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Une chose, en amenant une autre...

Chapitre 2

Une oie blanche à la peau dorée, et juteuse.

Hétéro
Lorsque Patricia et Sarah arrivent, je suis toujours au bord de la piscine. J’ai en effet décidé de prendre le tout premier bain nudiste de ma vie. Après je me suis allongé au soleil, badigeonnant de crème protectrice les parties de ma peau qui n’y sont pas habituées, comme ma Mamie me l’a conseillé. Bien entendu, avant cela j’ai appelé ma M’man pour la prévenir que je n’allais pas rentrer, ce qui ne l’a pas vraiment étonnée étant donné qu’il n’est pas rare que je squatte chez sa mère. 
 Ayant passé une bonne nuit, même si j’ai fermé les yeux je ne suis pas en train de dormir ni même de somnoler, mais j’ai tout simplement laissé mes idées vagabonder lorsque j’entends des voix dans la maison. Sans me presser je me redresse puis je me lève, et je chausse mes espadrilles pour aller accueillir les nouvelles venues. La première chose que je constate en les voyant c’est que les invitées se sont déjà mises nues, et même si remarquer ce détail pourrait sembler surprenant, elles ont aux pieds le même type de chaussures que leur hôtesse, avec des talons aussi hauts.
 Les deux femmes font la même taille que j’évalue à 1 mètre 60, et elles ont la même blondeur de cheveux bien qu’elles ne soient pas coiffées pareil, en effet si la maman s’est comme ma grand-mère fait un chignon, sa fille a laissé pendre librement sa crinière qui lui arrive au milieu du dos. Elles ont également des yeux clairs identiques sans que j’arrive à déterminer s’ils sont bleu ou vert, c’est pourquoi je me décide pour turquoise. Mais aussi la même teinte de peau intégralement dorée, bien que le visage de la plus jeune des deux ait viré à l’écarlate en me voyant. 
 Mais la comparaison s’arrête là, car si Sarah puisque c’est son prénom a une silhouette des plus agréable à regarder, avec des seins haut perchés ronds et de taille moyenne semblant défier les lois de l’apesanteur, sa mère comme dans mon souvenir s’est épaissie en prenant de l’âge. Pourtant je la qualifierais de rondelette et pas de grosse, car elle a encore des formes attrayantes même si elles ont augmenté de volume, tout simplement je pense parce qu’elles ont gardé leurs proportions. Sa poitrine est nettement plus grosse que celle de sa fille, et comme celle de ma grand-mère pendante mais toujours agréable à regarder. 
 Parce que je le sais pour l’avoir lu quelque part que c’est le comportement approprié chez les nudistes, et tout cas quand ils veulent faire preuve de correction, mes yeux ne descendent pas plus bas.
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 Je feins de ne pas remarquer la gêne de Sarah pour ne pas l’embarrasser davantage, comme il se doit je m’intéresse en premier à sa mère à qui je fais la bise, et qui me dit ensuite :
 ―La dernière fois que je t’ai vu tu n’étais encore qu’un adolescent, et tu es devenu un très beau jeune homme.
 Suite à ce compliment fait sans détour je deviens moi aussi confus, même si je ne rougis que très légèrement, et je réponds en bafouillant :
 ― Je… heu… merci…
 Ma grand-mère qui a assisté impassible à la scène, précise : 
 ― Pour Louis aussi le nudisme c’est tout nouveau, et il ne m’a vue pour la première fois à poil qu’hier. C’est d’ailleurs un peu la raison pour laquelle, je me suis dit que ce serait une bonne idée de réunir nos deux jeunes. Car ça leur fait au moins un point commun.  Alors que ma Mamie est en temps normal la franchise même je la remercie intérieurement pour ce mensonge, puisqu’en réalité c’est moi qui ai provoqué cette situation, et je me tourne ensuite vers la fille de son amie qui si elle est un peu moins colorée de visage, a abaissé timidement son regard. À présent que je peux la fixer sans paraître inconvenant je trouve son minois tout simplement superbe, et j’adresse une courte prière au Dieu des nudistes, pour que mon sexe reste sagement pendu entre mes jambes. 

