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Une commerciale très motivée

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Quelques jours ont passé depuis ma délicieuse expérience avec Julia. Quelques jours durant lesquels j’ai pu avancer sur la commercialisation imminente de notre nouvel immeuble de luxe et pendant lesquels Julia a poursuivi son travail de commerciale, sur le terrain, à traiter les demandes des clients et tenter de faire des ventes. Le marketing a bien bossé, la présentation de l’immeuble en images de synthèse est magnifique. Une maquette 3D virtuelle ainsi que des visites virtuelles des appartements sont mises à notre disposition, une superbe bulle de vente temporaire a été installée sur l’emplacement du futur immeuble, les moyens ont été mis pour que la commercialisation du programme corresponde au standing des appartements à construire. Il me reste à fixer les prix de chacun des lots à vendre. Pour cela, je décide d’utiliser les aptitudes de ma nouvelle protégée. Je rédige un mail à Julia lui demandant d’effectuer une étude de marché et de venir me la présenter à mon bureau deux jours plus tard. J’écris sur un ton classique et professionnel. Elle me répond simplement qu’elle se met immédiatement au travail et me confirme le rendez-vous pris pour vendredi 16h au bureau.
Pendant ces deux jours je prends soin de faire quelques achats que je dissimule dans les tiroirs de mon bureau. Je passe en revue les prévisions financières du projet en question car j’ai des objectifs à tenir et je compte bien les atteindre et même les dépasser. Enfin, je ramène de chez moi un bel appareil photo que je sais fiable et de qualité, il rejoint mon tiroir à secrets. Vendredi arrive et dès la matinée, je ne peux m’empêcher de penser à mon rendez-vous de fin d’après-midi. Je suis déconcentré par mes pensées lubriques tout au long de la journée et les heures passent lentement jusqu’à ce qu’enfin, je me repose quelques minutes dans mon bureau en attendant la venue de Julia.
Elle frappe à la porte à 16h tapantes. Je la laisse entrer et referme derrière elle. J’en profite pour détailler sa tenue apprêtée, une robe noire en tissu plutôt épais, au-dessus du genou, élégante, sexy mais pas affriolante. Le décolleté reste sage, ses épaules sont couvertes, ses cheveux lisses scintillent sous la lumière chaude de mon bureau. Je lui présente un fauteuil et l’invite à s’asseoir avant de prendre place sur le sofa en cuir face à elle, une table basse en verre nous sépare. 
 - Bien. Alors, cette étude de marché, ça donne quoi? - La voici. Me dit-elle en me présentant un petit dossier. J’ai essayé de trouver des références de programmes immobiliers neufs dans les environs mais il n’y a pas beaucoup de points de comparaison récents. J’ai aussi fait des recherches sur les biens à la vente dans l’ancien ainsi que les prix des biens vendus durant l’année écoulée que j’ai pu trouver sur le site des notaires.  - Très bien, voyons ça. 
Je lis le dossier, feuillette rapidement les pages présentant les transactions passées pour me concentrer sur la dernière page qui détaille le prix qu’elle estime que nous pouvons demander pour notre opération. Ce prix ne me satisfait pas.
 - 7500€ du mètre carré? - Oui, je pense que c’est un prix cohérent par rapport au marché, nous devrions...Je la coupe. - Tu plaisantes j’espère. Pour que l’opération soit rentable le prévisionnel prévoit un prix moyen de 8000€. Mais j’ai fait ma propre étude et je pense que nous pouvons vendre à 9000 voire 9500€ du mètre si nous ne sommes pas trop mauvais. Tu es sûre que tu le veux ce programme? - Mais oui bien sûr! Je... euh... je suis... - Mets toi à genoux sur le fauteuil, mains sur le dossier.
Mon ton est sec et autoritaire. Je la dévisage avec une pointe d’impatience alors qu’elle semble prise de court par ma demande. Après quelques secondes d’hésitation, elle met ses genoux sur l’assise du fauteuil, se retourne et pose ses mains sur le dossier. Elle me tourne le dos et sa position me permet d’apprécier les courbes de son cul rebondi. Je me lève et me place à ses côtés. Je pose une main sur son cul, prends le temps d’en apprécier la fermeté avant d’ajouter:
 - Tu m’as recommandé ce prix bas en te disant que tu vendrais rapidement et sans effort tous les appartements et toucherais rapidement ta com? - Non pas du tout, je pensais vraiment que...
