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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Une cliente très chaude

Chapitre 1

Divers
J’ai 45 ans. Mon tempérament et ma profession ( agent commercial ) m’amènent à vivre certaines aventures très chaudes.     La dernière remonte au mois de Mars. J’avais rendez-vous avec une cliente dans le sud de Paris. A l’heure dite, je me présentais devant un pavillon cossu. A la troisième sonnerie, la porte s’ouvrit sur une femme d’une quarantaine d’année, 1m65, brune, cheveux courts, regard brillant. Elle était vêtue d’un chemisier blanc qui laissait deviner un soutien gorge noir et d’une jupe noire assez courte. Ses jambes étaient gainées de bas noir, pour terminer le tableau, des chaussures rouges à talons.     Son regard était légèrement trouble, son sourire hésitant. Elle m’invita à entrer. Nous nous installâmes dans le salon, je commençais à vanter les mérites de mon produit. Elle gardait une pose figée, très guindée mais ses yeux exprimaient un trouble perceptible, je me demandais, même, si elle n’avait pas bu, elle semblait ailleurs, je découvris par la suite qu’elle était en train de s’ offrir un plaisir égoïste en attendant le rendez-vous. Cette situation, bizarrement, m’excitait. Je lorgnais vers son généreux décolleté. A un moment, il me fallut relever des dimensions, je me levai et me dirigeai, en sa compagnie vers l’entrée. Là, je m’aperçus qu’il me manquait de quoi écrire.     Elle me proposa de me prêter un stylo, elle se dirigea vers son sac à main qui était posé sur une marche basse de l’escalier, elle se pencha pour fouiller le sac. Par ce geste, elle m’exposa sa croupe tendue, elle fouilla lentement, je distinguais la lisière brodée du haut des bas, un petit bout de la chair des cuisses apparaissait suivant les mouvements, ses hanches ondulaient anormalement. Cela ne resta pas sans effet, je sentais son sexe prendre de l’ampleur. Cette vision commençait à me troubler l’esprit et me fit perdre tout sens de la réalité comme guidé par l’appel de la chair, je m’avançais doucement, je me collais à elle et en même temps ma main se posa, d’un geste ferme sur sa nuque l’empêchant de se redresser. Elle protesta, mollement. Elle essaya de bouger, je sentais la chaleur de son corps, elle tressaillit. Mon autre main se posa sur sa croupe, glissa vers ses cuisses et remonta vers son sexe. Sa culotte était trempée.     - Regardes moi ça, cochonne, t’es toute mouillée. Tu mouilles bien. et tu joues la mijaurée     Mes doigts palpèrent le tissu imbibé, passent sous l’étoffe et longent la fente pour atteindre la chatte de cette allumeuse.     - S’il vous plait.    - Chut, tais-toi, ta voulue m’allumer, et bien maintenant que c’est fait, va falloir que t’assumes     - Non, vous vous tromper, laissez-moi. s’il vous plait     - C’est ça, tu vas voir, j’ai un beau cadeau pour toi     Je m’écartai d’elle mais la gardai penchée. Elle voulut reculer brusquement pour m’échapper.     - Mais tu résistes ! ! ! j’aime ça. attends un peu, je vais te calmer, moi     Je la forçai à reprendre la position, je me libérai d’un geste précis.     - Tu vas voir, tu va aimer, je vais te défoncer comme jamais t’a été     Mes doigts trouvèrent l’élastique de la culotte et d’un geste brusque l’arrachèrent, je soulevai la jupe.     - Ecarte encore les jambes    - Non, arrêtez    - Ecarte, allez. écarte ! ! !     Elle laissa ses jambes se séparer doucement. Si je doutais jusqu’à là de pouvoir assouvir mon désir, par ce geste plus aucun doute n’était permis.     - C’est bien, tu es une bonne fille    Je me saisis de mon engin et l’approchai de l’orifice où j’allais prendre mon plaisir. Elle tressaillit quand elle sentit mon sexe parcourir sa fente, je passai à plusieurs reprises mon sexe tout de long de la vulve et brusquement je plongeai en elle.     - C’est bon, t’es brûlante, je sens que je vais aimer     Je commençais à la besogner d’un mouvement rapide et profond.     - Tiens ! ! ! Tiens ! ! ! Tu vas voir ce que je vais te mettre.    Elle creusa les reins, ses mains serrèrent le bord des marches, elle commençait à gémir, ses hanches venaient aux devants de mes mouvements. Je m ’enfonçais de plus en plus loin, la tenant, à présent de mes deux mains par les hanches. Je la perforais de plus en plus fort accompagnant ses mouvements de grognements. Elle gémissait, à nouveau, mais sur un rythme plus soutenu.     - T’aime ça, hein ! ! ! dis que tu aimes ça     - Oui, j’aime ça     Je caressai d’une main ses fesses, je me dirigeais vers la corolle de son anus, que je titillai.     - Ouais ! ! ! Et par-là aussi tu vas aimer     - Oui ! ! ! Par-là, par-là aussi, vas-y, prends-moi    Je me dégageai du sexe brûlant, me guidant d’une main j’appliquai son sexe à l’entrée convoitée. J’appuyais sur la pastille encore serrée, sous la pression, l’anus s’écarta doucement, elle gémit sous la légère douleur.     - Doucement, s’il te plait, doucement.    Mon sexe s’avança encore un peu, puis soudain les muscles acceptèrent cette intrusion, elle étouffa un cri de douleur mêlé de plaisir en même temps, je la pénétrai lentement mais jusqu’au bout. Elle retint sa respiration. Pendant un instant, je ne bougeai plus, savourant mon plaisir et laissant le temps à l’orifice de s’habituer à cette pénétration. Enfin, je me remis en mouvement, doucement, puis de plus en plus fort.     - T’es un bonne cochonne, toi, tu sais ! ! !     - Oui ! ! ! encore, vas-y, plus fort     Je sentais ma jouissance monter tout doucement, mon excitation était tellement forte que j’allais bientôt jouir. Si, en temps normal, je peux me retenir facilement, là je m’en moquais, je ne pensais qu’à mon plaisir. J’accélérais mon mouvement, les doigts crispés sur les hanches. La jouissance arrivait, je sortais d’elle.     - Tourne-toi, mets-toi à genoux ! ! ! A genoux ! ! !     Elle s’exécuta. Je lui saisis les cheveux, lui basculant légèrement le visage en arrière.     - Ouvre la bouche ! ! ! Tire la langue ! ! !     Elle ouvrit la bouche et tira la langue, je saisis mon sexe et me masturbai d’une main, maintenant la tête par les cheveux, je me frottais sur son visage, sur sa langue, sur ses joues.     - Je vais t’inonder, je vais jouir sur toi     - Ouiii ! ! ! Vas-y, gicle ! ! ! Eclabousse-moi, jouis, jouis ! ! ! !    Je me libérai d’un coup, dans un cri de jouissance, un jet puissant s’écrasa sur son visage, un deuxième atteignit la langue. Je plongeai dans sa bouche, elle referma ses lèvres sur mon sexe agité de soubresauts. Elle avala les derniers jets de sperme avec délectation. Elle voulait tout jusqu’à la dernière goutte, elle fit coulisser sa bouche autour mon sexe tendu, me tirant les dernières secousses de plaisir.     Voilà le début de ma rencontre avec Laure. Depuis nous avons vécu bien d’ autres expériences que je vous relaterai bientôt.
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