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Une chute de vélo

Chapitre 30

Tracasseries

Hétéro
Le lendemain soir, Julie et Hervé se retrouvèrent avec joie, discutèrent un peu sur la terrasse pour profiter de la douceur relative de la fin de journée, puis Julie entraina Hervé dans la salle de bain. Désireuse de réactiver le fonctionnement complet de son érection, elle entreprit de le laver avec un gant de toilette. Elle se frotta ostensiblement contre lui, le caressa partout, déposa de multiples bisous sur son anatomie, mais hormis quelques plaintes lorsqu’elle manipula ses bijoux de famille, elle n’obtint pas les résultats escomptés. Elle ne s’en offusqua pas lorsqu’elle constata le bleu qui marquait largement les testicules d’Hervé, surtout celle de droite, la plus durement frappée. Cependant elle éprouva une certaine inquiétude en mesurant pour la première fois l’ampleur de ses blessures. Elle cessa de l’allumer, ne désirant pas ajouter à la douleur physique, la peine morale pour lui de ne pas pouvoir bander.  Le lendemain, elle téléphona à Elsa, prit de ses nouvelles, et lui posa quelques questions d’ordre médical par rapport à Hervé. Julie lui avoua finalement son inquiétude sur les conséquences possibles de sa blessure, sans rien cacher des difficultés qu’Hervé rencontrait. Elsa tenta de la rassurer mais ne put lui fournir aucune information précise, car cette spécialité était bien trop éloignée de son métier et de ses compétences, cependant elle lui conseilla d’accompagner Hervé lors de sa visite de contrôle. Les deux femmes parlèrent ensuite de Bruno. Il n’avait pas encore contacté Elsa, mais elle attendait son appel avec une certaine impatience tant elle le trouvait mignon avec sa timidité et sa faculté à rougir instantanément au moindre compliment. Elles se promirent mutuellement de se tenir informées de la suite des événements. 
—
 

La semaine passa assez vite pour Hervé qui s’était occupé de contacter un artisan qu’il connaissait pour réparer le portail ainsi que de poursuivre le débardage des branches cassées. Julie dont le genou était redevenu presque fonctionnel, reprit son travail après un avis médical. Elle donna rendez-vous à Hervé le vendredi en fin d’après-midi, dans son appartement pour récupérer quelques affaires. Hervé termina sa journée en avance et arriva le premier. Bien qu’il ait avec lui un exemplaire des clés de l’appartement de Julie, il l’attendit au pied de son immeuble. Katia, qui regardait souvent à sa fenêtre, le vit attendre adossé à sa voiture. Elle devina rapidement qu’il attendait Julie, puisqu’il ne bougeait pas de son véhicule de fonction. Elle se retint de le héler et descendit lui proposer d’attendre Julie chez elle, ce qu’Hervé refusa poliment, mais fermement. — Ecoute Hervé, c’est trop bête, insista-t-elle. Tu vas me faire la tête longtemps ?— Je ne te fais pas la tête, mais je ne voudrais pas que tu te fasses des idées.— Je sais que je me suis mal conduite, Gordon me l’a reproché.— Je ne peux pas lui donner tort.— Je voudrais me faire pardonner.— Et tu voudrais que j’accepte immédiatement tes excuses faites du bout des lèvres et que je te suive chez toi où l’on s’occuperait ensemble en attendant Julie ?— Pourquoi pas ? Je pourrais ainsi m’y faire pardonner beaucoup plus que du bout des lèvres.— On ne règle pas tout avec une partie de jambes en l’air Katia.— Alors considérons que c’est un point de départ. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Et puis …— … Et puis quoi ?— … J’ai envie de gouter à ta sucette et aussi à tes bonbons, maintenant que Natacha a tout débroussaillé.— Tu ne penses jamais à autre chose ?— Si, mais quand j’ai vu que tu étais épilé, j’ai eu envie de toi tout de suite. Et depuis que je t’ai touché sur la colline, c’est difficile de penser à autre chose.— Et c’est pour cette raison que tu as dragué Gordon à ce point ?— J’aime sa façon de parler, il est très chic, surtout avec cette voiture ! Et son petit accent, il vient d’où ? Je n’arrive pas à en déterminer l’origine.— Tu ne lui as pas demandé ?— Je n’ai pas eu le temps. Il m’a vite culbutée. Malheureusement pour moi il est resté juste assez longtemps pour me faire la morale sur ma conduite chez toi, et il est reparti car il avait des affaires à traiter sans me dire lesquelles, ni quand il reviendrait. Dis-moi Hervé, il fait quoi dans la vie Gordon ?
