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Une chute de vélo

Chapitre 15

La surprise pour Hervé 1/3

Hétéro
Julien plongea immédiatement son regard vers son sexe et roula de gros yeux. Il ne devait pas en voir grand-chose dans la nuit malgré les éclairages disposés ici et là. Mais il posa rapidement sa main sur son sexe, et se caressa sans quitter des yeux le bassin de Julie, pensant peut-être qu’il allait pouvoir enfin en profiter.
 — Mais non ! Pas moi ! Ici ! lui dit-elle, désignant mon sexe au repos complet. Tu vois, je suis sur ses genoux depuis un bon moment et il n’y a aucune indication qu’il ait envie de me « sauter » comme tu dis.— S’il ne peut pas, je veux bien le faire à sa place !— Tu devras faire d’énormes progrès alors…— Ecoutez, c’est agréable d’être apprécié, je vous remercie, mais cela commence à devenir gênant tous ces compliments. On ne pourrait pas arrêter avec ça ?— Tu as raison mon chou. Julie pivota sur sa jambe valide, vint se poster à califourchon sur moi et m’embrassa, me roula une pelle sensuelle, en gardant ses mains plaquées sur mon visage. Je la pris dans mes bras, répondant à son baiser. Elle descendit lentement ses mains sur mon torse, embrassa mon nez, mes lèvres, mes joues tout en caressant mon corps imberbe. J’adorai cette sensation, et sentir ses mains et sa bouche se délectant de mon corps réveilla mes hormones et mon sexe qui se gonfla rapidement. Mon ange continua ses baisers, sa langue pointa entre ses lèvres, dessinant un chemin complexe sur mon visage pendant que je lui caressais le dos, du bout des doigts. Elle compléta le tout par une série de bisous d’une incroyable sensualité sur mon menton, mes épaules et dans mon cou. Elle remonta ainsi jusqu’à mon oreille, m’en mordilla doucement le lobe, me le lécha, me l’aspira. J’en frissonnai de plaisir. Ma queue était bloquée dans son ascension par son postérieur. A quelques centimètres près, j’aurais presque pu entrer en elle, comme ça. Il faudra que j’essaie un autre jour, ou une autre nuit. — Mon chou ? Je peux passer à la suite de ma surprise ? Ces mots furent à peine susurrés dans mon oreille, mais je crois que tout le monde les avait entendus. Ils éveillèrent en moi une sorte d’excitation supplémentaire, teintée d’une bonne dose d’appréhension. Qu’avait-elle bien pu inventer encore ? Je lui répondis de la même façon. — Ça dépend. Dis m’en un peu plus.— Je veux te rendre un peu du plaisir que tu me procures à chaque fois que tu t’occupes de moi.— Mais tu me donnes déjà tant.— Tss, Tss ! Tu ne devras rien faire, et pour que tu en profites au maximum, je vais te bander les yeux. Quoi ? Elle voulait sûrement qu’à notre tour… devant tous les autres… Je n’étais pas sûr de comprendre, ou de vouloir comprendre. — Ça peut très bien attendre plus tard mon ange.
