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Une chute de vélo

Chapitre 3

Première soirée

Hétéro
Je pousse la porte de sa chambre délicatement, Julie appuie sur l’interrupteur et une douce lumière vient éclairer la pièce. Un grand lit au centre, une grande armoire à quatre portes en face, deux tables de nuit de chaque côté, un meuble bas à droite et une porte-fenêtre donnant probablement sur un balcon à gauche. Je dépose délicatement mon précieux chargement sur le bord du lit. Ses bras qui m’enlacent ne me lâchent pas.
— Tu es très fort, me dit-elle, tu m’as portée sur les quatre étages et encore maintenant sans me faire le moindre mal à mes blessures.— Facile ! Tu pèses à peine plus lourd qu’une plume !
Ses bras me libèrent et j’en arrive presque à le regretter, malgré la fatigue que sa dernière pipe m’a procurée, je veux bien refaire le trajet dans les escaliers plusieurs fois avec elle collée à moi. Je n’en reviens pas d’être accro à cette fille à ce point en si peu de temps. Elle se couche sur le dos, les jambes au sol.
— Tu veux bien m’aider ? Dit-elle en prenant appui sur sa jambe droite et levant légèrement son bassin.— Oui, à faire quoi ?— Je ne vais pas dormir habillée !
Badaboum ! Mon rythme cardiaque repart à fond, mon sexe que j’avais rangé dans mon pantalon pour la porter redevient dur rien qu’à savoir que je vais la voir nue ou presque. Si le reste de son corps est aussi beau que son visage et ses jambes, je ne vais pas débander de la nuit...Avec d’infinies précautions pour ne pas raviver les blessures de son côté droit, je lui retire son short. Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à déshabiller une fille si lentement. Le short est sur ses chevilles et je vois sa culotte, un modèle sportif gris clair sans la moindre dentelle, mais qui épouse parfaitement ses formes, et qui laisse percevoir une large tache humide dans son entrejambe...Je n’ai pas le temps d’imaginer comment ni depuis combien de temps sa culotte est dans cet état, son bassin est toujours soulevé.
— Continue s’il te plaît, je dors toujours nue !
Puuuff, je dois être rouge foncé tellement mon cœur bat fort et vite. Sans rien dire, j’applique le même traitement à sa culotte, qui laisse apparaître son sexe parfaitement rasé sans aucun poil. Je suis comme hypnotisé, je n’arrive pas à détacher mon regard de cette vision.Il faut dire que ma dernière aventure remonte à six mois, c’était un coup vite fait, le soir dans un sous bois, sans aucune passion ni plaisir, juste pour tenter de rompre la monotonie de mon célibat.
— Hervé ? Ça va ?— Heu... Oui, oui.— Tu penses que tu vas tenir combien de temps sans respirer ?— Quoi ?— Tu es tout rouge ! dit-elle en rigolant. Tu n’as jamais vu un sexe féminin ?
— Tu te moques de moi !— Non pas du tout. Réponds s’il te plaît !— Si... Mais... Enfin...— Et bien ? Je ne vais pas te manger ?— Je n’en ai jamais vu de si beau, et surtout sans poils...— Tu aimes ?— Si j’aime ? Oh que oui... Je vais te laisser avant de devenir un lourdaud que tu devras repousser !— Attends ! Il reste le haut !
J’en avais presque oublié qu’elle était encore partiellement vêtue. Elle se redresse en prenant ma main, lève un bras et je commence à retirer son t-shirt moulant spécial vélo. Je vais plus vite que pour le short, mais son épaule droite et le coude sont recouverts de pansements. Je jette un coup d’œil à son dos pour vérifier si des agrafes sont placées derrière son soutien-gorge.
— Que cherches-tu derrière moi ?— Les accroches, évidemment !— Il n’y en a pas ! Tu m’as assez caressé le dos quand je te pompais pour t’en rendre compte non ?
Je dois faire une triste mine, car elle éclate de rire.
— Par le haut comme le reste !
Je retire lentement le dernier rempart qui masquait le reste de son corps, découvrant ses seins de taille respectable sans être gros dont les tétons pointent franchement au milieu d’une aréole un peu plus foncée. Elle me regarde avec cet air qui me laisse pantois. Elle me nargue ? Me plaint ? M’attend ?Je ne sais pas quoi penser ni quoi faire.
— Ça va aller ? Si tu as besoin de quelque chose, tu sais où se trouve ton canapé. Appelle-moi fort si je dors.