— S’il ne t’a rien dit, ce n’est pas à moi de le faire.— Cela ne m’étonne pas ! s’énerva-t-elle. Vous les mecs, quand il s’agit de nous ouvrir les cuisses vous êtes près à tout, mais pour donner quelques infos sur vos copains, il n’y a plus personne ! Hervé, agacé au plus haut point par l’attitude de Katia, lui tourna le dos, lâcha un long soupir et dans un effort pour conserver son calme, posa fermement ses deux mains sur le toit de sa voiture. — Katia, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu, ni encore moins grossier, mais la vérité m’oblige à te le dire : tu commences à me les briser menu !— Mais qu’est-ce qui te prends ?— Je connais Gordon, et je t’ai vu lui faire du rentre dedans tout le week-end, j’ai vu aussi ton cinéma dans sa voiture, maintenant, tu insistes pour m’entrainer chez toi et baiser comme tu as probablement fait avec Gordon, comme je ne cède pas, et que je te refuse une info, tu inverses les rôles pour me reprocher ton comportement. Donc ça suffit, soit tu es honnête dans tes propos et ton attitude, soit tu rentres chez toi.  La moue qui se dessina sur le visage de Katia laissa clairement voir son profond mécontentement. Elle resta ainsi un court instant, sembla hésiter sur la réponse à apporter, puis sans un mot tourna résolument les talons et repartit chez elle sans un regard pour Hervé qui attendit presque un quart d’heure que Julie arrive. Elle devina immédiatement dans son attitude que quelque chose n’était pas à sa place, car bien qu’ils se soient embrassés amoureusement, elle sentit bien que la passion habituelle n’était pas là. Elle pensa à un souci professionnel et ne questionna pas Hervé dessus. Elle remit la question à plus tard si toutefois son impression venait à perdurer. Ils regagnèrent l’appartement de Julie, et, pour la première fois depuis leur rencontre, elle gravit les marches sans être dans les bras d’Hervé, mais ne lâcha son bras qu’une fois la porte refermée sur eux. Hervé lui rapporta alors la discussion qu’il avait eue avec Katia. La réponse qu’il avait fournie reçu l’approbation de Julie, qui se déclara ravie, à la fois de la réaction d’Hervé, mais aussi qu’il l’en ait informée. Puis après une rapide étreinte, ils remplirent rapidement un panier avec quelques provisions, ainsi que deux valises de vêtements. Lorsqu’ils eurent terminé le ménage, Julie entraîna son homme dans la chambre. Son idée était simple : utiliser le lieu de leurs premiers ébats pour tenter de remettre le sexe d’Hervé en marche, elle craignait que cette panne s’installe dans la durée. Elle cherchait surtout à le préserver et, même si elle aimait beaucoup le sexe avec lui, elle pourrait s’en passer quelques jours de plus, si cela pouvait améliorer son état. Julie ne doutait pas un instant que l’amour qu’il éprouvait pour elle soit intact, cependant, plusieurs petites phrases, allusions ou encore remarques de Bruno, Gordon et même d’Hervé, lui laissait penser qu’une partie de la vie de l’homme qu’elle aimait n’avait pas été facile, et bien qu’il n’y fasse jamais allusion, elle redoutait que ce souci d’érection soit d’une manière ou d’une autre lié à son passé. Elle n’attendrait pas que le problème s’aggrave ou que cela retarde sa guérison. Il s’était occupé d’elle lors de sa chute de vélo, le moins qu’elle puisse faire en retour était de l’aider de son mieux après le coup reçu dans ses parties. Elle l’embrassa, d’abord sagement, puis de plus en plus passionnément, partout où elle le pouvait, lui retira progressivement ses vêtements, découvrant son torse musclé qui, en cette fin de journée, sentait légèrement la transpiration. Loin de la repousser, cette odeur, augmenta encore son envie, alors, elle s’employa à l’exciter avec ses caresses et ses baisers. Dès le début, Hervé répondit plus que favorablement à cette sollicitation. Il rendit des embrassades fougueuses à toutes celles qu’il reçut, retira les vêtements de Julie bien plus rapidement qu’a l’accoutumée mais sans que ce soit fait avec précipitation. Assez vite, ils se retrouvèrent nus, Hervé saisit son amour dans ses bras puissants, puis sans effort apparent, la souleva et se redressa. Ravie de cet empressement, elle croisa immédiatement ses jambes autour de la taille de son homme, qui lui embrassa goulument le cou. Julie gloussa de plaisir, puis cria de surprise lorsqu’Hervé la bascula sur le lit pour jeter son dévolu sur les seins. Par les caresses appuyées qu’elle appliqua sur le dos de son amant, plus que par quelques mots, elle l’encouragea à poursuivre encore et encore. Hervé savait qu’elle appréciait ces jeux buccaux, et de son côté il n’avait nul besoin de se forcer pour choyer cette poitrine. Sa main, qui parcourait déjà la peau satinée du périnée jusqu’au pubis le renseignait sur l’état d’excitation dans lequel son ange se trouvait. Après quelques minutes, il fit subir le même sort à son ventre. Julie se cabra et dansa une chorégraphie saccadée sous le mélange de chatouilles et de plaisir, mais le laissa poursuivre.  