Bien entendu j’ai pensé cela en une fraction de seconde, et je lui demande en mettant un maximum de douceur dans ma voix :
 ― Tu es d’accord pour qu’on se fasse la bise, Sarah ?
 Elle hoche la tête avant de me fixer gravement, et j’ai l’impression de me noyer dans les lagons turquoise de ses yeux. C’est au point que c’est elle qui doit prendre l’initiative de coller ses joues contre les miennes, alors que je reste bêtement sans bouger. Son odeur légèrement résineuse et entêtante ajoute au sortilège, sans que j’arrive à déterminer si elle est naturelle ou s’il s’agit des effluves d’un parfum.
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 Un ange passe, puis Patricia dit à ma grand-mère :
 ― Tu as eu raison de vouloir qu’ils se rencontrent, Carole. Car de toute évidence, le courant circule entre eux. 
 Pourtant elle vient de rompre le charme étant donné que Sarah baisse aussitôt la tête tout en redevenant écarlate, et en tournant la mienne je constate que Mamie foudroie son amie du regard pour avoir parlé. Cependant, elle fait remarquer calmement :
 ― Il faut juste leur laisser le temps, de s’habituer l’un à l’autre. 
 Puis elle me demande :
 ― Si tu allais baisser l’auvent de la terrasse pour que nous y soyons à l’ombre, mon Biquet. Ensuite, tu pourras nous servir l’apéritif là bas.  
 J’obéis docilement, comme il en a toujours été, et je suis soulagé de quitter la pièce dans laquelle nous nous trouvons et d’avoir quelque chose à faire pour m’occuper l’esprit. Car j’avais peur que la tension qui m’habite à l’intérieur ne se répercute dans mon sexe, et que je me chope une solide érection. Cette jeune femme que j’ai connue enfant me plaît énormément, en tout cas au niveau du physique, puisque je ne sais pas encore si sa tête est aussi bien faite que son corps. 
 Nous ne tardons pas à nous retrouver tous les quatre assis dehors avec un verre à la main, et Patricia comme si elle voulait s’assurer que j’ai une bonne situation avant de me donner sa bénédiction en ce qui concerne sa fille, se renseigne pour savoir ce que je fais dans la vie. Elle commence par me demander :
 ― Elle est à toi, la belle voiture à côté de laquelle je me suis garée ?
 Elle parle de ma béhème cabriolet que j’ai achetée neuve il y a six mois, et même si je sais qu’en général les femmes s’intéressent en premier à ce genre de détails afin d’évaluer le pouvoir d’achat d’un homme, le confort ne venant qu’en deuxième, je réplique sans me démonter :
 ― Elle le sera dans un an et demi, quand j’aurai fini de rembourser le crédit que j’ai fait pour la payer. 
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 Ma réponse lui a plu, non seulement parce qu’elle signifie que je suis autonome et pas un fils à papa, mais en plus le fait que je sois capable de régler ma dette dans un délai raisonnable, implique que j’ai du répondant. C’est en tout cas ce que je déduit en voyant le petit sourire satisfait sur son visage, qui a encore du charme, et ma grand-mère ajoute au cas où un doute subsisterait :
 ― Louis a une bonne situation, même s’il n’est pas allé plus loin que le bac. ― Sarah vient d’avoir le sien avec mention, et elle va entrer à la fac. 
 Sa fille s’empourpre à nouveau tout en me jetant un regard furtif pour voir de quelle manière je réagis, et si je souris c’est non seulement parce que je constate que l’intérêt que je lui porte est réciproque, mais aussi parce que les deux commères sont en train de faire étalage de nos qualités respectives. Un peu comme cela devait se passer dans l’ancien temps, quand deux chefs de familles se réunissaient pour décider d’une union matrimoniale, sans que les personnes les plus concernées aient leur mot à dire. Je les laisse à leur petit jeu, convaincu que s’il doit se passer quelque chose entre Sarah et moi nous serons les seuls à le décider, que cela plaise à nos parentes ou non. 
