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Une cliente

Chapitre 1

Lesbienne
J’ai quarante ans, je m’appelle Sylvia, je suis mariée depuis plusieurs années, si nous avons fait le serment d’assistance, nous n’avons pas fait celui de fidélité, loin de là. Je suis hôtesse de caisse c’est-à-dire caissière dans un supermarché et mon mari s’occupe de l’approvisionnement, dans le même établissement. Pendant notre pose, nous déjeunons ensemble dans un petit restaurant à côté de notre lieu de travail. Plusieurs fois par semaine à ma caisse passe une jolie femme avec une boite de préservatifs et un tube de gel, comme elle a toujours les mêmes articles je l’ai remarquée. Un jour, je la regarde en lui faisant un sourire et depuis elle passe à ma caisse systématiquement. Elle doit aimer la queue pour utiliser autant de préservatifs ou avoir plusieurs amants.
Lors de son dernier passage, elle me dit :
— Ce n’est pas pour moi, mais pour mon mari qui aime faire l’amour et pas seulement avec moi. Au fait je m’appelle Isabelle
Je lui réponds que je suis aussi une grande consommatrice. Mon mari a couché avec pratiquement toutes les caissières célibataires du magasin (et même quelques femmes mariées), de mon côté j’ai essayé tous les hommes mariés ou non, je ne fais pas de différence quand ils me baisent. J’ai remarqué un jeune qui vient d’arriver et que je ne me suis encore fait, mais cela ne va pas tarder. Je l’allume à chaque fois que je le rencontre dans les vestiaires en essayant de le caresser à travers son pantalon. Souvent, pendant que je me fais sauter dans les vestiaires, mon mari fait le guet pour m’avertir de l’arrivée de quelqu’un, mais cela ne sert pas à grand-chose puisque je me suis faite tous les hommes et si c’est une femme il y a de fortes chances pour que mon mari lui ait donné un petit coup. Mon mari n’est pas en reste, je lui ai arrangé plus d’un coup, surtout avec les femmes mariées qui aiment bien baiser mais n’osent pas. Je lui parle de la cliente aux préservatifs, qui m’a dit que c’est pour son mari, mon mari me dit :
— Son mari doit être un super baiseur pour utiliser tant de préservatifs, il faut que tu l’essayes.
Avec mon mari, nous déjeunons tous les jours ensemble, sauf quand l’un ou l’autre à une occasion de baiser pendant la pause et dit :
— Aujourd‘hui je ne pourrais pas déjeuner avec toi, je te raconterais ce soir.
C’est un peu un mot de passe, l’autre comprend qu’une occasion est saisie et le soir même il aura le récit. Je fais quelques allusions à ma cliente, un jour elle me propose de venir la rejoindre chez elle pendant ma pause en me disant :
— Tu ne seras pas déçue, et me donne son adresse.
Je préviens mon mari en lui disant que je ne mangerai pas avec lui ce midi, que je lui raconterai ce soir il comprend en me disant :
— Amuse-toi bien, à toute à l’heure.
Vivement la pause de midi, je vais avoir une bonne grosse bite entre mes cuisses, ma culotte est déjà trempée. À midi, c’est rapidement que je me rends à l’adresse, heureusement c’est tout près du magasin, un grand immeuble je prends l’ascenseur car c’est au dernier étage, je sonne, et Isabelle m’ouvre la porte en me disant :
— Entre, je t’attendais, mon mari ne sera pas présent nous ne serons que toutes les deux.
Un peu déçu, mais je ne le montre pas. Isabelle m’invite à m’assoir dans le salon et me demande ce que je veux boire, elle me sert un jus d’orange puis elle décide de me faire visiter l’appartement. Toutes les pièces me sont présentées et nous arrivons à la chambre à coucher, une grande armoire, un grand lit, en moi-même je pense à tout ce sperme qui s’est perdu dans ces draps. Mes pensées s’arrêtent quand je sens derrière moi, un souffle court et chaud dans mon cou, des bras qui entourent mon corps, de petits bisous dans le cou. Mes seins deviennent durs, je n’ai jamais été embrassée par une femme, peut-être un petit flirt avec mes copines de lycée quand j’étais ado, mais je n’ai jamais été bien loin. Je me retourne, Isabelle m’embrasse sur la bouche et comme je l’aurais fait avec un homme j’ouvre la bouche.
Sa langue en profite pour entrer dans ma bouche à la recherche de la mienne. Isabelle caresse ma poitrine, je la laisse faire, je caresse même la sienne, sans m’en rendre vraiment compte je me retrouve allonger sur le lit, Isabelle ouvre mon chemisier, je ne suis pas en reste car j’ouvre le sien et lui dégrafe son soutien-gorge en passant ma main dans son dos pour atteindre les agrafes. Elle fait de même avec le mien, nous nous retrouvons toutes les deux la poitrine à l’air, c’est à celle qui embrasera les tétons de l’autre la première. Sa main caresse mon ventre pour passer sous ma jupe (je mets une jupe tous les jours, je ne sais jamais quand je vais avoir l’occasion de faire l’amour), Isabelle s’aperçoit que ma petite culotte est trempée, elle me dit :
— Il faut vite la retirer elle est tellement mouillée que tu vas attraper froid.
