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Une caresse comme une autre

Chapitre 1

Gay
Cette histoire, je devrais dire découverte, s’est passée il y a sept ans, j’ai aujourd’hui 52 ans...
A ce moment-là j’étais à Toulouse, en déplacement et je vivais au camping dans une caravane. Arrivé en septembre j’avais vite découvert les endroits à grande activité nocturne.Un soir de novembre, un grand froid régnait au bord de la Garonne, j’étais dans ma voiture, le spot de drague était désert et j’allais me résoudre à retrouver mon confort douillet lorsque des phares sont apparus...Il s’est garé face à moi en plein phare, certainement pour identifier « sa victime » (bon d’accord consentante) puis a rapidement tout coupé avant de sortir de son véhicule et s’enfoncer en grandes enjambées dans le bois bordant le parking. Je n’ai pas tardé à emboîter ses pas, non sans appréhension...
La lune était pleine, je connaissais bien le bois et il m’était donc facile de me repérer. Je l’ai rejoint dans une petite clairière à l’écart du chemin principal. La lumière, la très légère brume, le silence renforçaient la sensation de froid qui était déjà très grande. Sa longue silhouette longiligne en contre-jour se détachait de la clairière, j’étais de plus en plus intimidé.
En m’approchant de lui j’ai découvert qu’il caressait lentement son sexe semi-bandé qui était déjà de belle facture. Nos regards se sont croisés, le sien m’a montré le chemin à suivre...
A peine à genoux devant lui, son sexe presse déjà mes lèvres, ses mains prennent fermement mon visage. Il force ma bouche et commence de longs va-et-vient sans se soucier de ma personne, la sensation est étrange, je me sens objet, mais c’est excitant. Son sexe pénètre ma bouche mais sans me forcer, le mouvement est puissant mais pas brutal, sa verge ne s’enfonce pas au-delà d’une certaine limite ce qui fait que je peux relativement bien respirer sans avoir de haut-le-cœur.Son sexe s’est durci et épaissi. Je profite qu’il fait une pause et relâche son emprise pour le prendre en main, pour le caresser et le lécher de bas en haut. Puis j’enfourne sa verge dans la bouche pour une longue gorge profonde. Il gémit faiblement, il me laisse faire. Je commence à avoir chaud...Ses mains reviennent sur mon visage, elles le bloquent et trouvent la bonne position pour me baiser la bouche de plus en plus profondément. Le mouvement est ferme mais toujours sans violence, il décide, je ne suis qu’un jouet !Évidemment à ce rythme j’ai des haut-le-cœur et je bave abondamment, ce qui rajoute à ce sentiment de culpabilité, de soumission que je ressens.Lui, il a les yeux mi-clos, la tête renversée en arrière tout à son plaisir,
Au bout d’un long moment il s’arrête et s’écarte de moi, de la tête il me montre un arbre et sans plus de préambule (mais dès le départ on a laissé tomber les politesses...) me dit :
— Je vais te baiser...
Pas vraiment sûr de moi, je me dirige vers l’arbre désigné, défais la ceinture de mon pantalon, prends appui sur l’arbre et essaie de lui offrir au mieux mes fesses. Je n’ai pas le temps de lui dire que sans préservatif. Que j’entends le bruit de l’emballage déchiré...Je prends conscience que j’ai froid, que je suis même frigorifié, que je n’en mène pas large, que je n’en ai pas vraiment envie et que toute de manière je suis si serré qu’il ne pourra pas. Je me tourne vers lui pour lui expliquer que l’on va en rester là, une autre fois peut-être. Alors qu’il positionne déjà son sexe sur mon anus. Une baffe retentissante me fait regarder droit devant !
— Ferme-la !
Ses mains appuient sur mes reins pour que je me cambre plus, et il exerce une forte pression sur ma rondelle qui n’a aucune envie de nous rendre la tâche facile à lui comme à moi !J’ai l’impression d’être déchiré, la douleur est puissante, j’essaye de me défaire de son emprise tout en lui indiquant qu’il me fait très mal...