— Oh non ! J’ai trop envie.— Hein ? Mais tout le monde va nous regarder ?— Et alors ? Tu as bien regardé les autres, et cela ne t’as pas dérangé ?— Une fois de plus, tu as raison mon ange.— Il est possible que j’aie besoin d’aide un moment ou un autre.— Il te suffira de me demander.— Non, tu n’as pas compris, je demanderais l’aide d’une autre fille, toi tu resterais allongé et tu profiterais. Je tentai de donner le change et de paraître calme et détendu, mais c’était tout l’inverse. Avec Katia ou Natacha nous étions seuls, à trois, mais seuls. Là, il s’agissait d’être deux, devant tous ces regards. Une peur panique s’immisçait en moi. J’avais envie de prendre la poudre d’escampette. — J’ai confiance en toi, fais ce que tu veux. Mais bon sang, pourquoi avais-je dit exactement l’inverse de ce que je pensais ? — Merci mon chou, je t’aime. Suis-moi sur un transat nous y serons mieux. Julie se releva, libérant mon membre qui entamait déjà sa descente. Je l’accompagnai en la soutenant jusqu’à l’endroit qu’elle me désigna, et m’y allongeai. Elle se rassit immédiatement sur mes genoux, me fit un câlin quelques instants, le temps que Natacha arrive avec un des paquets qu’elles avaient ramené de leurs « courses » de cet après-midi. Julie l’ouvrit, en extirpa un bandeau élastique du genre de ceux que proposent les compagnies aériennes aux passagers pour les vols de nuit et le positionna délicatement sur mes yeux. — Allonge-toi sur le dos, détends-toi, et profite bien mon amour, me dit-elle en m’embrassant encore une fois. J’entendis Natacha prendre la parole. — Comme vous le savez tous, cette soirée est organisée pour remercier Hervé de nous avoir aidés et d’avoir secouru Julie lorsqu’elle s’est faite percutée par ces chevreuils lors de notre dernière sortie à vélo. Grâce à Hervé qui était au bon endroit au mauvais moment et qui s’est arrêté pour conduire la blessée à l’hôpital ; Julie a évité une opération du genou et se rétablira très vite. C’est pourquoi, elle tenait à lui offrir quelque chose pour le remercier. Je vous demande donc de parler un minimum afin qu’Hervé puisse profiter de son cadeau comme Julie l’a prévu. Je ne veux plus entendre aucun prénom ni aucun commentaire sur ce qui va suivre ou sur les préparatifs. Nous aurons tout le temps d’en parler ensemble après. Ah ! Et très important : personne ne fait rien sans l’accord de Julie ! L’angoisse monta encore d’un cran en écoutant Natacha. Je tentais de me rassurer en me disant que mon ange ne me ferait rien de bien méchant, mais ce n’était pas très efficace. Julie repris la série de bisous dans mon cou. Je posai mes mains sur ses cuisses en les caressant délicatement. Elle poursuivit son jeu en direction de mon torse et arriva directement sur un sein, l’embrassa tendrement, m’en excita le téton de la pointe de sa langue qui finit par en faire plusieurs fois le tour avant de partir faire subir le même traitement à l’autre. J’entendais des bruits de chaises autour de moi. J’imaginais le groupe s’installant pour mater confortablement. Malgré le bandeau sur mes yeux, je perçus une lumière brutale, soudaine, furtive, celle d’un flash d’appareil photo, suivie du bruit caractéristique de la photo sortant d’un appareil instantané. Julie se redressa. Le bruit d’un paquet en papier me parvint aux oreilles. Natacha demanda « Lequel ? », « Celui-ci » lui répondit Julie. Quelques secondes plus tard, je ressentis un liquide épais couler sur mon torse. Julie l’étala avec ses mains. Consciencieusement, chaque parcelle de ma peau en fut enduite sous ses doigts délicats. Je supposai qu’il s’agissait d’un genre d’huile de massage à en juger la texture et surtout l’odeur suave qui envahissait mes narines. Julie poursuivit son massage tout à la fois délassant et sensuel. Je lâchais un « Hummmm » tout en lui caressant les cuisses pour lui signifier que j’appréciais ce traitement. La peur était presque partie, ne restait qu’une petite boule d’appréhension dans mon ventre. Nouvelle photo. Cela devait faire partie de la surprise, puisque ni Julie ni Natacha ne réagissaient à ces clichés. — Tu aimes mon chou ?