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Une collègue a besoin de réconfort

Chapitre 1

Une de mes collègues, travailleuse, épouse et mère modèle a vécu une période difficile : les évènements m'ont amené à la réconforter de façon la plus sympathique qui soit.

Hétéro
Quelques années après avoir eu ma relation avec Aélis, je changeais de boîte. J’avais quitté la petite structure de 6 salariés pour arriver dans une boîte de 30 à 40 personnes, filiale d’une grosse société. J’avais 31 ans.
Le premier jour, j’arrivais en même temps qu’une fille de 33 ans. Elle avait des cheveux blonds et ondulés qui tombaient sur ses épaules, des yeux verts très clairs et des pommettes saillantes. Quand je l’ai vue, je me suis dit qu’elle était très belle. Et, sur le moment, elle m’a fait repenser à Aélis.
J’essayais de me convaincre que ce n’était pas pareil. Elles avaient la même couleur de cheveux et d’yeux, mais c’était tout. Pour le reste, elles étaient bien différentes. Aélis, bien que très fine, dégageait une énergie sexuelle dingue. Son regard intense disait : « j’aime le sexe : fais-moi l’amour ».
Célia, elle, avait un visage doux et tendre. Dégageant un charme fou, qui pourrait faire tomber amoureux sur un seul regard. Autre différence : sa corpulence. Célia était un peu plus en chair, surtout au niveau de ses hanches, fesses et cuisses, mais ça faisait partie de son charme. Les hommes se retournaient derrière elle. Ses seins étaient aussi plus gros que ceux d’Aélis. Ce premier jour, je commençais à me faire des films.
On ne connaissait personne. Du coup, à midi, nous étions allés déjeuner ensemble, entre nouveaux. Célia me dit : « on va déjeuner en tête à tête ? »
J’ai dit oui instantanément, j’étais très content, c’était trop beau. M’enfin, ma joie fut de courte durée. Au cours du déjeuner, elle m’apprit qu’elle était mariée, qu’elle avait deux enfants, un de 7 et l’autre 3 ans. Quand elle parlait de sa vie de famille, elle était très heureuse, son visage exprimait la joie et le bonheur.
Moi, j’étais triste. J’avais commencé à me dire qu’on pourrait avoir une relation, et la voilà casée depuis 10 ans... Mais ma tristesse se dissipa vite. Sa joie était communicante. A la fin de la conversation, j’étais heureux pour elle.
Il se passa 5 ans. J’avais eu quelques aventures, mais qui n’ont pas débouché sur une relation sérieuse, ce que déplorait Célia. J’avais à ce moment 36 ans et Célia 38.
Au cours de ces 5 années, je travaillais régulièrement avec Célia en binôme. Notre arrivée le premier jour nous avait fait tisser des liens dès le début. Nous nous entendions bien et nous nous comprenions.
Nous avions les mêmes méthodes de travail. Lorsque l’un de nous était bloqué, l’autre l’aidait : nous nous complétions. Par moments, je me disais que j’aurais aimé la rencontrer avant son mari : qu’est-ce que ça aurait donné ?
Les collègues masculins savaient qu’elle ne tromperait jamais son mari, mais ils étaient jaloux de ne pas passer autant de temps que moi avec elle.
Un samedi par mois, la moitié du personnel masculin (ceux qui avaient entre 25 et 40 ans : les autres allaient en week-end en famille) se faisait un déjeuner dans un petit resto : c’était devenu une tradition.
Presque à chaque fois, j’avais le droit aux jalousies de mes collègues : « Tu as de la chance petit salaud : tu traînes avec la plus jolie fille de la boîte ». « Oui ! Célia est tellement bonne ! » « Putain, je kifferais de me la faire ». « Son mari est un putain de chanceux ».

Et encore, heureusement pour moi, ils ne savaient pas qu’entre nous, lorsque nous ne travaillions qu’à deux, Célia me surnommait affectueusement « chouchou ». C’est le seul secret que nous partagions. Notre complicité, elle, s’étalait au grand jour : d’où les jalousies.