 L’apéritif se poursuit, et la jeune femme se détend de manière visible. Non seulement parce qu’elle s’habitue à ma présence, mais en plus le verre de vin blanc que je nous ai servi alors que nos aînées ont préféré boire du prosecco, l’a aidée à perdre une partie de ses inhibitions. Elle va même jusqu’à donner un avis pertinent de temps en temps, ce qui me rassure car malgré l’affirmation de sa mère au sujet de son niveau d’étude, je craignais un peu d’avoir affaire à une charmante idiote. Quant à moi, je commence à trouver normale ma toute première expérience nudiste, si je ne compte pas celle avec ma grand-mère, avec qui nous avons été avant cela en tenue d’Adam et Ève en tête à tête, et je finis même par ne plus penser que nous ne portons aucun vêtement. 
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 Pourtant lorsque nous nous retrouvons dans la salle à manger, je recommence à me sentir mal à l’aise.Car si j’en suis déjà à penser qu’il est naturel d’être à poil dehors non loin d’une piscine, et alors qu’il fait chaud, prendre un repas dans la même tenue dans une pièce meublée avec un style classique, m’apparaît encore comme étant une situation étrange. Même si je sais que ça lui est déjà arrivé alors qu’il n’y avait que des femmes Sarah semble éprouver la même gêne que moi, c’est pourquoi je lui fais une sourire qui se veut encourageant, auquel elle répond timidement.
 Mais là encore et le vin cette fois rouge aidant, je finis pas retrouver mon aisance. D’autant plus que la blanquette de veau que nous mangeons, une des spécialités de ma Mamie, est tout bonnement délicieuse. Le fait qu’elle fasse le service comme si elle était habillée, en déplaçant son corps encore beau avec un naturel désarmant, n’étant pas non plus étranger à ce que l’ambiance soit de plus en plus détendue. 
 Au point que j’en oublie que j’ai en sexe, et que je suis en présence de trois femmes nues attirantes à des degrés divers. Nous nous régalons également avec le dessert qui est une charlotte aux fraises, elle aussi faite maison, et lorsque nous complimentons la cuisinière elle joue la modeste, alors que la connaissant par cœur je sais qu’elle est heureuse de nous avoir offert ces petits plaisirs de la vie.   
 C’est lorsque je vais dans la cuisine pour faire les cafés, que ma grand-mère me rejoint ayant trouvé un prétexte pour quitter ses invitées, et elle me dit :
 ― Je suis très fière de toi, mon Biquet, car je craignais que tu te mettes à bander. Ce qui n’aurait pas été un drame, vu que ça arrive parfois aux hommes qui débutent dans le naturisme, et même à de plus chevronnés, mais j’avais surtout peur de la réaction de Sarah.
 Je lui réponds, amusé : 
 ― C’est vrai qu’elle mettrait la trique à un saint, cette fille.  ― Je suis heureuse qu’elle te plaise. 
 Suite à ce demi aveu, je me renseigne :
 ― Tu avais tout combiné, pas vrai Mamie ? ― Eh bien… je n’avais pas prévu que tu débarquerais en avance hier, et par conséquent tu as précipité les choses. Mais je ne vais pas non plus te mentir. Vous mettre en présence l’un de l’autre nous y avions pensé, Patricia et moi. Nous espérions que vous éprouveriez une attirance réciproque, et que fort de ton expérience tu l’aiderais à prendre confiance en elle, en la faisant femme à part entière. Car comme tu dois t’en douter, elle est encore vierge. 
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 Je ne suis absolument pas surpris par ces révélations, et lorsque je retourne dans la salle à manger avec un plateau chargé de tasses et alors que ma grand-mère m’a précédé, j’ai le sourire aux lèvres. Car effectivement Sarah me plaît, je pense qu’elle partage l’intérêt que je lui porte, et étant donné que nous sommes adultes tous les deux, ce ne sera qu’une question de temps avant que nous nous retrouvions ensemble dans le même lit. 
 L’occasion arrive d’ailleurs assez vite, puisqu’une fois que nous avons tous débarrassé la table, ma grand-mère demande à son amie :
 ― On va faire la sieste dehors, Bichette ?
