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Une chose, en amenant une autre...

Chapitre 1

Une Mamie nudiste et libertine.

Inceste
Ma grand-mère l’est devenue encore jeune, puisque quand je suis né elle n’avait que 36 ans. Je n’expliquerai pas comment c’est arrivé car ce n’est pas le sujet, toujours est-il qu’avoir une Mamie qui n’a pas encore de rides présente bien des avantages, lorsqu’on est un enfant. Surtout si elle est beaucoup plus ouverte d’esprit que vos propres parents, et qu’elle vous laisse des libertés que vous n’avez pas lorsque vous êtes à la maison. Il n’était pas rare que les gens qui ne nous connaissaient pas croient que j’étais son fils, quand elle venait me chercher à l’école ou qu’elle m’emmenait en promenade, car étant donné qu’elle n’a jamais travaillé elle s’est beaucoup occupée de moi, jusqu’à ce que je sois en âge de le faire tout seul.
  Aujourd’hui j’ai 20 ans, elle en a par conséquent 56, et bien que des pattes d’oie soient apparues aux coins de ses yeux ainsi que quelques ridules aux commissures de ses lèvres, cela n’a rien enlevé à sa beauté. D’autant plus que sa peau est encore lisse, mis à part sa poitrine qui est généreuse elle a gardé un corps svelte, et les couleurs qu’elle se fait ont l’air naturelles étant donné qu’elle a conservé la teinte d’origine de ses cheveux qui est brune. Une des rares concessions qu’elle a faite à sa maturité étant qu’elle est presque toujours coiffée d’un chignon, ce qui lui confère une certaine autorité dont elle aime jouer, mais que démentent souvent ses yeux rieurs.
 Moi je le trouve magnifique et adorable, mais peut-être que je ne suis pas objectif puisqu’il s’agit de ma Mamie, et que je l’adore étant donné que nous sommes depuis toujours très complices.
 Carole puisque c’est son prénom est veuve depuis des années, vu que son mari qui avait 20 ans de plus qu’elle est mort d’un arrêt cardiaque quand je n’étais encore qu’un bambin. Cependant il ne l’a pas laissée dans le besoin vu qu’elle habite une belle villa avec piscine sur les hauteurs de Marseille, dont elle est la propriétaire, et qu’elle n’a aucun souci pour régler ses factures. Bien qu’elle était encore jeune lorsque mon grand-père dont je n’ai qu’un vague souvenir l’a abandonnée, elle ne s’est jamais remise en couple, et jusqu’à très récemment j’ignorais tout de se vie intime car elle a toujours été très discrète à ce sujet. 
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 Je vais souvent rendre visite à Mamie, toujours à sa demande en m’annonçant car elle a aussi ses petites manies, et en ce vendredi du mois de juin alors que je dois me rendre chez elle quand j’aurai fini de travailler, mon dernier rendez-vous professionnel vient d’être annulé par le client que je devais rencontrer. J’ai par conséquent le choix entre aller chez ma grand-mère avec une bonne heure d’avance, où me trouver un bar dans les environs pour patienter.  Je choisis la première solution convaincu qu’elle ne m’en voudra pas, et je pénètre dans sa propriété dont je suis le seul à part elle à avoir la clef. Une fois ma voiture garée devant sa villa je vais à l’intérieur de cette dernière, que je trouve vide. Pensant qu’elle s’est peut-être assoupie je l’appelle en modérant ma voix, lorsque je remarque qu’il y a de la musique sur la terrasse. S’y trouve à côté de la piscine un lit d’extérieur avec un auvent pour protéger du soleil, et Mamie adore s’y prélasser en restant à l’abri de ses rayons. Car si son corps bien conservé a une belle teinte bronzée, elle ne s’expose pas de manière intensive afin d’éviter que sa peau ne devienne fripée.  Tandis que Gary Moore entame le solo de guitare de sa chanson Parisienne Walkways, je la trouve là où je m’y attendais mais dans une situation très déroutante. Alors que jusqu’à présent je ne l’avais jamais vue autrement que dans des tenues décentes, Mamie est nue mis à part les mules à talons aiguille qu’elle a aux pieds, et coiffée aujourd’hui d’une queue de cheval fixée sur le sommet de son crâne mais partant vers l’arrière. Ce qui fait que ses cheveux longs montent en l’air avant de retomber sur son dos, pour ensuite se diviser de chaque côté de son buste.   