Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 258 J'aime
  • 3 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Une collègue a besoin de réconfort

Chapitre 4

Un nouveau colis

Hétéro
Aujourd’hui, la journée commence avec une bonne et une mauvaise nouvelle.Enfin au début, j’ai pensé que ce serait une mauvaise nouvelle. Mais finalement, la situation s’est trouvée avantageuse.--------------------------------La mauvaise nouvelle, c’est que le lave-vaisselle est tombé en panne. Ce n’était pas de bol, si je puis dire...Il a fallu se taper la vaisselle à la main.Alors que Célia et moi vidions le lave-vaisselle petit à petit pour commencer à laver à la main, on sonnait à la porte.Ça, c’était la bonne nouvelle : le colis avec les nouveaux accessoires était arrivé. Tout excité par l’idée de pouvoir jouer à de nouveaux jeux avec ma Célia, je commençais à défaire le carton et admirer les achats coquins qu’elle avait validés (sans vraiment le vouloir, quoique...).Qu’est-ce qu’on avait validé ? D’abord, un costume de soubrette. Puis, un costume d’étudiante, des bougies, de l’huile de massage et... Au fond du carton, j’avais vu un genre de fourrure. Mais je ne me rappelais pas avoir cliqué sur ce produit...Je le sortais, en fait c’était une paire de menottes avec de la fourrure... Je les tenais entre mon index et mon pouce sous le nez de Célia :-"Alors ? Qui a cliqué sur ça ? Ma petite coquine ?" Célia se mit à rougir.-",Mais j’ai pas cliqué sur ça ! Ah lalala chouchou... C’est de ta faute.— Ah ce n’est pas moi non plus mon petit cœur..." Célia baissa les yeux et me fit une scène de mauvaise foi à laquelle je ne m’attendais pas.-"Oh lalala chouchou... C’est de ta faute... Tu te rends compte de ce que tu me fais faire ? Et en plus, tu me jettes la faute ?— Je ne te jette pas la faute, c’est juste que ce n’est pas moi qui l’ai commandé...— Bon allez ! De toute façon, on a du travail."A peine avait-elle dit ça qu’elle remballa tous nos nouveaux jeux dans le carton, puis me prit la main pour m’entraîner dans la cuisine.-"Allez chouchou, la vaisselle d’abord. On jouera plus tard". Ah mince, son esprit ’petite maman’ avait repris le dessus... Elle voulait tout nettoyer dans la cuisine.Mais moi, je voulais tellement essayer ces nouveaux jouets !Je ne voulais évidemment pas la contrarier. Alors j’ai commencé à faire un peu de vaisselle. En plus, il parait que les hommes qui aident aux tâches ménagères ont plus de rapports que les autres.On avait fait le plus gros de la vaisselle quand j’ai relancé le sujet qui me travaillait l’esprit.-"Bon, mais sinon, le costume de soubrette, c’est toi qui l’as choisi ?" Célia rougit à nouveau tout en lavant une assiette dans l’évier pendant que j’essuyais.-"Ah lalala chouchou, tu n’es pas possible... Je pensais pas que tu étais comme ça..."Je me rapprochais à côté d’elle pour coller mon épaule contre la sienne.-"C’est toi qui me rends comme ça Célia..."Elle sourit et continuait sa vaisselle.
-"Tu espères t’en sortir comme ça ?" Je posais l’assiette sèche, me plaçais derrière elle et l’entourais de mes bras.-"Avoue : tu as choisi le costume.— Oui, c’est moi... Tu es content ? Allez ! Au travail ! Sinon tu dors sur le canapé !" Dit-elle en souriant. Ensuite, elle tourna la tête pour m’embrasser et me dégagea d’un coup de fesses en riant.-"Célia ? Alors comme ça, tu poses tes conditions ?... Moi aussi j’en ai".Elle me regarda mi-souriante, mi-surprise. Je me suis rapproché à nouveau pour reprendre ma position derrière elle. Laissant mes mains sur ses hanches, je lui ai murmuré à l’oreille :-"Je continue la vaisselle si toi tu la fais habillée en soubrette..."Célia s’était arrêtée de laver les assiettes. Les joues roses, elle tourna sa tête vers moi.-"Tu n’es pas sérieux ?— Si...— Mais chouchou...— Allez... J’ai très envie de te voir en soubrette...— Ah lalala chouchou ! Mais tu es vraiment terrible... ça t’a pas suffi l’hôtesse de l’air l’autre jour ?— C’était il y a deux jours ! De toute façon, tu finiras par le porter, inutile de reporter l’échéance !"A ce moment, Célia grommela, pas vraiment fâchée, mais plutôt comme un peu contrariée d’être obligée de faire ce que je lui demandais. Au fond d’elle, elle voulait le faire, mais ne voulait pas l’admettre... D’un air faussement décontracté, elle ouvrit le carton.