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Une chasse aux oeufs un peu particulière

Chapitre 5

La surprise de Sophie

Avec plusieurs femmes
Marie entrouvre le message laissé devant sa porte. Elle est autant intriguée par le contenu qu’elle craint une nouvelle désillusion. Son corps ne désire que pousser la porte de la chambre pour découvrir si Sophie s’y trouve. Ses doigts déplient le message et découvrent les quelques mots laissés par la petite écriture manuscrite de son amie :
— Quelques accessoires pour ta future surprise. Ouvre les bien dans l’ordre.
Ça ressemble encore à une énigme. Marie pose le mot et pousse la porte de sa chambre. Personne sur le lit. Au lieu de ça Marie voit trois nouveaux œufs accompagnés de petite paquets, disposés des pieds du lit jusqu’à l’oreiller. Elle saisit le premier, défait l’emballage. A l’intérieur se trouve un nouveau message : ‘’Parce que moi aussi tu m’as donné chaud la dernière fois …’’
Quelque chose tombe sur le lit. Marie saisit l’objet entre ses mains. Elle reconnait immédiatement le tanga rose pâle qu’elle avait essayé la dernière fois. Sophie a dû repasser à la boutique pour l’acheter.
Marie s’allonge maintenant sur son lit dans son body noir. Ses doigts se posent sur l’avant dernier œuf et le paquet attaché. Elle le défait précautionneusement. Là aussi il s’agit d’un vêtement, plus grand cette fois-ci. Elle le pose sur le lit. C’est une petite nuisette rose, allant parfaitement avec le tanga. Un petit mot l’accompagne : ‘’J’ai pensé que ça compléterait magnifiquement ta tenue légère pour ce soir’’.
Ce soir ? Mais que se passe-t-il ce soir ? La réponse doit se trouver dans le dernier paquet. La jeune femme étire ses bras et le ramène à elle. Dans l’emballage pas de vêtement cette fois-ci, juste un mot :
— Pour la plus sexy des blondes, une tenue osée et une invitation ce soir à dix-neuf heures chez moi. Ps : met quand même une veste pour dehors, tu risques d’avoir froid en nuisette.
Dix-neuf heures. La réponse à toutes ses questions dans une heure et quart. Marie se prend à rêver. Elle se retourne sur le dos et serre le mot de Sophie contre son ventre. Si cela n’a toujours pas le moindre sens pour elle, la jeune femme ferme les yeux et se laisse porter par la nouvelle. Elle s’imagine Sophie, rentrant dans la boutique de lingerie pour y acheter le tanga, réfléchir à quelle nuisette soulignerait le mieux les formes de son amie, dans quelle tenue elle aimerait la voir. Elle remarque que Sophie n’a volontairement pas pris de haut, comme pour mieux laisser la poitrine de Marie être suggérée par le tissu. La jeune femme voit ensuite s’entrecroiser des images de Sophie, rédigeant le mot et organisant le rendez-vous, avec celles de la cabine d’essayage, cherchant innocemment une tenue pour son mec sans prêter attention à sa meilleure amie qui la dévorait des yeux.
Sans le voir, sous la chaleur de la correspondance et des images dans sa tête, Marie a déplacé sa main droite vers son entre-jambe. Ce n’est qu’au premières sensations de plaisir qu’elle s’aperçoit qu’elle avait commencé à se toucher à travers le tissu de sa culotte. Marie hésite un temps puis remonte sa main. Hors de question de se masturber maintenant et d’arriver sereine au rendez-vous. Elle compte bien se jeter sur le corps de son amie et la parcourir de ses mains pour lui faire ressentir sa frustration des derniers jours. Marie se lève et fonce prendre une longue douche chaude. En sortant elle enfile le petit tanga rose, regarde une dernière fois le cul que ça lui fait, puis glisse dans la nuisette. L’ensemble est bien trop sexy pour sortir telle quelle. Marie passe ses épaules dans sa petite veste noire pour couper l’impression qu’elle sort en tenue légère. Ça reste court, mais bien plus acceptable. Une petite paire de talons et la voilà dans la rue à marcher.