Il posa ses lèvres sur ce sexe qui lui faisait tant envie, resta immobile quelques secondes, le temps de humer le parfum entêtant qui s’en dégageait. Il sépara ensuite les parois de son intimité sur toute sa longueur d’une pointe de sa langue, et contrairement à ses habitudes, la plongea directement au plus profond de son intimité. Julie ne l’interrompit pas, heureuse de cette initiative. Toutefois, elle lui réclama quelque chose à se mettre sous la dent, mais Hervé se réagit pas et poursuivit sa dégustation avec un plaisir exacerbé car Julie ne retenait pas ses miaulements.  Durant la semaine écoulée, elle s’était rendue compte que le sexe d’Hervé lui manquait. Le brutal changement opéré depuis qu’elle l’avait rencontré, cette soudaine effusion de plaisirs charnels qu’ils s’échangeaient fréquemment avait comblé un manque qu’elle n’avait pas mesuré jusqu’alors, mais qui lui était si évident à présent qu’Hervé était privé d’une partie de ses moyens. Et même s’il savait, et ne se privait pas de varier les plaisirs, elle appréciait sentir sa queue dure dans sa main, et encore plus lorsqu’il la pénétrait que ce soit avec fougue comme avec toute la douceur dont il avait fait preuve à maintes reprises. D’un genou, elle poussa sur les côtes d’Hervé qui se laissa faire et roula sur le dos. Julie en profita pour lui faire un gros câlin, en même temps elle le caressa d’une main, chercha à l’exciter encore plus et vérifia son état.  Malheureusement pour elle, le problème restait entier. Hervé ne bandait toujours pas, il n’y avait même pas le début du commencement d’une réaction. Mais plutôt que de tout arrêter comme les deux dernières fois, elle garda cette verge molle en main et observa attentivement les blessures d’Hervé. Sur sa cuisse, des larges pansements avaient remplacé les bandages, et même si ses roubignoles portaient bien moins les marques du choc, leur couleur n’était pas encore revenue à la normale. Lorsqu’elle fit part de ses observations à Hervé, il plaisanta, lui affirma que pour ne pas la choquer, il refuserait dorénavant qu’elle l’observe en pleine lumière. Cependant, malgré la plaisanterie, Julie détecta un infime trémolo dans sa voix, alors, elle lui suggéra d’inviter une ou plusieurs de ses amies le week-end pour tester si cela pouvait remettre son système en route. Hervé réfléchit quelques instants puis refusa, expliqua qu’il préférait attendre un peu, mais remercia chaudement son ange pour sa confiance plus que pour la proposition, et précisa réserver cette idée pour plus tard. Il n’osa pas lui avouer, mais il craignait lui aussi que ce problème ne s’installe et, à la longue, ruine sa relation avec elle, or il avait pour Julie une telle masse de sentiments amoureux, mais aussi d’envies sexuelles envers elle, comme avec ses amies, toutes ces personnes qui l’avaient décoincé sexuellement, qu’il ne pouvait pas imaginer que cela s’arrête si brusquement. Tout ce qu’il avait vécu depuis sa rencontre avec elle, l’avait surpris, étonné, parfois bousculé, mais il n’avait aucun regret, tout ce qu’il avait vécu était si bon, si agréable, qu’il craignait que cela cesse.  Bien sûr, il savait que Julie l’aimait, il n’avait pas le moindre doute là-dessus, mais pourrait-elle l’aimer autant et longtemps s’il ne pouvait plus la pénétrer ? Il ne devait plus, il ne voulait plus, penser à cette vision d’un futur qui lui serait difficile à accepter, mais, plus il se forçait à ne pas y penser, plus cette idée s’ancrait dans son esprit, et cela le perturbait d’autant plus. Sa réflexion fut interrompue par la sonnette. — Tu crois que Katia aurait le culot de venir te relancer jusqu’ici en ma présence ? demanda Julie.— Si c’est le cas, je vais la recevoir, et elle va s’en souvenir.— Attends, laisse-moi faire. Julie passa juste un t-shirt ample, qui la couvrit jusqu’à mi-cuisse et qui aurait pu lui servir de pyjama avant d’ouvrir la porte. — Bonjour Julie ! — Ah ! Bonjour Alain.— Je m’excuse pour mon indiscrétion, mais je vous ai entendus avec votre ami, alors je me suis dit que, si comme je l’entends, vous avez terminé de batifoler, ce serait peut-être le bon moment pour faire connaissance autour d’un apéro chez moi. Qu’en dites-vous ? Alain n’était le voisin de Julie que depuis quelques mois, ils s’étaient surtout croisés dans les escaliers, avaient quelques fois conversé depuis leurs balcons, mais elle le connaissait plus par ce que lui en avait rapporté Katia qui bien sûr, avait rapidement fait sa connaissance approfondie. Alain avait déjà maintes fois invité Julie pour boire un verre, pour faire connaissance, systématiquement elle avait poliment refusée, non pas qu’il lui déplaisait, elle le trouvait même plutôt beau et souvent bien habillé, comme aujourd’hui avec sa chemise claire impeccable et son pantalon de toile beige, mais rien chez lui ne l’attirait. Une nouvelle fois, Julie déclina la proposition, et puisqu’il lui avait signifié qu’il avait entendu ses ébats avec Hervé, elle lui répondit avec malice qu’ils étaient loin d’en avoir terminé. Alain haussa un sourcil, hésita quelques secondes avant de se jeter à l’eau. — Votre amie, Katia, m’avait proposé de… enfin … que nous nous découvrions tous les quatre, au cours d’une soirée intime, et puis... — Ah bon ? Tous les quatre ?