-"OK petit pervers... Mais on fait la vaisselle sérieusement d’accord ? Je suis sérieuse là ! Tu entends ?"Elle débitait son discours de petite maman tout en enlevant son pull, son t-shirt et son jean pour mettre sa petite robe de soubrette.Cette tenue lui allait plutôt bien. Le costume épousait à peu près ses formes, un peu large par endroit, mais très excitante. La robe arrivait quelques centimètres sous les fesses et le décolleté était plongeant. Elle n’avait pas de bas, mais ce n’était pas grave.Par contre, je lui mis dans les cheveux le petit serre-tête inclus dans le déguisement.-"Tu es content chouchou ? Tu vas pouvoir te rincer l’œil ?... Allez, au travail coquin !"Je me remis au boulot sous les ordres de ma petite soubrette, jetant régulièrement un œil un coup vers son décolleté, un coup vers sa chute de rein. Difficile de se concentrer.-"ça te plaît ? Hein chouchou ? Ah lalala... Coquin...— J’aime t’admirer... Et t’embrasser... et te toucher aussi." Joignant le geste à la parole, je m’approchais d’elle à nouveau, l’embrassais et passais derrière elle pour poser mes mains sur ses hanches.-"Chouchou ! Alors ? C’est ça la vaisselle ? Tu n’es pas sérieux !"Je l’embrassais dans le cou et restais diplomate.-"C’est la soubrette qui s’occupe de la vaisselle, le propriétaire de la maison s’occupe de la soubrette...— Chouchou... Pas maintenant... On avait dit que...— Que j’avais toute la semaine pour m’occuper de toi ? Fais ta vaisselle". Et je l’embrassais à pleine bouche.-"OK... Tu as gagné... Mais reste sage... J’ai presque fini"A peine avait-elle dit cela que je lui mis une petite claque sur la fesse qui la fit sursauter.Toujours derrière elle, je faisais passer mes mains dans son chemisier et j’agrippais ses seins pour les caresser tendrement.-"OK chouchou... Ah lalala... Profite, profite... Hein ? Tu profites ? Coquin..." Elle disait ça tout en continuant à faire la vaisselle et en souriant.Je commençais à pétrir ses seins. J’étais très tendu dans mon caleçon et Célia s’en rendit compte.-"ça te plaît vraiment on dirait.— oh que oui". Lui dis-je en tapotant ses fesses d’une main tout en gardant l’autre sur sa poitrine. Puis, ma main sur ses fesses alla sur sa hanche avant de passer devant, sous sa robe.-"Du calme chouchou... Je n’ai pas fini" A ces mots, je lui mis une nouvelle claque sur les fesses.-"La soubrette se rebiffe ?— Qu’est-ce que tu fais ?— Tu vois bien ? Mon hôtesse de l’air s’est occupée de moi, aujourd’hui, je m’occupe de ma soubrette".Puis ma main reprit le chemin de sa culotte pour s’approcher de sa fente que je convoitais. Elle mouillait déjà... Se déguiser lui plaisait bien plus qu’elle ne voulait le laisser paraitre. Mes doigts se glissèrent dans sa petite culotte pour caresser ses grosses lèvres.-"Chouchou... Mais je n’ai pas fini...— Continue, t’occupe pas de moi".D’une main, je malaxais sa poitrine en passant d’un sein à l’autre, et de la seconde main, je continuais de la caresser entre les cuisses. J’entrais un, puis deux doigts. C’était chaud, doux, humide... Célia avait de plus en plus de mal à faire sa vaisselle. Elle commençait à se contorsionner et finit par lâcher l’assiette dans l’évier.Une assiette de pétée...Mais bon, je m’en foutais. Je continuais à trifouiller dans sa petite chatte. Elle se tortillait de plus en plus et commençait à gémir. Elle se retourna, je la pris par les hanches pour l’aider à enlever sa petite culotte, s’assoir au bord de l’évier, lever sa robe, lui écarter les cuisses et pour finir, lui introduire ma langue.Célia ferma un poing qu’elle colla contre sa bouche.-"Oh lalala chouchou... mmm... Oh... Mais c’est dingue l’effet que tu me fais... Ah lalala... Toi tu sais ce que j’aime... Ah... Coquin..."Je m’appliquais au mieux. Elle m’avait tellement fait plaisir quand elle a joué l’hôtesse, que je voulais lui rendre la politesse.Au bout d’un petit moment, alors que ma langue commençait à s’engourdir et que Célia me caressait les cheveux, je sentis ses cuisses venir se contracter contre ma tête.Elle gémit et ses cuisses et jambes me secouèrent la tête au rythme de ses spasmes.