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Une chute de vélo

Chapitre 4

Première nuit

Hétéro
J’ai adoré le goût de sa chatte, j’aimerais y retourner, poursuivre nos ébats, continuer à découvrir son corps, à la faire frissonner de plaisir encore et encore...Malgré l’heure avancée et la fatigue, mon excitation ne retombe pas, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Peut-être devrais-je retourner sur le canapé si je veux dormir, car avec cette bombe contre moi, ce sera dur. D’ailleurs, c’est encore dur ...
— Hervé ?— Oui ?— Finalement, je suis contente que ce chevreuil m’ait renversée, sans cela, je ne t’aurais pas connu.— Moi aussi je suis très content de t’avoir rencontrée, mais pas que tu sois blessée...— Tu m’as épuisée rien qu’avec tes doigts et ta langue, je suis fatiguée. On fait dodo ?— Oui. Bonne nuit. A demain.
Quelques minutes après, toujours contre moi, elle dormait. Moi, j’écoutais son souffle régulier et apaisant. Quelle bonne journée au final. Je m’en repasse le film dans la tête, les images, les sensations, les odeurs aussi, surtout la sienne, j’essaie de tout mémoriser, je ne veux rien oublier, pas le moindre détail... J’ai continué ainsi je ne sais pas combien de temps, jusqu’à ce que je sombre à mon tour dans le sommeil...
Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai d’abord ressenti la fatigue des activités de la veille. Le manque d’entraînement, je le ressentais : les yeux douloureux, le manque d’entrain, la totale...Très vite, j’ai aussi ressenti la douce chaleur du corps de Julie, sa tête sur mon épaule, mon bras contre elle, ma main entre ses cuisses, son bras posé sur mon torse et sa main dans mon cou. Bien réveillé par cette agréable constatation, je me suis mis à bander rapidement. Depuis combien de temps n’avais-je pas dormi avec une fille ? Un an et demi ou plutôt deux. J’avais du mal à m’en souvenir, comme si ma mémoire avait été bloquée. Peu importe le passé, je vais vivre le présent. Et il est merveilleux depuis hier.
Je suis habitué à me réveiller quelques minutes avant le réveil, généralement entre 6h15 et 6h30. Je regarde le radioréveil, 7h42. Mon horloge interne est partie en week-end probablement. Peu importe, j’ai envie de rester sans bouger pour profiter de ce moment magique. Mais après une dizaine de minutes, mon organisme étant totalement réveillé, je dois me lever et aller aux toilettes. Je ne veux pas réveiller Julie, je bouge très lentement, je commence par retirer doucement ma main d’entre ses cuisses. D’ailleurs que fait-elle à cet endroit ? Que s’est-il passé cette nuit ? Je verrai cela plus tard. Je soulève son bras qui m’enlace, puis je dépose délicatement sa tête sur l’oreiller avant de quitter la chambre discrètement.
En sortant, j’avise le trousseau de clés sur la table du salon. Je peux sortir et revenir sans la réveiller, je vais donc aller chercher le petit-déjeuner ! Je récupère silencieusement mes vêtements, m’habille rapidement et quitte l’appartement sans bruit.Un quart d’heure plus tard, je suis de retour avec des croissants et des petits pains au chocolat. Je farfouille silencieusement dans ses placards de cuisine pour préparer un plateau afin de lui apporter son petit-déjeuner au lit. Que prend-elle le matin ? Chocolat, café, thé ? J’ouvre une autre porte et avisant plusieurs sachets de thé, j’en choisis un au hasard, et je me prépare un café pour moi.
— Huuummmm ! Hervééé ?— Oui Julie, j’arrive !
Je me précipite presque dans la chambre pour la découvrir cheveux en bataille, mais souriant franchement à mon arrivée. Bon sang qu’elle est belle ! Ce visage angélique, ces yeux ! Je m’arrête brusquement pour l’observer sans bouger et mémoriser cette image dans ma mémoire.