— Oui. Cela pose un problème ? On peut le faire ailleurs si vous voulez.— Ah ? Ailleurs ?— Oui ailleurs que chez moi : chez elle, chez vous, ou tout autre lieu, peu m’importe. Vous n’avez pas encore arrêté l’endroit peut-être ? Je lui grille la politesse ?— Non, elle ne m’en a pas du tout informée, et je la trouve gonflée de prendre ce genre de libertés avec moi, sans mon accord en plus !— Je suis confus… Katia, m’avait assurée que ce n’était pas un souci pour vous, ni même pour votre ami. Durant ce dialogue, Hervé qui avait suivi Julie jusqu’à la porte d’entrée sans être visible depuis l’extérieur décida de l’épauler et se plaça à côté d’elle. Il savait qu’il était dans le plus simple appareil, et n’en avait absolument rien à faire.  — Bonjour Alain.— Ah ! Heu… Bonjour … Je suis… — Culoté de tenir ces propos, coupa Hervé. Et je pense aussi que Katia est très gonflée. Je vais lui en toucher deux mots, et croyez-moi, elle va dégonfler très rapidement ! Laissez-moi passer ! Penaud, Alain s’effaça devant Hervé qui avança d’un bon pas, toujours entièrement nu sur le palier. — Vous n’allez quand même pas y aller ainsi ? lui demanda Alain.— Et pourquoi pas ? Ainsi, je gagnerai un temps précieux ! tança Hervé sur un ton qui ne laissa aucun doute quant à sa détermination.— Je suis désolé, je vous laisse, bredouilla Alain.— Non, non ! ordonna Hervé, rentrez chez vous, et préparez cet apéro fornicatoire qui vous tient tant à cœur, vos invités arrivent dans moins de cinq minutes chrono !  Hervé dévala les escaliers sous le regard franchement amusé de Julie et celui d’Alain, complètement médusé par la tournure de la situation. Il reporta son attention sur Julie ne sachant pas comment réagir. — Allez ! Hop ! hop ! hop ! l’encouragea-t-elle en frappant ses mains comme s’il s’agissait de chasser un groupe de volatiles. Au boulot : saucisson, chips, cacahuètes, olives, glaçons, verres et ce qu’il faut pour les remplir ! Ne soyez pas en retard ! Plus que quatre minutes et quelques ! Alain, s’exécuta sans réfléchir et s’engouffra dans son appartement. Quelques minutes plus tard, alors qu’il n’avait pas achevé ses préparatifs, les convives signalèrent leur présence par quelques coups secs et rapides sur la porte d’entrée. Hervé, toujours aussi nu qu’un ver, tenait par la taille d’un coté Julie et son t-shirt-pyjama, et de l’autre Katia, en combinaison saumon. Le tableau avait de quoi étonner, choquer, tant le contraste entre les tenues vestimentaires de ces quatre personnes était différent, voire opposé. Les plus surpris étaient Alain et surtout Katia. Celle-ci ne s’attendait pas à ce qu’Hervé vienne la chercher, et encore moins entièrement dénudé, mais trop heureuse d’espérer une bonne soirée de baise avec lui et Julie, elle l’avait suivi sans discuter ni même demander d’explications. Aussi, fut-elle surprise qu’Hervé la conduise vers l’appartement voisin, tout autant qu’il s’y dirige sans la moindre hésitation, une fille à chaque bras. Ils s’installèrent sur le canapé d’angle autour de la table basse du salon, Alain rempli les verres et engagea la conversation. — Alors Hervé, que faites-vous dans la vie ?— Je suis spécialiste en éradication.— En quoi ? demanda Alain, pensant avoir mal compris.— Je suis un tueur. Froid. Sans pitié … un assassin, répondit-il d’une voix lente et posée alors qu’il fixait les yeux de son interlocuteur.— Heu… comment ça ?— Je peux le faire à mains nues, mais je préfère largement les pièges et produits chimiques… Katia, qui ne comprenait plus rien, regardait alternativement Hervé et Julie. Celle-ci dégustait une olive, sans laisser paraître le moindre trouble.  — Je ne comprends pas. Vous vous moquez de moi hein ? demanda Alain.— Vous souhaitiez faire notre connaissance ? Je réponds juste à vos questions.— C’est une blague hein ?— Mes clients disent aussi pratiquement la même chose assez souvent : C’est une blatte hein ?— Et vous le faites toujours nu ? Hervé se regarda fébrilement. — Mon dieu ! Elles ont déjà tout bouffé !— Mais qui et quoi ?— Les mites ! Ces saletés ont bouffé toutes mes fringues !— Hervé tu es trop drôle ! s’exclama Katia. J’ai manqué de renverser mon verre, tu aurais pu prévenir.— Et toi aussi, tu aurais pu nous prévenir avec Julie, que tu souhaitais organiser une partouze ici avec Alain.— Heu… Je n’ai pas eu le temps. Mais je suis ravie que tu acceptes.