Une claque ferme s’abat sur sa fesse et la fait sursauter.

 - Ne me prends pas pour un idiot! C’est une technique habituelle de vendeuse, je ne la connais que trop bien. Tu penses à ton petit profit, à ton confort et tes deniers sans penser aux intérêts de l’entreprise. Tu vas payer pour apprendre.
Je remonte sa robe sur son dos et dévoile son superbe fessier mis en valeur par sa position qui l’oblige à se tenir bien cambrée. Elle n’a pas sous-vêtements et je peux donc détailler son petit trou plissé dans le sillon de ses fesses et entrapercevoir les fines lèvres de son petit abricot. 
 - Au moins tu t’es souvenu de ma recommendation, c’est déjà ça. J’estime que l’on peut atteindre les 9500€ du mètre pour ce programme, c’est cher mais nous auront des arguments pour vendre à ce prix-là. Tu as estimé ça à 7500€. Pour chaque centaine d’euros d’écart, tu vas te prendre une fessée. Ça fait donc combien de fessée? - Vingt, Monsieur. - Exactement.
Sans plus attendre, je lui flanque une belle première fessée sonore sur la fesse gauche. Ma main s’abat complètement sur sa peau dans un bruit franc qui résonne dans la pièce. Elle laisse échapper un petit cri. Ma main se relève et retombe sur sa fesse une deuxième fois. Je m’applique à bien claquer toute la superficie de sa fesse, à faire trembler sa peau avec ma paume, à appuyer mon geste jusque dans le bout de mes doigts qui se resserrent sur son cul après l’impact. Après cinq fessées sur le côté gauche, sa pauche est devenue rouge, la marque de ma main s’imprime sur son postérieur si joliment présenté à mes envies salaces. Je passe à l’autre fesse et enchaîne les claques avec de plus en plus de force, elle gémit, souffle entre deux coups, laisse échapper des petits cris de douleur entre ses dents serrées. J’aperçois alors de la mouille suinter sur sa chatte rose et brillante. Cette vision, ajoutée à celle de son cul tout rouge couvert de traces, m’excite et me fait sombrer dans la sauvagerie. Les cinq dernières claques sont désordonnées et très puissantes. Je lui flanque une fessée mémorable en laissant tomber ma main de manière anarchique, entre ses fesses, sur le haut de son cul, sur une fesse, vers le bas presque contre ses cuisses et sa chatte. Je ne retiens pas ma force, ces cinq dernières fessées me demandent carrément un effort et me brûlent la main. Je reprends mon souffle, tout s’arrête, nous passons du chaos au calme plat, son cul est rouge cramoisi, ma main endolorie et sa chatte trempée.
 - À quel prix moyen allons-nous vendre ce programme? - 9500€... du mètre... carré... Monsieur. Dit-elle en respirant fortement.  - Très bien. Tu vois quand tu veux?
Je lui caresse les fesses avec tendresse, je passe et repasse mes mains comme si j’y appliquais de la crème, le calme après la tempête. Je m’abaisse et pose mes lèvres sur sa peau brulante. Ma langue parcourt son cul bombé, ma salive couvre la peau qui était frappée par ma main il y a quelques instants. Je m’agenouille sur le sol derrière elle, prends ses fesses à deux mains et les écarte pour bien exposer sa chatte humide. Je plonge ma langue entre ses cuisses et goûte à sa mouille pour la première fois. Ma langue monte et descendes sur sa fente, je l’entends gémir de plaisir, elle se cambre encore davantage comme pour reculer sa chatte vers ma bouche avide. Ma langue passe et repasse sur ses lèvres trempées, je tente de darder ma langue pour atteindre son clito et l’agacer du mieux possible pour la pousser vers l’extase. Je m’appuie fort sur son cul et finis par introduire ma langue dans sa fente, la fouiller puis aspirer son intimité entre mes lèvres. J’entends Julia pousser de petits cris et respirer de plus en plus fort, je me dis qu’elle ne doit pas être loin de l’orgasme, j’arrête alors subitement mes attentions à son égard et me relève prestement. Elle pousse un soupir de déception et se retourne en me questionnant du regard, sa moue désemparée me fait clairement comprendre qu’elle aurait voulu que je continue à la lécher passionnément. Ses mains quittent le dossier du fauteuil pour se tourner vers moi et elle ouvre la bouche pour me dire quelque chose mais je la coupe avant qu’elle ait pu prononcer un mot.
— Eh je ne t’ai pas dit de changer de position. 