Chaque fois après ce resto, mes abrutis de collègues me donnaient envie de faire l’amour à Célia. Je leur en voulais un peu, parce que je me disais que ce n’était pas possible.
Mais cette fois-là, je changeais l’ambiance en annonçant à mes potes de bureau que j’allais déménager. Je quittais mon logement pour une petite maison toute mignonne et pour laquelle j’avais eu un coup de cœur pour un prix qui m’était accessible.
Le groupe fut unanime : « fais une crémaillère ! On fait un barbecue ». « On fait venir tout le monde ». Puis, le plus âgé du groupe, ‘Adrien’, interrompit les doléances : « Je suis d’accord : barbecue, on fait venir tous les collègues ».
Puis, il me regarda droit dans les yeux, avec un regard brillant... « Imagine... Si les filles du bureau ne viennent pas... On fait venir des strip-teaseuses ? ».
Tout le groupe éclata de rire et applaudit. Puis Adrien reprit : « bon évidemment, je rigole... Je sais bien que nos collègues féminines vont venir et qu’il n’y aura pas de strip-tease... En plus, ma femme me défoncerait... ».
Puis, Adrien me regarda en se frottant la barbe : « par contre, je pense que Vincent ne serait pas contre que Célia lui fasse un strip-tease... ». Et voilà, c’était reparti...
De retour au boulot le lundi suivant, j’invitais mes collègues dans ma nouvelle maison. La plupart étaient enchantés. Mais Célia, elle, hésita. En fait, ça faisait plusieurs semaines ou même quelques mois qu’elle me semblait un peu ailleurs. Elle était préoccupée, peu attentive.
On ne passait jamais de temps ensemble en dehors du bureau, mais en la voyant triste, j’insistais : « Viens, il y aura tout le monde, je ne sais pas ce que tu as, mais je suis sûr que ça va te changer les idées ». Elle hocha la tête, pensive. Elle me dit qu’elle était désolée, qu’elle était effectivement préoccupée.
Elle me remercia de m’inquiéter pour elle et me promit de réfléchir. « Merci, mon Chouchou, je te répondrais vite ». Elle me dit cela dans un petit sourire attendri, elle avait un style « petite maman ». Quand elle me regardait, j’avais l’impression qu’elle me couvait de son regard. Comme pour m’apporter douceur et protection.
En fin de journée, une collègue « Colette » qui avait à peu près 45 ans, petite, un peu ronde, vint me voir. « C’est bon Vincent, elle va venir Célia. Je l’ai convaincue ». Elle m’annonça son triomphe avec un sourire en banane, elle était fière d’elle. Je la remerciais.
Puis, elle papota avec moi. Depuis que j’étais arrivé 5 ans auparavant, elle cherchait souvent ma compagnie. Et elle ne loupait aucune occasion de venir me voir. Chaque fois que nous n’étions que tous les deux, elle se dandinait devant moi, comme si elle voulait attirer mon regard sur ses fesses charnues et ses gros seins. Mais je ne cherchais pas à aller plus loin : je la trouvais trop envahissante, avec des façons de faire à la fois vulgaires et maladroites.
Le lendemain dans mon bureau, mes collègues (masculins : ceux qui venaient le samedi mensuel au resto) cherchaient à me persuader de céder à ses avances. « Tu vas te régaler mon cochon ». « Ça se voit que Colette aime le sexe ». Mais ça ne me faisait ni chaud ni froid.
Un samedi quelques semaines plus tard eut lieu la crémaillère avec les collègues. On s’amusait beaucoup, tout le monde était détendu et décompressait.
Colette m’a abordé plusieurs fois. Mais je n’étais pas entré dans son jeu. En fin de soirée, un peu avant minuit, presque tout le monde était parti. Il restait Célia, Colette et Adrien.
Dans la cuisine, Célia me disait que la fête était réussie, que la maison était jolie et qu’elle était contente pour moi. Ses yeux étincelants contrastaient avec la tristesse de ces derniers jours. Elle s’était bien amusée.