 Ce petit surnom plus le fait que la réponse ait été un sourire coquin, ne me laisse aucun doute sur ce qui va se passer en réalité. D’autant plus qu’elles nous plantent là pour sortir en se tenant par la main,et aller s’allonger toutes les deux sur le lit d’extérieur. Je me tourne vers Sarah qui a rougi, alors que ça ne lui est plus arrivé depuis un petit moment, sans que je sache si c’est parce que comme moi elle a compris que nos aînées n’ont pas réellement l’intention de dormir, en tout cas pas tout de suite. Mais il est également possible, que se retrouver pour la première fois en tête à tête et complètement nue en compagnie d’un homme, lui ait provoqué cette réaction.
 Je lui demande avec douceur :
 ― Tu veux qu’on aille aussi la faire ensemble ? ― Je… si tu veux… ― Tu sais, tu n’es obligée de rien. Alors si tu préfères rester seule… ― Si ! Enfin je veux dire non ! Je… j’ai envie qu’on le fasse ensemble. 
 Je ne suis pas encore certain de ce qu’elle a envie que nous fassions tous les deux, ce qui ne m’empêche pas de la prendre par la main pour la guider jusqu’à ma chambre. Quand nous y sommes et que j’en ai refermé la porte, par la fenêtre ouverte j’entends Gary Moore qui cette fois joue un autre air, puisqu’il s’agit de Still Got The Blues. Ce qui me fait sourire, car j’ai compris depuis hier que la musique n’est pas là que pour mettre l’ambiance, mais aussi pour masquer les manifestations de plaisir aux oreilles des voisins. 
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 Je ne sais pas si Sarah s’en doute, et peut-être qu’elle a appris avant moi ce qui se passe entre sa mère et ma Mamie, mais pour l’instant je m’en moque car tout ce qui m’intéresse c’est elle. Alors qu’après s’être déchaussée elle s’est allongée sur le côté droit de mon plume qui est à deux places, les jambes légèrement décollées l’une de l’autre, pour la première fois j’ose la détailler en entier et ce que je vois me plaît énormément. 
 Ses cheveux de la même couleur que les blés mûrs, sans que j’aie remarqué si elle l’a fait exprès se sont étalés pour former une corolle autour de sa tête, encadrant son visage aux traits fins et symétriques. Ses sourcils et surtout ses cils de biche étant plus foncés que sa crinière, ils font ressortir le turquoise de ses yeux. Son nez court légèrement retroussé lui donne un air mutin, ce que ne dément pas sa bouche gourmande entrouverte, dévoilant à peine une rangée de dents blanches qui ont l’air régulières. Elle a une jolie fossette au menton, et cerise sur le gâteau un grain de beauté en haut de sa joue gauche.  
 Bien qu’étant de petite taille son corps est parfaitement proportionné. Ses seins au lieu de s’être affaissés comme ça aurait été le cas pour la plupart des femmes dans cette position, forment deux petites collines couronnées par des tétons coniques rose foncé. Son ventre s’est creusé, avec en son centre le petit gouffre de son nombril, et plus bas la forêt clairsemée plantée sur son pubis, qui est de la même teinte que les poils de son visage. Autrement dit plus sombres que sa crinière. 
 Sa vulve quant à elle est parfaitement lisse, ce qui à son âge et bien qu’elle soit une vraie blonde, signifie qu’elle est rasée ou épilée. Ses petites lèvres de la même couleur que ses tétons, dépassent de leurs grandes sœurs pour leur part d’un doré identique au reste de sa peau, ce qui démontre comme je l’avais déjà remarqué qu’elle s’est faite bronzer nue. Très certainement chez sa mère et à l’abri des regards indiscrets, car étant donné son caractère je la vois mal sur une plage naturiste. Ses jambes sont fines et moyennement musclées, tout comme ses bras parsemées de duvet très clair, quant à ses petits pieds je les trouve très mignons. 
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 Sarah s’est prêtée à cet examen détaillé sans impatience et en fixant mon sexe, qui très satisfait de ce que nous sommes en train de voir lui et moi, s’est dressé lentement pour atteindre sa pleine croissance. Si elle a rougi en constatant le phénomène elle n’a pas pour autant l’air effrayée par mon cinquième membre, qui mesure à présent dans les vingt centimètres de long.Ce qui signifie que non seulement elle s’est préparée mentalement à ce qui va se passer, mais qu’en plus elle a confiance en moi, même si nous ne nous connaissons que depuis quelques heures. Et bien entendu, ce constat me fait énormément plaisir. 