Elle repose ses mains sur le dossier et reprend sa pause cambrée.
— D’ailleurs, cela me rappelle que j’ai fait quelques emplettes en pensant à ta formation. 
Je me dirige vers le fond de mon bureau pour aller récupérer mes achats dans un tiroir. J’en sors quelques sacs sous les yeux curieux de Julia qui n’ose plus rien dire. Je fouille dans les sacs sans lui permettre de voir ce qu’ils contiennent. J’en sors une belle corde écrue repliée soigneusement, une petite boîte en carton et un petit sachet en tissu. Je pose les trois objets sur le bureau, remets le sac dans le tiroir et m’approche de ma belle commerciale après avoir saisi la corde. Je la regarde dans les yeux en souriant, elle me rend un sourire espiègle, elle semble confiante et apaisée, encore chavirée par les caresses que je viens d’interrompre. J’enroule la corde autour de ses poignets, prend le temps de la serrer mais pas trop afin de restreindre ses mouvements sans lui faire mal, elle regarde avec attention la corde passer à plusieurs reprises sur sa peau. Je termine par laisser descendre la corde entre ses poignets vers le sol, j’attache cette extrémité de la corde aux pieds du fauteuil.
— Voilà, ça devrait t’enlever l’envie de bouger sans mon autorisation. Tu veux voir les petits cadeaux que je t’ai achetés?— Oui Monsieur! dit-elle avec engouement.
Je prends les deux paquets sur le bureau et les tend, paumes ouvertes, devant son visage. 
— Choisis bien, tu devras porter le présent de ton choix toute la journée. L’un est plus agréable que l’autre, enfin, je pense. Ça dépend de chacun.— Hmm j’ai la pression. 
Elle hésite, sourit puis choisit la petite boîte cubique.
— Très bien, ouvre-le. J’ouvre celui-ci. Tu devras garder le tien mais nous allons quand même nous amuser avec celui-là. 
J’ouvre la pochette en tissu et en sors deux pinces à tétons brillantes, petites et fines, dont les bouts sont couverts de plastique noir. Elle me regarde bouche bée.
— Vous... vous comptez me mettre ça??— Ouvre ton cadeau.
Elle prend une bonne respiration et ouvre la boîte. Je vois son regard s’illuminer et un sourire en coin s’afficher sur ses lèvres. Elle sort de la boîte un jolie petit plug anal métallique serti d’un brillant transparent. Elle le tien entre ses mains, ses doigts parcourent l’objet lisse et froid, ses poignets étant attachés elle ne peut être très habile surtout qu’elle a encore la boîte en main et, maladroitement, elle laisse tomber le paquet et le plug par terre. 
— C’est comme ça que tu traites mes cadeaux? 
Je fais mine d’être énervé, elle lève des yeux inquiets vers mon regard courroucé. Je suis bien content de sa maladresse, ça va me donner une occasion de la corriger et d’utiliser les pinces que j’ai en main. 
— Désolée, j’ai les mains attachées...— Arrête. Ne te cherche pas d’excuse, ça vaut mieux pour toi. Tu vas être punie pour ta maladresse.— Pardon Monsieur. — J’ai remarqué l’autre jour que tu résistais bien à mes assauts sur tes seins, on va voir si tu peux en endurer un peu plus.— J’ai un peu peur...— Ne t’inquiète pas, c’est plus impressionnant que ça en a l’air. Ce sont des pinces pour débutantes, elles ne sont pas très fortes.
Je glisse une main sous ses bras pour atteindre ses gros seins près du dossier du fauteuil, je cible son téton gauche et appose dessus la première pince.
— Ah! 
Elle tressaute sur le fauteuil en sentant les mâchoires de la pince se refermer sur sa pointe.
— La douleur tire un peu au début mais tu vas vite t’habituer et ça deviendra même une source de plaisir. Je veux que tes tétons s’endurcissent et accueillent les pincements.— Ouuuh... D’accord, je vais essayer.
Je la contourne et glisse mon bras vers son sein droit pour y refermer la deuxième pince sur son téton. 
— Aïe! Ahhh ça me brûle! 
Elle dit cela en riant légèrement, amusée par la situation. Elle bouge son buste de droite à gauche par réflexe ce qui fait fait balancer ses seins lourds et agite les petites pinces qui se frottent au passage contre le cuir du fauteuil.
— Ahh ahhh j’aurais pas dû faire ça!
