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Une commerciale très motivée

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’ai 36 ans, je suis bel homme, grand, élancé, musclé sec. Je suis d’un naturel calme et bienveillant mais mon milieu social privilégié, ma culture vaste et mon cerveau bien fait me confèrent une assurance teintée d’arrogance que je masque derrière une décontraction de chaque instant.
Je suis Directeur Commercial d’une entreprise de promotion immobilière. Nous construisons puis vendons des logements neufs. J’ai une équipe d’une dizaine de commerciaux sous mes ordres et ne cesse de recruter face à la croissance constante de l’entreprise. Mon équipe est composée en grande majorité de jeunes femmes. Pas par choix ou sélection de ma part, elles sont simplement les plus performantes dans ce métier qui consiste à vendre du rêve aux clients, à les convaincre d’acheter un bien pour plusieurs centaines de milliers d’euros alors que l’on a comme seuls arguments un terrain vierge et une jolie image de synthèse représentant le futur immeuble.
Aujourd’hui je vais vous retracer le parcours d’une commerciale en particulier: Julia. Cette belle jeune fille de 24 ans fait partie de mon équipe depuis environ un an. Elle a les cheveux châtains clairs, coupés au carré juste au dessus de ses épaules, elle est fine avec un corps que j’imagine parfait sous ses vêtements toujours élégants et légèrement sexy. Une taille fine, des cuisses galbées, un cul rebondi et une paire de gros seins fermes qu’elle moule souvent dans des robes fine mais cachent toujours pudiquement sous des décolleté très conventionnels. Ses yeux noisettes, son visage fin et son sourire ravageur lui donnent un charme qui ferait fondre n’importe quel homme. Sa peau mate trahit quelques origines latines.
Julia n’avait jamais vendu d’appartements neufs avant d’arriver chez nous. Elle a appris beaucoup de choses sur le tas et, après un démarrage difficile, elle parvient aujourd’hui à enchaîner les ventes. Sa rémunération a monté en flèche ce qui lui a mis l’eau à la bouche. Elle est désormais confiante et ambitieuse, elle en veut toujours plus. Aujourd’hui, j’ai annoncé aux commerciaux qu’un nouveau programme immobilier haut de gamme allait bientôt voir le jour et je déciderai prochainement de son attribution parmi eux. Ce programme représente un chiffre d’affaire conséquent qui garantira au commercial nommé un montant alléchant de commissions à venir. La réunion commerciale hebdomadaire se termine et je rejoint mon bureau.
Quelques minutes plus tard, on frappe à la porte. Julia se présente à moi en me demandant avec aplomb à ce que je lui attribue le programme mentionné en réunion. J’écoute patiemment ses arguments visants a me démontrer par A plus B qu’elle est la plus à même de vendre ces appartements. Je réponds calmement que ma décision n’est pas encore prise et qu’elle se fera de toutes façons en fonction de l’intérêt de l’entreprise, je souligne qu’elle a déjà pas mal de produits à vendre et qu’elle n’est donc pas à plaindre. À ce moment-là elle me rétorque:
 - Non je ne suis pas à plaindre mais je n’ai jamais eu de programme de luxe et j’aimerais apprendre à vendre ce type de biens. J’ai déjà tellement appris grâce à vous. Mais je sais que vous pouvez encore m’enseigner beaucoup de choses.
En prononçant cette dernière phrase elle fait un pas de plus vers mon bureau et place ses mains dans son dos ce qui a pour effet de remonter sa poitrine opulente, elle m’adresse ensuite un sourire timide et baisse légèrement la tête ce qui amène ses mèches de cheveux devant son joli minois. Je me dis qu’elle est terriblement désirable à cet instant et me demande si elle fait exprès d’user de ses charmes sur moi mais cette idée me paraît saugrenue et je la chasse de mon esprit.
 - Julia, je ne doute pas de vos capacités et de votre motivation mais vous avez déjà de belles opérations à votre charge, beaucoup de travail et chacun a ses limites…
Elle me coupe:
 - Je suis prête à tout pour vous prouver que je peux repousser mes limites.