Colette voulut entrer, mais me voyant en conversation avec Célia, elle resta dans le salon. Adrien passa devant elle. « Tu restes ? » Adrien lui répondit que oui, qu’il allait m’aider à ranger. Alors Colette comprit qu’elle n’obtiendrait rien ce soir non plus. Frustrée, elle annonça qu’elle était fatiguée, nous dit bonsoir et s’en alla.
Adrien vida les poubelles et me demanda où les jeter. Je l’accompagnais dehors pour lui montrer. Célia finissait la vaisselle.
Une fois à l’extérieur, la poubelle jetée, Adrien m’annonça qu’il rentrait.
— Il fait quand même tard. Ma femme risque de s’inquiéter. Tu t’occupes de Célia ?— Comment ça ?" Lui répondis-je.
Adrien me regarda dans les yeux. Il avait un air soucieux, comme s’il était inquiet : « Tu n’as pas vu ? Célia ne va pas bien. Je pense qu’elle va traîner chez toi autant que possible... Je ne sais pas ce qu’elle a. Mais j’ai l’impression qu’elle ne veut pas rentrer chez elle... Tu as vu ces derniers temps ? Elle traîne au bureau, elle part tard. Quand elle va chercher ses gosses, elle ne rentre pas directement d’après les filles du bureau... »
Je restais pensif. Adrien avait raison. Quelque chose n’allait pas avec Célia. La petite maman du bureau, toujours joviale et maternelle avec tout le monde était contrariée depuis plusieurs semaines, peut-être quelques mois.
— Vous êtes proches tous les deux, me dit Adrien. « Essaye de la faire parler un peu, ça lui fera du bien. Il faut que lundi, elle retrouve son sourire... »
Juste avant de partir en voiture il me lança : « bon, je vous laisse en tête à tête ». Son visage s’illumina, ses yeux pétillaient, comme à chaque fois qu’il sortait une grivoiserie :
— Et... peut-être que ça se terminera en tête à queue....
Il explosa de rire, me fit signe de la main pour me dire au revoir et partit.
Je rentrais et trouvais Célia dans son chemisier blanc et son pantalon en toile noire, assise sur le bord du canapé, pensive, légèrement penchée en avant avec ses mains sur ses genoux, comme si elle s’apprêtait à se lever. Mais elle restait assise.
Je vins m’assoir près d’elle, elle tourna la tête vers moi : « Adrien est parti ? Il faut que je parte... ». Je posais ma main sur son bras, elle me regarda dans les yeux. Elle était très triste.
Alors, prenant mon courage à deux mains, je lui demandais : « ça ne va pas Célia ? ». Ses yeux devinrent rouges, les larmes commençaient à couler de ses yeux. Elle se retenait, mais les sanglots étaient trop forts.
— Célia ? Qu’est-ce que....
Elle éclata en pleurs en tombant sur mon torse, m’enlaçant, cherchant du réconfort : « Vincent, Vincent... C’est horrible, horrible... Si tu savais... ». Elle pleurait à chaudes larmes contre moi... J’étais embarrassé, que faire ?
Je la gardais dans mes bras, la cajolant, lui caressant les cheveux, les bras, et le dos pour la consoler. Les pleurs ne s’arrêtaient pas. Alors je la repoussais légèrement, pour que son visage soit face au mien, ce qui la calma.
Je l’interrogeais. Etait-ce le boulot ? Non... La famille ? Elle hochait la tête pour signifier peut-être. J’eus un frisson d’inquiétude. Les enfants ? Non... Ouf... Son mari ?
Les larmes revinrent, elle explosa à nouveau en sanglots, retombant dans mes bras... Je la cajolais à nouveau lui demandant ce qu’elle avait.
Après quelques secondes où elle avait pleuré à chaudes larmes, elle se redressa un peu. N’osant affronter mon regard, ses yeux fixaient le sol et ses doigts tenaient le bord de ses lèvres, comme si elle n’osait pas dire ce qui lui traversait l’esprit. Elle lâcha finalement : « quel salaud... ».