Je ris à mon tour avant d’ajouter:
— En effet, c’est une raison de plus pour ne pas bouger.
Elle s’immobilise. Je m’abaisse pour ramasser le plug et m’avance vers sa croupe tendue. Je m’abaisse à nouveau derrière elle, comme je l’avais fait plus tôt, et je sors ma langue chaude pour la plaquer à nouveau contre sa chatte. Après quelques coups de langue je sens sa mouille venir se mélanger à ma salive. Elle gémit. Je la lèche avec envie, écarte ses lèvres avec ma langue puis je remonte entre ses fesses et pose ma langue sur son petit trou serré. Là je me redresse et crache deux fois sur son trou du cul. J’introduis mon majeur dans sa chatte et mon index dans son cul, je crache encore dessus et entame des va-et-viens avec mes doigts dans ses deux orifices. Elle halète et gémit de plus belle. Sans cesser mes aller-retours, je porte le plug à ma bouche et l’enduit de salive. Je crache encore une fois sur sa fine membrane et admire le mouvement de mon doigt qui permet à ma salive de s’introduire dans son cul. Finalement, je retire mes doigts et pose la pointe de la petite pyramide du plug sur son trou étroit. Je force un peu l’entrée en tournoyant jusqu’à enfoncer le plug, le passage le plus épais et accompagné d’un petit cri de ma partenaire. J’appuie à fond sur la partie plate ornée du brillant, le plug entre complètement dans son cul, elle souffle un bon coup. Je me recule, j’admire mon oeuvre. Elle est attachée par les poignets, à genoux sur le fauteuil, cambrée, ses seins dorés sont surmontés de pinces et son cul bombé est décoré par le plug brillant enfoncé dans son anus, elle est superbe, magnifique. Je sors mon téléphone et prends une photo pour immortaliser l’instant, l’image est érotique à souhait, élégant et décadente à la fois.
— Eh! Mais pourquoi avez-vous pris une photo?!
Elle fronce les sourcils et se tourne vers moi en tentant une volte face mais les liens autour de ses poignets et surtout l’effet des pinces effleurant le dossier du fauteuil la rappellent immédiatement à sa pose initiale.
— Je n’ai pas donné mon accord pour des photos et je...— Tais toi! Tu en profiteras autant que moi, ne t’en fais pas. Tu n’as rien à craindre de ma part, c’est juste pour nous. Je t’ai déjà dit que tu allais devoir me faire confiance.
Je m’approche d’elle, me plante debout juste devant son visage.
— Tu es très belle comme ça. Il me fallait un souvenir. Tu es une superbe salope, tu le sais ça?— C’est vrai que je me sens belle comme ça. Dit-elle en souriant. — Tu l’es. Tu as aimé ma langue entre tes cuisses?— J’ai adoré, oui. 
Je défais ma ceinture et baisse mon pantalon pour en faire jaillir ma queue gonflée et tendue devant ses lèvres. 
— Tu as aimé te faire cracher dessus comme une petite pute?— Oui Monsieur, j’ai adoré ça.
Je prends ses cheveux dans ma main et attire sa bouche vers ma queue. Elle s’ouvre immédiatement en grand et m’accueille entre ses lèvres.
— Tu aime sentir ton cul dilaté par le plug?— Mmm mmm. Elle tente de répondre en ayant la bouche pleine, en hochant la tête.— Regarde moi quand tu me réponds.
Elle lève ses yeux vers les miens, ma queue dans la bouche et retente de montrer son approbation tout en me suçant. 
— C’est bien. C’est important de toujours regarder son interlocuteur quand tu annonces une bonne nouvelle. Un sourire, un regard aguicheur, en répondant par l’affirmative à la demande d’un client, rien que ça peut t’obtenir une vente. Tu comprends?— Mmm mmm.
Elle hoche à nouveau la tête. Je glisse ma main vers ses seins et commence à toucher les pinces, les faire aller de droite à gauche, leur donner de très légers coups.
— Tu aimes me sucer ma salope?— Mmm mmm. Gémit-elle en me regardant droit dans les yeux.