— Mais je n’ai pas accept酠Alain, de plus en plus mal à l’aise, ne laissa pas le silence s’installer après cette remarque et lança une tournée de vérification des niveaux dans les verres. Il s’étonna qu’Hervé n’ai rien bu du sien. — Je bois très rarement de l’alcool, et vous n’avez rien demandé avant de remplir mon verre, expliqua-t-il.— Du jus d’orange ? Cela ira ?— Bien mieux !— Voila, s’excusa-t-il en revenant avec un autre verre et une bouteille. Mais, dites-moi quel est votre vrai métier maintenant.— C’est mon métier : j’éradique les insectes nuisibles : punaises, blattes, cafards … et même les mantes religieuses. Vous savez ces femelles, qui une fois que le mâle à terminé son affaire avec elles, et parfois même durant l’accouplement, leur font perdre la tête et les dévorent sans remords. Durant cette dernière phrase, Hervé porta son regard sur Katia. Elle soupira, comprenant que cette dernière critique lui était adressée. Julie qui intérieurement, avait bien rit de la blague d’Hervé sur son occupation professionnelle, redevint plus sérieuse avec cette réprimande. Elle n’était pas inquiète pour elle, mais pour la suite des événements. Il y avait un nouveau point de friction avec Katia, et elle redoutait qu’Hervé ne la dégonfle trop fort. — Et vous Alain ? Comment gagnez-vous votre vie ? — Je suis commercial, je fournis les établissements scolaires en fournitures et équipements.— Très bien ! Et toi Katia ? — Tu le sais très bien Hervé : je travaille dans la même société que Julie.— Oui, ça je sais, mais qu’est ce que tu y fais ? Tu ne nous l’as jamais dit. — Puff… Tu es casse pieds ! — Ah ? En tous cas, je ne promets pas de rendez-vous pour baiser avec d’autres pour toi, car c’est bien ce que tu as dit à Alain non ?— Tu sors la phrase de son contexte. Ça ne veut pas dire la même chose.— Tu l’as dit ou pas ?— OUI ! cria-t-elle. Voila, tu es satisfait ?— Non ! Mais tu dois assumer tes promesses.— Que veux-tu dire ?— Katia, puisque tu m’y oblige, je vais faire une mise au point : Julie et moi n’avons rien promis, c’est toi qui t’es avancée sans même nous consulter.— Et alors ?— Alors ? A poil Katia ! Alain aussi ! C’est bien ce que vous espériez non ?— Et bien… oui, un peu, murmura Alain, mais pas comme ça. Enfin je veux dire, moins vite, et sans se fâcher. — Vous avez raison Alain, je suis en colère, contre vous, un peu, mais surtout contre Katia qui se permet de disposer du corps des autres, d’arranger des rencontres comme le ferait la tenancière d’une maison close. Rassure-moi Katia : tu n’as invité personne d’autre ?— Je pensais que ça vous ferait plaisir, pas que je serai sermonnée comme une gamine.— Alors conduit-toi en adulte Katia ! Je pensais avoir été suffisamment clair chez moi dimanche dernier.— Cela veut dire que vous ne ferez rien avec nous ?— Julie ne m’appartient pas Katia, et encore moins à toi. Alors si elle souhaite coucher avec Alain, elle le fera car ce sera son choix, et pas celui d’autrui.— Oh, mon chou. Tu le penses vraiment ?— Oui mon ange, lui répondit Hervé d’une voix subitement beaucoup plus douce, et pourquoi t’en empêcherais-je ?— Par peur de me perdre ?— Non, même si j’ai peur de te perdre, je sais que si cela devait arriver, ce ne serait probablement pas pour une vulgaire histoire de fesses, et si demain tu décidais de me quitter je serais inconsolable, terriblement triste et malheureux, mais je ne t’en empêcherais pas. Tu deviendrais mon meilleur souvenir… Le plus merveilleux de tous.— Tu es un amour ! Julie se jeta dans les bras d’Hervé, ils s’étreignirent fortement et s’embrassèrent intensément. Progressivement, Hervé bascula sur un angle du canapé, tant elle le pressait de ses baisers voraces. Il remonta ses mains le long des cuisses douces qui l’encadraient, les glissa sous le tissu jusqu’à ses fesses soyeuses. Julie se redressa, retira son t-shirt et s’assit sur les épaules d’Hervé dont la tête se dirigea immédiatement vers ce sexe bien échauffé par leurs précédentes galipettes interrompues. Alain ne perdit pas une miette de ce lui offrirent Hervé et Julie, et même si les seins de cette dernière furent rapidement recouverts par les mains d’Hervé, cela avait suffit pour le mettre dans de bonnes dispositions. Katia, vexée une fois de plus de ne pas être le centre des attentions, tâta l’entre-jambe d’Alain. Celui-ci se retourna vers elle, de plus en plus décontenancé par l’enchainement des évènements. Il ouvrit la bouche pour lui demander si ce qui arrivait était prévu et qui se moquait de lui, mais il n’en eut pas le temps : Katia l’embrassa à pleine bouche. Il savait qu’elle était loin d’être farouche, alors il posa ses mains sur elle, parcouru la surface de ses vêtements à la recherche de la moindre ouverture par laquelle il pourrait accéder à sa peau. Malheureusement pour lui, la combinaison qu’elle portait n’était pas conçue pour cet usage.  — Allez ! A poil ! Comme eux ! commanda Katia dès qu’elle laissa respirer Alain.