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Une chute de vélo

Chapitre 7

Katia

Hétéro
Katia se cale aussi contre moi. Qu’aurais-je pu espérer de mieux ? Je m’approche de la table basse pour prendre mon café. Si comme elles me l’on affirmé, la soirée n’est pas finie, j’en aurai grand besoin. Moi qui pensais pouvoir récupérer mon sommeil en retard. Je récupère ainsi quelques minutes, une fille dans chaque bras. Qu’ont-elles manigancées ? Même si j’aurais préféré retrouver Julie tout seul, cette surprise est très agréable.
 - Les filles ? J’adorerais beaucoup rester entre vous des heures durant, mais j’ai commencé à quatre heures ce matin pour rentrer plus tôt, et j’ai besoin de prendre une douche pour vous être plus agréable. Vous me permettez d’aller chercher mes affaires dans la voiture ? - Je ne sais pas, répond Katia. On est bien là non ? Et puis comme tu l’as surement remarqué Hervé, je suis en manque de sexe. Je n’ai pas l’intention de te laisser filer !
Loin de moi l’idée de m’enfuir. Les filles qui acceptent de se partager un mec sont suffisamment rares pour que je reste. Cette seconde expérience pour moi avec deux filles est bien plus intense que la première. Heureusement, Julie vient me soutenir.
 - Mais bien sûr mon chou ! Mais ne traine pas trop, tu m’as beaucoup manqué. Je sais que tu reviendras vite.
Dieu, que Julie est adorable. Même dans mes rêves les plus fous je n’ai jamais espéré rencontrer une telle fille. Elle dépasse toutes mes espérances. Je me lève délicatement, embrasse Julie, puis Katia et encore une fois Julie. Je file jusqu’à ma voiture pour y prendre mon sac de voyage et remonte les quatre étages presque en courant. Un petit toc-toc à la porte et deux secondes plus tard, Katia vient m’ouvrir.
 - Déjà ? Tu as vraiment fait vite ! Je n’ai pas encore débarrassé. - Tu auras le temps de finir pendant que je prends ma douche.
Je file tout droit dans la salle de bains, je jette mes vêtements dans un coin et mon sac dans un autre. Je me douche et me savonne consciencieusement. Je n’y suis que depuis cinq minutes à peine que la porte s’ouvre sur Katia.
 - Excuse-moi, Julie me demande de te passer une serviette. - Merci, pose-la sur le meuble, je n’ai pas fini.
Je lui réponds avec la mousse du shampoing sur les yeux, mais depuis le week-end dernier je sais très bien où sont rangées les serviettes. Est-ce une initiative de Katia ou est-elle réellement envoyée par Julie ? Par pudeur bien inutile après ce que nous venons de faire, je lui tourne le dos en continuant mon shampoing.
 - Tu traines ! Tes cheveux courts n’avaient pas besoin de cette mousse.
Elle n’a pas tord pour les cheveux, je l’ai fait par habitude.
 - Tu n’es quand même pas à deux minutes près ? - Oh si ! Je vais t’aider sinon tu y seras encore demain.
Elle rentre dans la douche et commence à me frotter le dos.
 - Passe-moi le gel douche.
Sans me laisser le temps de réagir, elle m’enlace pour se saisir de la bouteille. Je peux sentir le contact de ses seins fermes, de son ventre et de ses cuisses contre moi. Elle était déjà nue en entrant ! Cette sensation me remet très rapidement en forme, d’autant qu’elle me caresse plus qu’elle ne me savonne. Ses deux mains se baladent partout sur moi. Rapidement ses mains sont sur mon sexe et les miennes sur ses fesses. Je me rince le visage, j’élimine rapidement la mousse qui est encore sur moi, je me retourne contre elle et je l’enlace aussi. Quelques bisous rapides dans son cou et je commence à descendre lui embrasser les seins, les lécher et les prendre à pleine bouche. Ma langue jouant avec les pointes dures et visiblement très sensibles vu sa réaction. Mes mains ne sont pas en reste et naviguent entre sa poitrine, son dos, ses fesses, ses cuisses et son sexe. Elle me tourne le dos pour frotter ses fesses contre mon sexe, passe sa main entre ses jambes pour caresser mes couilles.