— Oh oui ! C’est super !— Alors je vais appeler des renforts. Rappelez-vous : pas de prénoms ! Répondez juste « Moi » ou mieux, levez la main comme à l’école, ainsi il ne devinera pas qui vient, ce sera plus excitant pour lui, et peut être pour nous aussi. Qui veut m’aider ?— …— Ok ! Toi ! Viens ici et continue comme moi. Fais tout comme moi. Je sentis deux autres mains fines se poser sur moi et poursuivre ce massage, caressant mon côté droit, Julie se décalant sur ma gauche, elle remonta sur l’épaule, imitée par l’autre côté avec un léger temps de retard. Je n’entendais que quelques indications de Julie, pour demander un peu plus ici ou là, donnant des indications sur la manière de faire pour son assistante. Quelques minutes plus tard, silencieusement, une autre paire de mains pris sa relève sur le côté gauche. Julie, recula sur mes jambes pour me masser le ventre. Dans cette position le bout de ses seins venait parfois frotter mon sexe qui s’était bien redressé. Pourtant pas une fois, elle ou une de ses assistantes, ne me toucha ou même n’effleura ma bite. Encore quelques minutes et Julie recula encore sur mes jambes. Un nouveau renfort vint s’occuper d’une jambe tandis qu’elle s’occupait de l’autre après les avoir un peu écartées. J’avais perdu le doux contact avec ses cuisses, je ne pouvais plus la toucher. Alors je tentais de deviner qui posait ses mains sur moi, mais à part celles de Katia ou de Natacha je n’avais eu que très peu de contacts physiques avec le reste du groupe, et encore, sans prêter une grande attention à leurs mains à ce moment là, et c’était une entreprise quasi impossible. Je me concentrai alors sur les odeurs qui auraient pu me donner un indice. Là encore, je fis choux blanc, le parfum dégagé par l’huile de massage ou le produit qui avait été étalé sur moi était trop fort, il couvrait tout, en plus d’être légèrement enivrant. J’y décelai des odeurs de noix de coco, et il me sembla aussi de jasmin, sans en être absolument sûr. Alors, je m’abandonnai sous ces caresses multiples. Je mémorisais les différences de pressions entre chaque paire de mains, leur façon de se déplacer sur moi, les zones privilégiées aussi par les huit. Non ! J’en comptai dix à présent, car deux supplémentaires étaient sur un de mes pieds. — Ah ahahahahhh ! Ça chatouuuuiiiille !— Détends toi mon chou, on va faire doucement. Encore une photo puis, quelques bruits de chaises autour de moi et du mouvement parmi les masseuses. Elles échangèrent leurs zones. On aurait dit un jeu de chaises musicales autour de mon corps, mais sans musique. Soudain, une odeur effleura mes narines, celle-là je la reconnu instantanément. C’était mon ange, enfin, plutôt son sexe qui était tout près de moi. Il devait déborder de mouille pour surpasser celui de l’huile de massage qui envahissait mes narines. Ou alors elle devait être vraiment très proche. Je sniffais plus fort pour m’en assurer, tournant la tête pour savoir de quel côté elle se trouvait. — Non ! Interdit de bouger ! m’intima Natacha.— Hummm, pourtant, mon ange est là, toute proche, j’en suis certain.— Il est plus fort que Julien ! s’exclama Vincent. Il l’a repérée sans aucun contact ! Bravo Hervé !— Chuuuut ! gronda Natacha. J’avais envie de son sexe sur ma bouche, j’étais retombé sous le charme hypnotisant de son odeur intime. Je desserrai mes lèvres, la pointe de ma langue se risquant dans une timide sortie. Je devinai Julie me chevauchant la bouche, ou plutôt je l’imaginais, je l’espérais, là, devant moi, me faisant languir. Mais elle était probablement sur le côté. Je l’imaginais encore me massant la jambe… Alors ces mains qui s’occupaient de mon torse ? Oui sûrement, mais de quel côté ? Je ne reconnaissais pas ses mains sur moi. Mes sens étaient complètement bouleversés. — Tourne les mains, paume vers le haut et ferme légèrement les poings. Voilà, comme ça, très bien. Garde-les ainsi. C’est Natacha qui venait de parler et qui