— Mais, je ne comprends rien, se lamenta-t-il.— Si tu ne veux pas baiser, dis-le ! — Non mais attends, tu me dis que tu vas m’arranger un rendez-vous avec Julie, que je pourrai passer à l’attaque et y aller gaiement, que son copain n’est pas jaloux, mais visiblement ils n’étaient pas au courant, et apparemment pas d’accord, et les voila en pleine action devant moi.— Ne t’occupe pas d’eux, mais de moi. Moi je suis là, et tu ne le regretteras pas ! Alain observait Julie qui chevauchait toujours le visage d’Hervé, subjugué par ce corps qui ondulait, donnait et prenait un plaisir évident. Les douces caresses échangées ajoutaient encore à l’érotisme de la scène qui se déroulait sous ses yeux. Katia avait déjà retiré sa combinaison qu’il n’avait pas encore terminé de déboutonner sa chemise, tout absorbé qu’il était par la vision torride qui s’offrait à lui. — Allez ! Tu as besoin d’un coup de main ? s’impatienta Katia.— Heu… Non, mais c’est tellement mieux de voir ça en vrai…— Quoi ?— Elle, lui, eux… c’est beau, terriblement excitant.— Super ! Si tu es excité, moi aussi, alors vient me la mettre !— Toujours aussi gourmande hein ?— Toujours. Allez ! Sors-la enfin ! — Ne t’affole pas, ça vient. Le slip kangourou d’Alain fut presque arraché par Katia, qui se jeta sur la queue qui en émergea. Elle était assez épaisse, le gland déjà gonflé et toujours enfermé dans son prépuce, le déformait ce qui laissait deviner un renflement important à sa base. Katia caressa ce membre en sens unique, comme si elle cherchait à lui faire prendre toujours plus de longueur avant de le prendre en bouche. Elle le décalotta, juste en jouant avec sa langue, ce qui arracha une plainte de plaisir à son propriétaire qui gardait toujours les yeux rivés sur l’autre angle du canapé. Pour attirer son attention, elle lui fit directement une gorge profonde et le regarda dans les yeux, mais cela ne fut pas suffisant pour qu’Alain abandonne Hervé et Julie du regard. Alors, Katia changea de tactique et concentra son action sur ses prunes, bien rangées dans leur sac. Elle ne s’embarrassa pas avec les préliminaires, et aspira la première qu’elle englouti d’un coup. Alain poussa un cri de surprise, et reporta alors son attention sur Katia.  — Oh oui ma gourmande ! Encore ! Katia grogna de satisfaction, et intensifia son action. Julie, dont l’attention avait été attirée par le cri d’Alain, fit une pause pour laisser Hervé observer la scène. Celui-ci haussa simplement les épaules et voulu reprendre ses caresses, mais Julie fit demi-tour et se repositionna sur sa bouche. Elle pouvait ainsi observer elle aussi ce qui se passait entre Alain et Katia, mais surtout, elle souhaitait préserver Hervé des moqueries de son amie si celle-ci venait à s’apercevoir qu’il ne bandait pas. Cette volte-face lui laissa la possibilité, à elle aussi, de faire la suce-boule. D’une main, elle positionna le sexe de son chou sur son ventre, le maintint de deux doigts, le lécha sur toute sa longueur et se dirigea rapidement sur une de ses testicules qu’elle titilla tranquillement d’une pointe de langue. Ses cheveux et son cou masquaient la verge toujours molle d’Hervé, elle put alors se laisser porter par le plaisir qu’Hervé lui procurait juste avec sa langue, ses lèvres et ses mains. Alain s’allongea sur le dos et invita Katia à se servir de lui. Elle ne perdit pas une seconde et s’empala sur son dard avec un énorme soupir de soulagement. Elle posa ses mains sur les épaules d’Alain, releva son bassin et ils débutèrent alors une véritable course équestre. Katia donnait l’impression d’un jockey, debout sur ses étriers pour ne pas avoir le fondement meurtri par son destrier. Tout comme sur un champ de courses, elle donnait de la voix pour encourager sa monture à aller toujours plus vite, plus fort. Il ne manquait que la cravache et les haies… Quelques instants plus tard Alain décida de changer et passa en levrette, Katia cria sous les assauts puissants qui ébranlèrent le canapé. Les rôles étant inversés, le nouveau cavalier utilisa sa main qui tomba plusieurs fois sur le fessier de Katia. — Allez ! Avance un peu vers ton amie ! Tu devrais regarder comment elle fait. Avant que Katia esquisse le moindre mouvement, Julie abandonna les balloches d’Hervé et goba toute sa queue. Elle vit son amie approcher, se lécher les lèvres en la regardant. D’un petit signe discret, Julie la dissuada de venir l’aider. Katia savait qu’il ne valait mieux pas enfreindre les consignes de ces deux-la. Pourtant, l’envie de lécher ces grosses couilles pendant qu’Alain et son gros piston ronronnait dans sa culasse était grande. Après quelques minutes, Alain la délaissa rapidement et alla observer de très près les fesses de Julie. Hervé lui, dévorait toujours le sexe de son ange, ce qu’Alain avait lui-même très envie de faire depuis plusieurs mois, depuis qu’il avait croisé sa voisine pour la première fois, qu’il