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Une commerciale très motivée

Chapitre 4

Comment décoincer une cliente

SM / Fétichisme
Je passe un weekend paisible, loin des préoccupations du bureau. Je repense à ma machination et en tire une certaine fierté. Cependant, je n’ai jamais mêlé mon appétit sexuel à ma vie professionnelle auparavant et je tente d’organiser mes pensées pour limiter le risque au maximum. Je ne voudrais pas qu’un dérapage entache ma réputation. C’est un jeu dangereux dans lequel je me suis lancé. Dangereux mais terriblement excitant. 
Lundi matin, je me connecte au logiciel de gestion de la clientèle de l’entreprise pour voir si le lancement commercial a porté ses fruits. Durant le weekend, il y a eu une quinzaine de demandes de renseignements, pas mal pour un démarrage! Ces demandes ont logiquement été traitées par Julia, ce que je peux vérifier sur le logiciel. Il est indiqué qu’elle a bien rappelé chaque client potentiel. Afin d’avoir un panorama complet, j’appelle Anthony dans l’après-midi. Il est de permanence sur le bureau de vente ce lundi. 
— Bonjour Anthony.— Bonjour Monsieur.— Alors? Comment est le BV (bureau de vente)? — Magnifique. Franchement vous avez mis le paquet, il est superbe!— Tant mieux, tant mieux. Vous avez eu du passage?— Quelques curieux ce matin, rien de sérieux. Un monsieur qui avait l’air vraiment intéressé est passé il y a une heure. Je l’ai renseigné sur le programme, il doit me rappeler demain. — Vous avez programmé un deuxième rendez-vous?— Non, il ne me l’a pas demandé.— Erreur! Anthony, n’oubliez pas que nous pouvons compter sur une vendeuse hors-pair! Il fallait insister pour qu’il revienne en personne dans la semaine. Il serait tombé sur Julia, elle aurait certainement trouvé les arguments pour le convaincre. — Ah oui Monsieur, je n’ai pas eu le réflexe, désolé.— C’est bien dommage Anthony. Espérons que tu parviennes à le convaincre demain. Et n’oublie pas cet avantage comparatif désormais.— Bien Monsieur, c’est noté.
J’entends alors le bruit de la porte qui s’ouvre et la voix d’un client qui entre dans le bureau de vente. 
— Allez je te laisse, bonne chance pour la première vente!— Oui Monsieur. Merci!
Je raccroche en doutant de mon choix. Anthony ne semble pas avoir les épaules pour manœuvrer en eaux troubles. Saura-t-il exploiter le potentiel de Julia sans nous compromettre? Je n’en suis plus certain. Je doute de sa finesse et sa discrétion. La journée se déroule sans encombre jusqu’à la fin de l’après-midi. C’est alors que je reçois un appel de Julia.
— Bonjour Monsieur, je ne vous dérange pas.
— Absolument pas. En quoi puis-je t’aider?— Il y a un problème avec Anthony. Ça ne me dérange pas d’user de mes charmes pour faire des ventes, bien au contraire, mais il y a quand même des limites!— Calme-toi. Je ne comprends rien à ce que tu racontes.— Je viens d’avoir un appel d’un Monsieur bien plus intéressé par mon cul que par un appartement! Anthony lui a dit que j’allais le recevoir et lui donner beaucoup de plaisir et qu’il pourrait réfléchir à son acquisition après avoir pris du bon temps avec moi! C’est n’importe quoi! Ce n’est même pas un prospect qualifié, c’est juste un mec qui est entré sur le BV, il a rien compris Anthony ou quoi, il pense que je vais...— Stop. Arrête de crier et souffle un coup... Je laisse passer un silence pour m’assurer qu’elle se soit calmée avant de reprendre: Effectivement Anthony a mal renseigné ce client, c’est regrettable. Ne t’inquiète pas, je vais l’appeler. On se retrouve demain matin au bureau de vente pour mettre les choses au clair.— D’accord Monsieur. Merci. Mais j’ai déjà calé un rendez-vous à 10h avec un client.— Pas de problème, nous aurons fini avant. À demain!