me donnait les instructions. Mes bras furent soulevés, écartés de mon corps et enduits de ce même produit par des mains toujours aussi inconnues, ou plutôt non identifiées, car je savais qui était présent ce soir, sans savoir qui me faisait quoi. Le massage des bras était un ravissement, tout en douceur et en sensualité. Mes avant-bras reposaient chacun sur une paire de cuisses différentes, je devinais mes poings, quasi fermés, très proches d’un endroit que j’aurais fouillé bien volontiers. Malgré une forte envie de donner aussi du plaisir à mes masseuses, je me contins en me concentrant sur l’odeur de Julie. Elle n’avait pas beaucoup bougée, elle était toujours là, mais ses mains n’étaient pas sur moi ou alors je n’arrivais pas à les identifier. Les siennes, j’aurais du pouvoir les reconnaître quand même ! Je reportai mon attention sur toutes ces mains virevoltant sur moi. J’essayai une nouvelle fois d’en identifier une ou deux, mais je dus me rendre à l’évidence, je n’y étais pas arrivé. Trop de touchers différents qui changeaient sans cesse de zone. Je les imaginais me tourner autour, tel un essaim d’abeilles sur un buisson de fleurs. Je ne réagis pas à la nouvelle photo qui venait d’être prise et revins sur Julie, je humais toujours son parfum naturel avec beaucoup de plaisir, bien que je ressentais une frustration grandissante de ne pouvoir y goûter. Cependant, je laissais les choses suivre le cours qu’elle avait décidé pour moi. Je voulais qu’elle aille au bout de la surprise qu’elle m’avait concocté, très probablement avec la complicité de Natacha. Les mains progressivement se retirèrent sur mes jambes et mes bras. Sur mon torse juste au-dessus de mes seins, se posèrent alors délicatement deux mains. Celles-là, je les reconnus. Enfin ! Elles étaient juste posées sans aucun poids sur moi. — Ohhh … Julie …— Incroyable ! Il lui reconnait les mains ! souffla Pascal.— Chuuut ! gronda encore Natacha. Comme ses mains étaient placées, je l’imaginai, la devinai, à califourchon juste au-dessus de moi dans une position idéale pour venir me sucer en soixante-neuf. Cette pensée suffit à faire tressauter ma queue déjà bien raide. J’avais l’impression de ressentir la chaleur de son corps, de ses jambes sur mes joues. Je pensais que mon imagination travaillait trop, lorsque je ressentis une goutte tomber sur mon nez. Ohhhh, j’espérai ne pas me tromper, que ce soit bien une première marque de son propre plaisir sortant de son sexe… Bien qu’elle m’avait demandé de ne pas bouger, je sortis ma langue pour vérifier si je pouvais établir un contact quelconque, mais rien. D’abord imperceptible, la pression des doigts de Julie évolua. De plus en plus forte, de plus en plus rapide, bientôt accompagnée de la pression des poignets. Je devais rêver, je crus recevoir une autre goutte. Tout en douceur, elle était en train de me malaxer les seins comme je l’avais fait avec plaisir sur les siens, effleurant mes tétons, s’en saisissant délicatement entre le pouce et l’index pour les rouler lentement entre ses doigts. Je me rendis compte qu’il n’y avait plus que Julie sur moi. Toutes les autres mains avaient cessé leur agréable balai. Il me sembla qu’une autre goutte se posa sur mon menton. Julie me pinçait les tétons et les étirait très doucement. Je ne pus retenir un soupir de satisfaction. Ce devait être ce qu’elle attendait, car la seconde suivante, son sexe dégoulinant se posait sur ma bouche. Je n’avais donc pas rêvé lorsque des gouttes s’en étaient échappées plus tôt. Je léchais tout ce que ma langue pouvait atteindre, et me concentrai sur ses réactions. Je lui titillai doucement son bouton, elle me pinça plus fort, lâchant un « Huuuummmmm ». Je continuai. Elle tanguait de haut en bas pour me faciliter l’accès à la totalité de son intimité. Je parcourais de ma langue sa fente divine sur toute sa longueur, écartant ses lèvres pour récolter tout le jus qui s’y cachait, retournant régulièrement la faire gémir en jouant avec son clitoris. Je lui aurais volontiers caressé