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UNE CHARMANTE INCONNUE

Chapitre unique

Hétéro
Nous sommes Léa et Vincent, des jumeaux de 22 ans vivant dans un studio strasbourgeois pour nos études... 
Un soir de décembre 2018, (d’où l’absence de gestes barrières et masques dans ce récit), nous sommes allés au restaurant avec quelques amis. Essentiellement des copines de Léa en réalité, mais ça ne m’a pas dérangé. La soirée était totalement ordinaire, bien qu’amusante. Léa m’annonce qu’elle va dormir chez une amie à elle et que j’ai le studio pour moi tout seul. Je décide de raccompagner une autre de nos amies qui doit prendre le dernier train pour rentrer chez elle. 
Arrivés sur le quai, elle monte dans le train et on se salue. Alors que le train part, j’entends quelqu’un courir dans l’escalier.
"Trop tard pour toi !" Pensai-je. 
Je me retourne et vois cette femme magnifique, 1m75/80, cheveux longs, blonds ondulés qui entourent son visage rond orné des plus beaux yeux bleus que j’ai vus et... Un ventre tout aussi rond qui ne laisse aucun doute. Elle s’adresse à moi:

— Bonsoir jeune homme, excusez moi mais comme vous pouvez le voir je viens de louper le dernier train, sauriez-vous où je peux dormir?— Bonsoir Madame, il y a un hôtel tout près d’ici mais je pense qu’il est trop bruyant pour une femme dans votre condition. Si vous voulez, vous pouvez venir dans mon studio !— Oh c’est adorable, mais vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas? Je ne veux pas m’imposer !— Aucun souci, ma jumelle dort de toute façon chez une amie.— Bon eh bien c’est d’accord !

Sur le chemin, on fait connaissance. Elle s’appelle Charlotte, a 25 ans, est enceinte de 6 mois et le père l’a abandonnée il y a environ 2 mois. 
Elle doit donc se débrouiller toute seule pour la grossesse et ça sera pareil une fois l’enfant né. 
Plus elle me parle, plus elle me plaît, j’ai envie de prendre soin d’elle.Arrivés à l’appartement, je prends sa veste et ses chaussures. Je l’installe à la cuisine et lui sers un verre d’eau avec un peu de sirop de pêche.


— Je vais te laisser ma chambre parce que je ne sais pas quand rentre Léa et la chambre d’amis est inutilisable à cause des travaux.— C’est gentil mais tu vas dormir où ?— Oh ne t’en fais pas, pour une nuit, le canapé ça ira.— Mais non, dors dans ton lit, ne t’en fais pas !— Pour laisser une femme enceinte dormir dans le canapé ? Hors de question.— Mais non, tu dors avec moi"— T’es sûre que ça ne te dérange pas ?— Bien évidemment !

Je crois voir un léger clin d’oeil. Est-ce la fatigue ou est-ce que ce canon portant la vie est entrain de me chauffer ?Je lui indique la salle de bains et ma chambre et la laisse prendre une douche. 
Pendant ce temps, j’enfile un pyjama (par respect pour elle car d’habitude je dors nu en toute saison) et me mets au lit. 
Un quart d’heure plus tard, elle entre dans ma chambre, vêtue uniquement d’un soutien-gorge rouge et d’un slip en dentelle assorti. Ma mâchoire se décroche et j’en lâche mon téléphone de surprise. Je bégaie :

— Donc j’ai pas rêvé ton clin d’oeil tout à l’heure, tu étais bien en train de me chauffer ?— Absolument ! Aucun homme ne m’a, ne serait-ce que touché le bras, depuis la conception du p’tit alors avec mes hormones et ton côté gentleman, je te raconte pas... Comme ça chauffe aussi chez moi !!— J’osais pas y croire, t’es tellement belle ! Et t’as cette étincelle des futures mamans que j’ai toujours trouvé hyper sexy !

Coupant court à la conversation, elle est venue s’installer sur mon lit et m’a embrassé.

— Est-ce que tu veux un massage ?— Oh oui mon dos me fait tellement mal ! Et mes jambes aussi d’ailleurs !

J’ai donc installé ma belle sur le ventre, et me suis installé au bout du lit pour masser ses mollets. 
Une fois que je la sentais un peu plus détendue, je me suis assis sur ses fesses magnifiquement rondes et ai massé son dos. Ses petits soupirs de soulagement m’ont donné une érection qu’elle a évidemment remarqué. 
Après quelques longues minutes de massages et de frottements volontairement abusés de mon entre-jambes contre le sien, elle s’est retournée.
— J’ai faim de toi ! M’a-t-elle dit.

J’ai compris le message et aussitôt libéré mon sexe de mon bas de pantalon et de mon boxer. 
Elle m’invite à m’asseoir sur mon lit et elle est venue placer sa bouche contre mon sexe.

— Quelle gourmande ! M’exclamais-je alors qu’elle rentrait la quasi totalité de mon sexe d’un coup dans sa bouche.

