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Une collègue a besoin de réconfort

Chapitre 3

Le petit séjour de ma collègue chez moi va me permettre de la voir sous un jour nouveau.

Hétéro
Quelques jours après nos retrouvailles qui avaient suivi plus d’un mois d’abstinence forcée, ma blondinette de collègue dormait toujours chez moi. Célia avait appelé la colonie de vacances pour être sûre que ses enfants allaient bien. Son mari était avec sa maîtresse. Et côté boulot, on avait posé nos vacances.
Bien entendu, avant de partir en congé, j’avais eu le droit aux remarques : « alors on prend ses vacances en même temps que Célia ? Hein ? ».
D’ailleurs, ma partenaire sexuelle avait joué de l’incrédulité de nos collègues. Sous ses airs de petite maman modèle, elle avait affirmé en riant qu’elle passerait les deux semaines de congé chez moi. Elle devait penser, au moment où elle l’avait dit, que nous resterions sages... Sinon, elle aurait rougi comme une pivoine. Heureusement, personne ne l’avait crue. Dire que Célia et moi baisions en dehors du boulot étant un gag de répétition pour nos collègues. Mais, impensable.
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Donc, nous nous étions retrouvés. J’étais très, très content. J’avais tout ce qu’il me fallait : des congés, une femme magnifique dans mon lit...
Cela faisait deux ou trois jours que Célia avait posé sa valise chez moi pour les congés. Ce jour-là, nous sommes allés nous promener après le déjeuner dans la forêt près de chez moi. Une promenade d’une heure ou deux au grand air. Nous nous tenions la main comme deux ados. Elle souriait, profitait de ces moments entre nous deux et j’espérais que ça continuerait encore un long moment...
Nous revenions vers la maison et je me demandais comment se dérouleraient nos prochaines galipettes. Que faire d’autre que nous n’avions pas encore fait ? Parce que nous avions utilisé toutes les pièces, pratiqué différentes positions...
J’avais peur qu’elle s’ennuie, même si ce n’était pas le cas. Nous rentrions dans la maison, retirant chaussures et manteaux. Mon esprit s’imaginait faire l’amour à Célia dans le jardin, sous l’un des arbres, à l’abri des regards.
Mes pensées furent suspendues par la sonnette. Mon sang se glaça... Merde... Qui c’était ?Un voisin qui nous avait vus et allait nous dénoncer ? Non, puisqu’aucun ne connaissait Célia ou son mari...Ma famille ? Que dire s’ils voyaient Célia ? Que je couchais avec une femme mariée ?Le mari de Célia ? Non, il était « occupé ».Un collègue ? Adrien ? Colette ? Merde...
Je me calmais en me disant que je me faisais des films. J’inspirais, regardais par l’œil-de-bœuf : c’était le facteur... Ouf...J’ouvrais la porte, il me tendit un colis : « voilà un petit colis Monsieur ! Bonne journée ! ». J’avais à peine eu le temps de le remercier qu’il repartait déjà vers sa camionnette jaune.

Refermant la porte, je vis Célia arriver en riant : « qui c’était ? Une voisine qui nous trouve trop bruyants ? ».Je souriais à ce sous-entendu en lui précisant que c’était le facteur.
— Ah et qu’est-ce que tu as commandé chouchou ?.
Ah... Oui... Qu’est-ce que j’avais commandé ?
Je ne m’en rappelais même plus...Ces derniers jours, je ne pensais plus à grand-chose à vrai dire. J’alternais entre moments doux et romantiques avec des moments intenses et sexuels.
Regardant l’étiquette sur le colis, je reconnus le nom de la boutique de déguisement sur lequel j’avais été la veille de l’arrivée de Célia pour son séjour. J’avais commandé une tenue d’hôtesse de l’air. Au moment de passer la commande, je me disais que l’idée était géniale. J’étais tellement excité par le mois d’abstinence que j’avais payé sans réfléchir...