 - Katia ? Tu penses que je vais sortir plus vite de la douche ainsi ? - Non, mais au moins tu t’occupes de moi.
Elle remonte rapidement sa main, saisi ma queue, la penche vers elle et la dirige droit sur son sexe.
 - Tu es vraiment pressée à ce point ? - Je t’ai dis que j’étais en manque.
Mon gland est juste devant son antre. J’y entre doucement et facilement.
 - Hummm ouiii ! Encore !
Je préférerais que Julie soit présente, même si elle a décidé de me partager. Je profite de ce fourreau accueillant et je lui donne sans conviction ce qu’elle réclame durant quelques minutes en laissant l’eau couler sur nous. Les flics flocs que j’entends sont-ils dus à son plaisir ou à la douche ? Une de mes mains quitte un sein pour descendre vérifier et jouer un peu sur son clito. Après contrôle, il n’y a pas que l’eau de la douche pour produire ce bruit.
 - Viens Katia, on sera mieux ailleurs non ? - Ok ! Mais tu as intérêt à me faire jouir toi !
Bien que le ton soit quelque peu jovial, il y a aussi un mélange de menace, de désir refoulé ou d’envie inassouvie que je n’arrive pas à définir. A moins que ce ne soit vraiment un gros manque.
 - Je promets d’essayer.
Je coupe l’eau et nous sortons. Je prends une serviette pour lui essuyer le dos et les jambes. Elles sont superbes, je n’y vois aucune trace de manque de bronzage. Elle doit faire du nudisme. Je me sèche rapidement. Alors que je veux ouvrir mon sac de voyage, elle me saisi le sexe pour me conduire hors de la salle de bain.
 - Laisse tes affaires ici, tu n’en n’aura pas besoin tout de suite.
Ok, elle veut jouer les dominantes, pourquoi pas. Je ne veux qu’une chose : retrouver Julie, sa voix douce, son regard envoûtant, son sourire radieux qui illumine son visage angélique. Une surprise m’attend dans le salon. Julie est déjà nue, allongée sur le canapé.
 - Et bien ! Tu en as mis du temps ! Tu devais être très sale. - Il se faisait un shampoing. C’est un bébé, alors j’ai dû aller l’aider, réplique Katia. Et je lui ai donné les biberons ! ajoute-t-elle en se soupesant les seins.
Je m’approche de Julie, je me penche sur elle pour l’embrasser.
 - Hervé ! Et moi ? proteste Katia.
Je ne réagis pas, je continue en passant ma main dans les doux cheveux de Julie.
 - Hervé ! Je compte pour du beurre ?
Elle commence à me chauffer les oreilles. Je vais inverser la vapeur. Je me relève, me retourne face à elle et je la regarde fixement pour lui parler d’un ton plus sec :
 - Katia, je vais faire une mise au point : Je suis revenu pour Julie. Je veux bien poursuivre cette soirée avec toi, mais tu vas devoir apprendre à partager comme Julie le fait sans se plaindre. C’est moi qui décide qui j’embrasse ou pas ! Donc, soit tu partages ce que Julie t’offre, soit tu te passes de moi. Suis-je bien clair ?
Je lis dans son regard une interrogation, comme une stupeur, presque une crainte. Si elle a été avec ses autres mecs comme avec moi, je comprends qu’elle ne reste pas longtemps en couple. Je profite de son hésitation pour assurer la réussite de la manœuvre.
 - Tu ne respectes même pas ton amie qui accepte de te laisser sucer son mec, ce que tu fais très bien au passage, et elle te permet de faire avec moi la même chose qu’elle, et tu veux encore passer avant ! - Mais Hervé ? - Assieds-toi ici et attends sagement ton tour. - Oui, mais j’ai très envie. - Tu as déjà eu une avance dans la douche. - Une toute petite, qui m’a bien chauffée ! - Alors, c’est une raison de plus pour patienter quelques instants, tu en profiteras mieux ! Et plus tu insisteras, plus je te ferai attendre !