Elle s’applique a me sucer ainsi pendant plusieurs minutes, me laissant observer ses seins magnifiques et son ventre tout rond. Je plongeais mon regard dans le sien et je lui avoue :

— Moi aussi j’ai faim de toi... Tu veux venir t’asseoir sur ma bouche ?

Elle ne s’est pas faite prier, a enlevé ce qu’il lui restait de vêtements et elle est venue s’installer sur moi. 
J’avais à nouveau une vue merveilleuse, mais cette fois au premier plan ses lèvres luisaient de désir.

— Ton ventre est superbe vu sous tous les angles ma beauté !— Merci pour ce merveilleux compliment mon bel amant !

J’ai souri avant de plonger ma langue dans ce merveilleux océan de mouille. Elle sentait si bon ! Et ses gémissements.
Rien que d’y repenser en écrivant cette histoire je sens l’excitation monter.

— Tu pénètres de la bonne chatte de femme enceinte mon joli ?— Oui attends, je vais juste attraper une capote.

Elle s’est mise à rigoler avant de me dire :

— Tu sais, je peux pas être plus enceinte que ça !— Et pour...— Je n’ai pas de maladies non plus sinon il y aurait un risque pour mon bébé.— Bon eh bien dans ce cas...

Je la laisse s’installer, le dos contre mon matelas, entièrement nue et sublime et me positionne sur elle, faisant bien attention à ne pas lui faire mal au ventre et je glisse lentement mon gland entre ses lèvres intimes :

— T’es tellement humide !

Elle me répond par un gémissement qui veut tout dire et je me suis enfin introduit en elle. Mon engin glissait aisément dans cette bonne chatte humide. 
Quelle pied ! 
Et ses petits bruits... Tellement merveilleux !

— Que je suis chanceux d’avoir accompagné mon amie à la gare ce soir !— Et... Moi... Que... Je suis... Chan... Euuuuuzzzzz.... D’avoir loupé mon train !
S’en est suivi une pelle absolument démentielle.
Je redouble d’efforts en elle. Ses gémissement s’intensifient de plus en plus, jusqu’au moment où elle cri presque. 
Je deviens fou et je la sens trembler de plaisir sous moi. 
Au bout de quelques secondes comme ça, elle cri mon nom et là, je comprends qu’elle jouissait. 
En la sentant se serrer autour de moi, contre moi, j’ai joui immédiatement, tout au fond d’elle. 
Je me suis allongé à ses côtés et l’ai regardée dans les yeux, tantôt l’embrassant, tantôt caressant son corps de déesse. 
Après quelques instants hors du temps à la bouffer du regard, j’ai compris que ses hormones ne s’étaient pas calmées, bien au contraire ! 
Ma coquine en veut plus ! 
Sa main s’aventure sur mon sexe, qui ne met pas très longtemps à redevenir dur. Tout en m’embrassant, elle prend le dessus sur moi et vient s’empaler sur mon sexe, qu’elle introduit d’un grand coup tout au fond de son puit aux nectars chauds, m’arrachant un gémissement.

— Dis donc... Monsieur gémit en plus !— Rho ouais mais c’est trop bon ce que tu viens de le faire !— Je vais récidiver alors !

Et, avant que je n’ai le temps de répondre, elle a récidivé. Elle pousse, d’un grand coup mon sexe tout au fond du sien, et le ressort tout doucement, jusqu’à me faire prendre l’air, attendant quelques secondes et l’enveloppe à nouveau de ses parois humides. 
Elle a continué son manège une trentaine de fois, me faisant gémir à chaque coup. Et puis, je m’agrippe ses hanches et me mets à la pilonner.

— C’est à ton tour de gémir ma belle !

Son sourire à ce moment-là m’a rendu fou. J’ai continue de la pilonner et elle continuait de gémir. Je l’ai laissée reprendre le contrôle, passant ma main sur ses seins énormes et son ventre. 
Elle s’est penchée en avant, mettant une de ses mamelles à porté de ma bouche que Je léche et suce. 
Le paradis... 
Sa chatte si humide qui bruissait à mes oreilles et se déplaçait de haut en bas sur mon membre, plus dur que jamais, ses seins magnifiques se balançant devant mon visage, ses cheveux d’ange entourant ce si beau visage et ses yeux... 
Je sais que je me répète mais ses yeux et son ventre m’ont vraiment captivé. J’avais l’impression de rêver...

— Tu veux jouir sur mon ventre ?— Je n’osais pas te le demander, je voudrais pas te manquer de respect !— Oh mais tu sais, je pense qu’on partage ce fantasme mon joli.

Elle a donné encore quelques coups de bassin et est sortie. En quelques rapides coups de poignet, ma semence se répandait sur elle...
Encore quelques baisers et le sommeil nous a vaincus, épuisés mais heureux de cette folle soirée sexy. On s’est endormis en cuillère, et je sens que je vais le regretter demain matin...Ou pas?

FIN
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