Maintenant que Célia était en face de moi, que j’avais été pas mal rassasié sexuellement ces derniers jours, je me demandais si je n’avais pas fait une bêtise... Qu’allait penser Célia ? Comment allait-elle réagir ?
— Hein ? Qu’est-ce que c’est chouchou ?
Je bégayais un peu... J’avais peur de sa réaction... J’étais embarrassé...
Elle attrapa le colis : « C’est pour moi ?
— Euh... Oui...— Il ne fallait pas chouchou... ». Elle le disait avec un sourire épanoui. Puis, elle vit le nom d’expéditeur, une boutique de déguisement. Elle perdit son sourire. Merde... J’avais fait une connerie...— Chouchou ? Qu’est-ce que c’est ? Tu as fait une bêtise ?
Elle commençait à ouvrir le carton avec un demi-sourire. Elle était contente d’avoir un cadeau, mais devait se demander si ça n’allait pas la choquer ou je ne sais quoi...

Elle accéda enfin au déguisement : une petite robe bleu foncé aux boutons dorés emballée dans un film plastique transparent. Elle sourit et me fixa dans les yeux avant de me faire une grosse bise !
— Chouchou ? C’est une robe ? Tu es trop mignon !
Je me grattais la nuque... Comment lui dire que c’était une tenue d’hôtesse de l’air pour jeux coquins ?

Célia déballait la robe. Une fois le plastique retiré, elle déplia la robe. Le calot (du style que portent les gendarmes) tomba au sol. Elle le ramassa et semblait confuse. Elle regarda le bon de livraison.
— Costume d’hôtesse de l’air ? Chouchou....
Elle se mit à rougir. Ses joues étaient rouge cramoisi. « Tu veux que je porte ça ?
— Ben... Je trouvais que ça t’irait bien...— Tu me vois porter ça ? Tu aimes les hôtesses de l’air ?— ... »
Elle inspecta le vêtement de tous les côtés. Elle devait se demander quoi faire. Refuser le cadeau ? L’essayer ? Le mettre de côté ?
Voyant son indécision, je me suis dit que comme à chaque fois avec elle, ça devrait passer. Elle n’osait pas, mais peut-être qu’en l’encourageant un peu...
J’attrapais le calot et le posais sur sa tête. Nous nous approchions du miroir des toilettes et elle se vit avec le calot d’hôtesse. Elle caressa d’une main ses cheveux blonds ondulés qui retombaient sur ses épaules, ses yeux restaient fixes, elle sourit : elle aimait ce qu’elle voyait.
— Ça te va bien Célia....
Elle se mordit les lèvres.

Elle s’admira quelques secondes, comme si elle entrait en réflexion... Puis, se tournant vers moi, elle croisa les bras devant sa poitrine pour serrer la robe contre ses seins. Elle finit par dire en baissant les yeux, de peur de croiser mon regard : « bon... Je vais l’essayer puisque tu l’as achetée pour moi... ».
Je sentais ma queue palpiter dans mon pantalon... L’imaginer porter cette tenue... Ah Célia !Toujours tête basse, les yeux rivés au sol, elle me repoussa hors des toilettes et s’y enferma.
Je restais dans le couloir en entendant ses vêtements tomber au sol. Mon sexe était tendu, j’avais chaud... Célia... Célia ! Oui ! Je vais la voir en hôtesse de l’air ! Dans mes rêves les plus fous, je n’avais même pas osé croire qu’elle le ferait...
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Elle entrouvrit enfin la porte.
— Tu te moques pas Chouchou ?— Mais non enfin !— OK....
Elle sortit enfin. Elle se tenait en face de moi, cachant ses mains dans son dos, comme pour dissimuler sa gêne. La robe, qui s’ouvrait sur le devant par les boutons dorés, moulait son corps. Ce corps si gracieusement plantureux, si délicieusement charnu, mais sans excès : ce qui procure chez elle ce charme peu commun. Ses seins légèrement dodus dessinaient deux formes bombées sur le haut du vêtement, le bas retombait quelques centimètres à peine sous ses fesses généreuses à souhait, et si divinement rebondies... Ses cuisses et ses jambes étaient exposées à ma vue ! C’était un vrai régal pour les yeux. Je m’imaginais lui retirer son costume pour la prendre tout de suite !
