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Une collègue a besoin de réconfort

Chapitre 2

Une période d'abstinence semble s'installer. Mais des retrouvailles très attendues surviennent enfin.

Hétéro
Dans les semaines qui suivirent, Célia était passée plusieurs fois chez moi. Elle profitait soit que ses enfants soient gardés chez leurs grands-parents, soit que son mari gardait les enfants le soir.
En fait, on partait parfois plus tôt du boulot pour se retrouver chez moi. Elle prétendait à celui qui l’avait fait cocue qu’elle devait travailler un peu plus tard. Les soirs où elle rentrait directement chez elle, c’est lui qui « travaillait » plus tard.
Célia n’était pas dupe et je n’étais pas mécontent qu’elle se serve de moi pour compenser l’absence de son mari. Elle m’avait rapidement proposé qu’on « baptise » chaque pièce de ma nouvelle maison. Nous avons donc (l’un dans l’autre) honoré toutes les pièces assez rapidement et avec beaucoup (mais alors beaucoup !) d’entrain.

Au boulot, personne ne se doutait de rien. Nous nous forcions à ne rien laisser transparaitre. Juste quelques remarques sur le fait que Célia avait retrouvé le sourire. Adrien m’en avait rapidement fait le compliment :
— bon, ça n’était pas une mauvaise idée de vous laisser tous les deux ? C’est bien qu’elle ait retrouvé le sourire ! me dit-il.— Comment tu as fait ?— On a discuté un peu...— Oui, oui... vous avez discuté... (il le dit en se caressant la barbe) Rien d’autre ?... Mouais... Elle était comment cette discussion ? Vous étiez l’un à côté de l’autre ? L’un sur l’autre ?....
Puis Adrien éclata de rire.
J’avais un peu peur qu’il découvre la vérité, mais je ne voulais pas lui mentir, alors je me suis risqué : « en fait, si tu veux tout savoir, nous étions l’un dans l’autre... ».
Adrien me regarda les yeux grands ouverts, se demandant s’il devait me croire. Puis, il pouffa de rire et me lança : « petit salaud... ça t’aurait plu hein ?... Bon en tout cas, c’est super que ça aille mieux... On se retrouve samedi prochain pour le déjeuner traditionnel ? ».
Je lui répondis que oui. Alors qu’il s’éloignait pour rejoindre son bureau, je me suis dit que j’avais pris un risque en lui avouant pour Célia. Mais il ne m’avait pas cru. C’était impensable. Et pourtant...

Au bout d’un mois, il se passa plusieurs jours sans qu’on puisse se voir chez moi pour assouvir nos envies. D’ailleurs, on a passé ce temps sans se voir en dehors du travail. Déception...
En fait, son mari s’absentait un peu moins ces dernières semaines... Merde...
Un mois plus tard, toujours la privation : c’était beaucoup. Surtout que de temps à autre, nous profitions d’être isolés au travail pour échanger un baiser, un câlin, des caresses. Nous essayions parfois de nous retrouver dans le local des archives.
J’avais tellement envie de Célia... de sa bouche sucrée... Envie de tâter ses seins galbés, ses fesses rebondies, ses cuisses fermes... Et retourner dans sa chatte moelleuse, chaleureuse, ardente, humide...
Elle aussi avait envie. Du moins, c’est ce que je déduisais d’après ses caresses et son regard.