Elle prononce cela en me fixant du regard avec un sourire en coin et frottant ses genoux l’un contre l’autre ce qui met en valeur les courbes affriolantes de ses hanches. Je ne sais pas comment réagir, ma première impression me revient en tête, je n’ai jamais été confronté à ce genre de situation et j’ai peur de mal lire ses intentions. Je réagis vite, à l’instinct:
 - Vous êtes prête à vous donner corps et âme pour vendre ce programme? - Oui Monsieur. - Vous êtes prête à suivre toutes mes indications? À m’écouter et apprendre à mes côtés?
 - Oui Monsieur, je répondrai à toutes vos demandes et m’appliquerai à toujours vous satisfaire.
Je suis troublé par ses réponses au tac au tac d’autant plus qu’elle continue à se dandiner, mains dans le dos, et que ses joues rougissent suite à cette dernière phrase. Je veux avoir la certitude de ne pas me tromper avant de me faire des films et décide d’enfoncer le clou:
 - Soyons clairs, vous êtes prête à donner de votre personne pour me satisfaire? À répondre à toutes mes demandes, même les plus… déplacées? - Oui Monsieur, je suis prête.
Voilà qui change tout! Je dois dire que je suis très surpris par son attitude car j’ai toujours gardé une distance professionnelle avec chacun de mes subordonnés et que jamais Julia n’avait fait preuve d’une attitude séductrice à mon égard. J’en suis cependant ravi. Elle est très jolie, mon esprit a déjà divagué en détaillant son anatomie et je me suis déjà imaginé ce que je pourrais lui faire dans un cadre intime. J’ai une opportunité à saisir, je ne vais pas m’en priver.
 - Très bien. Premièrement, tout ce qui va suivre doit strictement rester entre nous. Compris? - Oui Monsieur.Elle rougit de plus belle. - Mon objectif à partir de maintenant va être double: vendre au mieux ces appartements et… prendre du plaisir. Pour commencer je souhaite vérifier que tes affirmations sont exactes. Je vais te tutoyer en privé, tu continueras à me vouvoyer. Je vais te donner des instructions, tu vas les suivre à la lettre. C’est clair? - Très clair Monsieur.
Je me lève de mon fauteuil, fais le tour du bureau pour me placer à côté d’elle. Je passe un doigt sous son menton pour lui relever le visage puis déplace sa mèche de cheveux derrière son oreille. Je caresse sa joue du revers de l’index puis passe le bout de mon doigt sur ses lèvres charnues et parfaitement dessinées.
 - Ouvre la bouche.
Elle entrouvre ses lèvres délicates et j’en profite pour insérer le bout de mon index et de mon majeur dans sa bouche. Le contact de la pulpe de mes doigts avec sa langue chaude suffit à éveiller mon excitation. Elle suce doucement le bout de mes doigts, je les enfonce un peu plus profondément dans sa bouche, elle ferme les yeux comme pour mieux apprécier cette intrusion dans sa bouche. Mon autre main se pose sur son ventre plat et remonte sur son corps que je sens frémir, ma main glisse sur le tissu de sa robe beige jusqu’à empoigner son gauche que je pétris à pleine main. Elle gémit quand ma paume se referme sur son sein gonflé, le petit bruit venant de sa gorge est etouffé par mes doigts qui envahissent sa bouche. Je chercher son téton à travers le tissu de ses vêtement et quand je sens darder sa pointe entre mes doigts, je le sers fermement et le pince sans ménagement entre mon pouce et mon index. Elle gémit de plus belle, se tortille, décroise ses mains de son dos pour les poser sur mon bras. J’enfonce mes deux doigts complètement dans sa bouche et lui ordonne:  - Remets tes mains dans ton dos! Elle obéit instantanément. Je ressors mes doigts de sa bouche, ils sont luisants, enduits de sa salive chaude. Sans lâcher son téton à travers le tissu, je passe mes doigts mouillés devant nos regards qui se croisent puis descends ma main entre nos corps rapprochés jusqu’à la faire disparaître sous la lisière de sa robe. Je remonte le tissu, cherche sa petite culotte du bout des doigts, m’immisce contre sa peau puis glisse ma main entièrement entre ses cuisses. Mes deux doigts humides se plaquent directement contre sa petite chatte. À mon grand plaisir, je constate qu’elle est déjà trempée.