J’étais un peu choqué... Célia ne parlait jamais comme ça. C’était très étrange de l’entendre parler avec ce vocabulaire. Elle me fixa droit dans les yeux dans un regard rempli de douceur : « désolé mon chouchou... Mais vraiment... Quel salaud ! Ah oui ! ». J’allais ouvrir la bouche, mais elle continua : « tu te rends compte ? Ce p’tit con m’a trompée ! Tu m’entends Vincent ? Trompée ! Et avec une p’tite conne en plus ! Merde alors ! ».
Et elle éclata à nouveau en sanglots, retombant dans mes bras. Je repris mes caresses. Mes mains la parcouraient partout, je commençais à m’attarder sur ses cuisses et ses fesses. « Tu es très belle Célia ».
Elle se calma, sourit, et me regarda dans les yeux : « merci mon Chouchou... Je sais que tu es sincère... Ah lalala... ». Puis elle posa une main sur sa joue et l’autre sur son cou.
— Chouchou... Je suis cocue... Tu te rends compte ? Cocue... Ça fait des mois que ça dure...— Tu l’as su quand ?" lui demandais-je.
"Depuis deux mois... ça fait plus de six mois qu’il traîne au bureau le soir... Avant, il passait un week-end de temps en temps avec ses potes, mais l’un d’eux m’a dit qu’on le voyait moins ces derniers temps... J’avais des doutes...
Un jour, je suis rentrée à midi parce que je savais qu’il était en congé... Et puis bon... tu sais, ça faisait un moment qu’on n’avait pas fait l’amour... Comme je te disais, au moins six mois... ça fait beaucoup pour un couple marié de notre âge... Donc je pensais que ce serait l’occasion...
Bref, et là... J’arrive à la chambre, j’ouvre la porte... (elle mime la scène). Et je vois quoi ? Une petite pute le chevauche comme une dingue... Et le pire c’est que ce petit con aimait ça... Je suis ressorti vite fait en refermant la porte... (elle mime à nouveau). Je suis retournée au boulot... Depuis ce jour-là, il me dégoute..."J’étais un peu triste pour elle. Je repris mes caresses. Elle se laissait faire. Je couvrais son visage de baisers.
— Merci Chouchou, ça me fait du bien un peu de réconfort, tu ne peux pas savoir... Quel petit con alors....
Je lui répondis que son petit con de mari ne savait pas ce qu’il perdait. Elle sourit : « ah oui ! C’est clair ! Je suis pas moche quand même ! ».
Elle était agenouillée sur le canapé, jambes pliées en dessous de ses cuisses, reposant les fesses sur les talons. Je caressais ses cuisses : « mais non Célia, tu es belle, magnifique... Tes cuisses sont superbes... ». Elle me remercia en souriant.
Mes mains remontaient vers ses fesses, que je pris à pleines mains pour les pétrir. « Tes fesses sont divines... ». Elle mit ses deux mains sur ses joues, pour cacher son rougissement : « tu vas me faire rougir Chouchou ».
Mes mains caressaient ses hanches et remontaient vers ses seins. Elle me prit alors les mains dans les siennes : « Chouchou... ». Je pris à mon tour ses mains, les posant sur mes épaules : « je veux juste te convaincre que tu es belle Célia... Si je ne touche pas, tu ne me croiras pas ».
Elle me laissa poursuivre. Je soupesais ses seins entre mes mains, et les caressais tendrement.
Puis, couvrant son visage de mes mains : « Oui, je te confirme : tes seins sont superbes ! Validation du jury ! ».
Elle souriait, elle était radieuse : "Merci ! Merci Chouchou... Ah lalala, ça me fait du bien... Je me sentais tellement moche et conne ces derniers temps...
— Mais non Célia, c’est ton mari qui est con... Toi, tu es une femme magnifique...
Je poursuivis mes caresses et, petit à petit, déboutonnait son chemisier blanc. J’avais un accès sur sa superbe poitrine. « Oh le con ! Mais quel con ton mari ! Une poitrine comme la tienne, on ne l’abandonne pas, on la gâte... ». Je la caressais, embrassais sa poitrine, elle enleva d’elle-même son chemisier et son sous-tif. Encouragé, je suçais ses tétons pendant qu’elle me caressait les cheveux.