Dix-neuf heures : Marie n’est plus qu’à deux minutes à pied. Son estomac commence à se nouer sur les derniers pas. La voilà maintenant devant le bâtiment. Elle sonne à l’interphone. On lui ouvre sans dire un mot. Elle hésite quelques secondes dans le hall. Des palpitation la gagne. Une autre personne rentre dans l’immeuble. Marie reprend ses esprits et se dirige vers les escaliers, l’autre personne aussi. Sophie n’habite qu’au premier étage. Elle parcourt lentement l’escalier. A trois marches de la fin elle est prise d’un petit rire. Elle se retourne dans l’escalier. Son suiveur s’arrête nette, un peu gêné. Il s’agit d’un jeune homme d’à peine vingt ans. Marie vient de comprendre pourquoi il ne la dépassait pas. Une petite blonde en nuisette rose, juchée sur des talons, qui monte un escalier. Son jeune admirateur a bien dû se rincer l’œil. D’humeur joueuse elle se retourne vers lui, lui adresse un clin d’œil et soulève légèrement sa nuisette, dévoilant une partie de ses fesses.
Puis, sans dire un mot, ouvre la porte de l’étage et se dirige vers celle de Sophie. Elle s’imagine déjà son amie lui ouvrir dans une très petite tenue. Au lieu de cela elle trouve la porte de l’appartement légèrement entrouverte. Considérant qu’il s’agit d’une invitation à entrer, Marie entre puis referme la porte derrière elle.
Personne dans l’appartement au premier regard. Marie dépose sa veste noire sur le porte-manteau. Rien dans le salon. Elle tourne sa tête dans le couloir qui mène aux chambres. Au sol sont déposés de nouveaux petits œufs de couleur. Marie les suit. Elle espère cependant avoir rapidement le fin mot de cette histoire. Plus de surprise. Plus de changements. Son corps en manque de sexe le supporterait mal. La piste s’achève au pied de la chambre de Sophie. Un petit paquet ainsi qu’un mot y sont déposés. Marie déplie rapidement le message. Elle reconnait évidemment l’écriture de Sophie. Le message est des plus bref : ‘’Enfile ça et fais-moi confiance’’. Elle dépose le message et défait l’emballage du paquet. Ses mains en sortent un petit bandeau noir, parfaitement opaque.
Marie ne réfléchit plus. Elle saisit le bandeau, passe l’élastique derrière ses cheveux, plaque le tissu sur ses yeux et les ouvre. La voilà totalement aveugle. Elle positionne sa main sur la porte, marque un temps de réflexion, prend une profonde inspiration pour calmer les palpitations en elle, puis abaisse la poignée. Marie a alors la sensation de se jeter presque nue dans la gueule du loup. Et ça l’excite terriblement.
La jeune femme avance de deux pas déterminés. Quelqu’un vient fermer la porte derrière elle. Marie continue à avancer. La voilà positionnée au milieu de la pièce, en attente de son sort.Une minute passe. Marie est toujours plongée dans le noir. Les quelques pas qui se faisaient entendre se sont maintenant évanouis. Sophie a refermé la porte derrière elle. Où se situe-t-elle maintenant ? S’est-elle rallongée sur le lit ? Non, Marie aurait entendu le lit craquer. Sophie doit donc forcément se situer encore à proximité d’elle.
Le silence perdure. Il en devient pesant. Marie a du mal à rester calme alors que son corps est en ébullition. Soudain sa propre respiration s’emballe. Son ventre décrit des mouvements saccadé, mélange d’attente et d’excitation. Enfin la voix de Sophie vient s’imposer dans la tranquillité de la pièce :
— Mais qui voilà ! Une jolie blonde en tenue légère qui déboule dans la chambre de sa meilleure amie. Je suis contente que tu aies participée à mon petit jeu de piste.