 - Très bien, je vois que tu aimes m’obéir. Ma main relâche enfin son téton et remonte sur cou, mes doigts se ressère sur sa peau bronzée, mon regard se plante dans ses yeux brillants. Mes doigts entre ses cuisses écartent ses lèvres et s’insèrent sans difficulté dans sa chatte humide, je les courbe en crochet et commence à la caresser en prenant soin de plaquer ma paume contre son clito. J’approche mes lèvres des siennes, resserre encore l’étreinte de mes doigts sur son cou, accélère les mouvements de ma main sous sa robe. Je sens ma paume se couvrir de son jus de plaisir, elle inonde mes doigts et sa fine culotte. Je mords sa lèvre inférieure doucement avant de l’embrasser, nos langues se rencontrent pour la première fois, elles s’écrasent l’une contre l’autre, j’envahis sa bouche puis la laisse découvrir la mienne, le baiser est sulfureux, passionnel, mes doigts deviennent de plus en plus fermes sur son cou et de plus en plus rapides entre ses cuisses. Puis d’un coup je me recule d’un pas, nos corps se détachent, elle reste plantée là, devant mon bureau, mains dans le dos, culotte mouillée, joues rosées et le cou légèrement zébré par l’emprise de mes doigts. Elle me regarde d’un air interrogateur, surprise que tout s’arrête si soudainement. Je tourne autour d’elle tel un prédateur jaugeant sa proie. L’idée de mon prochain test me vient en tête.  - Enlève ta culotte et donne la moi.
Elle me regarde un peu gênée mais n’hésite pas très longtemps. Elle glisse sa main sous sa robe encore un peu retroussée et tire sa culotte le long de ses jambes puis soulève ses talons pour laisser échapper ses pieds avant de me tendre le bout d’étoffe. Je la récupère et constate alors que ce n’était pas une simple culotte mais plutôt un tanga fin, léger et orné de quelques dentelles. Le tissu couleur chair est humide. Je la roule en boule dans ma main et la fais disparaître dans ma poche.  - Dorénavant tu te présenteras toujours à moi sans sous-vêtements. Je te veux nue sous tes vêtements sauf si je t’ai donné une instruction particulière. - D’accord Monsieur. - Je te mentirais si je te disais que je n’ai jamais pensé à ce que je pourrais faire avec une salope comme toi... 
Je vois sa moue changer en m’entendant prononcer ce mot pour la première fois. Elle a un petit air surpris mais ne dit rien. Elle affiche même une sourire discret.  - ... je pense que si tu m’écoutes bien, si tu te montres docile, serviable et volontaire, nous pourrons faire de très belles choses ensemble. Nous pourrions vendre beaucoup d’appartements et gagner beaucoup d’argent. Ça ne sera pas toujours facile mais je pense sincèrement que le jeu en vaudra la chandelle. Je marque une petite pose et m’assied sur le rebord de mon bureau. Je la détaille en silence avant d’ajouter:  - Je dois d’abord évaluer tes capacités, ton expérience, ta volonté mais aussi ta résilience. Je vais commencer par te poser quelques questions. - Bien Monsieur. - Tu as un mec? - Oui Monsieur. - Tu aimes quand il prend le contrôle de vos ébats? Quand il se montre un peu autoritaire? - J’aimerais bien Monsieur. Mais malheureusement ce n’est pas son truc. - Tu as déjà connu par le passé des mecs un peu plus virils que la moyenne? - Oui ça m’est arrivé. Ça m’a plu mais ils n’osaient jamais aller bien loin. J’ai toujours été un peu frustrée par ça. - Contente toi de répondre à mes questions, pas besoin d’en rajouter. - Oui Monsieur. Pardon Monsieur. - Tu t’es déjà pris une fessée? - Oui, une fois. - On s’est déjà adressée à toi par une insulte qui sonnait comme un compliment? Elle réfléchit une seconde. - Oui, vous venez