Elle joint le geste à la parole en me retirant ma petite culotte, je l’aide en soulevant mon bassin. Je veux aussi qu’elle soit nue, mais c’est un peu plus compliqué, elle est en pantalon, pourtant elle en m’invitant que nous ferons l’amour. Enfin j’y suis arrivée, j’embrasse son ventre et ma langue descend jusqu’à sa fente déjà bien large pour trouver le petit bouton que je prends entre mes dents pour le mordiller et le sucer comme j’aime qu’un homme me le fasse. Isabelle passe ses jambes autour de ma tête pour que je ne puisse pas me dégager et me serre contre sa chatte jusqu’à sa jouissance. Avec ces caresses, Isabelle jouit et m’envoie un jet de cyprine sur mon visage, j’avale tout le jus qui se trouve sur mes lèvres en lui demandant de me prévenir la prochaine fois pour que je prenne tout dans ma bouche. Isabelle me dit :
— Tu es venue pour baiser alors je vais te baiser comme tu ne l’as jamais été.
Elle se lève et va ouvrir un tiroir de l’armoire où sont rangés des godes de toutes tailles, elle me demande de choisir, mon choix se porte sur un gode de taille moyenne, je ne pourrais jamais recevoir le plus gros. Isabelle me dit qu’elle les a tous essayés et que je pourrais sans difficulté avec un peu de pratique prendre le plus gros. Je m’allonge à nouveau sur le lit en sachant que je vais pour la première fois baiser avec une queue en plastique, comme elle va bien me remplir, je vais bien jouir et avoir quelque chose à raconter ce soir à mon mari (je suis sûre qu’il a été se masturber dans les toilettes en pensant à ce que je prends dans la chatte.) Isabelle va dans la salle de bains avec le gode que j’ai choisi, revient quelques minutes après avec le gode harnaché à sa taille. Allongée sur le lit, les jambes écartées j’attends, je sais que je vais être baisée.
Voyant Isabelle avec cette belle bite à la taille, je ne peux qu’ouvrir la bouche pour la sucer, mes mains caressent les belles couilles en plastiques bien gonflées, Isabelle me dit :
— Ne caresse pas trop les couilles et surtout n’appuie pas dessus.
Je mouille bien avec ma salive cette belle bite et Isabelle me la retire de la bouche pour me la rentrer d’un seul coup dans mon vagin et commence de bons va-et-vient. Effectivement je n’ai jamais eu en moi une bite aussi dure, il ne faut pas beaucoup d’aller et retour pour que je jouisse et Isabelle me dit :
— Maintenant tu peux caresser et appuyer sur les couilles.
J’appuie sur ces belles couilles bien remplies et je reçois dans ma chatte une giclée tiède, je comprends alors le détour d’Isabelle dans la salle de bains qui en a profité pour remplir le réservoir du gode d’eau alors que je croyais que c’était pour bien le fixer, Isabelle me dit :
— Ce n’est pas encore vide tu peux en profiter à nouveau.
Ayant bien joui plusieurs fois en recevant le liquide chaud dans mon ventre, il faut que je reprenne mon travail, mon mari doit s’impatienter de me voir partie si longtemps et d’attendre mon compte-rendu. Je dis au revoir à Isabelle en lui demandant si je peux revenir qui me répond d’un grand sourire. Au travail, mon mari me demande comment cela s’est passé, je réponds très bien je te donnerais des détails ce soir à la maison. Le soir, je lui raconte comment j’ai joui avec une bite en plastique et mon mari me dit :
— Recommence le plus souvent possible.
Nous faisons l’amour, je jouis mais pas si bien qu’avec la bite en plastique, une vraie est moins résistante. Souvent Isabelle passe à ma caisse, je vais la voir régulièrement pour jouir avec ses godes, j’accepte maintenant le plus gros. Je sais maintenant que les préservatifs ne sont pas que pour son mari. Un jour, en passant à ma caisse, Isabelle me dit :
— Il y a quelqu’un du magasin qui mâte mes fesses, je te le décris et la prochaine fois que tu viens me voir qu’il vienne avec toi.
À la description, j’en conclus que c’est mon mari qui a envie de se taper Isabelle sans savoir que c’est celle qui me fait jouir. Sans rien dire à mon mari, je l’emmène chez Isabelle, à ma grande surprise et avec joie, son mari est là je vais pouvoir baiser avec deux hommes et trois bites. Isabelle me dit :
— Ton mari va la sentir passer, mon mari est bi et est pas mal monté.
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