— Qu’est-ce qui ne va pas Hervé ? Me demande-t-elle.— Heu ... Tu es tellement belle !
Elle m’ouvre ses bras.
— Viens !
Je ne me fais pas prier. La tête dans son cou, ses bras autour de moi. Après quelques minutes ainsi, je me relève.
— Tu prends bien du thé le matin ? Sans sucre ?— Oui, comment le sais-tu ?— Elémentaire mon cher Watson ! Après un examen approfondi de la cuisine ce matin, je n’y ai trouvé qu’un paquet de café et une grande variété de thés. Quant au sucre, pas un seul morceau, mais des sachets en poudre... Elémentaire ...— Oh ! Tu es très perspicace !— Et mal élevé aussi ! Je suis sorti sans prévenir ni demander la permission. — Ah ? Pourquoi ?— Surprise ! Ferme les yeux ! Je reviens.
Je repars dans la cuisine récupérer le plateau pour le poser à côté d’elle.
— Tu peux regarder !
Sur le plateau, j’avais déposé les viennoiseries et un petit pot de miel trouvé dans la cuisine.
— Est-ce qu’il te manque quelque chose ?— Heu oui Hervé...— Ah ? Quoi donc ?
J’avais pourtant vérifié plusieurs fois pour que tout soit parfait. Je regarde attentivement le plateau sans rien remarquer d’anormal. Elle rit gentiment sans se moquer le moins du monde.
— Ce n’est pas sur le plateau qu’il manque quelque chose...— Ah ! Compris !
Je me déshabille rapidement et la rejoins au lit où elle m’accueille avec un petit bisou.
— C’est très gentil à toi ce petit-déjeuner au lit.
Une fois ces viennoiseries avalées, Julie me demande de l’aider à se lever pour aller prendre une douche.
— Et tes pansements ?— On en mettra des nouveaux !
Je l’aide à quitter le lit et je la porte jusqu’à la douche.
— J’aurais pu marcher un peu. Me dit-elle.— Sûrement, mais j’aime bien te sentir contre moi !— Flatteur va ! Me lance-t-elle. Ah non ! Tu as raison, ajoute-t-elle en regardant mon érection.
Je l’aide à retirer ses pansements et je peux voir l’étendue des dégâts provoqués par la chute.Du genou jusqu’à la hanche et du coude à l’épaule, des bleus naissants, écorchures et contusions sont réparties sans compter que son genou est encore gonflé et les articulations plus ou moins raides.Elle ouvre le robinet, je ferme la porte et je retourne à la chambre pour enlever les miettes de viennoiseries du lit et ranger le plateau. Je fais rapidement la vaisselle et je retourne dans la salle de bains.
— Ça va comme tu veux ?— Non ! Tu m’as abandonnée ! Et moi qui pensais que tu allais me frotter le dos...— OK ! J’arrive.
J’entre dans la douche à l’italienne suffisamment grande pour deux. Je prends la bouteille qu’elle me tend et commence à lui frotter les épaules et le dos. Inutile de préciser que cela n’a pas calmé mon érection, bien au contraire. Je fais bien attention à éviter les zones blessées, mais je m’attarde sur les autres. Je me rapproche d’elle, la prends dans mes bras alors qu’elle me tourne le dos, lui savonne longuement le ventre la poitrine, les seins puis je descends sur ses jambes en me concentrant sur celle qui n’a pas été meurtrie, jusqu’aux chevilles et les pieds. Accroupi ainsi, j’avais une vue imprenable sur son sexe entrouvert et ruisselant d’eau. Je repensais alors à son orgasme de la veille. Aucune de mes conquêtes précédentes n’avait eu cette réaction.
