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Une camarade de chambre un peu spéciale

Chapitre 1

Une dénommé Lizer…

Hétéro
— Rien, même pas un bisou ! — Arrête ! Vous étiez sur le même lit une place avec un film à 23h et il ne s’est rien passé ? Tu me fais marcher là !— Non je t’assure, on a même fini le film. C’est seulement au moment de lui dire au revoir qu’elle est restée figée pour que je puisse l’embrasser.— Et alors ?? — Ben oui, je l’ai embrassé, je n’allais pas lui faire faux bon !— Hahaha j’en étais sûr ! je suis content pour toi mon pote ! C’est cool, mais maintenant, il faut aller se coucher, j’aimerais être suffisamment frais pour l’interro de demain.
Rayan, mon camarade de chambre n’avait pas tort, il était minuit passé et la journée de demain était chargée. Notre formation sur la base militaire était rude. Malgré tout, je ne pouvais pas revenir de l’étage du dessous sans lui raconter la soirée que je venais de passer avec Célia. Célia, c’est la fille que j’ai rencontrée la semaine dernière au bar où nous sortons régulièrement. Elle suit la même formation que moi, mais dans un groupe arrivé trois mois après le mien. Et j’avais pris l’habitude, étant logé dans le même bâtiment, de passer la voir le soir après les cours.Le lendemain, une fois le repas pris et être passé sous la douche, comme à ma nouvelle habitude, je descendis l’escalier menant à la chambre de Célia et toqua à sa porte.
— Entreeez !
Après avoir reconnu sa petite voix, j’ouvris la porte et me dirigeai directement au fond de la pièce où était son lit. En passant, je découvris sa camarade de chambre, à quatre pattes, qui était en train de ranger des affaires. Troublé par cette vision, j’ai maladroitement décroché un « Bonjour ! ». Il faut dire que son legging moulant et son débardeur remontant le long de son dos n’aidaient pas vraiment. Elle se redressa et me répondit en souriant. Je ne l’avais aperçu que brièvement jusqu’à présent, mais maintenant, j’avais une image bien plus précise de sa personne. Des yeux verts en amande, de longs cheveux bruns, glissant sur une silhouette bien en chair, avec des fesses rebondies et une poitrine généreuse semblant déborder de sa brassière.
Je gravis l’échelle du lit mezzanine pour rejoindre celle qui était la raison de ma visite. Elle m’accueillit en collant ses lèvres aux miennes. Son souffle était chaud, sa main se baladant sur mon bras était douce. On échangea ensuite quelques banalités de la journée en se rapprochant de plus en plus. Allongé à côté de moi, son corps métis et plantureux laissait apparaître quelques tatouages dont je découvrais peu à peu l’existence. Je pouvais également distinguer la douce odeur de Monoï qui se dégageait de ses cheveux crépus. Tous ces détails commençaient à me faire un effet certain.
En même temps que nous discutions, ma main droite glissait le long de son abdomen, passant en dessous de son haut, pendant que mon autre main tombait progressivement à l’intérieur de ses cuisses. En tournant la tête, je pouvais apercevoir sa camarade, assise devant son bureau, pouvant nous surprendre à tout moment, ce qui ne faisait que m’exciter encore plus...
Une fois la barrière de vêtement traversé, je pouvais constater l’humidité extrême qui régnait au sein de son entrejambe. J’y fis glisser un doigt, puis deux, en même temps que je fourrais ma langue dans sa bouche. J’avais entamé un va-et-vient régulier avec mes doigts et je pouvais sentir son souffle s’écraser de plus en plus fort sur ma nuque. Je sortis de cette bulle d’excitation lorsque sa camarade se leva. Vu l’heure, elle allait sûrement se mettre au lit, ce qui allait mettre fin à cet agréable moment. Mais avant que je ne bouge, je la vis retirer son haut, sa brassière et son legging. Elle était là, dos à moi, ne se doutant pas que j’observais toute la scène. Elle était en train d’enfiler un tee-shirt, simplement vêtue d’un string qui disparaissait entre ses fesses.
J’étais resté figé quelques secondes. Je me retirai alors doucement du corps de Célia et portai mes doigts à ma bouche. Devant sa mine surprise, je m’approchai et lui chuchotai à l’oreille : « tu as bon goût ». Elle me répondit par un sourire et me fit un dernier bisou d’au revoir. Je saluai également sa camarade déjà dans son lit en sortant. Elle avait l’air étonné que je sois encore là, mais bizarrement je vis apparaître un joli sourire sur son visage.
Pendant que je remontais à mon étage, une seule phrase tournait en boucle dans ma tête : « La vache, sa pote est vraiment bonne ! ». Une fois dans mon lit, je me mis à repenser à cette mystérieuse camarade de chambre au prénom inconnu. Je revois encore son corps magnifique et ses lèvres pulpeuses se pincer pour me sourire. Vraiment dommage que Ryan dorme dans le lit à côté du mien sinon...Le premier cours de la journée avait commencé, et Ryan était assis à côté de moi dans l’amphi. Je n’avais pas arrêté de penser à ce qu’il s’était passé hier. Et lorsque mon coloc me demanda comment s’était passé la soirée d’hier, je lui ai directement répondu :
— Je suis en train de fantasmer sur la pote de ma petite copine ! — Quoi ?! Comment ça ?— Et bien, j’ai rencontré sa camarade de chambre et je peux te dire qu’elle vaut le détour si tu vois ce que je veux dire !— Oh je vois, et tu connais son nom ? — Non, mais je connais autre chose, elle s’est changée alors que j’étais encore sur le lit avec Célia.— Mais non ! Tu l’as vue à poil ??— Non elle était de dos, et heureusement d’ailleurs, elle m’aurait vu sinon !— Ah t’es un petit veinard quand même, je veux voir à quoi elle ressemble moi.— Et bien, on devrait forcément la croiser sur la base non ?— C’est vrai !
Et je ne croyais pas si bien dire. En réalité, on croisait souvent l’autre groupe pendant la journée. Quelques jours plus tard, on l’aperçut en bas de notre bâtiment qui discutait avec d’autres filles. Je fis un signe discret à Rayan et osai un léger coup d’œil dans sa direction. Elle me rétorqua un sourire et continua sa discussion.
— Tu l’as vu ??— Eh ben, mon pote, elle est mignonne la petite !
C’était bien vrai, en uniforme elle était vraiment craquante, et en plus elle m’avait de nouveau souri, ce qui me réjouit intérieurement.Arrivé dans la chambre, mon camarade de chambre s’approcha vers moi :
— Je comprends mieux pourquoi elle te perturbe à ce point cette fille. C’est typiquement mon type de fille en plus !— Attends, ce n’est pas tout !
Au cours de la semaine, j’étais passé plusieurs fois par la chambre de Célia, et un mec s’était rajouté dans le lit de sa camarade ! J’avais alors fait ma petite enquête et j’avais découvert que ce n’était pas son premier mec au sein de son groupe. Célia m’avait même raconté avoir été réveillée par ses cris parce qu’ils baisaient alors qu’elle était en train de dormir.
— Ah la cochonne ! OK il nous faut un nom de code !— Ouais je crois que tu as raison !— Mmh laisse-moi réfléchir et demain on aura un nouveau surnom pour cette petite coquine !
Dès le lendemain matin, Rayan avait trouvé « Lizer » (prononcé à l’américaine) comme nom de code. Je ne trouvais pas ça terrible, mais au moins, on pourrait en parler sans que l’on se doute de quoi que ce soit. Une chose était sûre, j’avais hâte de retourner dans cette fameuse chambre...
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