— Ça te plaît chouchou ? dit-elle d’une voix douce et timide, se pinçant les lèvres et regardant toujours le sol. Je m’approchais d’elle, relevait son menton entre mon pouce et l’index : — tu es magnifique Célia.
Je l’embrassais du bout des lèvres, puis je laissais mes mains sur ses fesses, que je commençais à pétrir. Je l’embrassais toujours, mais résolument : à pleine bouche.
Célia attrapa mes mains et les immobilisa. Elle fit un pas en arrière :
— chouchou ? Ça te plaît tant que ça ?— Euh... Oui... Tu es magnifique....
Elle sourit, libéra mes mains et posant l’une des siennes sur sa joue :
— qu’est-ce que tu me fais faire ?
Elle pouffa en cachant son visage dans ses mains, ferma ensuite ses poings devant sa bouche et m’observa de ses yeux pétillants :
— Tu seras mon passager coquin ?
Je ne pouvais plus parler. A voir Célia dans cette tenue tellement sexy, la voir entrer dans un jeu sexuel dans lequel je n’aurais jamais cru qu’elle entrerait : ma queue frétillait. Je fis un pas vers elle en hochant la tête pour l’approuver.
Elle plaça sa main devant mon visage.
— Du calme passager coquin....
Je m’arrêtais. Elle se donna un regard très aguicheur, ses yeux voulaient me dire : /on va jouer, ça a l’air amusant, et puisque ça te plaît, je vais t’allumer...
Et à partir de là, elle s’est transformée. Elle prit un regard de coquine allumeuse, que je ne lui connaissais pas. Elle s’est mise à se déhancher en parlant d’une voix chaude et suave :
— Alors passager coquin... On a pris un billet pour le septième ciel ?
Encore une fois, je ne pouvais parler... Ma queue était tendue au maximum... Jamais Célia n’avait été comme ça... Elle commençait à se comporter comme une véritable allumeuse, une garce... Une... Une... Oui... Une vraie salope !
Putain... Célia aime ce type de jeux de sexe ?... Je dus encore hocher la tête, ne pouvant sortir un mot. Il restait une carte de visite d’un plombier sur un meuble du couloir, je l’attrapais et lui tendis pour faire mine que c’était un billet d’avion.
Elle l’attrapa, l’examina, puis me tourna le dos. Elle fit pivoter sa tête vers moi. Toujours d’une voix chaude et aguichante, elle reprit le jeu :
— Mais dites-moi passager coquin... C’est un billet VIP ? Vous savez ce que ça veut dire ?... C’est moi qui m’occuperais personnellement de vous....
En disant ça, elle avait appuyé sur le mot « personnellement » et en le prononçant lentement, me lançant un petit clin d’œil.
C’était vraiment ma Célia ? On aurait dit sa jumelle... Une jumelle aguichante, encore plus sexy... Alors donc... Ma Célia cachait un côté garce allumeuse en elle... J’étais encore plus excité...
Elle me contourna dans une déhanchée dynamique en tenant la main en l’air au niveau de l’épaule :
— par ici passager coquin.
Elle s’arrêta devant l’escalier, tendant une main vers le haut pour m’indiquer le chemin, l’autre posée sur sa hanche avec une jambe légèrement repliée qui faisait légèrement remonter sa robe, sans dévoiler encore sa culotte.
Ce comportement, sa pose, son regard aguicheur... Célia... improbable... Elle ne m’avait jamais autant excité... Elle jouait le jeu à fond : l’hôtesse de l’air coquine ! Ou salope ?