Je commence alors à lui embrasser la cheville que j’avais en main, et encouragé par ses petits cris étouffés, à remonter lentement sur son mollet, sa cuisse, pour arriver sur son sexe, je sors ma langue pour goûter à ce fruit délicieux. La réaction de Julie est immédiate : elle ouvre une jambe pour me laisser toute la place possible. Je m’applique à lécher chaque centimètre carré et à observer sa réaction pour mieux connaître ses zones sensibles et mieux m’y attarder. L’entrée du vagin, son clitoris, mais aussi ses grandes lèvres et l’aine forment le peloton de tête tandis que mes mains explorent l’autre face de ses cuisses et ses fesses.
Bientôt, ses mains se posent sur ma tête pour la pousser contre elle, j’augmente la pression de ma langue, sa vitesse ainsi que la force de succion sur son clitoris. Mes mains malaxent ses fesses sous ses gémissements de moins en moins contenus alors que je ressens son corps frémir puis trembler sous un nouvel orgasme, mais sans toutefois reproduire le même final que la veille. Je continue de la lécher et de lui caresser les fesses, ses mains me tirent vers le haut. Je me redresse et elle m’embrasse langoureusement.
— A mon tour, tourne-toi ! me dit-elle.
Elle entreprit alors de me savonner les épaules, le dos, les fesses.
— Demi-tour !
J’obéis, j’ai en plus du plaisir d’être chouchouté, celui de la regarder faire. Elle commence par le cou, le torse, le ventre puis ma queue et mes couilles.
— Je te laisse faire le bas. Mon genou n’est pas encore assez souple.
Je fais rapidement le reste et nous sortons de la douche pour nous sécher mutuellement non sans déposer ici et là un bisou plus ou moins appuyé en fonction de ce qui passait à portée de lèvres.Je lui pose délicatement des pansements sur les quelques endroits où les plaies risquent encore de s’ouvrir.
— Normalement le docteur ne doit-il pas être habillé lorsqu’il prodigue des soins ? Me demande-t-elle sur un ton qui ne laisse guère de doutes sur son intention. Elle me cherche, me provoque.— Cela dépend essentiellement de la nature des soins, Mademoiselle !— Et pas du docteur ?— Si bien sûr ! Nous ne sommes pas très nombreux à pratiquer cette médecine !— J’ai de la chance alors ?— Je ne sais pas qui de nous est le plus chanceux, dis-je sur un ton évasif.— Voilà, terminé !
Je range rapidement le reste des pansements.
— Tu me ramènes dans la chambre ?
Je la soulève à nouveau contre moi, ses bras serrés autour de mon cou, mes mains sous ses cuisses fermes et douces, sa jambe enroulée autour de moi, son visage posé sur ma tête, je suis sur un nuage. Si cette fille est une drogue, je suis accro ! Cette fois, je ne cherche plus comme hier soir dans l’escalier à éviter le contact entre mon sexe et ses fesses. Ma queue est contre sa raie. Elle bouge délicatement au rythme de mes pas. Volontairement, je fais un détour en contournant la table du salon pour faire durer ce moment.
Arrivé dans la chambre, je dépose Julie sur son lit, directement couchée sur le dos. Ses bras ne me libèrent pas, au contraire. Je l’embrasse longuement et tendrement, je la couvre de baisers. Je m’attarde sur ses seins. Elle aime si j’en crois ses petits cris étouffés. Je continue à descendre, mais j’évite tout contact avec son sexe, je veux faire monter son désir avant.
Je fais demi-tour et vais lui embrasser les pieds, dessus, dessous tout y passe, elle se tortille, j’avais vu juste sous la douche. Je commence à remonter le long des jambes et joignant les caresses de mes mains à mes jeux de langue et de bouche. Plus je remonte ses jambes, plus elle les écarte pour me montrer son petit minou par lequel sa mouille commence à couler.
Petit à petit, je me rapproche du but, Julie se languit, son bassin ondule telles les vagues au bord de la mer, ses mains me caressent nerveusement les cheveux, me tirant régulièrement en direction de ma cible, que je ne quitte plus des yeux. J’en suis si proche que je peux en respirer son parfum, doux, mais terriblement excitant. Il m’attire comme les fleurs vénéneuses attirent leurs proies avant de les emprisonner.