Car elle n’est pas allongée mais à quatre pattes, sa crinière tout comme ses gros seins qui pendent sous elle se balançant allègrement au rythme de ses mouvements, étant donné qu’en plus elle n’est pas seule puisque deux hommes qui ont la trentaine lui tiennent compagnie, pratiquement dans la même tenue qu’elle. L’un est à genoux derrière ma grand-mère, il fait coulisser assez rapidement et avec un plaisir évident son sexe en érection dans son vagin, tout en la tenant par les hanches, tandis que l’autre moins pressé est devant elle, faisant la même chose dans sa bouche.  Je reste interdit, devant ce spectacle que je n’aurais jamais pu imaginer. Mamie lorsqu’elle se rend compte de ma présence, loin d’être gênée baisse la musique avec la télécommande qui était posée sur le lit, puis avec la même main elle repousse le type devant elle pour le faire ressortir, ensuite elle me regarde et me dit :
 ― Tu es déjà là, mon Biquet ? Maintenant au moins, tu sais pourquoi je voulais que tu me préviennes toujours avant de venir. Sois gentil, vas te chercher une bière dans le réfrigérateur et attends-moi dans le salon. Je viendrai t’y retrouver, quand nous aurons terminé. 
 Puis elle remet le volume du son au niveau qu’il avait avant, puis elle se détourne de moi pour faire à nouveau face au type en ouvrant les mâchoires en grand, afin qu’il s’enfonce à nouveau dans son gosier. La chose me semble d’autant plus irréelle que les deux hommes ne s’intéressent pas plus à moi que si je faisais partie du décor, et une fois le choc passé et ne voulant pas jouer les voyeurs, je fais ce que ma grand-mère m’a demandé. 
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 Quand je me suis retrouvé assis sur la canapé avec une canette à la main j’allume machinalement la télévision, et je zappe aucune image n’arrivant à capter mon attention. Car à l’intérieur de ma tête il y a celle de ma Mamie, en train de faire l’amour avec deux types dont les âges additionnés doivent atteindre le sien. Je n’en ressens aucune excitation mais un trouble profond, au point que je me rends compte que j’ai fini ma bière, que quand j’avale de l’air à la place du liquide ambré en portant la bouteille à ma bouche.
 Je me dis que je vais aller m’en chercher une autre, et peut-être même plusieurs, lorsque je vois ma Mamie entrer par la porte-fenêtre qui donne sur le côté de sa maison. Elle est toujours dans la même tenue, sa queue de cheval haute se balançant à la cadence de ses pas, tout comme ses seins encore bien pleins ne pendant pas de manière exagérée et qui ont repris leur position habituelle, même si je ne les avais jamais vus avant. Ils surplombent son ventre légèrement bombé, qui fait la même chose avec sa vulve aux grandes lèvres charnues parfaitement exposées. Car contrairement au reste de son intimité qu’elles dissimulent, elles sont visibles et forment à l’endroit où elles se rejoignent une fente sombre, puisque celle à qui elles appartiennent est intégralement épilée ou rasée de frais.  Alors qu’à l’odeur qu’elle dégage, un mélange de sperme, de mouille et de sueur fraîche, il est évident qu’elle n’a pas pris le temps de se doucher, ma grand-mère sans s’inquiéter du fait qu’elle peut le salir s’assoit sur le canapé à côté de moi, puis elle me demande doucement tout en me caressant tendrement la joue : 
 ― Je t’ai choqué, mon Biquet ? ― Ils sont partis ? ― Bien entendu, qu’ils sont partis. Les plans cul ça vient, ça tire un coup puis ça s’en va. Mais tu n’as pas répondu à ma question.   Je tourne la tête pour la regarder, et en me focalisant sur son visage je retrouve la Mamie que j’ai toujours connue, avec de la tendresse et de l’amour au fond des yeux, et dans lesquels je trouve la force de lui dire :
 ― Non, je ne suis pas choqué. C’est juste que, je n’aurais jamais imaginé que ce que j’ai vu soit possible…
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 Elle n’est pas vexée, mais je perçois au contraire un pointe d’amusement dans sa voix lorsqu’elle m’explique :
 ― Eh bien quoi ? Tu pensais que j’étais asexuée comme les anges? Où alors que je suis trop vieille, pour plaire encore aux hommes ?