Marie ne répond pas. Elle tente de calmer sa respiration. Soudain elle sent quelque chose effleurer sa cuisse gauche. Pas une main. Quelque chose de plus doux, de soyeux, un objet, comme des plumes. La sensation vient légèrement redescendre sur ses jambes avant de remonter sur le bas de sa nuisette. Soudain Marie sent la chaleur d’une bouche s’approcher de son oreille et lui susurrer :
— Maintenant on va pouvoir vérifier si tu as bien suivi toutes mes instructions…
Marie se laisse faire. Elle se tient bien droite, à la merci des caresses de son amie. Le contact se déplace maintenant sur l’autre jambe, effleurant au passage l’intérieur de ses cuisses. Elle reconnait maintenant une sensation douce et chatoyante, comme si Sophie la caressait avec une sorte de plumeau. Soudain l’objet vient se positionner entre sa nuisette et sa cuisse droite. Puis, lentement, le plumeau vient lever le tissu, dévoilant progressivement les hanches de la jeune femme. Marie profite de chaque instant de cet effeuillage. L’excitation la gagne à mesure que l’instrument de Sophie expose à l’air libre des centimètres de sa peau. Progressivement elle sent sa tenue se raccourcir, offrant à sa meilleure amie une vue sur le bas de ses fesses puis sur la courbe de celle-ci. L’apparition de la taille de Marie est marquée par un petit ‘’Oh’’ de son amie, manifestement satisfaite de voir la voir porter le tanga qu’elle lui a offert.
Un frisson traverse maintenant le ventre de Marie, le même qui l’avait saisi dans la cabine d’essayage. Elle ressent les doigts de Sophie qui viennent de se poser sur sa taille, rabattant le tissu de la nuisette au niveau de son nombril. Marie offre maintenant une vue complète sur haut de sa culotte. Les images de la cabine défilent dans la tête de la jolie blonde. Sans s’en apercevoir elle tressaille de plaisir et frotte légèrement ses cuisses l’une contre l’autre. Ce petit mouvement inconscient ne passe pas inaperçu auprès de Sophie qui laisse échapper un petit rire, avant de poser d’une voix sensuelle :
— On dirait que la petite blonde est très excitée, regarde là trémousser ses petites jambes. Je parierai sur une longue période de célibat et un très gros manque d’activité sexuelle. Maintenant tourne lentement sur toi-même que je puisse te voir, lui ordonne son amie.
Marie s’exécute lentement, pivotant sur sa gauche. Soudain elle sent la main de Sophie se poser avec délicatesse sur l’arrière de sa nuisette, faisant glisser ses doigts à l’intérieur, effleurant de ses ongles la courbe de son fessier avant de soulever le tissu, exposant son séant aux regards indiscrets. Marie se stoppe nette dans son mouvement quand la main de Sophie vient lui attraper le haut des cuisses. Elle ferme les yeux, se laissant totalement faire. Le plumeau vient maintenant se placer sur son postérieur, caressant tantôt la rondeur de ses fesses, s’insérant tantôt entre celles-ci.
— Un petit popotin qu’on aurait envie de croquer. Si j’étais attirée par les filles j’aurais cédé depuis longtemps …
La phrase résonne à peine dans l’esprit de Marie dont les sens sont presque accaparés par la perception d’un effleurement de son entre-jambe.
— … Surtout qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Je crois avoir très envie de t’enlever cette nuisette.
Le contact des deux mains de Sophie se fait sentir sur le côté de sa nuisette qu’elle relève maintenant totalement, dévoilant son nombril, le haut de son ventre. L’espace d’un instant la poitrine se Marie se prend dans le tissu avant de retomber d’un coup, dans un mouvement des plus sensuels. La jeune femme dresse ses bras en l’air pour que Sophie puisse y faire glisser sa nuisette par le haut, avant mécaniquement de replacer ses avant-bras sur sa poitrine récemment découverte. Ce geste de pudeur soudaine amuse Sophie qui ne peut s’empêcher de le souligner :
— T’étais moins farouche dans la cabine d’essayage.
La petite phrase fait sourire Marie. Le long silence qui s’installe par la suite beaucoup moins. Le calme lui apparait plus insupportable que le tumulte fous de ces dernières heures. Tout d’abord parce qu’il impose une absence de bruit à laquelle Marie est bien incapable de se soumettre, avec sa respiration haletante et ses petits mouvements de jambes incontrôlés. Ensuite, et surtout, c’est parce que le silence la renvoie à l’absurdité de la situation et aux questions qu’elle continue à se poser. Sophie joue avec elle, c’est évident. Elle craint d’être déçue, mais au point où il en est son corps ne peut plus reculer. Quelques secondes passent. Puis des dizaines.