Un jour, nous avons failli passer à l’acte à force de nous exciter mutuellement. Une collègue nous a interrompus en entrant et ouvrant la porte des archives en trombe. Elle se précipitait et posa une pile de documents sur la seule table de la pièce. Nous avions à peine eu le temps de réajuster nos vêtements qu’elle nous remarqua.
Elle demanda ce que nous cherchions. Ne sachant pas quoi répondre (car nous ne cherchions rien qui concernait le boulot) risquant le tout pour le tout, je répondis que Célia et moi nous nous isolions pour un cinq à sept. La collègue éclata de rire. Puis nous avons plaisanté.
Nous l’avons échappé belle... Encore une qui ne croit pas la situation possible...Puis, vint enfin une bonne nouvelle. Célia avait pu inscrire ses enfants en colonie de vacances. Elle pensait profiter de ce moment pour confronter son mari et éventuellement se rabibocher.
Mais cela ne se passa pas comme elle se l’était imaginée... Son mari la devança et affirma qu’il devait partir deux semaines loin pour son boulot... Il avait été vague et approximatif. Du coup, il n’avait pas convaincu Célia...
Elle m’en parla et libéra sa colère... « Quel salaud... Quel salaud alors ! Tu te rends compte chouchou ? Il n’a pas vu sa pouffe pendant un mois, et au lieu de larguer cette petite pute, il profite que les enfants soient en colonie pour la retrouver ! Merde alors ! »
J’étais triste pour elle. Mais bien évidemment, j’étais content pour moi... Et je l’invitais à venir chez moi pendant les deux prochaines semaines. Elle réfléchit un moment en cachant sa bouche derrière une de ses mains. Malgré le fait que l’on se caressait et se câlinait de temps à autre, elle n’osait pas reprendre nos activités sexuelles mises en suspens depuis un mois.
Elle finit par accepter, en posant ses conditions : « d’accord chouchou, mais on sera sage d’accord ? Pas de bêtises ? ». Me dit-elle en pointant l’index devant mon visage avec un demi-sourire.
Je hochais la tête pour faire mine d’accepter... Intérieurement, j’espérais tellement que l’on fasse un maximum de bêtises...