Mes mains redescendaient vers ses fesses, je déboutonnais son pantalon en toile pour pouvoir la caresser à travers la culotte. Ma main s’approchait de sa chatte quand elle m’attrapa la main et me demanda ce que je faisais...
— Je vérifie une dernière chose...— Mais Chouchou... Dit-elle dans une fausse protestation... En fait, si sa main disait non, du fait qu’on était collègues et qu’elle était mariée, qu’elle avait ses gosses ; elle n’était pas opposée à la situation. Elle était très en colère contre son mari, elle voulait se défouler, se venger... Et puis, elle n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs mois. Toutes mes caresses l’avaient perturbée.
Je l’allongeais sur le canapé. Comme elle ne protestait plus, ma main poursuivit son parcours. Tâtant la fente de sa chatte à travers la petite culotte de coton, je sentis qu’elle était trempée... Elle mouillait... Elle avait donc envie... Je me sentais assuré... Maintenant, je savais qu’elle voulait...
Je la regardais, triomphant. Je lui ai demandé de m’aider à me déshabiller. Une fois que j’étais nu, elle laissa tomber ses fausses réticences et je pus finir de la déshabiller.
L’une de mes mains restait sur ses seins, l’autre s’occupait de son mont de Vénus, deux doigts entrant et sortant à un rythme de plus en plus rapide.
Elle commençait à me caresser les fesses. Elle se lâchait de plus en plus... S’abandonnait... « Chouchou... Chouchou... Ah lalala... Qu’est-ce qu’on fait ?... Ah lalala... »
J’arrêtais mes doigts. Puis, entamait un cunni. Je la léchais avec passion, intensément... Je voulais que ma langue aille au fond et la fasse crier de plaisir... Depuis le temps que je fantasmais sur elle...
Célia caressait mes cheveux en écartant les cuisses au maximum, m’invitant à continuer. A un moment, je fis mine de relever la tête, elle appuya de ses mains pour garder ma tête entre ses cuisses... La vache... Elle voulait vraiment jouir...
Après quelques secondes, je relevais quand même la tête. « Chouchou ? » dit-elle inquiète... « Tu t’arrêtes ? ». Je souriais : « Et moi alors ? ». Elle porta ses mains à sa bouche. Sa vraie nature revenait à la charge : « pardon Chouchou... pardon... ». Au bureau, elle s’inquiétait pour tout le monde, voulait que tout le monde soit bien, heureux.
— Je suis impardonnable mon Chouchou ....
Elle s’assit face à moi et prit mon sexe en main pour me branler. « Pardon mon Chouchou, je t’avais presque oubliée... Mon pauvre... Tu dois être dans un état... ». Puis, elle pressa une main sur mon torse pour m’inviter à m’allonger. Agenouillée sur le canapé entre mes cuisses, elle descendit sa tête et ses lèvres vinrent effleurer mon gland.
— A ton tour Chouchou : tu as mérité.
Et elle commença une fellation comme je n’en avais jamais eu. Elle mit toute sa douceur dans ses baisers et ses va-et-vient quand elle me prenait en bouche. Sa langue était agile. C’était génial.
Je retenais ses cheveux pour qu’elle puisse avoir les mains libres. Elle descendit du canapé pour s’agenouiller au sol et me pomper vigoureusement dans une position plus confortable pour elle. Du coup, j’avais sa chatte à portée de main. Je recommençais à introduire mes doigts. Elle mouillait sans discontinuer.
Elle se releva. Je me levais à mon tour pour la recoucher sur le canapé. J’écartais ses cuisses et m’installais face à son mont de Vénus. Elle sourit. Ma tête s’approchait de la sienne. Je l’embrassais et guidais mon sexe vers l’entrée de sa petite chatte trempée.
Célia comprit mon intention. Sa main se posa sous mon nombril, comme pour m’arrêter. « Vincent... non... ».
J’étais déçu.