Trop impatient de passer à l’acte, je me laissais guider et montais l’escalier. Sur la dernière marche, je m’arrêtais et tournais la tête pour voir Célia monter dans sa tenue. Elle s’immobilisa, un peu surprise. Elle ne devait pas s’attendre à ce que je m’arrête pour l’admirer dans sa tenue si près du corps, dévoilant depuis mon point de vue en hauteur, son magnifique décolleté.
Elle sourit en voyant mes yeux se régaler.
— Allons, allons passager coquin, on ne s’attarde pas.
Dans un petit rire faussement timide, elle agrippa mes fesses pour me pousser vers le couloir de l’étage et me rejoindre.
Elle me fit m’installer sur le bord du lit, m’expliquant qu’elle allait bien s’occuper de son passager, qu’elle espérait que j’allais prendre plaisir à bord de ce vol vers le septième ciel. Elle jouait tellement le jeu, qu’elle fit semblant d’attacher ma ceinture et me demanda si je voulais boire quelque chose. Je répondis que oui, je voulais bien. Elle s’éloigna de moi en se déhanchant ostensiblement. Avant de franchir la porte, elle fit un dernier clin d’œil.
Elle descendit l’escalier. Que faisait-elle ? Jouait-elle au point de descendre chercher un verre pour me le servir ?Je me levai pour approcher de l’escalier. J’entendais le bruit de verres s’entrechoquant. Elle versait bien une boisson dans un verre.
Je la regardais remonter avec le verre à la main. Décidément, Célia voulait jouer son rôle jusque dans les moindres détails. Je retournais dans la chambre pour l’attendre près du lit.

Elle entra, un peu surprise. Sans doute attendait-elle que je reste assis. Elle posa le verre sur la table de chevet et m’interrogea un peu inquiète :
— ça ne va pas chouchou ?.
Je lui répondis que tout allait bien, que je l’attendais avec impatience.
Elle fut rassurée et retourna immédiatement dans le jeu. Elle fronça les sourcils, fit la moue, mit ses poings sur les hanches avant de prendre un ton faussement fâché :
— Passager coquin !
(dit-elle en tapant du pied au sol) « Vous êtes intenable ! Pourquoi avez-vous quitté votre siège ? ».
Je souriais à sa réaction.
Célia souriait à son tour, mais essayait de le dissimuler en se pinçant les lèvres. Elle m’attrapa aux épaules pour me remettre au bord du lit en se dandinant exagérément.
— Revenez à votre place passager coquin !
Alors qu’elle faisait à nouveau semblant de m’attacher la ceinture, je posais mes mains sur ses fesses. Elle mit immédiatement une claque sur chacune de mes mains :
— ah ! Passager coquin ? Qu’est-ce que ça veut dire ?— C’était plus fort que moi Mademoiselle !— Il faut vous contenir Monsieur. (Elle dit cela en faisant à nouveau la moue). Avez-vous pris le service premium ?— Le service premium ?— Oui, dit-elle en se mordant la lèvre inférieure, plongeant son regard dans le mien.— Eh bien oui Mademoiselle, j’ai pris premium.
Elle sourit à nouveau et me tourna le dos. Puis, elle me fit face en souriant. Ensuite, à nouveau, me tourna le dos... Qu’est-ce qu’elle faisait ?
Me faisant à nouveau face, je compris enfin... elle avait déjà deux boutons de sa robe ouverts. A chaque tour, elle en déboutonnait un. Elle me faisait un strip-tease ! Ooooh Célia !!
Elle se dandinait, remuant les épaules pour faire pivoter son buste et me montrer ses seins suivre le mouvement... elle me tourna encore le dos en balançant ses fesses de gauche à droite... Je ne la reconnaissais plus... Elle se lâchait totalement...
Face à moi à nouveau, elle avait les boutons dorés du haut et du bas ouverts, seul un bouton au niveau de son nombril restait boutonné. Ses seins n’étaient plus qu’à demi couverts et j’avais vu sur sa petite (mais vraiment petite) culotte rouge qui renforçait son charme sexuel : une petite formalité pour avoir accès à un formidable plaisir !