 Je me défends, en rougissant :
 ― Non, tu es encore une très belle femme. Et après avoir vu ton corps, je suis certain que tu en ferais baver d’envie plus d’une, et même des plus jeunes que toi, si elles te voyaient sur une plage. C’est juste que… t’es ma Mamie, quoi… ― Je suis ta Mamie, mais également comme tu l’as fait remarquer une femme. Avec des besoins et des envies, comme toutes les autres.
 Elle soupire, puis elle ajoute :
 ― Tout ça c’est de la faute de ton père. Avec ton grand-père nous étions libertins, car je ne le suis pas devenue après sa mort. Nous avons élevée ta mère comme les nudistes que nous étions, bien entendu en préservant son intégrité par rapport au sexe. Puis quand elle a rencontré ce type, par amour pour lui elle est devenue puritaine, et ils t’ont élevé dans cette morale idiote, alors que contrairement à moi ils ne sont même pas croyants.  ― Tu veux dire que, avant M’man c’était aussi une nudiste ?!? ― Bien entendu. Elle l’est restée jusqu’à ce qu’elle se mette avec lui. Et si tu l’avais vue à poil dès ton plus jeune âge, et que ton père ne m’avait pas interdit de me montrer nue devant toi, sous peine de m’interdire de pouvoir te garder quand tu n’allais pas à l’école, tu aurais grandi dans l’idée que nous sommes des femmes comme les autres. Et tu en aurais déduit sans que nous ayons à franchir les limites de la vraie décence, que notre sexualité ne s’est pas arrêtée le jour où nous avons mis nos enfants au monde.  Mamie marque une courte pause, puis elle conclue :
 ― Heureusement pour toi tu es un très beau jeune homme. Sinon, tu serais peut-être toujours en train d’attendre ta première expérience avec une fille, ne sachant pas comment l’aborder, et ayant peur de la manière dont elle va réagir.  
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 Lorsque j’ai dit que ma grand-mère et moi sommes très complices, je n’ai pas exagéré. C’est la raison pour laquelle elle sait comment a débuté ma première relation sérieuse avec une fille, à l’aube de mes 18 ans. Puisque quand je me suis fait draguer pour la toute première fois par une femme qui en avait cinq de plus que moi, alors que les précédentes avaient attendu avec plus ou moins de patience que je fasse un premier pas qui n’est jamais venu, c’est vers ma Mamie et personne d’autre que je me suis tourné pour avoir des conseils. 
 Elle m’a alors dit :
 ― Avoue-lui que tu es encore puceau. Soit elle va se foutre de ta gueule, ce qui démontrera qu’elle ne t’aime pas, soit elle va te prendre en main et peut-être même te materner, ce qui fera de toi le plus heureux des hommes.
 C’est ainsi qu’a débuté ma liaison avec Léa qui effectivement m’a tout appris, et qui a duré près de deux ans jusqu’à ce qu’elle soit mutée dans le sud-ouest de la France, au printemps dernier. Depuis je suis célibataire, car même si nous nous sommes aimés nous avons décidé d’un commun accord de rompre, estimant tous les deux que nous n’étions pas faits pour vieillir ensemble. Mais grâce à elle j’ai pris confiance en moi, et lorsque je rencontrerai la prochaine femme qui sera digne d’intérêt à mes yeux, je n’hésiterai pas cette fois à tenter les approches d’usage. 
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 Mais pour l’instant je suis assis sur le canapé du salon de ma grand-mère et en sa compagnie, habillé alors qu’elle est nue, et ayant fait la part des choses puisque je considère à présent qu’elle est toujours celle que je connais depuis ma naissance, je lui demande sérieusement :
 ― Bon, alors on fait quoi ? Tu te rhabilles ou je me désape ?
 Elle me sourit visiblement heureuse que je prenne les choses de cette manière, puis elle me répond :
 ― Étant donné qu’on est dans le sud et qu’il fait chaud, vu que l’été commence dans deux jours, la logique voudrait que ce soit toi qui te mettes à poil. Mais bien entendu, si tu trouves que c’est top tôt par rapport à ce que tu as vu tout à l’heure, rien ne nous presse. Moi je vais aller me doucher car je pue la baise, et tu pourras prendre tout le temps dont tu auras besoin pour te décider. 