 Je lui demande, non sans humour :
 ― Tu as envie que je te lèche, ou tu préfères dormir ?
 Elle me répond, en s’empourprant un peu plus :
 ― Tu le sais bien ce que je veux, puisque tu le veux aussi. 
 À présent elle ne bafouille plus, sa voix n’a même pas tremblé, alors je vais m’allonger moi aussi mais au dessus d’elle, en me maintenant en l’air à la force des bras pour ne pas l’écraser de tout mon poids, et lorsque mon visage surplombe le sien et que mes yeux ont à nouveau plongé dans ses lagons turquoise, je lui fais tout bas :
 ― Oui je le sais, sauf que j’ai envie de te l’entendre dire.  ― J’ai envie que tu me fasses l’amour. Que tu sois mon premier homme, et que tu fasses en sorte que je me souvienne de ce moment, jusqu’à mon dernier jour. 
 Ma petite oie blanche à la peau toute dorée est peut-être timide, mais elle sait ce qu’elle veut. Et si elle n’est pour ma part que la deuxième femme que je vais avoir l’occasion de connaître de cette manière, j’ai acquis au contact de celle qui l’a précédée assez d’expérience pour la lui transmettre. C’est par conséquent ce que je vais faire puisque nous en avons envie autant l’un que l’autre, mais sans aucune précipitation, étant donné que nous avons toute la vie devant nous pour approfondir notre relation. 
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 C’est la raison pour laquelle je commence par mordiller sa lèvre inférieure, et lorsqu’elle ouvre la bouche plus en grand nous échangeons notre premier baiser. Au départ elle est maladroite mais ne tarde pas à apprendre cette gymnastique, et nous finissons par faire valser nos langues l’une autour de l’autre.
 Au bout d’un petit moment ma tête descends le long de son corps, mais je fais quelques haltes pour déposer des baiser dans son cou, sur sa gorge puis ses tétons chacun leur tour, qui se dardent lorsque je les suce quelques instants, alors que celle à qui ils appartiennent geint doucement. Après ma bouche continue son cheminement en passant par son ventre, j’enfonce au passage ma langue dans le creux de son nombril, puis je m’immobilise à la hauteur de son sexe.
 Alors que j’ai cette fois pris appui sur mes coudes, ma plus que consentante victime plie lentement les jambes pour les retirer de sous mon corps,et venir poser ses mollets sur les bords de mes épaules, ses pieds se retrouvant dans mon dos.Dans la position qu’elle vient d’adopter ses grandes lèvres se sont écartées un peu plus l’une de l’autre, laissant la part belle à leurs petites sœurs, en haut desquelles est apparu le renflement du capuchon de son clitoris. Mais pour l’instant je l’ignore, tout comme ses nymphes, m’intéressant juste à la partie extérieure et la plus charnue de son sexe. 
 Tandis que je commence à la lécher, Sarah par souci de discrétion retient ses manifestations de plaisir. C’est la raison pour laquelle je lui dis :
 ― Laisse-toi aller, ça n’en sera que meilleur. ― Oui mais… ― La musique est là, pour couvrir les bruits que tu feras. 
 Effectivement si Gary Moore n’est plus en train de jouer le même air il continue à se faire entendre, et sans insister je recommence à la gamahucher. Ma remarque a toutefois été écoutée puisque ma blondinette geint à présent doucement, et ses plaintes de plaisir augmentent légèrement en intensité, lorsque ma langue décolle ses petites lèvres l’une de l’autre pour aller les étaler chacune sur sa grande sœur qui se trouve du même côté, contre laquelle elle reste plaquée par un effet de ventouse. 
 Je redresse alors la tête pour constater en souriant que son sexe ressemble à présent à un papillon, mais je suis tiré de ma contemplation par deux mains qui sont venues appuyer sur mon crâne, et je replonge pour recommencer mes léchouilles.