le postérieur, mais je ne devais pas bouger. Je ne me privai pas cependant de faire le tour de l’entrée de son sexe de la pointe de ma langue avant de la positionner juste devant et de l’y pousser très lentement. Je ressentis des contractions autour de ma langue qui tournait le long de ses parois en se tortillant. — Ouiiii ! Cet encouragement de mon ange me dopa, je poursuivis mon cunnilingus avec fougue, ressortant fréquemment de sa grotte pour exciter son clitoris devenu très sensible, avant de revenir lui fouiller le sexe de la langue, ravi de la faire gémir et sursauter plus fort à chaque fois, pendant qu’elle poursuivait le malaxage de mes seins. J’ouvrais bien grand la bouche pour aspirer tout ce que je pouvais d’un seul coup et boire ainsi tout son jus, qu’elle produisait en bonne quantité. Alors que j’allais reprendre ma pénétration de la langue, elle avança un peu plus pour me donner son cul. Je le lapai avec délectation, d’une langue large et plate avant de pointer en son centre et de pousser doucement par petites touches. — Oh oui ! Oh oui, oui, oui… Ma langue entrait, ressortait, encore et encore pour notre plaisir commun, et probablement aussi, celui des voyeurs autour de nous. Sans cesser son massage sur mes seins, Julie me donnait alternativement son sexe ou son derrière à déguster à la fréquence et pour la durée qu’elle avait décidé. Je ne faiblis pas, j’avais toujours adoré donner ainsi du plaisir à mes partenaires, j’adorai ça, particulièrement sur mon ange. J’aurai pu lui faire des heures durant tellement j’aimais boire sa source. Je poussai ma langue au plus profond possible et je jouai de mes lèvres autour de son anus comme un trompettiste l’aurait fait sur l’embouchure de son instrument, sans pour autant lui souffler dedans. Je ne lui avais pas encore fait cette caresse là, d’ailleurs je ne l’avais jamais faite à quiconque, je venais de l’imaginer, mais associée à ma langue qui tournoyait dans son cul et probablement l’excitation de la soirée, cela déclencha chez elle un orgasme brutal. Nouvelle photo, alors qu’elle criait, m’arrosant de plusieurs jets et s’écroulant sur moi. Par réflexe, je refermai mes bras sur elle, craignant qu’elle ne tombe et se blesse encore. Je rencontrai sur son corps d’autres mains qui se retirèrent très vite. Je supposai ne pas avoir été le seul ayant craint qu’elle ne chute. — Merci à tous ceux qui l’ont empêchée de tomber, vous pouvez la lâcher. On va lui laisser quelques instants et on pourra continuer, déclara Natacha— Toi aussi Hervé, tu peux la lâcher, ajouta-t-elle en riant, même si c’est ton ange, elle ne va pas s’envoler. A regrets, et du plus lentement qu’il m’était possible de le faire - c’est-à-dire un seul bras à la fois, et en lui caressant chaque fesse - je desserrai mon étreinte et mes mains reprirent leur place initiale à une différence près : les masseuses gardèrent leurs mains dans les miennes. Peu après, Julie se redressa, quitta sa position sur moi et m’embrassa fugacement au passage. J’eus juste le temps de lui glisser : — Merci, mon ange, c’était absolument génial ! — Ah non, non, non, Hervé, répondit Natacha, ça ne fait que commencer… Moi je connais l’intégralité de la surprise qu’elle t’a préparée, et… j’en suis jalouse !    Je tiens à remercier les lecteurs qui suivent cette histoire, oui, vous qui avez lu jusqu’ici, ceux qui votent pour, ceux qui m’ont laissé un ou plusieurs commentaires. Vous m’avez donné envie de poursuivre l’écriture des suites. Je voulais aussi exprimer ma gratitude envers les participants au forum, qui ont distillé ici et là des conseils et tutos sur l’écriture, cela m’a permis de progresser en orthographe, conjugaison et fluidité de lecture, et particulièrement Duchesse, qui a relu ce chapitre avant sa parution et à ainsi contribuée à l’améliorer par ses conseils et son œil averti pointant les fautes, les répétitions que je ne voyais plus à force de relecture et de corrections. A tous, MERCI
MANDRAKKE
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