avait observé sa silhouette gracieuse gravir les marches dans sa jupe longue. Il en était même remonté chez lui, prétextant avoir oublié de vérifier le gaz, pour profiter de la vision sur les deux derniers étages, et surtout engager la discussion. Malheureusement pour lui, elle avait coupé court à la conversation. Il retenait tant bien que mal, l’envie furieuse qu’il avait de prendre cette chatte luisante de mouille, là, tout de suite, mais depuis le début de la soirée, il avait sentit quelque chose dans l’attitude d’Hervé, qui le freinait. Et puis, il devinait dans cette carrure plus imposante que la sienne, qu’il ne tiendrait pas longtemps s’il venait à se fâcher pour de bon. Alors, il posa délicatement une main sur l’arrondi de la fesse, caressa lentement son galbe, profita de sa douceur. Il s’enhardi et ajouta une seconde main sur l’autre fesse comme pour comparer s’il existait une différence entre les deux, élargi progressivement la surface des frottements, appuya plus sur ses paumes. A bout de patience, il implora Hervé du regard, mais celui resta sans réaction. Les quelques secondes de patience supplémentaire qu’Alain s’accorda, lui semblèrent une éternité. — Je… peux ? demanda-t-il enfin.— Quoi ? demanda Hervé qui avait cependant très bien saisi la question.— Je veux dire, la prendre… tu permets ?— Tu n’as rien écouté ! répondit-il avec un haussement d’épaules. Ce n’est pas à moi, mais à elle qu’il faut demander.— Euh oui, c’est vrai… Julie ? J’ai terriblement envie de te prendre, tu permets ? Elle répondit très clairement, d’un simple signe de la main : Non. Alain tomba à genoux devant elle, les yeux implorants, mais elle confirma son refus. Alain lui dégagea le visage des cheveux qui le parsemait, la regarda intensément. — Que tu es belle ! ajouta-t-il, espérant qu’un compliment puisse la faire changer d’avis. Une aussi longue gorge profonde, c’est un exploit, jamais vu ça !  Alain s’approcha du visage de Julie, déposa un bisou sur sa joue puis lui passa les doigts dans les cheveux. Progressivement, il glissa sa main en direction d’Hervé. Il se risqua à lui effleurer les roubignoles tout en le regardant afin de savoir s’il pouvait continuer. Hervé, trop occupé auprès de la minette de son ange, ne se rendit pas compte qu’une main masculine lui prodiguait cette caresse et ne réagit pas. Alain interpréta cela comme un feu vert et accentua son action  — Que c’est beau et doux, soupira-t-il. La remarque d’Alain résultait de l’observation des boules douces et imberbes qu’il roulait dans ses doigts, Hervé pensa qu’il parlait des fesses de Julie tandis qu’elle crut qu’il parlait de ses cheveux et aucun d’eux ne saisirent le sens des propos mal formulés par Alain. Cependant, Katia le connaissait mieux avait compris instantanément ce qu’il convoitait. — Fait tout doucement mon gros cochon, lui souffla-t-elle à l’oreille, elles ont pris un vilain coup la semaine dernière. Ne lui fais pas mal.— Oh non, ce n’est pas mon intention, répondit-il. Du plus délicatement qu’il le pût, avec une impatience contenue, il déposa ses lèvres sur une balloche d’Hervé, y déposa plusieurs baisers, sortit sa langue, la passa plusieurs fois dessus et l’aspira entièrement dans sa bouche avec un soupir de plaisir. A ce moment, Hervé qui avait senti la rugosité de la courte barbe d’Alain, compris qui était en train de jouer avec ses couilles et se rappela alors les propos de Julie lorsqu’il s’était rendu compte qu’il était nu sur le balcon en train de faire la connaissance de ce voisin. Dans un premier temps, il voulu mettre fin à cette situation, puis sa mémoire lui rappela que Katia et Julie s’étaient données du plaisir devant lui, alors il se ravisa et le laissa faire. Quelques instants plus tard, Alain relâcha délicatement ce qu’il avait en bouche pour mieux gouter à la voisine. — Je reviens vite, annonça Katia. Alain afficha un plaisir évident en jouant avec les affaires d’Hervé. Il lécha de plus en plus fréquemment la base du sexe, une façon pour lui d’inciter Julie à le lui laisser. Malheureusement pour lui, elle ne lâcha pas un pouce de terrain, et était d’autant plus motivée à poursuivre dans cette voie que progressivement, elle sentait le sexe de son amoureux prendre du volume dans sa bouche. Alors, elle incita Alain à poursuivre son action en lui poussant la tête pour qu’il les bouffe entièrement. Il reçu le message avec un grand plaisir et se libéra de cette retenue qu’il avait jusque ici. Il passa sa langue partout où il pouvait avec une certaine frénésie. La verge dans la bouche de Julie, gonfla encore, sans toutefois être rigide, mais pour Julie c’était un grand pas. Elle osa alors la prendre moins profonde, et activa sa langue sur le gland, là où elle savait qu’Hervé appréciait. Moins de deux minutes plus tard, il poussa un râle, et éjacula.  