Elle s’asseyait face à moi. « Pardon mon Chouchou... ». Je repris mes caresses. Je l’embrassais à pleine bouche. Mes doigts reprirent le chemin de sa fente chaude et humide. Je m’asseyais confortablement sur le canapé et la tenais par la taille pour l’inviter à venir au-dessus de moi. Elle se laissa guider...
Elle reprit : « oh lalala... Qu’est-ce que je fais ?... Putain, mais tes doigts c’est bon... Oh lalala... J’ai pas fait l’amour depuis lon-on-ongtemps... Si je m’écoutais... On baiserait comme des lapins... ». La voir comme ça, excitée, et me donner du vocabulaire un peu familier pour son tempérament me stimulaient énormément. Elle était tellement différente !
La voilà assise sur mes cuisses, à califourchon. J’étais toujours en train de la doigter doucement, de peur qu’elle ne veuille pas continuer. Je la voyais savourer le moment. Elle commençait à ronronner.
Ma main libre l’attrapa sous les fesses pour la soulever légèrement. Elle se laissait guider. Je l’attirais vers ma bite tendue qui voulait son compte. Elle mit une de ses mains devant sa bouche. Mais comme elle ne protestait pas, je continuais mon manège.
Elle était accroupie au-dessus de moi. J’avais toujours les deux doigts dans sa petite chatte. De l’autre main, je rapprochais son bassin de mon pieu tendu. Elle gardait une main devant sa bouche, comme pour cacher ce qu’elle disait. Mais j’entendais très bien ses murmures : « oh lalala... mais qu’est-ce que je suis en train de faire ?... ».
Son autre main vint se poser et s’appuyer sur mon torse, comme pour garder l’équilibre. Tout en la doigtant tout doucement, je pris mon pieu pour le mettre face à son objectif. Célia était assez proche pour que mon gland effleure les grandes lèvres de son entrejambes.
— Merde... Merde... Qu’est-ce que je suis en train de faire ?... dit-elle.
Moi (intérieurement) je me disais : tu vas me chevaucher... Exactement comme la maîtresse de ton mari l’a fait quand tu l’as surpris.
Je retirais un doigt puis prépositionnais mon gland pour qu’il entre à la place, mais juste à l’entrée, effleurant ses grandes lèvres. Je n’osais pas aller plus loin.
Je sortais mon deuxième doigt. D’une main, je maintenais mon membre en position, de l’autre, je commençais à exercer une légère pression sur le bas du dos de ma cavalière pour l’inviter à descendre. Elle le fit lentement, tout en douceur. C’est son tempérament naturel...
Je regardais mon pieu entrer dans ma blondinette de collègue millimètre par millimètre. Elle s’arrêta quand la moitié était entrée. Ses deux mains couvrant sa bouche, comme pour stopper ses paroles. Elle marmonnait : « Putain, putain... Qu’est-ce que je suis en train de faire ? ».
J’avais tellement envie d’elle... Je ne voulais pas que ça s’arrête. Je posais mes deux mains sur ses fesses. Et là, elle s’empala d’un seul coup. Ses poings étaient refermés devant sa bouche. Comme si elle s’en voulait, mais paradoxalement, voulait continuer...
Je poussais ma chance. Je voulais la voir me chevaucher. J’étais tellement excité. On ne pouvait quand même pas s’arrêter... Mes mains passèrent sous ses fesses, je la remontais, elle se laissait faire. Je posais ses mains sur ses hanches, la faisant monter et descendre tout doucement sur ma queue.
Ses poings se décrispèrent alors qu’elle me chevauchait timidement, mes dix doigts sur ses hanches l’encourageant à garder son rythme lent, doux, mais authentique.
Elle posa ses mains de chaque côté de son cou. Et, de sa voix douce elle laissa échapper : « Oh lalala... C’est pas bien... C’est pas bien... ». Elle rejeta ses longs cheveux blonds ondulés derrière ses épaules. Puis, elle se pencha vers moi, continuant d’elle-même ses va-et-vient un peu plus rapidement.