J’appelle immédiatement Anthony et lui ordonne d’un ton sec d’être le lendemain matin à 9h sur le bureau de vente. Pendant la soirée, je pense à ce que je pourrais faire pour donner une leçon à Anthony. J’hésite à lui retirer l’affaire sur-le-champ mais me révise quand une idée germe dans mon esprit. La nuit portant conseil, je me couche de bonne heure afin d’être en pleine forme le lendemain.
À 9 heures, le soleil se reflète sur les vitres du bureau de vente qui est en effet de belle facture. Je distingue deux silhouettes à l’intérieur. Quand je rentre, je constate que l’atmosphère est tendue, mes deux commerciaux se toisent sans dire un mot. Je n’y vais pas par quatre chemins:
— Anthony, si nous sommes ici c’est parce que tu as complètement déconné, tu n’as fait preuve d’aucun tact, n’a rien compris à notre méthode de vente et a manqué de respect à Julia.— Mais Monsieur j’ai juste...— Tais toi! C’est moi qui parle. Tu as déjà de la chance que je ne te retire pas le programme. 
J’avance vers eux à pas lents et entame une sorte de ronde dans le bureau tout en poursuivant ma diatribe.
— Il semblerait que tu as beaucoup à apprendre. Autant pour la vente qu’en matière de séduction. Parce qu’après tout, c’est un peu la même chose. Un client doit être séduit, cela demande de la patience, de la maîtrise, de la finesse. Contrairement aux agents immobiliers classiques, nous ne vendons que du rêve. Nous devons envouter le client. Il est hors de question de donner quoi que ce soit au client avant que celui ne soit séduit. Sinon on ne s’expose qu’à une chose: un client qui ne nous respecte pas. Il prendra ce qu’il a à prendre puis annulera sa réservation ou nous emmerdera pour toujours en obtenir plus, jusqu’à la livraison de l’appartement. En agitant le cul de Julia devant le nez de ce Monsieur, tu ne l’as pas séduit, tu l’as excité. Un mec excité ça fait quoi?
Silence dans la salle.
— Je vous le demande sérieusement, un mec excité ça fait quoi?— Ça se branle. Répond Julia.— Exactement! Ça tire son coup et ça passe à autre chose, dans le meilleur des cas. Sinon ça se branle dans son coin, pathétique, soulagé mais un peu honteux. Et ça ne fait pas le malin. Ça regrette même un peu. Alors qu’un mec séduit ça fait quoi?— Ça nous offre des cadeaux! Répond-elle.— Tout à fait. Des cadeaux, des bijoux, des fleurs. Des dîners, des voyages, des bagues au doigt, des maisons, des divorces à millions, il n’y plus de limite. Un homme séduit est prêt à tout. Si son esprit est aussi tenté que sa queue, c’est le jackpot. Ce que tu as devant toi, Anthony, c’est une tentation, une salope oui, mais envoutante. C’est une arme de précision. Pas un défouloir, pas une pute. C’est compris?— Oui oui bien sûr.— Je ne suis pas certain que tu aies bien compris justement. Mais je suis sûr que Julia, elle, sait de quoi je parle. Et pour te le prouver, elle va te rendre fou. 
Je me tourne alors vers la jeune femme. Elle porte une robe très moulante, noire mi-cuisse pour le bas et à damier noir et blanc sur le haut. Ses seins sont mis en valeur par le tissu qui se croise sur sa poitrine offrant un décolleté sexy mais élégant. On dirait un tailleur et un haut ceintré mais c’est bien une robe. Elle moule parfaitement son cul et son tour de taille, elle est sublime.
— Julia, séduit-le. Interdiction de le toucher.