Encore quelques centimètres et je serai au contact, en attendant, je souffle dans son sillon un vent léger, mais précis, elle frissonne en resserrant sa prise dans mes cheveux. J’ai une vue en très gros plan de son clitoris, je lui applique le même traitement, je peux observer sa réaction lorsque Julie me tirant plus fort les cheveux, me plaque la bouche contre elle en resserrant ses jambes sur ma tête. Me voici capturé par cette belle plante, qui est loin d’être vénéneuse, non, je dirais plutôt allumeuse. Prisonnier volontaire, je ne cherche pas à me libérer et la pointe de ma langue parcourt son sillon de bas en haut sur toute la longueur possible, et après quelques ronds autour de son clito, redescend avec bonheur pour reprendre une nouvelle ascension plus rapide.
Ses jambes se relâchent quelque peu, me permettant d’augmenter l’amplitude de mon cheminement, de m’attarder sur l’entrée du vagin et de bien le détendre. L’ondulation de son bassin augmente au fil du temps d’autant que mes mains sont depuis un moment sur ses seins, mes doigts titillant ses tétons bien fermes et pointus. Son sexe produit de plus en plus de sécrétions que je m’empresse de lécher et de déguster pour ne pas en perdre une seule goutte.
Je suis aux anges. Je poursuis ce traitement avec quelques variantes de vitesse et de pression, ajoutant ici ou là quelques succions bien senties durant de longues minutes, jusqu’à ce que Julie raffermisse sa prise sur ma tête, relève son bassin plus haut. Ma langue sortie au maximum pénètre son puits d’amour au plus profond et joue avec chaque parcelle de cette paroi intime. Julie me repousse légèrement jusqu’à l’entrée et me bloque ainsi entre ses jambes alors que ma langue se promène partout où cela est possible.
Lorsque son orgasme se déclenche, je reçois deux jets en pleine figure. Elle me libère rapidement, une fois ses tremblements calmés. Je lui laisse quelques secondes de répit pour souffler un peu et je remonte rapidement l’embrasser. Mon sexe est bien droit contre sa cuisse et du méat commence à suinter une goutte de plaisir. Julie le prend d’une main et le dirige droit sur son sexe.
Je me redresse, et pose ma queue sur son sillon bien humide, lentement, je le fais remonter jusqu’à ce que la base soit sur son clito avant de redescendre. Après quelques trajets, je vais enfin pouvoir goûter au plaisir de la prendre entièrement et de la sentir tout autour de ma queue. Je positionne le gland face à son trou et pousse doucement. Bien que le passage soit assez étroit, je rentre facilement.
Quelle exquise sensation pour moi, mais apparemment aussi pour elle, car je la vois se mordiller la lèvre inférieure. Ses beaux yeux mi-clos me semblent plus verts qu’hier et en forme d’amande plus fine. Je profite de tout, la vision du plaisir sur son visage, et de mon sexe bien au chaud tout au fond du sien. Je me penche sur elle pour l’embrasser en restant immobile en elle. Je ressens la chaleur de son corps, les battements de son cœur contre moi, à moins que ce ne soit le mien, je ne sais plus.
Son parfum naturel, la douceur de sa peau, tout est à mon goût chez elle. Je commence à croire qu’elle n’existe que pour moi, comme fabriquée sur mesure. Et si tout cela n’était qu’un rêve ? Alors c’est sûr, je ne voudrais plus me réveiller...
— Ohhh Julie...