de le faire à l’instant.Dit-elle en souriant, un petit air de défi dans les yeux. Je lui rend son sourire malin et poursuis mon inquisition. - Tu sais faire des gorges profondes? - Oui Monsieur.Elle rougit en fuyant mon regard. - Tu aimes le sexe anal? - Oui Monsieur. Son front devient aussi rouge que ses joues. - Tu as déjà eu une expérience avec une femme? - Non Monsieur. - Tu aimerais? - Oui, je crois que ça me plairait. - Et avec à plusieurs? - Je n’ai que très peu de tabous mais beaucoup de fantasmes. - Bien. Mais fais attention à ne pas être trop ambitieuse. Tu pourrais regretter d’en avoir trop dit. - D’accord Monsieur, j’y veillerai. - Tu possèdes des sex toys? - Oui. Un petit vibro et un gode. - Tu te masturbes souvent? - Oui Monsieur. - À partir de maintenant ton plaisir m’appartient. C’est moi qui déciderai de tout, tu n’as plus le droit de jouir sans mon autorisation. Seule ou avec ton mec, je m’en fiche, tu dois avoir mon autorisation pour te toucher, te faire baiser ou jouir. C’est compris? - Heu... Mais... - Ça te pose un problème? - C’est à dire que... je ne sais pas comment je vais pouvoir cacher cela à mon mec. - Ne t’en fais pas, si tu m’écoutes bien ton mec sera satisfait et ne se posera aucune question. Par contre, tu dois tenir parole. Sinon je le saurais et tu seras punie. C’est clair? - Oui Monsieur. D’accord Monsieur. - Bien. Passons maintenant aux épreuves pratiques. C’est bien beau de parler mais il faut s’assurer que tes actes suivront tes paroles. Elle reste silencieuse, la tête haute, le regard droit. Je me lève, la contourne, admire son corps moulé dans sa robe, ses cheveux qui flottent au-dessus de ses épaules, la cambrure de son dos, son superbe cul bombé. Je plaque ma main fermement sur son cul et l’empoigne avec force. Il est chaud, moelleux et ferme. Il me donne envie. Je malaxe son cul sans me retenir puis susurre dans son oreille:   - Assieds-toi sur mon bureau et écarte les cuisses. En terminant ma phrase je lui mets une petite claque sèche sur la fesse comme pour lui donner de l’élan. Elle sursaute, s’avance vers le bureau, s’assied sur le rebord et écarte les jambes. — Non pas comme ça. Monte carrément sur le bureau, pose tes pieds dessus et écarte les cuisses. Elle s’installe plus confortablement et la voilà les genoux relevés, ses chaussures à talons posées sur mon bureau, les cuisses largement écartées m’offrant une vue splendide sur sa chatte parfaitement rasée encore dans l’ombre de sa robe.   - Repose ton dos sur le bureau, laisse toi aller. Garde les jambes pliées, bien écartées, remonte ta robe et caresse toi devant moi.  Elle expire fortement, elle me regarde pleine d’appréhension en se pinçant les lèvres, le buste relevé, en appui sur ses coudes. Puis elle se met à répondre à ma demande. Elle déplie ses bras, se laissant retomber en arrière, le dos sur mon bureau. Sa main court sur son ventre, ses doigts fins remontent sa robe au-dessus de son nombril puis glisse vers son intimité. Elle commence à parcourir sa fente du bout des doigts. Je l’observe sans un mot, je suis les mouvements timides de ses doigts sur sa chair rose et sensible. Elle respire un peu plus fort mais je n’ai pas l’impression qu’elle parvienne à prendre réellement du plaisir.   - C’est bien, continue comme ça. Tu es une belle petite salope hein?
Elle plaque un troisième doigt sur sa fente et appuie plus fortement sur sa chatte en imprimant des mouvements circulaires plus prononcés. Son souffle devient plus rapide, je vois ses seins monter et descendre avec plus d’ampleur alors qu’elle cherche des respirations plus profondes.