Le samedi suivant, je participais au déjeuner traditionnel avec mes collègues. Ils me charrièrent encore sur Célia. Moi je souriais, pas comme ils le pensaient pour rire de leurs blagues, mais parce que je m’imaginais leur tête s’ils savaient la vérité.
En fin d’après-midi, j’étais retourné chez moi et avait préparé un petit repas romantique. Des bougies, des fleurs... Célia est fleur bleue, je pensais donc pouvoir lui faire changer d’avis pour qu’on ne soit pas trop sages...
A peine arrivée, elle abandonna sa petite valise dans le salon et se jeta dans mes bras. Nous nous câlinions. Je couvrais son visage de doux baisers, et commençais à lui caresser les bras, et tentais de descendre vers son dos et ses fesses.
— Dis donc chouchou ? C’est ça être sage ?
Célia m’attrapa aux poignets pour m’arrêter.
— Ce n’est pas ma faute... Tu es tellement belle... J’ai envie de toi...— Je sais chouchou... Mais on va être sage... Viens, on va regarder un film... ».
Elle m’entraîna sur le canapé et alluma la télé puis choisit un film sur une plateforme de vidéo à la demande.
On était assis collés l’un à l’autre comme deux ados. Je bandais énormément... Je repensais à toutes nos galipettes, surtout celles du canapé... Je voulais tellement faire l’amour à Célia... Mais il ne fallait pas la brusquer...
Qu’est-ce qu’il s’était passé pour qu’elle redevienne si sage ? Au bout de quelques minutes de film, Célia se mit à me parler. Elle disait à nouveau que son mari était un salaud, mais qu’heureusement, elle m’avait. Qu’elle se sentait bien à mes côtés en ce moment.
Tout en l’écoutant, je commençais à caresser son bras d’une main et l’enveloppais pour poser l’autre sur ses fesses. Elle ne protestait pas.Elle continuait à parler, à déverser son cœur. Et moi je laissais mes mains parcourir son corps de plus en plus. Ses fesses, son dos, son ventre, ses seins, ses cuisses... Elle s’arrêta de me parler quand je commençais à embrasser son cou. A ce moment, Célia m’embrassa à pleine bouche.S’interrompant, elle posa sa main sur mon sexe. J’étais raide.Célia sourit, me repoussa gentiment, et se leva d’un bond du canapé. Je la regardais me toiser. Après quelques secondes, elle s’accroupit en me regardant droit dans les yeux, les mains devant sa bouche. On aurait dit qu’elle réfléchissait à ce qu’elle allait faire.
Ses mains ne pouvaient dissimuler un sourire et ses yeux se mirent à briller. Je la regardais en me demandant quelle mouche l’avait piquée. Que faisait-elle ? Est-ce que j’avais été trop entreprenant alors qu’elle voulait que nous soyons sages ?
Célia posa ses mains sur ses genoux. Dans un grand et radieux sourire, elle tendit les jambes pour se mettre debout face à moi. Se penchant alors en avant vers moi, me fixant droit dans les yeux, elle pointa du doigt l’escalier et s’écria : « emmène-moi sur le lit et fais-moi l’amour ! ».Je sentis ma queue palpiter dans mon caleçon. Cette phrase avait poussé mon excitation. Je jubilais... Elle se couvrait la bouche de ses deux mains, comme pour cacher ce qu’elle avait osé me dire.Je me suis levé rapidement pour l’attraper par les hanches, l’embrasser à pleine bouche et la guider vers l’escalier.
Dès les premières marches, nous nous sommes déshabillés mutuellement avec beaucoup d’enthousiasme. Arrivés sur les dernières marches, nous étions nus. Tandis que Célia, assise sur la dernière marche finissait d’enlever sa petite culotte déjà trempée, mes doigts s’aventuraient entre ses cuisses. Elle commençait de son côté à me branler rapidement.
Nous nous sommes laissés aller à des caresses de plus en plus intenses, pressantes... Et tandis que je cherchais la meilleure position pour la pénétrer, Célia s’est levée à nouveau d’un coup, et est partie en courant dans ma chambre. Sa course était accompagnée de son rire joyeux et excité. Je la vis disparaître dans le cadre de la porte de la chambre.
Je me levais à mon tour pour la rejoindre. Je m’approchais du lit, elle s’était cachée sous la couverture. Seul le haut de sa tête avec ses yeux pétillants dépassait. « Viens me chercher », dit-elle dans un rire éclatant. Elle semblait tellement heureuse et excitée...
Je me suis mis à genoux pour entrer sous la couverture au niveau de ses jambes. Une fois sous la couverture, je remontais entre ses cuisses pour prendre sa petite chatte dégoulinante en bouche. Je lui bouffais la chatte, enfonçant ma langue aussi profondément que possible. Voilà un mois qu’on n’avait pas baisé, je la voulais... Je voulais être en elle à nouveau... Son fourreau m’avait trop manqué... Je bandais tellement dur. Célia enleva la couverture pour me découvrir, me regarder et me parler.
— Ah... Chouchou... mmm... Tu m’as manqué... Ah lalala merde... On est pas sérieux... Ah lalala... Tu n’es pas sage...
J’interrompais le cunni : « J’ai envie de toi Célia... » Puis je repris plus intensément. Léchant les parois de sa chatte avec gourmandise.
— Je sais chouchou... mmm... Ah lalala... Moi aussi....
Je m’interrompis à nouveau.
— Tu veux que je te fasse l’amour ?— Ah lalala... Coquin... Je te l’ai dit...— Dis-le-moi encore...— Ah lalala... Toi alors... Oui... Chouchou : fais-moi l’amour....
Alors je me mis au-dessus d’elle. Et tout en l’embrassant à pleine bouche, je remontais ses cuisses contre son ventre, laissant ses jambes contre mes épaules. J’approchais mon gland à l’entrée de sa fente. Je m’apprêtais à entrer tout doucement en savourant les retrouvailles de nos sexes. Elle avait dû comprendre que je cherchais à la faire languir, parce qu’elle a souri en posant immédiatement ses mains sur mes fesses pour m’attirer en elle.
Alors je me suis introduit d’un coup et me suis mis à la pilonner à fond, à toute vitesse. Je n’en pouvais plus... Un mois sans être en elle, c’était une éternité... Je prenais du plaisir à ramoner sa chatte : douce, chaude et humide. Je ralentis un peu pour écarter un peu ses cuisses et m’amuser à essayer d’entrer en elle depuis différents angles pour que ma queue tape toutes les parois internes de ce fourreau ardent. Puis, je repris des coups de boutoir lents, mais brusques, pour aller aussi profondément que possible.
Célia, les yeux fermés, mais la bouche ouverte, souriante et haletante, m’entoura de ses bras et ses jambes autour de moi, comme un koala, comme pour m’encourager à continuer. Je me mis à la pistonner en cadence régulière. Le traitement ne dura pas et je lâchais ma semence en elle dans des spasmes incontrôlables.Ma partenaire souriait toujours et me caressait la nuque tout en m’embrassant.
Nous avons continué quelques câlins et je sentais après quelques minutes que je retrouvais de la vigueur.
— Ah ? Chouchou ? Tu es de retour ?
Dit-elle, pleine d’entrain et de joie.