Je la fixais, plein d’envie. Elle le remarqua : je le voyais à son regard et son sourire. Elle eut quand même un moment d’hésitation, puis ferma un poing qu’elle mit devant sa bouche. Je la fixais toujours. Elle attendit quelques secondes, et prit son pouce en bouche pour le sucer comme le ferait une lolita.
Célia suçait son pouce face à moi, mais pas innocemment... Elle le suçait comme si c’était mon membre qu’elle avait en bouche... elle suçait en faisant ostensiblement du bruit, aspirant, faisant mine de l’embrasser, j’entendais les bruits de sucions... Ma queue vibrait de plus belle.
Célia... Ma Célia, la mère de famille modèle, m’allumait en prenant devant moi des airs de lolita, de garce, de salope, en tenue d’hôtesse de l’air à moitié débraillée.
J’imaginais ma bite à la place de son pouce. Je me levais, elle me tourna le dos pour dissimuler un sourire. Je m’approchais :
— Mademoiselle... J’ai tellement envie de vous...— ça ne fait pas partie du service Monsieur. Dit-elle avant de glousser.— Alors je me plaindrais à la compagnie.— Oh non ! Passager coquin ! C’est du chantage ! (elle le dit en jouant faussement l’hôtesse en détresse).— Je veux mon service premium plus, plus...
Célia me fit face en essayant de dissimuler son sourire derrière une de ses mains.
— Asseyez-vous confortablement passager coquin....
N’en pouvant plus (ayant une trique que je me baladais depuis un petit moment), je jetais à toute vitesse mes vêtements au sol et m’asseyais docilement au bord du lit.
Célia porta sa main à sa joue et l’autre sur sa hanche :
— passager coquin... Je n’ai jamais vu autant d’empressement... J’imagine qu’il faut vite vous soulager... Bon... Je ne vais pas vous laisser dans cet état....
Joignant les gestes à la parole, Célia s’agenouilla pour prendre immédiatement en bouche mon membre au garde à vous. Directement, comme ça...
Elle qui m’avait jusqu’ici fait principalement des fellations douces, la voilà en train de m’astiquer directement, gobant ma queue jusqu’à la garde, faisant des bruits de sucions obscènes, sa tête se relevant et replongeant à cadence rapide... Ah lalala... Célia !
Je commençais à palper ses seins à travers sa robe, elle interrompit son traitement pour dégager ses seins de la robe qu’elle gardait sur elle : elle n’avait pas de soutien-gorge. Elle me laissa la caresser pendant qu’elle me gobait à nouveau et continuait à me pomper goulûment.
Ma main voulut s’aventurer vers sa chatte, elle m’attrapa au poignet. Elle prit une voix suave :
— passager coquin... Qu’est-ce que vous faites ? Laissez-vous faire....
Je lui obéissais. Elle me fit un sourire en coin et expédia sa culotte à terre. Puis, enleva le dernier bouton de sa robe, mais la garda en la portant maintenant comme une jaquette qu’elle aurait laissée grande ouverte. Puis, elle monta sur moi à califourchon sur mes jambes avant de s’approcher tout doucement de son objectif. J’inspirais fortement quand elle s’empala lentement sur moi.
Tout en me caressant la nuque, elle frottait sa joue contre la mienne en me chevauchant tout doucement. Montant et descendant lentement, mais avec détermination. Elle chuchota à mon oreille après avoir soufflé dessus :
— alors passager coquin ? Le service premium vous plaît ?— oh oui ! Oui ! J’en veux encore !— Accrochez-vous pour les turbulences....
A peine avait-elle fini de dire ça qu’elle accéléra le rythme. Elle me chevauchait un peu plus vite.
J’étais totalement excité à voir ma cavalière sur moi avec sa robe grande ouverte, son calot qui tombait de sa tête...J’en voulais plus, la ramoner à fond... Je m’apprêtais à l’agripper pour la retourner et la prendre dans n’importe quelle position. Elle attrapa mes mains et arrêta sa chevauchée.