 - Continue, caresse toi pour moi, allez, tu vas réussir à me faire bander petite chienne... Je veux te voir mouiller comme tout à l’heure. Quand j’avais les doigts dans ta chatte étroite tu étais toute trempée, une vraie petite salope qui mouille dès qu’on serre des doigts autour de son cou. Sa main s’agite entre ses cuisses, ses doigts deviennent soudainement luisants de mouille, elle gémit en serrant les dents. Sa paume est plaquée contre son clito et je vois qu’elle secoue son poignet avec de plus en plus de ferveur puis insère deux doigts dans sa fente à présent bien lubrifiée. Je fais le tour du bureau et me tient debout près de sa tête. Je pose mes deux mains sur ses seins opulents et les empoigne bien fermement.   - Cambre toi sur ce bureau. Montre moi que tu sais séduire avec ton corps. Montre moi que tu sais être une vraie petite pute! Elle se cambre immédiatement pour répondre à mon injonction. Ses reins décollent du bureau, elle se retrouve arquée, le haut du dos et le cul en appui sur la surface plane, ce qui donne à son corps des courbes affriolantes. Je baisse les bretelles de sa robe et de soutien-gorge sur ses bras et repousse ces barrières de tissu sur son ventre pour libérer ses gros seins bronzés que je saisis à pleines mains. Je découvre enfin ce corps que j’ai tenté de deviner depuis un an, sa peau est soyeuse, ses tétons foncés ont une auréole plutôt petite et se dressent fièrement en deux petites pointes dures qui appellent mes doigts à venir s’amuser. Je pince entre mes pouces et index ses deux tétons dardés en même temps. Elle gémit sous la pression de mes doigts, je tire ses tétons, les fais rouler entre mes doigts, les tord, les pince tout en malaxant ses deux globes gonflés de désir. Je bande à présent et une bosse volumineuse trahit mon excitation sous mon pantalon de costume. Je défais ma ceinture, baisse mon pantalon et ma queue dressée jaillit de mon caleçon à quelques centimètres du visage de ma belle commerciale.
Je la prends par la taille et la tire légèrement vers moi jusqu’à ce que sa nuque se place contre le rebord du bureau et que sa tête se retrouve penchée en arrière, dans le vide. Elle n’hésite pas une seconde et ouvre la bouche pour accueillir ma bite tendue entre ses lèvres. Son corps allongé devant moi est sublime, ma main court sur sa peau satinée, sentir sa langue chaude sur ma hampe et ses lèvres pulpeuses suçoter mon gland donne à mon érection encore plus d’ampleur. Je grossis dans sa bouche. Mes mains passent de ses seins à son ventre, glissent sous ses côtes, la soulèvent encore un peu plus pour apprécier la cambrure de son dos puis retrouvent leurs places sur ses seins. Je joue avec ses tétons, les tiraille, les fais tourner, j’entends ses gémissements étouffés par ma queue et la voir se contorsionner ainsi pour accueillir ma bite m’excite au plus haut point, j’ai envie de profiter davantage de sa bouche.
J’empoigne ses seins et avance pour la première fois mon bassin ce qui a pour effet de planter ma queue plus profondément dans la bouche de Julia. Je sens qu’elle relâche sa mâchoire, détend ses lèvres, elle ne me suce plus vraiment mais m’offre sa bouche comme pour m’indiquer qu’elle est prête à en encaisser un peu plus. Je ne me fais pas prier et commence des mouvements de va-et-viens plus puissants entre ses lèvres. Je peux voir sa gorge se déformer quand j’enfonce ma queue dans sa bouche, son cou laisse apparaître comme une bosse sous l’effet de piston de ma bite. Je presse ses seins comme un forcené et donne un coup de rein plus ample qui me permet d’enfin faire complètement disparaître ma queue épaisse dans sa bouche. Je sens mon gland écrasé contre sa gorge, cette pression me fait presque mal, le plaisir de baiser sa belle bouche est immense.   - Ahhhh tu n’avais pas menti! Tu sais encaisser une bonne gorge profonde! Je souffle comme un buffle et répète mes coups de bite profonds de plus en plus rapidement. À chaque assaut ma queue s’enfonce entièrement dans sa gorge, mes couilles s’écrasent sur son nez, sa chevelure pendouille dans le vide, quand j’aperçois son visage entre mes jambes je vois que son front rougit et qu’elle a parfois du mal à respirer. Le plaisir est trop intense pour me ralentir et je suis bien décidé à baiser à fond sa gorge offerte, ma cadence est soutenue, je pince ses tétons fortement tout en pilonnant sa bouche. Ses mains quittent sa chatte trempée et elle les place sur mes fesses, comme pour s’agripper à mon corps pour faire face à la tempête que je lui impose.   - Qui t’a dit d’arrêter de te toucher?! Mets toi trois doigts salope! 