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 Faire son tout premier cunnilingus à celle que je considère déjà comme étant ma nouvelle copine, n’est pas une corvée loin de là, vu qu’en plus du plaisir que je ressens sur ma langue il y a celui plus mental qui est de lui en donner. Sans parler du fait qu’elle a commencé à produire une liqueur suave, dont je me régale. Je trouve sa mouille en même temps identique et différente de celle de Léa, mon premier amour, car elle a un arrière goût résiné qui n’est pas sans me rappeler son odeur. Ce qui me convainc que cette dernière était naturelle, et peut-être même phéromonale, puisqu’elle pourrait être liée à ce que Sarah a ressenti en me voyant.  
 Mais je ne m’arrête pas à ça, et par curiosité j’écarte doucement ses nymphes pour dégager son hymen. C’est la toute première fois que j’en vois un, et alors que je m’attendais à une membrane hermétique juste en dessous de son trou à pipi, qu’il m’aurait fallu enfoncer en forçant provoquant à ma partenaire une douleur intense, je constate rassuré qu’il y a déjà en son milieu un trou au bord dentelé, qu’il me suffira d’élargir. Ce qui ne va très certainement pas lui faire du bien, mais sera un moindre mal. 
 Alors que j’inspecte les lieux mon amante me rappelle à nouveau à l’ordre, et après une deuxième pression sur mon crâne je m’intéresse à présent à son centre des plaisirs. Je n’ai aucun mal à décalotter son clitoris avec ma langue tandis qu’elle pousse cette fois un gémissement de pure jouissance, et j’ai la surprise de le trouver différent de celui de Léa. Car si ce dernier était une petite excroissance ovale et bombée collée au reste de son corps, j’ai en face de moi un gland miniature, plus allongé et par conséquent plus fin en proportions que le mien, qui mesure tout de même dans les dix millimètres de long. 
 Cette nouvelle me ravit, et après une troisième crise d’agacement de la part de celle que je délaisse le temps de contempler mes découvertes, qui se traduit cette fois par une petite tape sur la tête, je commence à lécher cette petite bite tandis que sa propriétaire se met à couiner, comme une souris prise au piège. Et puisque j’en ai la possibilité je coince cette excroissance de chair entre mes lèvres pour la sucer, l’agaçant de l’intérieur de ma bouche avec le bout de ma langue, et de cette manière je ne tarde pas à procurer à mon amante notre premier orgasme.
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 Pendant qu’elle jouissait Sarah a failli m’arracher des cheveux en les agrippant, mais heureusement pour moi ils sont très courts puisque tondus à la longueur de douze millimètres, et lui ont échappés. Cette fois elle n’a pas envie de se plaindre lorsque je la lèche pour récolter la mouille résinée qu’elle a produite, et lorsque je me redresse après avoir reposé avec délicatesse ses jambes sur le lit pour remonter le long de son corps, j’ai droit à un sourire chargé de reconnaissance et de tendresse. 
 Lorsque nos têtes sont à nouveau l’une en face de l’autre et qu’elle a appuyé l’intérieur de ses cuisses contre mes hanches, elle prend l’initiative d’attraper mon cinquième membre avec sa petite main, et le décalottant au passage elle guide mon gland jusqu’à l’entrée de son vagin. Ensuite elle me dit :
 ― Vas-y d’un coup. Ça sera plus facile pour toi comme pour moi. 
 Ma petite oie blanche a été remplacée par une femme décidée, même si je me doute qu’une fois son plaisir consommé sa timidité fera son retour, mais je l’espère de manière plus nuancée. Car si son manque d’audace ajoute à son charme, il doit également être un handicap dans sa vie de tous les jours. Mais pour l’instant elle n’a aucune hésitation, et moi non plus puisque comme elle me l’a demandé je donne un grand coup de reins, dans le but de forcer le passage. 
 Sarah pousse un cri, mais convaincu que plus vite elle éprouvera du plaisir et plus vite elle oubliera la douleur, alors que mon sexe ne s’est enfoncé que de moitié dans son conduit encore inexploré, je reviens en arrière beaucoup plus lentement pour revenir en avant et la pénétrer de quelques centimètres de plus. Il me faut donc trois ou quatre allers et retour pour que la galerie soit entièrement forée, et tandis que je continue à m’activer j’ai l’agréable surprise de sentir que ma partenaire jusqu’à présent passive, se met à bouger son bassin pour m’accompagner dans mes mouvements.  