Elle me regarda droit dans les yeux : « Oh... Et merde ! J’ai trop envie Chouchou... ». A partir de cet instant, elle me chevauchait enfin sans que j’intervienne. Ses mains sur mon torse, elle imprimait un rythme régulier et plus rapide. Ma pine disparaissait et réapparaissait, ses seins ballotaient à la même cadence que son bassin.
Elle s’était libérée mentalement, elle voulait enfin profiter de l’instant. Elle accéléra ensuite, je sentais qu’elle voulait prendre un maximum de plaisir. « Chouchou... tu m’as donné envie... mmm... Ah lalala... Merde ! Merde ! Ah, ça fait du bien putain... »
J’attrapais ses fesses et la basculais pour nous retourner. J’étais au-dessus d’elle. Je relevais ses jambes pour coller ses cuisses contre son ventre.
— Chouchou ?
J’écartais ses cuisses, juste assez pour m’insérer à nouveau en elle. Et je me mis à la pistonner à fond. J’avais envie d’une seule chose : la baiser à fond. Elle m’excitait tellement...
Elle haletait. Je sentais que j’allais venir. Je m’arrêtais. Et me remis à la doigter, lécher...
Elle ne disait plus rien et savourait chaque seconde. J’étais tellement content de lui donner du plaisir... « Oh... Putain... Chouchou... »
Puis, quand je sentis que mon pieu était calmé, j’ai attrapé Célia par les hanches, pour l’inviter à se retourner. Elle était à quatre pattes. Les genoux sur la partie assise du canapé, les avant-bras appuyés sur le dos du canapé.
J’arrivais derrière elle, genoux sur le canapé. Je me réintroduisis dans sa chatte.
— Chouchou....
Que c’était humide, doux et chaud... Je me remis à la pistonner de plus belle en la tenant par la taille. Après quelques coups, elle eut un orgasme qu’elle ne dissimula pas. « Ah ! Ah ! Chouchou !... ». Elle ronronna un peu. Nous restions dans cette position immobile quelques secondes, le temps qu’elle savoure.
Elle se retourna finalement et je quittais à contrecœur sa fente. Elle me prit dans ses bras : « ça m’a fait du bien Chouchou... Tu peux pas savoir... J’en avais besoin... Ah lalala... ».
Après quelques secondes, j’attrapais sa main pour la guider sur mon pieu. Elle constata que j’étais encore tendu. Posant une main sur sa joue tout en commençant à me masturber de l’autre elle s’exclama : « Merde !... Oh pardon Chouchou... Je t’ai encore oublié ».
Elle me fit assoir, s’agenouilla près du canapé et entreprit une fellation dynamique, sa tête descendant et remontant à un rythme bien plus rapide que lors de la première pipe.
Elle parlait tout en m’astiquant : « je suis impardonnable Chouchou... Désolée... Mais en même temps, j’aimais tellement ce qu’on faisait... ».
Elle s’arrêta. Me regardant droit dans les yeux : « Et puis... J’avais envie... Oui ! (A ce moment il y avait comme une étincelle dans ses yeux) Ah ça, oui : j’avais envie... Ce p’tit con m’a trompée avec cette p’tite conne... Et pendant ce temps-là, je me demandais pourquoi il me faisait plus l’amour... Il baisait sa pute... ». A ces derniers mots, j’étais hyper-excité...
— Allez, je vais plus faire semblant... C’est bon maintenant... Tu t’es occupé de moi, c’est donnant-donnant... Allez...
A peine avait-elle fini de dire ces mots qu’elle revenait sur le canapé, accroupie au-dessus de moi, guidant ma pine entre ses cuisses. Toute souriante, radieuse et coquine elle me dit : « Allez... laisse-toi faire chouchou... laisse-toi faire... ».
Elle gloussa et s’empala sur moi. Imprimant mécaniquement un rythme effréné. Elle avait décidé de me faire jouir au plus vite. Elle souriait, montant et descendant, toujours accroupie. Et ses seins ! Ils ballotaient toujours... Une partie de ses cheveux tombaient sur un côté, couvrant légèrement l’un de ses seins. Elle était débridée comme une petite sauvageonne déchaînant son corps sur ma bite.