Je m’écarte pour lui laisser le champ libre et abaisse les stores du bureau de vente alors que la jeune femme, d’abord surprise par ma requête, affiche un sourire ravageur et se dirige vers le pauvre Anthony qui n’en mène pas large. Elle s’avance vers lui, s’approche à quelques centimètres de son corps puis tourne les talons d’un mouvement fluide et précis. Ses cheveux volent au-dessus de ses épaules, elle s’éloigne en roulant du cul, fais quelques tours sur elle-même, très lentement, sensuellement, elle joue avec sa bouche et batifole avec ses yeux. Elle s’approche à nouveau tout près de lui, le regarde dans les yeux sans lâcher son regard, passe sa langue sur ses lèvres pulpeuses. Elle le frôle avec sa joue pour lui murmurer à l’oreille des mots que je ne peux pas entendre. Mais je vois le regard d’Anthony qui s’anime, ses sourcils qui se lèvent de surprise et ses yeux qui s’agitent. La belle brune se recule à nouveau à pas de tigresse. Elle plaque ses mains sur son corps et les fait courir sur sa robe, elle descendent sur ses cuisses bronzée et jouent avec la lisière de tissu. Elle remonte doucement sa robe sur ses cuisses en se dandinant et en ouvrant la bouche pour dévoiler sa langue rose et brillante. Une fois sa robe remontée juste à la limite de l’indécence, elle remonte ses mains sur son ventre, se caresse les seins, les presse l’un contre l’autre faisant presque déborder son décolleté. Elle pivote comme une ballerine, son cul est comprimé par le tissu de sa robe, le regard d’Anthony est captivé par le mouvement de balancier de cette magnifique paire de fesses. Elle plaque ses deux mains sur ses fesses dans un bruit de claquement sec puis remonte encore sa robe pour dévoiler son superbe fessier langoureusement. Bien évidemment, obéissante, elle ne porte pas sous-vêtement. Elle dévoile donc son beau cul, bien cambrée, outrancière mais sensuelle, offerte et inatteignable à la fois. Anthony est médusé, je devine à la forme de son pantalon qu’il bande comme un malade mais n’ose rien faire, il ne bouge plus. Julia virevolte en pivotant plusieurs fois sur elle-même tout en se rapprochant du jeune homme, lui offrant des aperçus fugaces de sa chatte parfaitement lisse. À quelques centimètres de lui, elle présente son cul bombé devant son entrejambe. Sans le toucher, elle entame une danse lascive qui pourrait s’apparenter à un lap danse si contact il y avait. Elle ondule son bassin, monte et descend son cul en se retournant de trois-quarts pour regarder sa proie dans les yeux. Elle passe sa langue sur ses lèvres, se les mord et gémit de temps en temps. Ses mains remontent de ses cuisses à ses seins qu’elle caresse, elle pince ses tétons à travers le tissu à damier de sa robe. Cette petite danse irrésistible dure quelques minutes qui paraissent des heures puis elle finit par s’arrêter en posant une main sur sa fesse et la relevant pour offrir un aperçu de sa fente à Anthony et dire:
— Mmmm je suis toute mouillée, si seulement tu pouvais me prendre avec ta grosse queue... elle expire en finissant sa phrase, comme si elle suppliait sa cible de passer à l’acte.
Anthony esquissa alors un mouvement du bras, s’apprêtant à prendre la hanche de Julia à pleine main.
— Stop! Tu ne la touches pas.
Il me regarde effrayé et s’arrête à temps.
— Elle t’a donné envie d’aller plus loin?— C’est clair Monsieur!— Si tu veux une chance de la baiser un jour, les deux premiers clients que tu amèneras sur ce programme, tu ne toucheras rien, ta part ira à Julia.— Quoi?!— Tu m’as bien entendu. Soit tu acceptes et tu as peut-être, je dis bien peut-être, une chance de profiter ce magnifique cul. Soit tu refuses et tu peux l’oublier à tout jamais. Sachant que tu la verras certainement séduire des clients comme elle vient de te séduire.
Anthony baisse son regard vers le cul de Julia, toujours offert devant lui, il souffle, se pince les lèvres, son visage est déformé par des rictus d’hésitation puis il finit par admettre:
— OK, je n’ai jamais vu une fille comme ça, j’accepte. Je préfère perdre un peu que de mourir sans avoir connu ça.— Bien. Allez Julia, rhabille toi, tu as un rendez-vous. Toi Anthony va te branler! Ça ne t’enlèvera pas la vision de Julia de la tête mais ça te permettra peut-être de passer une journée normale. Et ne t’avise pas de nous galvauder une autre vente!— Oui Monsieur, pardon. C’est compris. 