Marie est quasi-nue, plantée au milieu d’une pièce que la cécité lui fait paraître immense. Pourtant elle connaît par cœur la chambre de Sophie. Elle sait que les espaces n’y sont pas si grands. Elle se représente très bien l’endroit où elle se trouve et le chemin qu’il lui reste à parcourir. La perspective de voir Sophie l’inviter à faire les deux pas qui la sépare du lit pour s’y allonger langoureusement et attendre qu’elle en fasse de même la traverse brièvement. Elle se pense même à imaginer un scénario plus audacieux dans lequel Sophie la plaquerait contre le mur pour lui insérer un doigt. Le dénouement est assurément proche. Ses jambes frémissement une nouvelle fois de désir. Son manque de sexe sur les derniers mois transpire dans chaque réaction de son corps.
Ce petit jeu avec Sophie la semaine dernière l’a mise dans un état de quasi-transe qu’elle n’avait jamais ressenti. Depuis quelques heures c’est tout son enveloppe charnelle qui hurlé au manque de toucher. Même le jeune homme de la cage d’escalier aurait pu en faire les frais à son détriment... ou son plus grand bonheur ! Bien que la situation ne soit toujours pas très claire à ses yeux, Marie a la certitude que le dénouement est proche. Reste maintenant à savoir de quoi il est fait.
Aucun bruit dans la pièce. Pourtant quelque chose reprend. La sensation du plumeau se fait sentir à nouveau sur la peau de la jeune femme. Celui-ci parcourt maintenant des allers-retours répétitifs le long de ses hanches, remontants de long de sa taille, effleurant le bas de ses seins découverts, brossant le concours de ses bras et ses épaules, comme s’il cherchait à la dessiner.
Enfin la voix de Sophie résonne à nouveau dans la pièce, comme un écho qui vient sortir Marie de son mélange confus de réflexions sur le comportement de son amie et de rêveries érotiques :
— Marie je dois d’avouer deux choses. Premièrement je ne pensais absolument pas il y a deux semaines de cela que je nous retrouverais un jour dans ma chambre, un plumeau à la main, et toi à moitié nue. La situation a de quoi être surprenante … surtout que je ne suis absolument pas lesbienne.
Sophie s’interrompt quelques secondes
— Puis il y a eu la séance shopping. La cabine, ta respiration, tes réactions, ton excitation. T’as dû t’imaginer plein de choses, tu t’es prêtée au jeu des photos et moi je suis repartie aves de très beaux clichés. Ce jour là je dois bien avouer, je t’ai trouvée craquante …
Le plumeau effleure maintenant le cou de Marie. La jeune femme tortille sa tête comme si un homme venait de lui glisser un baiser brulant.
— … mais si tu ne m’as pas laissé indifférente, je ne suis pas du tout la personne à qui tu as fait le plus d’effet. Un de tes admirateurs secrets, qui m’avais recontacté pour avoir de tes nouvelles, a semble-t-il beaucoup apprécié tes poses sensuelles. Pourtant c’était pas la première fois qu’il te voyait en lingerie.
Marie se fige subitement. Elle ravale sa salive et redresse sa tête. Elle semble avoir du mal à réaliser ce que son amie vient de lu dire.
— Doucement ma Marie, calme-toi, ça va bien se passer. Tu le connais, tu m’as même beaucoup parlé de lui récemment. Et comme vous agissez comme deux enfants qui n’osent pas se parler, je me suis dit que j’allais organiser cette petite surprise. Entre adulte, on peut se permettre de faire quelque chose de plus excitant qu’une rencontre dans un café. — Attends … tu veux parler de Marc ? Il est dans la pièce ? répond Marie complètement stupéfaite.— Il est là, à quelques mètres de toi. Et il apprécie énormément le spectacle. Mais tu ne vas pas me faire croire maintenant que tu n’as pas rêvée de le revoir et de passer un moment privilégié avec lui. Pas après tous ces songes que tu m’as racontés.
Un léger sourire se dessine sur le visage de Marie, signe qu’elle ne conteste pas. Sophie s’approche maintenant de l’oreille de Marie pour que Marc n’entende pas.