Je hurle mon mécontentement d’un ton sévère et lui flanque une belle claque sur un sein. Elle repose dans la foulée une main sur sa chatte et enfonce trois doigts dans sa chatte juteuse. Je continue à claquer ses gros seins fermes, parfois tout le sein, parfois seulement le téton, tout en l’insultant copieusement. "Sale chienne, tu vas apprendre à respecter mes consignes!" Je prends son sein de la main gauche et le pressant pour faire ressortir le téton et mieux le claquer. Je laisse ma queue plantée tout au fond de sa gorge sans bouger. "Je vais bien te dresser et tu vas adorer ça." Je plante mes ongles dans la chair sensible de ses seins tout en reprenant mes coups de bassin comme un métronome. "Agite ta main, je veux te voir jouir sur mon bureau." Sa main frotte son intimité à toute vitesse, je vois sa mouille couler sur la surface en verre sur bureau, ses cuisses sont luisantes, je lui défonce la bouche comme un malade, je sens que je ne vais pas tarder à exploser. "Tu es belle avec ma queue plantée dans la bouche comme ça. Tu vas me faire jouir petite salope!" Ma bite est enfoncée au maximum et mes mouvements son à présent très courts mais très rapides, je ne ressors que d’un ou deux centimètres à chaque fois mais enchaîne les invasions en lui secouant le corps et maltraitant ses seins qui me servent de prises pour mieux la défoncer. Les bruits de sa gorge sont soudainement remplacés par un râle de plaisir puissant qui déchire le calme habituel des locaux de l’entreprise. Heureusement son cri de jouissance est partiellement étouffé par mon membre prêt à exploser contre sa glotte. La voir mouiller de plus belle et trembler de plaisir devant moi déclenche un magnifique orgasme qui m’emporte complètement. Je serre les dents en penchant ma tête en arrière tout en déversant un flot de sperme chaud dans la gorge de ma commerciale. Je relâche l’emprise sur ses seins et me laisse transporter par le plaisir en remplissant sa bouche de ma semence. C’est une délivrance, une libération qui en appelle d’autres. À cet instant précis, je sais déjà que cette aventure n’est pas prête de s’arrêter.
Je me retire lentement, la laissant déglutir, avaler et nettoyer ma queue complètement en la regardant sucer mon gland pour en recueillir la dernière goutte de sperme. Elle est parfaite. Je passe ma main sous nuque pour l’aider à se redresser, caresse tendrement son visage et la recoiffe avec mes doigts. Elle est assise sur mon bureau, complètement débraillée, de la mouille partout entre les cuisses. Je me lève et vais chercher dans un meuble une petite serviette que je lui tends avant d’en prendre une pour moi-même. Nous nous essuyons rapidement avant de nous rhabiller. Je lui tends une main pour l’aider à descendre du bureau, elle ajuste sa robe sans oser me demander son tanga qui reste bien au chaud dans ma poche.   - Bon. Je pense qu’effectivement tu n’es pas dénuée de qualités et de motivation. Le programme est à toi. Je compte sur ta confidentialité et surtout sur une disponibilité de chaque instant. Cet immeuble, nous allons le commercialiser ensemble et nous allons en tirer grand profit. Notre technique ne sera pas conventionnelle et tu vas apprendre beaucoup à mes côtés. Tu as des questions? - Oui Monsieur... Euh... Est-ce que je vous ai plu? Je souris. Je sais qu’elle connaît déjà la réponse mais je trouve sa façon de quémander un compliment tout à fait attendrissante. Je m’approche d’elle et caresse sa joue. — Oui, beaucoup. Mais ce n’était qu’un début. Allez, au boulot! Elle affiche un large sourire radieux, se retourne et s’apprête à ouvrir la porte pour quitter mon bureau. Quand elle a posé la main sur la poignée j’ajoute:  - Et n’oublie pas, interdiction de jouir sans mon accord! - Oui Monsieur! dit-elle en souriant avant de quitter la pièce.
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