son amant, qui enfonça à nouveau son sexe dans celui d’Amandine. Il put maintenir la cadence en tenant Amandine par ses seins qui bondissaient à chaque fois que le bassin de Marc tapait contre ses fesses. La chaleur emplissant la pièce était devenue bien trop délicieuse pour s’arrêter là. Toujours sous l’emprise de leur passion, Marc saisit Amandine par la taille afin de renforcer le rythme de la pénétration. Il avait désormais un entier contrôle et cela plaisait à Amandine de faire défoncer ainsi, même si cette dernière ne pouvait s’empêcher de remuer le bassin afin de faire rentrer au maximum le sexe de Marc. Elle en profitait également pour se caresser le clitoris avec la main qui ne la soutenait pas contre le mur. Leurs corps luisaient et commençaient à glisser. Ayant du mal à se retenir, Marc se retira et tenta un dernier éclat. Il ordonna d’un doigt sur la bouche à Amandine de rester en place, puis humecta sa main avant de la passer sur l’anus de sa partenaire. Malgré la position, ils ne se quittaient pas des yeux lorsque Marc approcha son sexe de l’anus d’Amandine avant de commencer à le dilater. C’était tellement plus serré que son sexe. Amandine jeta un dernier regard à Marc avant de le laisser rentrer profondément dans ses fesses. Il savait qu’il pouvait donner ses dernières ressources. Amandine poussa un léger gémissement qui excita encore plus Marc et le poussa dans ses derniers retranchements. Il regardait son pénis rentrer en entier dans l’anus d’Amandine et cela le rendait dingue. Elle, caressait son sexe de plus belle. Des gouttes perlaient dans le dos des deux partenaires. D’un coup, Marc se retira, attrapa Amandine et la mit à hauteur de son sexe. Il ne fallu que quelques secondes pour qu’il éjacule entièrement sur Amandine qui s’empressa de remettre le sexe de Marc dans sa bouche afin d’avaler tout ce qui allait en sortir. Une fois le torrent passé, elle continua quelques instants à le sucer pendant qu’elle se caressait les seins luisants de transpiration. Un dernier baiser mit fin à ce rapport intense. Les deux amants s’habillèrent rapidement, puis sortirent l’un après l’autre de la cabine afin de ne pas éveiller les soupçons. Ils sortirent de la piscine comme si de rien n’était.