— Maintenant si ça te va je vais te laisser enlever ton bandeau, puis j’irai passer une soirée en ville avec mon mec. Je vous laisse mon appartement pour quelques heures, faites en ce que vous voulez. Je reviens vers minuit et je veux plus vous voir. Et si tu peux juste défaire les draps du lit après vos petites affaires, ça m’évitera de le faire. De toute façon notre truc en ce moment c’est de baiser dans la cuisine et les toilettes des restaurants. Allez, je te retire ce bandeau ?
Mari hoche légèrement de la tête. Elle entend les pas de Sophie se placer derrière elle, puis ressent ses doigts défaire le nœud. Le voile tombe au pied de Marie qui n’a que le temps d’apercevoir rapidement Sophie quitter la pièce. Puis son visage se tourne vers le lit duquel Marc vient de se lever. Il porte encore sa chemise et son pantalon de costume, comme s’il venait de sortir du travail. Il s’approche de Marie qui le regard intimidé et lui demande :
— Pas trop surpris de me voir ?
La voix de Marc vient brutalement sortir Marie du flou dans lequel elle se trouve. Elle ne retrouve que très progressivement ses esprits et s’arrête quelques instants avant de répondre :
— Je sais même pas quoi répondre. Je te cache pas que je ne m’y attendais pas. Un peu surprise mais … finalement pas déçue.— Tant mieux alors. Et maintenant que tout est un peu plus clair pour toi : on fait quoi ? interroge Marc en souriant.— Je sais pas … au vu de la situation je dirais : on fait l’amour et on discute après ? Enfin, si je te plais toujours évidemment …
Marc ne répond pas, s’avance et vient coller son torse contre celui de Marie qui vient l’enlacer. La jeune femme s’accroche aux épaules de son homme qui la fait progressivement reculer jusqu’à atteindre le mur de la chambre. Ne pouvant plus bouger elle relève son visage vers celui de Marc, en attendant son prochain mouvement. Ce dernier s’immobilise quelques secondes, contemple celui de sa belle, avant de rapprocher progressivement le sien.
Ses lèvres s’arrêtent à quelques centimètres de celles de Marie, un instant de pause durant lequel il ressent la respiration brûlante de sa compagne retrouvée. La jeune femme s’attend à un baiser tendre qui viendrait rompre la tension. Au lieu de cela elle sent la main droite de Marc se placer délicatement dans son dos pour se positionner juste au-dessus de ses fesses, saisissant son corps en la ramenant violemment vers lui. Le visage de la jeune femme se heurte à celui de son homme qui attrape ses lèvres avec assurance. Le baiser dure de très longues secondes pendant lequels les amants sont immobiles. Marie décolle alors légèrement sa tête, contemple le visage de Marc en affichant un grand sourie, puis entrouvre un peu plus la bouche. Le deuxième baiser est plus bestial que le premier. Marc positionne sa main derrière la tête de Marie, appuie son visage contre le sien et vient effleurer de sa langue l’intérieur des lèvres trempées de sa compagne.
Son autre main remonte progressivement le long du dos de Marie puis vient se mettre sur le côté avant de redécouvrir progressivement la poitrine de son ex. La jolie blonde réplique en positionnant ses doigts sur les boutons de sa chemise qu’elle déboutonne difficilement. Marc lui vient en aide et retire son haut, dévoilant son torse nu contre lequel elle vient immédiatement se blottir. Elle enlace son corps, respire son odeur, aspire sa peau. Cet instant de pure tendresse ne dure pas longtemps. Progressivement, tout en la serrant, d’un mouvement très subtil, les mains de Marc descendent le long de son dos et viennent effleurer son tanga. Elle laisse échapper un petit rire. Il est assurément tout aussi excité qu’elle l’est.