Ma main quitte ses seins pour se poser sur ses fesses. Je me penche en avant et lui mets une petite fessée. Elle ne s’y attendait pas et sursaute, j’en profite pour coller son visage contre mon bassin avec mon autre main. Ses seins se trouvent alors écrasés contre le fauteuil ce qui doit accentuer l’effet de la morsure sur ses tétons. Je lui mets une autre fessée puis descends vers sa chatte pour y introduire deux doigts. Ma queue s’écrase contre le fond de sa gorge, ses gémissements sont étouffés, mes doigts s’agitent dans sa chatte. Elle est prête, je suis prêt, j’ai très envie d’enfin la prendre comme il se doit. Je me retire d’un coup, ma queue dégouline de salive, mes couilles sont luisantes, son menton est couvert de bave. Je passe derrière elle et pose mon gland turgescent sur sa fente. J’attends ce moment depuis plusieurs jours, je savoure. Je m’enfonce lentement mais d’une seule traite dans sa chatte trempée, ma queue épaisse coulisse sans encombre tant sa chatte est lubrifiée par son excitation. Une fois complétement planté en elle, je pousse un soupir de soulagement et de satisfaction tandis qu’elle pousse un cri de plaisir long et suave en gardant la bouche ouverte. Je me sens bien au chaud, fourré dans sa fente juteuse, la pression du plug se fait légèrement sentir, son dos cambré et ses fesses pleines et fermes sont un délice pour les yeux. J’entame des va-et-viens lents mais profonds, complets, puissants, je me délecte de cette chatte étroite en posant mes mains sur son cul. En m’enfonçant bien entièrement je la sens se détendre, s’écarter de plus en plus pour laisser ma bite dure comme de la pierre coulisser en elle avec plus de fluidité. J’accélère progressivement le rythme de mon bassin, je deviens plus animal, des petites claques s’abattent sur ses fesses et la font pousser de petits cris entrecoupés par les poussées puissantes de ma queue dans sa vulve. Mes mains remontent sur sa taille, caressent ses côtes, son dos et ses épaules avant de réunir sa tignasse en une queue de cheval que je saisis d’une main ferme. Je tire dessus, la forçant à tenir sa tête en arrière, la tiens par la taille de l’autre main et me mets à la pilonner sans retenue. L’excitation accumulée a eu raison de ma patience, je me mets à lui défoncer la chatte, la maintenant bien courbée en arrière en tirant sur ses cheveux. Elle se met à crier de plaisir comme une folle.
— Aaaahhhhhhh aaaahhhh aaaaahhh— Moins fort! Tu vas alerter tout le bureau!
Je lui mets une claque sur le cul et tire encore plus fort sur ses cheveux en lui donnant cet ordre. Elle souffle lourdement et serre ses dents pour contenir ses cris de plaisir et baisser d’un ton. Je continue à la défoncer à un rythme soutenu alliant puissance et vitesse, je vois un filet de mouille couler le long de sa cuisse, ma queue entre et sort comme un piston bien huilé, sa chatte est complètement à moi, je prends beaucoup de plaisir avec son corps de déesse. Je reprends conscience de l’instant présent et ralentit mon rythme pour ne pas exploser trop vite. Je relâche ses cheveux, lui permettant de détendre sa nuque, je passe une main sur son ventre alors que l’autre commence à jouer avec le plug planté dans son cul. Je continue à la baiser mais avec beaucoup plus de retenue et de maîtrise, je m’applique cependant à faire tourner le plug dans son cul, à le sortir à moitié puis l’y replonger, je répète ce traitement plusieurs fois pour bien la dilater.
— Maintenant que j’ai pris possession de ta bouche et de ta chatte, il me reste un orifice à conquérir. Dis-je en respirant lourdement.— Mmmm je n’attends que ça.— Tu ne vas pas attendre longtemps ma petite chienne.
Je retire alors le plug et presse mon gland couvert de mouille sur son petit trou plissé. Je la prends par les hanches et commence à m’enfoncer dans son cul. Le passage a déjà été bien préparé par le plug et lubrifié par ma salive, ma grosse queue a un peu de mal à avancer mais en pressant mon bassin lentement mais sûrement, je m’enfonce centimètre par centimètre dans son cul magnifique. Quand je suis enfin planté entièrement dans son cul, je l’entends haleter comme si elle courait un marathon, je remonte mes mains sur sa taille puis les laisse glisser jusqu’à son opulente poitrine. Je plaque mes paumes contre ses tétons toujours sertis des pinces, elle pousse un petit cri, je recule mon bassin pour faire ressortir ma queue aux trois quarts puis pousse un bon coup vers l’avant pour la remplir à nouveau entièrement. 
— Aaaaahhhhhhhh! Elle hurle à nouveau.— Moins fort je t’ai dit! Il va falloir apprendre à être discrète en toute situation!