Sans lui laisser la moindre possibilité de réaction, je reviens vers Julie. Il me semble que son sourire est plus prononcé, son regard plus lumineux encore. Je reprends mon baiser au début, je le fais durer, autant pour Julie que pour faire piaffer Katia d’impatience. Mes mains partent à l’aventure sur son corps débarrassé d’une partie de ses pansements. Je la couvre de baisers m’attardant sur ses seins pour la faire geindre doucement. Je descends lentement vers ses jambes en zigzaguant sur son ventre. Je sens sa respiration s’accélérer à mesure que je m’approche de son sexe. Je peux déjà sentir son odeur suave qui m’appelle. Je ne résiste pas et ma langue entre en action sur cette faille entre ses jambes. Elle m’attendait visiblement avec impatience d’après son niveau d’humidité, sa jambe valide, s’écarte immédiatement pour me laisser le passage.Je me délecte de ses parfums, de ses chairs, de ses suintements. Ses petits gémissements m’encouragent à poursuivre, ma langue déborde largement de sa fente, allant lécher jusqu’aux cuisses. En quelques minutes, j’ai complètement oublié Katia qui remue dans son fauteuil pour me rappeler sa présence. J’ai soudain une idée. Je retourne embrasser Julie et en quelques mots, je lui expose mon idée à l’oreille. Elle me donne son accord en étouffant un rire. Je lui cale un coussin sous la tête afin qu’elle ne rate rien. Et me tourne vers Katia.
 - Ton envie est toujours là ? - Oh oui Hervé, mais bien plus forte !
Je m’approche d’elle, l’installe sur le dos et commence à embrasser l’intérieur de ses cuisses au niveau des genoux, pour remonter lentement le long des jambes. Je n’hésite pas à lécher de chaque côté. A chaque fois que je m’approche de sa toison, elle tente d’avancer le bassin pour réduire la distance qui la sépare de ma bouche. Peine perdue, je recule de cinq centimètres à chacune de ses tentatives.Elle finit par comprendre et me laisse avancer à mon rythme. Alors que je suis quasiment au contact, j’oblique sur le côté pour lui lécher le flanc et remonter sur ses « biberons ». Je passe de l’un à l’autre, une main sur son cou, l’autre très bas sur son ventre. Elle gémit de plus en plus fort. Je redescends sur l’autre flanc tandis que ma main qui était sur son ventre passe sous ses fesses. J’arrive enfin sur sa toison, je la hume fortement, passe mon nez sur ce sillon frémissant qui ne demande qu’à être utilisé. J’y pose mes lèvres à peine entrouvertes, me place juste au-dessus de son starter et juste de la pointe de la langue, j’effleure délicatement son clito gonflé et ultra sensible. Elle pousse presque un cri de plaisir lors de ce contact, je fais lentement un second passage aussi peu appuyé, mais plus long. Elle pousse son bassin en avant pour augmenter la surface de contact. Je l’abandonne, me redresse, la fixe du regard.
 - Oh nooonnn Hervéééé ! Continue ! - Katia, veux-tu bien répéter à Julie ce que tu m’as dit dans la douche ? - Quoi ? - Que m’as-tu demandé dans la douche ? - Je… Je… Je ne sais plus…
Katia a perdu son assurance. Elle ne soutient pas mon regard. Je suis surpris de la facilité avec laquelle j’ai retourné la situation. Je dirige complètement la séance.
 - Si… Rappelles toi lorsque je t’ai dit de sortir de la douche, que nous serions mieux ici, avec Julie. - Ah… Oui… Je l’ai dit… juste… comme ça… pour… enfin… pour rire… quoi… - Veux-tu bien le dire à Julie ? Je suis sûr qu’elle va éclater de rire. - Non, ça ne fait rien, oublie. - Allez Katia ! Ne te fais pas prier ! Qu’as-tu demandé à Hervé ? Tu peux me le dire ! - …
Je vois une Katia hésitante. Ce n’est plus la même personne qui me narguait presque, dimanche dernier lorsque je suis parti avec Julie.