Marie vient alors attraper de ses mains les fesses de Marc à travers son pantalon de costume. Elle décide alors de prendre les devants. Elle repousse légèrement Marc avant de le faire pivoter et le plaquer contre le mur. Elle passe sa main sur son entrejambe qu’elle sent bien excité puis défait sa ceinture tout en l’embrassant. Le pantalon tombe au sol. Marie s’agenouille pour retirer le caleçon de son ancien compagnon et découvrir ce sexe qui lui avant tant manqué. Elle voit celui-ci se dresser au niveau de son visage. La jeune femme prend quelques secondes pour le regarder, hésite à le prendre en bouche, s’apprête à y déposer un premier baiser, quand elle sent la main de Marc lui attraper les joues et lui ordonner d’un air viril de se relever. Marie s’exécute. Elle n’a à peine le temps de se redresser pleinement qu’il s’avance vers elle et la fait s’allonger sur le lit.
La jeune femme s’étend et jette un regard à son homme qui se dirige lentement vers elle avec la ferme intention de lui faire l’amour. Marc dépose alors un premier baiser sur les mollets puis les genoux de sa conquête avant de la couvrir méticuleusement de ses lèvres. Il embrasse son tanga puis passe ses doigts sous la ficelle pour l’ôter à son amante. La bouche de Marc ne s’attarde par sur l’intimité de Marie et continue à remonter vers son visage, posant ses lèvres sur son ventre et s’attardant à peine sur sa poitrine.
Marie tremble en voyant le visage de Marc sur le sien. Ce dernier l’embrasse puis observe son expression se transformer à mesure que l’instant tant attendu approche. Il ne manquerait pour rien au monde le regarde brillant de Marie et ce petit sursaut qui la parcourt au moment où son sexe se dirige aux portes de son intimité. La respiration de Marie s’emballe dans ses instants fatidiques. Marc joue frotte son sexe contre son vagin, la pénètre difficilement, puis réussit à s’insérer, déclenchant un petit cri de soulagement chez sa compagne qui voit sa respiration se calmer légèrement.
Il décolle légèrement son buste de celui de Marie, l’occasion pour la jeune femme de placer ses deux mains sur ses pectoraux et les agripper avec ses ongles : la voilà prête à subir les assauts de son homme. Les premiers mouvements de bassins débutent. D’abords très lents puis légèrement plus rapides. Les cuisses de Marie accompagnent chacune des ondulations de Marc, leur donnant une amplitude particulière. Les amoureux retrouvés profitent de chaque instant de cette nouvelle fusion. Lentement ils reconstruisent cette osmose perdue en articulant leur corps au rythme de l’autre.
Le buste légèrement décollé de Marc vient ensuite se rabattre contre celui de Marie, écrasant la jeune femme sous le poids de son étalon. Sa main gauche qui lui servait auparavant de soutien vient se positionner dans le dos de sa compagne, augmentant sa prise sur elle. La respiration de Marie s’emballe devant cette nouvelle proximité. La fréquence des battements gagne petit à petit en intensité, à mesure que Marc sent sa belle réceptive à ses coups de boutoir.
Le plaisir ne tarde pas à se faire sentir chez la jeune femme qui était déjà transie par l’excitation de la situation. Des frissons de plaisir remontent le long de son ventre et s’expriment par des premiers râles. Marc déplace alors sa main gauche sur les fesses de Marie qu’il sentait gigoter depuis les premiers mouvements, puis, excité par le contact de celles-ci, augmente encore l’intensité des mouvements. La réaction de la jeune femme est d’abord silencieuse. Marie se contente de faire pivoter sa tête sur le côté, mais son visage trahit tous les sons qu’elle tente de retenir. Le vernis craque et c’est un premier cri de jouissance qui échappe à la jolie blonde pénétrée. Ne pouvant cacher son immense plaisir elle saisit le visage de Marc de ses mains et l’embrasse fougueusement, dans une alternance de baisers trempés et de respirations sauvages.
Marie exulte déjà de bonheur dans cette scène d’amour où tout est allé très vite. Petit à petit elle sent le mouvement de ses cuisses devenir incontrôlable, des contractions venir du plus profond de son intimité. C’est alors que Marc vient saisir de ses deux mains puissantes les poignets de Marie et les plaquer au-dessus de sa tête, contre la barrière en bois du lit. La jeune femme est alors totalement impuissante. Elle écarte au maximum les cuisses et laisse son homme se déchainer avec toute sa fureur sur son corps offert. Soumise jusqu’au bout, elle ne peut que fermer les yeux et se mordre les lèvres devant la jouissance à venir.