Je malaxe ses seins des deux mains, faisant par la même occasion tournoyer les pinces sous mes paumes ce qui ne manque pas de lui donner une piqure de rappel bien nécessaire pour l’enjoindre à être moins bruyante. J’entame des va-et-viens puissants dans son petit trou bien serré, cette sensation est exquise et je sens déjà que je ne vais pas tenir longtemps. Je me dis alors que cela ne sert à rien de me retenir et que je peux enfin me lâcher et me laisser aller complètement. 
— Je vais te défoncer le cul petite salope!— Ohhh oui! Prenez moi bien fort!
Je secoue les pinces à tétons des deux mains, je les fais bouger dans tous les sens lui arrachant plusieurs petits cris tout en accélérant le rythme dans son cul. Je pose mes mains sur ses gros seins comme pour les presser, ses tétons et les pinces coincés entre mes doigts, puis je me mets à vraiment lui défoncer le cul. Je la baise comme un forcené, je grogne, je transpire, mes hanches me brûlent, mes couilles claquent contre sa chatte trempée et ma queue entre et sort de son petit trou à une vitesse infernale. Le claquement répété de mon pubis sur ses fesses et mes insultes entrecoupées de grognements résonnent dans la pièce. "Salope!" "Raaahh sale chienne!" "T’aimes te faire défoncer le cul hein?!" Je la baise comme un sauvage, je sens ma queue gonflée prête à exploser, son corps est secoué par mes assauts brutaux, ses seins compressés et mordus, je donne des coups de reins très puissants qui la font crier et agiter la tête de droite à gauche. Elle tremble en gémissant et je vois un flot de cyprine sortir de sa chatte et s’étaler entre ses genoux, sur l’assise du fauteuil. La voir jouir ainsi me porte à l’orgasme, je donne un dernier coup de reins violent avant d’arracher les deux pinces à tétons en même temps et me retirer pour éjaculer sur ses fesses. Son orgasme semble encore plus puissant que le mien, elle colle ses seins bouillants contre le cuir du fauteuil, gémit en prononçant quelques vagues mots et de la mouille continue de couler abondamment sur ses cuisses. Je me répands en flots épais sur la peau mate de son cul, de longs jets de sperme s’étalent sur ses fesses et sur son dos, je sers le dents, ferme les yeux et pousse un grand râle de soulagement, que c’est bon! Ma main caresse ses tétons endoloris et s’accordent un instant de tendresse en parcourant son corps suintant et ses cheveux défaits. Je reprends mes esprits et me recule de quelques pas pour saisir mon téléphone sur la table basse. Je prends deux photos d’elle, une de profil, l’autre de derrière montrant bien son cul rougi et couvert de sperme. Je vais dans ma salle de bain personnelle attenante pour y prendre une serviette que je mouille d’eau tiède, je reviens et nettoie le corps souillé de Julia. Puis je la détache, lui tend une main qu’elle saisit pour mettre debout, elle chancelle, m’agrippe la main puis me regarde les yeux brillants et un large sourire sur les lèvres.
— Si tu veux faire un brin de toilette vas-y mais sois rapide, nous avons une réunion dans dix minutes.— Quoi? Quelle réunion?— Je vais annoncer à l’équipe que tu es en charge du nouveau programme immobilier. Et tu leur en feras une petite présentation.— Quoi? Mais je ne connais rien du programme!— Ne t’inquiète pas, je vais t’envoyer les infos dont tu auras besoin. Et puis ça sera un bon exercice pour voir si tu es capable d’improviser et de susciter de l’envie pour un programme à partir de pas grand chose.
Elle me regarde la bouche entrouverte, surprise et décontenancée. Elle ne dit rien et se dirige vers la salle de bain. Je l’entends faire couler l’eau du robinet, elle se refait une beauté face au miroir pendant que je m’essuie et me rhabille dans mon bureau. Je nettoie toute trace de nos ébats et récupère le plug que je garde en main. Quand elle ouvre la porte et s’apprête à sortir de la salle de bain je lui dit:
— Allez, dépêchons-nous ou ils vont nous attendre. Mais avant cela, n’oublie pas que tu dois porter ceci aujourd’hui.
Je lui tends le plug en souriant, elle le prend, retourne dans la salle de bain sans un mot et en ressort quelques instants plus tard. Elle avance en faisant virevolter sa petite robe noire et me lance un enjoué:
— On y va?
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