 - Ok ! Comme tu veux, je n’insiste pas. Tu veux bien nous laisser à présent ? J’ai envie d’avoir Julie pour moi tout seul. Je laisserai la fenêtre ouverte, ainsi, tu pourras toujours nous écouter, si tu préfères.
Mon regard n’a pas quitté les yeux de Katia depuis le début de cet échange. Elle meurt d’envie de rester, je le sens.
 - Ok ! Mais tu promets de ne pas te fâcher Julie ? - Mais bien sûr Katia ! Si je te partage Hervé, je peux tout entendre ou presque. - Je lui ai dit… que… qu’il avait intérêt… à me faire jouir. Voilà.
Julie pouffe de rire. J’ai moi même, bien du mal à rester sérieux.
 - Tant de cinéma pour si peu ? Qu’en penses-tu Hervé ? - J’en pense que le ton n’est plus le même, mais je ne vais pas chipoter. Mais je lui ai promis d’essayer, et une promesse est une promesse.
Je n’ai pas agit ainsi méchamment et il n’est pas dans mes habitudes de jouer aux dominants et dominés, je n’ai jamais apprécié ces pratiques, sauf là ! J’apprécie rabaisser Katia qui ne s’est pas gênée pour le faire depuis le début de la soirée et dimanche dernier.
 - Hervé a toujours tenu les promesses qu’il m’a faites Katia. Comment vas-tu t’y prendre Hervé ? - Et bien, je pense que je vais commencer par le début. Comme ça.
Sur ces mots, je soulève la jambe valide de Julie par le pied, pour l’amener à ma hauteur, y déposer délicatement quelques baisers sur la cheville, et remonter ainsi cette jambe, la goûtant régulièrement.
 - Hummm, murmure Julie à chaque étape.
Lorsque j’arrive au niveau du genou, je regarde Katia du coin de l’œil. Elle se mordille les lèvres et sa main est sur son entrejambe.
 - Katia !  - Oui Hervé ? - Julie à deux jambes et je n’ai qu’une bouche. Viens m’aider au lieu de te caresser ! Fais comme moi, attention à ne pas lui faire mal, tu dois te faire pardonner ton attitude envers Julie, alors appliques-toi !
Katia s’exécute, je la guide et lui donne des indications sur ce qu’elle doit faire ou pas. Une fois arrivée à proximité du sexe de Julie, Katia s’arrête et me regarde comme je le lui avais demandé. J’écarte légèrement l’intimité très humide de Julie faisant apparaître son clitoris luisant de désir.
 - Katia, je veux que tu observes comme Julie apprécie ce que nous lui faisons.
Je laisse quelques secondes à Katia pour bien s’imprégner de la vision de ce sexe gonflé et luisant d’envie, avant de prendre sa tête pour la pousser en avant.
 - Lèche-le ! Tout doucement !
Katia obéit, à quatre pattes entre le canapé et la table basse. Julie l’encourage de la voix, allongée sur le dos sur le canapé. Je pousse la table pour nous dégager un peu d’espace. Et je prodigue aux mollets de Katia, ce que j’ai fait devant elle sur Julie. J’en suis aux fesses de Katia qui gémit de plaisir aussi fort que Julie tout en naviguant à présent sur la totalité des entrailles de son amie. J’écarte un peu ses fesses de mes mains pour approcher progressivement ma langue de sa rondelle. Son dos se creuse pour me faciliter l’accès, chaque coup de langue sur sa rosette lui fait pousser un petit cri. Lorsque ma langue entre enfin dans cette grotte, Katia pousse un râle de plaisir, abandonnant Julie. Je poursuis cette exploration plus franchement encore quelques instants avant de me positionner sur le dos pour avoir accès à son sexe.
 - N’arrête pas de donner du plaisir à Julie, ou je m’arrête aussi !