 Joignant le geste à la parole elle se lève avec souplesse, puis elle quitte le salon se déplaçant avec aisance et même élégance, sur ses talons aiguille mesurant plus de dix centimètres. Alors que je ne me souviens pas de l’avoir vue en porter d’aussi hauts, ni d’aussi fins.
 Pendant que ma grand-mère se lave je vais jeter ma canette dans la poubelle de la cuisine, puis je me rends dans ma chambre vu qu’ici j’en ai une rien qu’à moi, même si à part des vêtements de rechange elle contient très peu d’objets personnels, car ils sont pour la plupart dans celle que j’occupe de manière beaucoup plus permanente chez mes parents. Une fois sur place, sans avoir vraiment eu besoin de réfléchir j’enlève toutes mes fringues, mettant en contrepartie à mes pieds la paire d’espadrilles qui me sert de chaussons, puis le plus naturellement du monde je vais sur la terrasse. Une fois que j’y suis, j’analyse la sensation étrange de sentir la caresse du soleil sur la peau de mon bassin, qui ne l’a jamais vu avant. 
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 Mamie ne tarde pas à venir m’y retrouver, et la situation est à présent inversée puisque après s’être séchée au sortir de la douche, en plus d’avoir rattaché ses cheveux en chignon comme c’est son habitude, elle a enfilé un kimono probablement en soie qui couvre l’essentiel, même s’il s’arrête en haut de ses cuisses. En me voyant elle sourit, elle dénoue la ceinture qui colle l’un à l’autre les deux pans de son vêtement, me dévoilant à nouveau ses gros seins et son sexe, puis elle me dit sur un ton d’excuse :
 ― Je ne savais pas si tu t’étais décidé, alors j’ai joué la carte de la décence.
 Après elle me demande :
 ― Tu restes dîner avec moi, ce soir ? ― Ça dépend, tu vas faire quoi ?
 C’est un jeu entre nous, puisque n’ayant jamais eu besoin de travailler elle a développé certains talents, et l’art culinaire n’est pas des moindres. Pourtant, elle me répond très sérieusement :
 ― Si on est deux ce sera spaghetti sauce morilles, et si je suis seule ce sera plat décongelé au micro-ondes. ― Hum, nue ou habillée, tu as toujours su me prendre par les sentiments.
 Cette réplique la fait sourire, et elle me dit :
 ― Dans ce cas appelles ta mère pour la prévenir. Et évites de lui dire qu’on est tous les deux à poil, car si elle le répète à ton père il va en faire toute une histoire, même si n’y a pas péril en la demeure.  Après avoir téléphoné je vais rejoindre dans sa cuisine ma grand-mère qui a retiré son kimono. Si alors que je me suis assis sur un des tabourets du bar américain pour la regarder nous préparer à manger, au départ je trouve étrange de la voir s’activer complètement nue sa poitrine bougeant au rythme de ses mouvements, je ne tarde pas à trouver ça complètement normal. Et même amusant après avoir bu deux verres de Chianti blanc, puisque j’en ai à sa demande débouché une bouteille pour l’apéritif. 
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 Finalement je suis resté dormir sur place, et lorsque nous prenons notre petit déjeuner le lendemain matin dans la même tenue que la veille au soir, je questionne ma grand-mère :
 ― Dis Mamie, les pompes que t’as aux pieds les femmes les mettent d’habitude pour séduire, et elles ne doivent pas être très confortables. Alors pourquoi tu les portes en permanence ?
 Elle sourit, avant de me répondre :
 ― Tu vas peut-être me trouver ridicule, mais avec je me sens encore plus féminine. Même quand je suis seule. 
 Puis elle ajoute :
 ― Et contrairement à ce que tu penses, elles sont très confortables. Tu veux les essayer, pour voir ?
 Il s’agit bien entendu d’une boutade de sa part, puisque ne mesurant que 1 mètre 65 elle chausse du 37, et moi du 43 pour 1 mètre 83. Mais je la crois sur parole et je n’insiste pas. 