Julie senti une grosse quantité de sperme envahir lentement sa bouche, sans être propulsé avec la puissance habituelle. Qu’importe, elle si fut heureuse du résultat que cela déclencha sa propre jouissance qu’elle ne chercha pas à camoufler. — Et me revoici, s’annonça Katia.— Toi, tu as envie de me faire plaisir ma cochonne ! saliva Alain en la voyant équipée d’un gode-ceinture.— Je sais que tu aimes ça !— Oh que oui, ma cochonne ! Et toi aussi ! Sans tarder Alain présenta son derrière à Katia, qui lui tartina généreusement la rondelle de lubrifiant après en avoir enduit son ustensile. Julie s’était assise sur les genoux d’Hervé qui l’entourait de ses bras, ensemble, ils regardèrent la scène, mi-amusés, mi-étonnés. Katia positionna son appendice artificiel entre les fesses d’Alain et l’y entra lentement, mais entièrement. Elle lui fit faire quelques allers-retours et remit une bonne dose de lubrifiant, se repositionna et saisit les hanches d’Alain. — Tu es prêt ?— Oh oui ! Katia enfonça d’un coup toute la longueur du gode et patienta quelques secondes, le temps qu’Alain relève la tête des coussins et se retourne pour l’embrasser. Elle bougea alors en lui d’abord lentement, augmenta la vitesse progressivement et lui pilonna le fondement sans ménagement, mais visiblement sans douleur pour lui, car il gueula son plaisir, l’encouragea à y aller toujours plus fort, toujours plus vite. Katia, joignit ses cris de plaisir à ceux d’Alain, puis elle sollicita Julie et Hervé à participer, sans succès.  — Allez mon gros, dit Katia à Alain, mets-toi sur le dos !— Oh oui, j’adore voir tes gros nibards s’agiter ! Alain se positionna comme demandé, releva les jambes. Katia s’installa entre et reprit sans tarder une pénétration profonde mais régulière et moins sauvage. Alain posa ses mains sur les seins de Katia et ferma les yeux. — Oh Hervé ! Viens prendre sa place ! Prends-moi et branle-moi en même temps ! J’en ai trop envie ! Hervé fut surpris par cette demande inattendue, mais ne se laissa pas impressionner. Après un court instant d’hésitation, et un échange de regards avec Julie, il caressa cette queue bien dure, l’empoigna et la branla doucement dans son fourreau. Julie s’assit sur le visage d’Alain, lui permettant ainsi de gouter à ce qu’elle lui avait refusé plus tôt. Deux minutes plus tard, Alain éjaculait plusieurs jets épais maculant de blanc la toison blonde de son ventre. Katia se retira des fesses d’Alain et esquissa un geste en direction d’Hervé, espérant qu’il oublie sa promesse de ne plus avoir de relation avec elle. Elle espérait que son jouet l’émoustillerait puisque Julie lui avait déjà enfoncé un plug en public et qu’il reviendrait sur sa décision de refuser toute relation sexuelle avec lui. Pour accentuer son effet, elle lui jeta un regard implorant tout en redressant de sa main son chibre de plastique.  — Hervé ? Tu ne voudrais pas essayer ? lui demanda Katia d’une voix qu’elle fit la plus excitante possible.— Non Katia.— Tu as tord Hervé, conseilla Alain, c’est génial et elle fait ça tellement bien.— Katia connait très bien les raisons de mon refus, je n’ai nul besoin de lui rappeler.— Non, inutile soupira-t-elle, mais si tu préfères, je le prête à Julie. Si c’est elle, tu n’as plus de raisons de refuser.— Oh oui ! s’écria Alain, je peux même le faire à sa place si besoin.— Tu ne l’as jamais fait je parie ! s’exclama Katia qui constatait la surprise d’Hervé, le plug chez Natacha c’était une première pour toi !— Vas-y Hervé, l’encouragea Alain, tu verras c’est dantesque, mais c’est encore mieux avec une vraie bite.— Oh s’il te plaît Hervé, je voudrais être celle qui te fera ce cadeau la première, je serai très douce et je ferai ce que tu voudras en échange. Oh Julie ! Aide-moi à le décider ! Hervé resta impassible mais Julie la foudroya du regard, se releva, ramassa son t-shirt et s’adressa à ses voisins tour à tour. — Alain, lorsque vous avez sonné, contrairement à ce vous pensiez, nous n’avions pas terminé. J’étais sur le point de faire l’amour avec un homme, un homme avec un corps d’homme, des mains d’homme. Faire l’amour Katia, tu ne sais sans doute pas ce que ça veut dire, mais cela peut être très beau, nous te plaignions beaucoup tous les deux.— Mais enfin, s’étonna Katia, pourquoi refuser ?— Tu n’as toujours rien compris Katia, analysa Hervé. Je renonce à t’expliquer.— Tu as raison mon chou, elle ne peut pas comprendre, mais je connais quelqu’un qui sera peut-être en mesure de lui ouvrir les yeux, qui sont plus fermés que ses cuisses… Ne te tracasse pas, je lui en toucherai un mot à l’occasion. Ni l’un ni l’autre ne réagit à la remarque de Julie, malgré le silence de plomb qui s’installa, aussi pesant que les regards d’Hervé et de Julie sur Katia. Julie embrassa tendrement Hervé et lui demanda de la porter pour rentrer chez elle. Elle s’accrocha à son cou, et ils quittèrent l’appartement sans un mot supplémentaire.
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