Je ne lui répondis pas, je me plaçais derrière elle en cuillère. Pendant que d’une main, je chatouillais son entrejambe, de l’autre, je mettais ma bite en position. Elle poussa rapidement ses fesses pour me faire introduire en elle. Allongés ainsi, elle bougeait son bassin d’avant en arrière pour accompagner ma propre danse. Nous bougions tous les deux, en arrière, en avant, sa chatte laissant échapper de petits bruits de nos ébats. Nous voulions vraiment jouir l’un de l’autre, c’était dingue.
N’en pouvant plus, je me mis à genoux pour la mettre à quatre pattes, mais Célia devait être encore plus excitée que moi. Elle me repoussa pour m’assoir face à elle et se mit rapidement à califourchon sur moi. A peine étais-je assis en tailleur au milieu du lit, qu’elle s’empala d’un coup sur ma bite, chevauchant comme une cavalière débridée. Elle montait et descendait sur moi à vive allure... Elle voulait m’arracher son plaisir. C’était comme la première fois que nous l’avions fait.
Je sentis sa chatte brûlante se contracter et recouvrir ma queue de ses spasmes. Que c’était bon... On s’est allongés l’un à côté de l’autre. Au bout de plusieurs minutes, nous avons fini par nous endormir.

Finalement, nous n’avions même pas mangé le dîner que j’avais préparé. Nous étions passés immédiatement au dessert...

Je pensais avoir eu mon compte. Mais ça faisait un mois qu’on n’avait pas eu de parties de jambes en l’air. Je me suis réveillé au milieu de la nuit. Je bandais à nouveau dur comme fer. J’avais encore envie de Célia...Merde... Elle dormait. Que faire ? Rester ainsi ?
Sur le réveil, je voyais les minutes défiler. Mon sexe se détendait. Je pensais pouvoir enfin me rendormir. Célia se retourna vers moi.
Elle dormait, mais le souffle chaud de sa respiration sur mon épaule me fit frissonner. Ma queue se tendit instantanément... J’avais vraiment encore envie de Célia... Mais je n’osais pas la réveiller. Je commençais à me caresser le bout du gland en me disant que je pourrais me calmer moi-même.
Le souffle de Célia continuait à me toucher. Je me mis sur le côté pour la caresser. Les fesses, les cuisses... Je me disais qu’en faisant ça, je pourrais la réveiller tout doucement.
Rapidement, voyant qu’elle dormait malgré les caresses, je pris mon courage à deux mains et attrapais une de ses jambes pour l’écarter, et me donner accès à sa chatte que je caressais immédiatement. Elle mouilla assez vite, à ma grande surprise. Je la doigtais, doucement, puis vigoureusement. Elle se mit sur le dos et écartait les cuisses.
Je ne savais pas si elle dormait encore. Mais en tout cas, elle m’ouvrait l’accès. Et ma queue palpitait trop pour que je m’arrête. Je voulais encore m’introduire en elle, la pénétrer, sentir sa chatte sur ma bite, il le fallait.
Alors, sans scrupules, je me suis mis au-dessus d’elle pour la prendre en missionnaire. J’entamais de lents va-et-vient, je me sentais bien en elle. Malgré l’obscurité, je vis que ses yeux s’ouvraient. Un mince rayon de lumière venant des lampadaires de la rue donnait un peu de visibilité dans la chambre. Elle se réveillait avec un peu de surprise dans le regard.
De peur qu’elle ne veuille m’interrompre, j’arrêtais mes va-et-vient. Elle semblait encore plus surprise. Je l’attrapais par les hanches et la retournais. Une fois sur le ventre, je la fis se mettre à quatre pattes... Dans cette position, je l’entendis soupirer, comme si elle me faisait comprendre qu’elle ne s’opposait pas à mon initiative. Une main sur une de ses hanches et l’autre sur son dos pour l’inciter à garder la position, je me mis à la pilonner comme un forcené. Je voulais m’enfoncer au plus profond d’elle, encore, encore et encore... Vite et fort.
Je finis par l’inonder. Je ressentis un énorme plaisir, mes jambes en vacillaient. Peut-être l’excitation d’avoir pu la baiser dans son sommeil et d’avoir pu continuer alors qu’elle se réveillait ?

Le lendemain, alors que je faisais couler un café chaud, Célia vint me rejoindre. Arrivant derrière moi, elle m’embrassa dans le cou.
— Dis donc chouchou... Je ne savais pas que tu faisais l’amour aux filles pendant qu’elles dorment... Coquin...— Tu n’as pas aimé ?
Célia se plaqua contre mon dos. Je sentais ses seins et ses mains contre moi.
— Ben c’est la première fois qu’on me surprend comme ça... Mais j’avoue que j’ai aimé....
Les deux prochaines semaines s’annonçaient vraiment très bien.
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