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 Fort de cette constatation, je m’immobilise et je dis Sarah :
 ― J’ai assez bossé, alors maintenant c’est toi qui vas t’y mettre.
 Sans attendre je fais basculer nos corps sur le côté tandis qu’elle pousse cette fois un cri de surprise, et lorsque je me retrouve sur le dos de l’autre côté du lit tout en étant resté planté dans son ventre, elle est à présent au dessus de moi. Une petit sourire mutin se dessine sur son visage magnifique, elle ajuste la position de ses jambes pour se retrouver à genoux, et utilise leur force pour se soulever lentement puis se laisser redescendre, avant que mon gland ne ressorte de son vagin. 
 J’ai constaté au passage qu’elle n’a que très peu saigné, étant donné que la mouille qui fait briller mon sexe n’a qu’une teinte légèrement rosée, ce qui me satisfait car j’en déduis que ma superbe amante n’a pas trop souffert. Et en ce moment c’est tout le contraire, puisque alors qu’elle s’empale sur moi en prenant son temps, son visage de madone affiche très nettement le plaisir qu’elle en ressent. Elle a posé ses petites menottes sur mon torse comme si elle voulait m’empêcher de bouger, et cette attitude dominante me plaît énormément, puisque je sais qu’elle est tout le contraire de sa vraie nature.  
 Je n’ai pas non plus envie de rester entièrement passif, alors je laisse libre cours à une de mes envies que je réprime depuis déjà plusieurs heures, et je passe mes mains derrière ses bras pour aller empaumer ses seins magnifiques. Je les trouve comme je m’y attendais en même temps fermes et moelleux, et je les malaxe tout en observant leur détentrice pour voir si elle n’a pas de réaction négative. Ce n’est pas le cas même quand je pince délicatement ses tétons pour les agacer, et elle continue à me chevaucher telle une conquérante, tout en ayant recommencé à geindre doucement.
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 J’ignore depuis combien de temps dure notre première union charnelle, lorsque Sarah pousse un gémissement clair et mélodieux qui signale à la cantonade qu’elle a un deuxième orgasme. Car moi je n’ai pas besoin de cet avertissement vu que les contractions de son périnée provoquent ma propre jouissance, et je me vide en elle en poussant des grognements de satisfaction. 
 Notre plaisir consommé elle s’affale sur moi pour rester quelques instants inerte, et j’en profite pour caresser ses fesses que je trouve musclées sous sa peau douce, ainsi que son dos. Puis reprenant vie elle se redresse, elle fait sortir d’elle mon membre qui a perdu de sa vigueur, et faisant basculer son corps elle vient s’allonger à côté de moi, avant de s’exclamer :
 ― Tain, j’ai joui comme un dingue !
 Je lui réponds amusé :
 ― Oui, c’est aussi ce qu’ont dû se dire les voisins. Car je ne sais pas depuis combien parce que je n’ai pas fait attention, mais il n’y a plus de musique. 
 Effectivement Gary Moore a rangé sa guitare et le silence règne à l’extérieur. Sarah vers qui j’ai tourné la tête en le réalisant elle aussi est devenue écarlate, et elle déclare d’une voix piteuse :
 ― Tain, c’est trop la honte. 
 Je pivote d’un quart de tour pour l’enlacer, et tout en la cajolant pour la réconforter je lui explique :
 ― Tu n’as pas à avoir honte d’avoir exprimé ta jouissance, et je suis convaincu que les femmes du quartier t’on enviée, si elles t’ont entendue. Moi au contraire je suis très fier de toi, et j’espère te faire crier de cette manière pendant encore très longtemps.  ― Même quand on aura des enfants… ?
 J’éclate de rire en constatant que tout comme moi Sarah projette notre relation des années dans le futur, qu’elle nous voie déjà avec une descendance, ce qui implique qu’elle nous considère à présent comme un couple et n’est pas pour me déplaire. Lorsque j’ai retrouvé un peu de mon sérieux et elle de sa sérénité, je lui réponds avec humour :
 ― Le moment venu, on aura le choix entre faire insonoriser notre chambre à coucher, ou leur acheter des bouchons d’oreilles. 
FIN

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