Mais non, cette sensation autour de mon sexe ne peut pas être une illusion, je n’ai jamais ressenti cela, elle serre et relâche son vagin autour de ma queue comme s’il respirait. Je commence à bouger lentement en elle, ressortant presque complètement à chaque fois pour replonger au fond de son antre divin. Elle gémit doucement à chaque nouvelle pénétration, je m’abandonne la tête dans son cou, mes mains sous ses épaules, appuyé sur mes coudes pour ne pas l’écraser. Ses mains sur mon dos exercent une pression en augmentation constante très agréable. J’accélère le rythme, ses gémissements ne sont plus du tout étouffés. Je la serre plus fort contre moi...
Je lâche la bride, pour un ramonage intense et très sensuel à la fois, je reste attentif à ses réactions, à ses cris, la façon dont elle bouge son bassin, la pression de ses bras autour de moi, l’expression de son visage dont les yeux s’ouvrent parfois pour me fixer quelques instants. Je ne la baise pas, non, je ne la saute pas, je lui fais l’amour, oui l’amour. Je ne veux plus la quitter...
J’avais entendu parler de ces fameux « coups de foudre » contre lesquels on ne peut rien. C’est faux. On peut faire quelque chose, il faut les nourrir pour qu’ils durent, les nourrir d’amour, de tendresse, de délicatesse, de respect. A présent, je le sais, je le ressens, je suis amoureux, et tout cela en à peine douze heures.
Quiconque me l’aurait prédit, je ne l’aurais pas cru et je lui aurais ri au nez. Or, je le vis là, maintenant, à l’instant, et pourtant j’ai quand même du mal à y croire. Tout me semble trop précipité, trop rapide pour durer. Mais qu’importe, je ne veux qu’une chose à cet instant : le bonheur de Julie.
Je dois être sur la bonne voie si j’en crois les flics flocs qui cadencent mes mouvements en elle. Son sexe dégouline de plaisir, mais ce n’est pas encore assez. Je veux lui en donner plus, je me redresse, passe mes mains sous ses fesses, et soulève son bassin. Ses yeux clairs s’ouvrent et me fixent d’un regard étrange, indéfinissable. Ses mains se posent sur mes avant-bras. Je sors entièrement mon sexe du sien pour y replonger immédiatement d’un grand coup.
Elle pousse un grand cri de plaisir en serrant ses mains sur mes bras. Je recommence ainsi plusieurs fois en attendant parfois deux secondes avant de renvoyer ma queue tout au fond d’elle. A chaque sortie, ses yeux me fixent en attendant le moment où je déciderai d’entrer en elle. J’aime son regard presque implorant dans l’attente d’un nouvel assaut. Elle me rend fou. J’alterne les séances de « sprint » avec des mouvements lents et d’autres de semi-attente, mais aussi des frottements le long de ses lèvres et sur son clito bien gorgé de sang. Je ne pense plus qu’au plaisir que je distille avec parcimonie pour qu’il soit plus intense.
Je transpire de grosses gouttes dans tous ces mouvements fougueux, mais je suis heureux de voir à quel point elle apprécie. Elle aussi d’ailleurs aura besoin d’une autre douche si j’en crois toutes ces perles de sueur que je vois sur son corps magnifique.
Soudain, je sens ses mains se crisper sur mes poignets, je vois les frissons et tremblements qui la secouent, je devine que sa jouissance est proche. Je la déclenche de plusieurs coups profonds et puissants. Ses yeux plongés dans les miens se sont révulsés pendant que plusieurs jets sortaient de son sexe pour m’inonder le ventre, dégoulinant ensuite sur ma queue et mes couilles. Il n’en fallait pas plus pour provoquer mon propre orgasme que je contenais depuis un bon moment déjà. J’ai sorti ma queue juste à temps pour lui arroser les seins et le ventre de plusieurs jets copieux...
Je n’avais jamais craché autant de semence d’un coup. Je me suis penché sur elle en étalant le tout entre nous pour un long baiser passionné.Il nous a fallu de longues minutes à tous les deux pour récupérer.C’est Julie qui a repris ses esprits en premier.
— Je crois qu’une autre douche s’impose !— Oui, tu as raison. Accroche-toi à moi, je t’y emmène...
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