-"Oh lalala chouchou... mmm... j’aime quand tu me fais ça..."Célia attrapa ma tête entre ses mains pour me remonter vers son visage et m’embrasser. Je redescendis ensuite vers ses beaux seins pour les téter avec délectation tandis que mes doigts retournaient entre ses cuisses et s’introduisirent à nouveau en elle.-"Mmm Chouchou... Et toi ?— t’inquiètes..."Sur ces mots, je retirais mes doigts, la fis descendre de l’évier et la fis se retourner, se pencher en avant. Remettant mes doigts au travail, j’enlevais comme je le pouvais mon jean avec l’autre main, puis mon caleçon. Dans la fenêtre au-dessus de l’évier, je voyais le reflet du visage de Célia, les yeux fermés, se mordant les lèvres, savourant l’instant.Je retirais mes doigts à nouveau et Célia tourna la tête vers moi. Alors je lui remis une petite claque sur les fesses.-"Regarde devant toi !"Elle obéit un peu surprise et se vit dans le reflet.-"Oh, mais !— Tu vas pouvoir te voir faire l’amour en soubrette." Lui dis-je amusé et excité.-"Oh non... C’est bizarre".J’étais hyper-excité... Entre son costume, la caresser sans qu’elle se rebiffe, la faire jouir et là, voir son reflet dans la fenêtre... L’idée qu’elle se voit en train de se faire ramoner me stimulait énormément.-"Chouchou... Non, on va dans la chambre".Et là, je ne me suis pas reconnu... J’étais très excité... Je lui ai remis une petite claque sur les fesses et j’ai pris ses cheveux en queue-de-cheval pour maintenir son visage face à la fenêtre.-"Tu m’excites trop... Toi en soubrette... Tu as bien joui, tu mouilles tellement... Et là, tu vas te voir quand je te prends... J’ai trop envie... Pardon... "Et j’introduisis ma queue d’un coup primitif et bestial dans sa chatte, une main sur ses fesses pour la maintenir contre l’évier, l’autre tenant ses cheveux pour qu’elle garde son visage face au reflet de la fenêtre.-"Aaah... Ma soubrette...— Mais Chouchou... non, je veux pas me voir... Non... S’il te plaît...— Moi ça m’excite..."Et je suis devenu juste un animal. Une bête qui la maintenait tout en la pistonnant par de grands coups rapides et intenses. Je voulais aller au fond et à fond...-"Ah... Chouchou... mmm... mmm... Chouchou... mmm..." Elle fermait les yeux pour ne pas se voir dans le reflet.Je m’en aperçus et m’arrêtais.-"Ouvre les yeux." Elle ouvrit les yeux pour se voir. Ma soubrette restait gênée...-"Oh lalala... Qu’est-ce que tu me fais faire ?...— Regarde-toi s’il te plaît..."Je recommençais à la limer avec de lents va-et-vient. Elle regardait, se mordit les lèvres.-"Pervers... Qu’est-ce que tu me fais faire ?"Et je reprenais mes puissants coups de boutoir, aller au fond et à fond... Je me défoulais, je voulais aller le plus vite possible, prendre un max de plaisir. Célia referma les yeux. Tant pis... De toute façon, je ne voulais plus m’arrêter et puis elle fermait souvent les yeux pendant l’amour.J’allais jouir. Je m’arrêtais... Je fis se retourner Célia et s’assoir à nouveau sur l’évier. J’embrassais à nouveau ses seins. Je voulais me calmer. Mais non... Trop envie... Je retourne à l’intérieur de ses cuisses.Ah... C’est si chaud et moelleux... Je suis si bien en elle... Je reprends mes coups de piston, mais ne dure pas longtemps.J’explose et me serre contre elle.Alors que je venais de jouir, Célia me caressa la nuque, déposait un baiser sur ma joue...-"On dirait que ça t’a plu la soubrette... Hein chouchou ? Tu étais déchaîné...— Ah oui... J’ai adoré... Et toi aussi non ?— Oui... Un peu". Dit-elle en baissant les yeux en masquant un petit sourire.-"Un peu seulement ?— C’est bon chouchou, moi aussi j’ai aimé... J’ai le droit non ? Et puis tu as commencé ! Oui, oui ! C’est de ta faute". Elle le dit en riant alors que je l’embrassais pour l’interrompre dans sa défense bancale.Après quelques minutes, nous nous sommes rendu compte du désastre... On avait pété une assiette, oui. Mais apparemment, un verre était tombé. On ne l’avait pas vu.Et puis, de la mousse un peu partout au sol. Hallucinant... On aurait dit que quelqu’un avait aspergé la moitié de la pièce...— "Oh lala ! Mais qu’est-ce que c’est que ce travail ? Hein chouchou ? Il y a de la mousse de vaisselle partout maintenant... Ah lalala, on est pas sérieux hein ?" Elle éclata de rire.Je la regardais dans les yeux : "bon... Ben pour la prochaine on évitera de faire ça pendant la vaisselle."
Diffuse en direct !
Regarder son live