 Une fois notre repas matinal terminé, elle m’annonce :
 ― À midi je reçois mon amie Patricia. Mais ne t’imagines surtout pas, que je veux te faire fuir.  Un peu surpris, je me renseigne mi-figue mi-raisin :
 ― Elle est ton amante, et vous voulez rester entre vous ? ― Figure-toi qu’il nous arrive de nous lécher, mais ce n’est pas le problème car nous savons nous tenir.  ― Mais c’est quoi le problème, alors ? ― Si comme moi elle n’a eu qu’un seul enfant, elle s’est par contre décidée sur le tard puisqu’il s’agit d’une fille qui a aujourd’hui 18 ans. Tu te souviens peut-être d’elle, car vous vous êtes vus plusieurs fois quand vous étiez enfants. Mais il se trouve que Sarah est très timide, et nous avons sa mère et moi décidé de lui faire faire du nudisme, dans l’espoir que ça lui permettra de prendre confiance en elle. Seulement elle n’en est qu’à ses débuts, et n’a encore jamais vu d’homme à poil pour de vrai. 
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 Je connais la maman qui a si je me rappelle bien a deux ans de moins que ma grand-mère, et si elle n’est pas aussi bien conservée car elle s’est empâtée en prenant de l’âge, je me souviens que quand j’étais enfant il s’agissait d’une belle femme blonde aux yeux clairs. Quant à sa fille mes réminiscences d’elle sont beaucoup plus vagues, car nous avons nous aussi deux ans d’écart et appartenons aux sexes opposés. Par conséquent jusqu’à ce que nous devenions adultes, nous ne pouvions éprouver que peu d’intérêt l’un pour l’autre. Par contre, si elle ressemble à sa mère quand cette dernière était plus jeune…
 Mamie qui m’a observé tout le temps que je réfléchissais à ça, a parfaitement compris ce qui est en train de se passer dans ma tête. Pourtant il n’y a aucune désapprobation dans son regard, quand elle me dit :
 ― Bon, je vais appeler Patricia pour savoir ce qu’elle en pense. Mais tu dois me promettre que tu ne feras pas n’importe quoi. Car il est question d’un repas nudiste entre amis, et basta. 
 Je prend un air le plus innocent possible, puis je réponds :
 ― Voyons, Mamie. Tu sais que je suis encore capable de faire des bêtises, mais pas de ce genre.  Ma grand-mère me fait alors un sourire chargé de tendresse, car je n’ai pas besoin de la convaincre étant donné qu’elle n’a aucun doute au sujet de ma sincérité, puis elle sort de la cuisine très certainement pour aller téléphoner. 
 Elle vient me retrouver un peu plus tard sur la terrasse, et la première chose qu’elle me dit c’est :
 ― Tu devrais te mettre de la crème sur les fesses mais aussi sur la bite, mon Biquet. Car même si elle a l’air bronzée ce n’est pas le cas, et si tu prends un coup de soleil dessus tu vas jouir toute la nuit prochaine. 
 Je rougis légèrement, car non seulement ce qui était pour elle il n’y a pas si longtemps mon zizi est devenu ma bite, qui plus est capable de jouir, et cette allusion sexuelle ne devrait pas selon-moi avoir lieu entre une grand-mère et son petit-fils. Mais en plus, je me trouve idiot de ne pas avoir pensé à me protéger. Je n’en perds pas le nord pour autant, alors je lui demande :
 ― Et sinon, tu as téléphoné à ton amie ?
 J’ai droit à un sourire ironique, puis à sa réponse :
 ― Oui. Mais elle doit en parler à sa fille, avant de pouvoir me confirmer que la petite acceptera ta présence. Car je te rappelle que nous agissons pour son bien, par conséquent, il n’est pas question de la brusquer.    C’est vers 11 heures du matin que cette confirmation arrive, et je n’étais pas vraiment inquiet puisque je ne sais pas du tout à quoi peut ressembler cette fille aujourd’hui. La seule chose dont je me souviens en ce qui la concerne c’est une paire de couettes blondes, appartenant à une gamine qui avait peur de son ombre. Elle peut par conséquent être devenue une très belle jeune femme, ou pas, et tout ce que j’éprouve pour l’instant à son sujet c’est de la curiosité. Toujours est-il qu’elle a bravement accepté de voir en chair et en os le tout premier homme nu de sa vie, et qu’il s’agira de moi.  
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