Elle fronça les sourcils, me fit non de la tête. Prenant ma tête entre ses mains : « passager coquin ». Après un baiser passionné, elle reprit.
— passager coquin... c’est moi l’hôtesse... Restez assis confortablement... Je m’occupe de tout....
Puis, voyant que je lui cédais, que j’étais à sa merci, elle reprit ses mouvements en imprimant un rythme encore plus rapide. Je soupirais de satisfaction, ce qui la fit sourire, elle accéléra le rythme... Ah ! Je retrouvais son air de sauvageonne cherchant à m’arracher le plaisir qu’elle me procurait.
Ma délicieuse hôtesse était déterminée à me faire jouir. Elle avait bien compris que ce déguisement, ce jeu, ses airs de lolita, ce ton de petite allumeuse... Tout ça m’avait excité au maximum...
J’explosais enfin en elle, je ressentais un plaisir intense, mes jambes se tendirent et mon torse bascula en arrière... C’était dingue...
Elle resta assise au-dessus de moi en continuant à me caresser la nuque et en me susurrant à l’oreille :
— le service vous a plu ?— Oh... Célia... Oui ! C’est fou... Je ne t’ai jamais vue comme ça... qu’est-ce que tu m’as excité ! Tu es géniale !
Elle sourit (fière d’elle !) et m’embrassa passionnément. Je lui expliquais que je voulais qu’elle jouisse aussi. Elle me fit non de la tête. Me précisant, que là, elle avait voulu me faire plaisir, que ça lui avait fait plaisir de m’en donner. Et que j’avais encore une semaine pour m’occuper d’elle.
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Nous avons passé la fin de l’après-midi allongés dans le lit à nous câliner tendrement. Moi nu, elle toujours dans sa robe complètement ouverte.

Célia me questionna sur la boutique de déguisement. Une chose en amenant une autre, nous visitions le site sur mon portable. Emballés, excités, nous ajoutions au panier différents déguisements et accessoires...
A un moment, Célia me demanda si c’était bien de commander ça. Je lui répondis qu’on pouvait essayer... Elle mit sa main devant sa bouche comme si elle voulait retenir ses pulsions. D’un coup, elle tapa sur mon téléphone.
— Non, chouchou... Arrête... Ne commande pas... il faut qu’on arrête les bêtises...— Tu veux qu’on arrête ?— Non... Je n’ai pas dit ça... Enfin... Tu comprends ? Tu ne trouves pas ça bizarre ?— Non mon petit cœur, moi ça m’a plu ! Tu étais tellement spontanée ! Sexuelle ! Je ne pouvais pas te résister.... Elle acquiesça. Elle avait aimé aussi ce petit jeu.
Je repris mon téléphone : commande passée ? Oui, Célia en tapant avait validé la commande... Et comme le site avait conservé ma carte du précédent achat...
Nous nous sommes regardés en riant... bon... Voilà, nous allions avoir de nouveaux accessoires de jeu...
Célia me demanda si l’idée de recevoir le prochain colis m’excitait. Bien sûr que oui ! Elle attrapa ma main et la guida vers sa chatte... Elle mouillait... Ces achats l’avaient déjà mise en condition... La seule idée de rejouer à un nouveau jeu la stimulait déjà...
Ses yeux vert pâle fixèrent mon membre déjà tendu. Arborant un énorme sourire, elle monta sur moi à califourchon, à moitié revêtue de sa robe (toujours grande ouverte sur le devant, mais couvrant son dos et ses fesses). Mon hôtesse de l’air fictive se pencha vers mon visage alors que je commençais à caresser ses seins. Elle frotta son nez contre le mien, m’embrassa, colla sa joue contre la mienne...
Et, tandis que mes mains s’aventuraient sur ses fesses, elle chuchota tendrement d’une voix chaude et déterminée à mon oreille : — Vous êtes bien installé passager coquin ?... Notre vol n’est pas encore terminé....
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