Katia reprend son action interrompue, et je fais descendre son sexe sur ma bouche ouverte en la guidant de mes mains sur ses fesses. Son sexe dégouline de plaisir. Je m’applique à le nettoyer entièrement plusieurs fois, tant sa production est importante. Ses gémissements sont en partie étouffés dans le sexe de Julie que sa bouche ne quitte plus.Je reviens lui lécher le cul en laissant une main aller de son vagin à son clitoris. Je sens rapidement mes doigts recouverts de sa cyprine. Il est temps maintenant. Je me place derrière elle, me lubrifie rapidement le gland contre sa toison, et je le positionne juste devant l’entrée et commence à m’introduire délicatement. J’entre encore plus facilement que lorsque nous étions sous la douche. Je glisse en elle plus que je n’y entre. Je ressors entièrement pour retourner immédiatement tout au fond d’elle. Après quelques tours de chauffe, je lui demande de relever la tête et de regarder Julie.
 - Katia s’est-elle bien occupée de toi Julie ? - Oui très bien. Beaucoup mieux que d’habitude.
Je m’en doutais depuis que je les avais vues s’embrasser, elles ont déjà couché ensemble. Elles n’en sont pas a la découverte du sexe entre filles. Tant mieux. D’un grand coup je m’enfonce complètement dans le fourreau bien lubrifié de Katia. Elle pousse un cri de plaisir autant que de surprise. Je la saisi par les hanches pour débuter une séance de pilonnage en règle. J’alterne fréquemment entre des mouvements lents et rapides, je varie quelque peu l’angle entre nos sexes. Katia crie son plaisir sans retenue. Rapidement, elle mouille tellement que j’en ai jusqu’aux couilles. Après quelques minutes, je décide de stopper aussi soudainement que j’ai démarré.
 - Oh non Hervé… Tu y étais presque… Continue, je t’en prie… - Inutile de réclamer Katia… Regarde plutôt dans quel état je suis par ta faute.
Je me positionne devant son visage, elle comprend et se jette sur ma queue et mes couilles. Je souris à Julie et lui fais un clin d’œil. Elle répond par un petit signe de tête. Je me libère de Katia pour la repositionner en 69 sur Julie.
 - Allez-y les filles ! Faites-vous du bien !
Je les regarde faire quelques instants puis me replace derrière Katia qui docilement se cambre pour me tendre son sexe. Ma queue y rentre instantanément et je reprends Katia à fond par les hanches, les mains de Julie sur mes fesses, c’est elle qui décide de la cadence à appliquer, jusqu’à ce que son visage soit inondé. Je m’arrête encore une fois malgré les nouvelles protestations de Katia. Cette fois, de ma langue, je nettoie amoureusement la frimousse de Julie puis la toison de Katia, qui gémit à nouveau fortement et ma langue poursuit son chemin entre ses fesses. Je lui fouille la raie, trouve sa rosette, m’y attarde longuement. Je la sens se contracter et se relâcher sous mes caresses buccales. Ma langue s’enfonce de plus en plus profondément dans ce conduit plus serré. Après avoir lubrifié deux de mes doigts dans son vagin, j’y replonge mon sexe tandis que mes doigts s’enfoncent, lentement, un par un, dans son cul pour le préparer. Elle ne s’occupe plus du tout du plaisir de Julie, trop occupée par le sien. Je ressors lentement mes doigts de son fondement et mon sexe du sien. Elle réclame, pas par des mots, mais en arrondissant le dos pour rapprocher son cul de ma bite bien dure. C’est Julie, qui selon notre accord préalable, va l’y guider. Elle s’en saisit délicatement, la masse un peu comme pour s’assurer de son état et vérifier s’il peut remplir son office. Elle n’en est visiblement pas satisfaite, puisqu’elle le dirige vers sa bouche. En quelques coups de langue, elle réussit à augmenter encore quelque peu son volume. Comment fait-elle cela ? Je n’en reviens pas. Ça y est, elle la dirige entre les fesses de Katia. J’aide en écartant les fesses. Elle le dépose au bon endroit avec une précision d’orfèvre.
Je n’ai pas besoin de pousser, c’est Katia qui recule. Je lui mets une petite tape sur la fesse.
 - Ne bouge pas ! Laisse nous faire !
Julie pose ses mains sur mes fesses et j’attends sagement le signal du départ. Katia contient difficilement son impatience…
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