— Ta gueule !
La monstrueuse claque qui s’abat sur le haut de ma fesse gauche me coupe net le souffle. J’en reste une fraction de seconde comme éteint, sa sœur sur la fesse droite retentit aussitôt encore plus fortement, me ramenant à une réalité plus froide. La pression qu’il exerce sur ma rondelle reste dure et douloureuse tandis que les claques plus ou moins fortes mais toujours sèches s’abattent maintenant avec une grande cadence sur mes fesses qui commencent à être douloureuses.
Chaque coup me fait sursauter, la douleur très vive ressentie concurrence la douleur de sa tentative de sodomie qui pour l’instant reste un échec...
J’ai des larmes qui coulent sur le visage, je subis cet outrage sans pour autant me résigner à me libérer. Dans ma tête les pensées confuses s’entrechoquent mais la plus insistante est l’incompréhension devant ma soumission, ma passivité, à mon envie de subir ce « châtiment »,
A chaque coup je continue de sursauter, pourtant une douce chaleur partant de mes fesses meurtries, apparaît, m’envahit doucement et sans vraiment comprendre vraiment pourquoi je me mets à bander !
Bien sûr l’ambiance dans la clairière a changé, elle est beaucoup moins calme sous les claquements, mes cris et mes gémissements...
Brusquement lors d’un nouveau sursaut quelque chose lâche en moi. Ma volonté, un abandon ? Je ne saurai le dire mais je m’ouvre littéralement, il me pénètre profondément, d’un coup ! La douleur est bien là, encore plus déchirante, mais elle se mêle au plaisir déjà ressenti d’être comblé, bien rempli...Il s’est immobilisé. Empalé sur son sexe je sens ces gestes devenir doux, il me caresse, sa main passe sous mes vêtements, pince un téton me faisant frissonner, sa respiration haletante sur ma nuque devient peu à peu régulière, je sens son bas-ventre contre mes fesses... Il nous laisse souffler un peu avant de reculer tout doucement, je gémis et frissonne lorsqu’il sort de mon cul, avant de me faire râler de plaisir en revenant en moi...La douleur comme par magie s’efface et laisse le plaisir poindre, une boule se forme dans mon ventre alors qu’il commence de doux allers-retours terriblement excitants...Je gémis de plus en plus fort, et lorsqu’il commence à me fesser doucement je pousse de petits cris d’excitation...
A son aise, au chaud en moi il accélère de plus en plus, me ramonant profondément. Son bas-ventre claque contre mes fesses. Je ne sais plus où j’en suis, les sensations se succèdent me laissant haletant, pantelant, au bord de l’évanouissement,Je sens ses mains qui tiennent fermement mes hanches, alors qu’il me pénètre avec une violence bienfaitrice. Jamais je ne me suis fait baiser comme ça !
Mes cris retentissent dans le bois, surtout lorsqu’il sort complètement de moi, me claque fortement les fesses avant de replonger en moi sans ménagement...
Je finis par jouir en hurlant mon plaisir tandis qu’il se vide en moi (dans le préservatif)...Je reste ainsi, haletant, à la recherche de ma respiration, appuyé des deux mains à l’arbre, les fesses cambrées, offert au premier venu. Malheureusement je suis seul...
Je suis encore dans cette position lorsque j’entends sa voiture démarrer. La rondelle ouverte aux quatre vents. J’ai froid, c’est sûr, mais ce qui est encore plus certain c’est que j’adore me faire fesser...
Épilogue : je ne l’ai malheureusement jamais recroisé, par contre j’ai eu mal aux fesses pendant une semaine. Au moins !Cette aventure m’a amenée à explorer d’autres possibilités de sexualités, peut-être plus « hard » mais tout aussi jouissives que celles connues jusqu’alors.J’ai aussi découvert que nombre d’Actifs n’osaient pas ce geste. Je n’hésite plus à le réclamer. Haut et fort !
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