Sur ces paroles prononcées tout en la regardant droit dans les yeux, pour ne pas jouer les voyeurs, je fais un demi-tour, espérant qu’elle me rappelle, mais elle me laisse repartir vers le canapé. J’y arrange un peu les coussins et me prépare à y dormir à regret, car j’aurais vraiment voulu dormir auprès d’elle, juste dormir. J’ai eu suffisamment de sexe pour ce soir, je m’allonge sur le canapé tout habillé.
— Hervé ?? Hervé ??
Dix secondes de repos à peine...
— Oui ?— Prends au moins une couverture !— Où ?— Ici dans mon armoire.
Je reviens dans sa chambre, elle a recouvert son corps avec la couette, mais ses seins sont visibles.
— La porte de droite, en haut, m’indique-t-elle.
J’ouvre la porte, l’étagère du haut est vide, celle du dessous n’a que des draps, et la suivante ne contient que des serviettes de toilette.
— Heu... je ne trouve pas.— Tu es sûr ? Tout en haut !— Non c’est vide !
Je me retourne, vois son visage irradiant un sourire magistral.
— Tu es en train de me faire faire n’importe quoi et moi j’obéis comme un petit toutou !
J’ai pensé cette phrase tout haut.
— Hervé, tu es tellement chou ! Excuse-moi s’il te plaît ! Je ne voulais pas me moquer !— En tout cas, c’est rudement bien imité !
Je suis un peu fâché quand même. Elle a beau être jolie, il y a des limites et elle s’approche des miennes...
— Tu devrais plutôt dormir ici avec moi non ? La couette est assez grande pour nous deux !—...
Je suis partagé entre mon envie d’être près d’elle et un désir de lui montrer que je ne suis pas son jouet. Je reste silencieux quelques secondes en la fixant dans les yeux.
— Après réflexion, lui dis-je, sans la quitter des yeux, je vais plutôt rentrer chez moi. Je te rapporterai ton vélo dans quelques jours.— Comme tu veux Hervé, mais je m’excuse pour ce jeu idiot. Je n’aurais pas dû, tu as été tellement gentil, et moi je fais ma peste. Si tu veux rentrer, je serai punie pour mon attitude envers toi...— Il n’est pas dans mon intention de te punir Julie.— Alors, reste ! Ça fait cinq ans que je suis célibataire et que je dois repousser plein de lourdauds morts de faim qui ne pensent qu’à me culbuter pour s’en vanter auprès de leurs copains que j’en ai perdu les bonnes manières que j’apprécie chez toi... C’était juste une excuse pour que tu reviennes vers moi. Je te promets de ne plus me moquer de toi ! JAMAIS !
Sa voix que j’aime tant est presque tremblotante, si elle n’est pas sincère, c’est une excellente comédienne. J’hésite...
— Allez viens ! Tu as besoin de te reposer...
Je suis effectivement fatigué, et au fond de moi, j’ai déjà accepté en restant l’écouter...
— OK.— Viens de ce côté si tu veux... Mais comme moi, tout nu, je n’ai pas de pyjamas d’homme...
Je retire rapidement mes vêtements, bien sûr, je bande toujours. Julie soulève la couette, je m’allonge à côté d’elle, mais pas contre, pour garder le contrôle de mes hormones. Elle pose sa main sur mon épaule et rapproche sa tête de la mienne.
— Je te demande pardon, Hervé, tu es le premier homme depuis très longtemps que j’ai vraiment envie de garder pour la nuit et... et même plus... et je me comporte de façon odieuse avec toi...— Ce n’est pas très grave, tu t’es déjà excusée, je te pardonne le coup de l’armoire : je suis resté... et puis... je suis quand même mieux là que sur le canapé ou dans ma voiture non ?— Je n’ai pas que ça à me faire pardonner Hervé...— Ah ?— Depuis le parking de l’hôpital...— Oui ?— La montée des escaliers, le repas, et surtout le déshabillage...—...?— Je n’ai pas arrêté de t’allumer pour savoir si tu simulais être quelqu’un de bien ou si tu l’étais vraiment...— Et donc ?— Maintenant je sais...