Dans une ultime intensité Marc multiplie les claquements de son bassin contre les cuisses de Marie. Ce bruit issu du contact charnel enhardi encore son mâle dominant que plus rien ne pourra maintenant arrêter. Intérieurement les yeux de Marie roulent de plaisir au moment où le pénis de Marc assaille le vagin de la jeune femme. Les picotements le long de son sexe annoncent l’orgasme à venir. Un aller-retour plus tard c’est tout son souffle qui s’échappe dans un râle puissant, à mesure que sa semence vient tremper les parois de l’intimité de sa belle. Cette dernière reçoit la délivrance de son homme avec un puissant cri de jouissance auquel succèdent encore les tremblements de son entre-jambe.
Marc s’écroule sur elle avec une respiration rauque. Il ne relève la tête qu’après plusieurs secondes pour y constater l’implacable satisfaction sur le visage de Marie. Cette dernière passe ses bras autour du dos de son homme et le serre, comme pour le remercier sans lui dire un mot. Ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes que Marc vient décoller son bassin et s’effondrer sur le dos au côté de sa belle. Les deux amants restent allongés quelques instants avant que Marie ne se lève pour aller se doucher. Seul le jet d’eau chaude semble l’aider à réaliser ce qu’il vient de se passer. Elle revoit défiler les images sous ses yeux, repense à sa frustration des semaines passées et à ses masturbations sous la douche.
Marc vient la rejoindre au bout de quelques minutes. Il se positionne dans le dos de Marie qu’il enlace sous le jet d’eau. La jeune femme se perd dans ses pensées en laissant l’eau couler sur chaque centimètre de son corps, de ses longs cheveux blonds à son bassin qui se remet à peine de l’acte sexuel passé. Son enveloppe charnelle toute entière est maintenant celle d’une femme heureuse à qui son homme vient de faire l’amour. Enlacée dans ses bras elle laisse le temps filer, étouffé par le bruit de l’eau et les quelques baiser de Marc sur ses joues. Blottie contre son corps, elle jouit de chaque instant offert contre sa peau.
Seule une augmentation du rythme des baiser sur ses jours et un déplacement des mains de Marc sur son corps vient extirper progressivement Marie de son petit nuage pour repasser sur quelque chose de plus sensuel. Progressivement elle ressent une légère pression effleurer sa fesse gauche. Marie descend alors sa main et réalise que le sexe de Marc s’est déjà bien remis de la séance passée. Souriante, elle tourne son visage vers celui de Marc et l’embrasse tout en commençant à le masturber délicatement.
Constatant toute la vigueur de son amant elle décide d’avancer son corps contre la paroi de verre et de se pencher pour bien exposer son postérieur. Elle n’eut pas besoin d’être plus explicite que déjà Marc vient se positionner entre ses cuisses et insère son sexe dans sa fente. Il n’y eut cette fois ci pas de préliminaire ou d’instant douceur. Marie ressent rapidement toute la volonté de son compagnon retrouvé qui s’excite sur ce séant à grand coup de bassin. La baise est des plus rapides et sauvages. Marie vient plaquer ses seins contre la paroi tandis Marc se déchaine à chacun de ses mouvements. La jouissance intervient très rapidement pour Marc qui vient à nouveau déposer sa semence en sa jolie blonde. Totalement conquise à l’idée d’avoir permis à son homme de se libérer d’une envie soudaine, Marie jouit de chacun des battements et plus particulièrement du dernier.
Les amoureux n’échangent cette fois-ci aucun mot. Marie sort rapidement de la douche et entreprend de se sécher sous les yeux de Marc toujours ébahi. Puis elle se rhabille, défait les draps, dit au revoir à Marc et lui indiquer qu’elle n’a pas changé de numéro depuis la dernière fois.
Il fallut plus d’une semaine aux tourtereaux pour se revoir et plus d’un mois pour qu’ils couchent à nouveau ensemble, une idée de Marie cette fois, qui s’est jurée de ne pas retomber si facilement dans les bras d’un ex, même si celui-ci possède un beau sexe et qu’il sait parfaitement manier le corps de la jeune femme pour combler ses envies.

FIN
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