Son traitement me fit rapidement effet. Après une dizaine de va-et-vient intenses, je me sentis exploser. Je ressentis une vague de chaleur dans tout mon corps.
— Ah... Mon chouchou... ça va mieux ?— Oh oui ! lui répondis-je. « C’était super ».
Nous restions quelques minutes dans les bras l’un de l’autre. Puis, Célia revint à la réalité.
— Oh lalala, chouchou... Qu’est-ce qu’on a fait ?— Rien de différent de ce que ton mari fait avec sa maîtresse.— Quel salaud ! Oui... Quel salaud ! Mais tu as raison chouchou... On a fait pareil...— non... Pas pareil... Mieux ! Célia sourit, elle était contente.
Puis elle reprit quand même sa réflexion. « Et maintenant ? Qu’est-ce qui va se passer ? Hein chouchou ?... »
J’étais un peu embarrassé, mais en même temps, je voulais qu’on continue. La soirée de ce soir laissait présager de super parties de jambes en l’air avec ma collègue toute timide, toute douce... Je ne l’imaginais pas si déchaînée niveau sexe.
— Ben... Dis-moi Célia... Tu as aimé ? Et puis c’est bien fait pour lui, il t’a trompée, tu as fait pareil c’est tout... Et puis, il te prive d’amour ? Toi aussi tu peux aller ailleurs.
Elle sourit. « Tu as peut-être raison... C’est bien fait pour lui !... Mais... s’il quitte sa maîtresse pour moi ? Et si elle ne lui donne pas assez ? Hein ? Et qu’il veut me baiser ? Il me dégoute maintenant... » à ces derniers mots, elle baissa la tête.
D’une main, je lui relevais le menton, de l’autre, je posais ma main sur sa chatte. « Tu feras en sorte qu’il n’ait plus accès ici » en disant « ici » j’exerçais une pression sur son mont de Vénus. « Trouve les excuses que tu veux. Ne lui dis pas que tu es au courant, laisse le culpabiliser... En attendant, ‘ici’ ça m’est réservé... Tu entends ? »
Je vis à son regard qu’elle était très surprise. Mais en même temps soulagée que je l’encourage à ne pas retourner vers son mari qui la dégoutait. Elle se sentait libérée.
— Tu as raison chouchou... Ah lalala... Je me sens libérée... Si tu savais....
Elle constata alors que mon pieu avait repris de la vigueur. Elle le prit en main et commençait à le branler pour qu’il soit bien ferme.
Elle mit son autre main devant sa bouche, comme honteuse de ce qu’elle me dit : « Désolé chouchou, je sais pas pour toi, mais j’ai encore envie... C’est ces mois d’abstinence forcée ? Savoir que je me venge ? Le plaisir que j’ai pris ?... Je sais pas... Mais merde ! J’ai envie putain ! J’en ai été privée ces derniers mois... C’est bon... Pour une fois, je pense à moi... Merde !... »
Elle revint à califourchon sur moi, s’empalant directement sur ma bite. Elle imprimait le même rythme intense et dynamique que tout à l’heure... La vache... Elle avait vraiment envie. Je commençais à avoir mal au membre, mais je ne voulais pas l’interrompre...
Je me laissais faire. Après plusieurs va-et-vient, elle s’affala sur moi...
— Chouchou... Je peux rester ? Pardon... Mais je ne veux pas rentrer voir ce petit con....
Bien évidemment, j’acceptais. Et elle resta dormir. En fait, c’était la première nuit que je passais dans ma nouvelle maison. Et j’avais déjà passé la moitié de la nuit dans une partie de jambes en l’air que je n’aurais jamais pu prévoir.
Après une douche rapide, on a inauguré les nouveaux draps en nous y couchant sagement. Célia s’endormit dans mes bras. Je mis un peu de temps à m’endormir. Je commençais seulement à réaliser... J’avais fait l’amour avec Célia... Elle avait raison... Et maintenant ? Qu’est-ce qui allait se passer ? Hein ?
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