Sa main qui avait déjà entrepris de caresser mes épaules, mon torse, mes pecs pendant cette confession descendait sur les abdos tandis qu’elle débutait une série de bisous dans le cou en remontant sur ma joue. Arrivée sur mes lèvres, nous avons échangé un long et tendre baiser qui lui a laissé tout le temps de prendre ma main et l’emmener sur sa cuisse. J’ai commencé à la caresser délicatement en me tournant vers elle.J’ai glissé une main sous sa nuque, tandis que l’autre continuait à se promener sur sa jambe. Je remontais de plus en plus haut à chaque fois jusqu’à remonter sur sa hanche, son ventre, ses seins...Tout était parfait chez elle, je me suis demandé un moment si je n’étais pas en train de rêver seul sans mon lit, mais non, elle était bien là, bien réelle, en train de me branler...
J’avais moi aussi entamé une série de bisous pour arriver à lui lécher un sein. Ses petits minaudements jusque-là, se sont accentués, ma langue tournait autour de cette pointe dure et douce en même temps, mes lèvres s’en sont emparées pour l’aspirer et le faire gonfler un peu plus. Elle gémit, ma main vient caresser son entrejambe, un doigt de chaque côté contre ses jambes, je descends jusqu’à sentir sous mes doigts les épanchements de plaisir qui sortent de son sexe, j’en remonte le cours afin de localiser la source, tel un explorateur. Ses lèvres sont ouvertes et très humides. Mon doigt remonte facilement le long de ce sillon, provoquant des gémissements plus marqués.
Je localise son clitoris et entreprends de jouer un instant avec. Je la sens s’abandonner au plaisir que lui procurent mes caresses. Elle ne me branle presque plus, et embrasse distraitement, peu importe, j’ai eu mon compte aujourd’hui, à présent, c’est à mon tour de lui montrer qu’elle ne s’est pas trompée, que je ne pense pas qu’à la sauter, même si j’en ai envie. Je veux lui faire tout le bien qui lui a manqué depuis si longtemps.
Je vais sur l’autre sein, goûter s’il y a une différence entre les deux, pendant ce temps, mon index abandonne son clito pour redescendre sur sa chatte qui est maintenant bien mouillée, mon doigt entre facilement dans son merveilleux sillon sous les gémissements continus de Julie. Je descends jusqu’à l’entrée de sa grotte, tourne un peu autour et mon doigt y rentre très facilement. Son bassin ondule sous mes caresses, sa main a lâché ma queue et m’enlace fortement. Deux doigts ont pris possession de son sexe et la cadence que j’y imprime provoque des râles chez Julie, et son bassin bouge aussi en rythme...
Je sens ses muscles internes se resserrer autour de mes doigts. Je tourne encore un peu en ralentissant. Je veux la goûter, lui lécher l’abricot toute la nuit. Ma bouche quitte son sein en direction de cette importante source de bonheur et ma langue trace un large sillon sur sa peau jusqu’à prendre la place de mes mains.
Je commence par un aller-retour complet pour récupérer un maximum de son jus. Je m’applique à tout lécher puis viens m’occuper de son clito tout gonflé. Julie ne gémit plus, elle crie presque sous mes coups de langue. J’ai toujours adoré le cunni, je pourrai le faire pendant une heure ou même plus...
Je descends encore un peu, ma langue prend le chemin que mes doigts ont suivi plus tôt, je m’applique à parcourir la moindre parcelle de son intimité, puis ma langue entre dans le puits de plaisir de Julie, je l’entends crier son plaisir, ce qui m’encourage à continuer et à m’appliquer encore plus. Julie ne s’occupe plus du tout de moi, ses mains sont sur ma tête, agrippées à mes cheveux, je pousse ma langue le plus loin possible tout en la tournant autour de ses parois. Son bassin se soulève de plus en plus, ses mains m’arrachent presque les cheveux... J’entends alors presque un hurlement.
— OOOOOUUUUUIIIIIIIiiiiiiiii !
Un soubresaut de bassin et je prends un jet de cyprine en plein visage, Julie me plaque la tête sur son sexe, un second spasme et une autre éruption moins forte que j’essaie de lécher malgré la pression de ses mains. Une troisième secousse suivie de tremblements, la pression de ses mains retombe, je peux m’appliquer à lécher tout ce que j’ai raté. Je remonte alors jusque vers son visage toujours en gardant ma langue sur sa peau. J’arrive à son visage, elle est rayonnante, un large sourire et deux bras grands ouverts m’accueillent...
— Viens me faire un câlin Hervé...
Je me blottis tout contre elle, elle m’embrasse le bout du nez, puis elle me lèche le contour des lèvres...
— Il en restait un peu, me dit-elle.
Je jette un coup d’œil au radio réveil : une heure et demie passée.Heureusement que demain c’est dimanche...
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