Il s’enfuit sans demander son reste, la queue entre les jambes. Julia rabaisse sa robe et la réajuste en m’adressant un sourire de conquérante. Nous bavardons un peu, elle est satisfaite de la torture infligée à Anthony, je ne manque pas de la féliciter pour sa prestation. Alors que je remonte les stores, j’aperçois une voiture se garer devant le bureau de vente. Le client arrive un peu en avance.
— Bon, maintenant que je suis là, nous allons le recevoir à deux. Je te laisse le lead. 
Elle opine et ouvre la porte pour recevoir M. Legrand, un homme d’une cinquantaine d’années, bien habillé, grisonnant et athlétique. Elle l’a déjà renseigné au téléphone. Elle nous présente, je précise que je suis sur place exceptionnellement, pour le grand lancement du programme, et que Julia est tout à fait habilitée à lui donner des informations sur le projet. J’assiste ensuite au silence au rendez-vous. Elle connaît son métier. Les objections du client sont rapidement écartées, les réponses sont assez précises pour convaincre, assez vagues pour ne pas trop engager notre responsabilité. Elle laisse le client parler, comprend ses demandes et réagit avec pertinence en lui présentant le plan d’un appartement qui correspond parfaitement à sa recherche. Il est intéressé mais sait se montrer distant, un homme qui a sans doute l’habitude de négocier dans sa vie professionnelle. Quand tout est sur la table et que le client semble proche de donner son accord, il trouve une parade pour se dédouaner et gagner du temps.
— Bien, je vous remercie. Je dois en parler avec ma femme. À la maison, c’est elle qui décide, elle me mène à la baguette! s’exclame-t-il en rigolant.— Bien sûr je comprends. Dites lui que si elle le souhaite nous pouvons organiser un second rendez-vous et qui sait, peut-être qu’elle me mènera à la baguette moi aussi? répond Julia avec un sourire charmeur et un regard espiègle qui laisse notre client interdit.— Euhh oui c’est une bonne idée. Quand seriez-vous disponible?— Après-demain? 15 heures?— Très bien. Je vous confirme le rendez-vous ce soir après en avoir parlé à mon épouse.— Parfait!— Merci beaucoup, bonne journée à vous.
Nous le remercions et l’accompagnons à la porte, le client s’en va. 
— Pas mal. Bon rendez-vous. Tu as bien fait de rester très subtile. Il ne faut pas prendre le risque de choquer un client. Il aura compris ce qu’il veut bien comprendre.— Merci Monsieur. J’espère qu’il va confirmer le rendez-vous!— Il va confirmer, je te l’assure. Bon. Tu as passé un bon weekend?— Oui merci. Et vous?— C’est moi qui pose les questions. Tu as joui ce weekend?— Oui Monsieur, dit-elle en baissant les yeux.— Tu as respecté mes consignes?— Je... pas complètement mais j’ai essayé, je vous jure!— Raconte moi, dis-je en prenant un air sévère.— Voilà. Je suis rentré chez moi vendredi et mon chéri m’attendait, il avait prévu une soirée chaude à la maison, il avait préparé à dîner, une bouteille de champagne m’attendait dans un seau glacé et il avait même acheté un nouvel ensemble de lingerie qui était étalé sur le lit. Dès que je suis rentré il s’est mis à m’embrasser et me peloter, il a très rapidement senti le plug que vous m’aviez... offert. — Et?— Il s’est arrêté net et s’est mis à me poser pleins de questions. Je n’ai pas eu le réflexe d’inventer quelque chose, je lui ai dit la vérité... elle reprit son souffle, encore émue par le souvenir de cette altercation.— Comment a-t-il réagit?— Il était choqué. Il m’a demandé des détails, il m’a demandé que je lui parle de vous. Il a ouvert la bouteille de champagne et nous en avons discuté. Plus je racontais ce que nous avons fait et convenu, plus il semblait intéressé. À un moment, il s’est levé et il m’a demandé de me déshabiller. J’ai senti au ton de sa voix qu’il était très excité. Je lui ai rappelé mon engagement de ne jouir qu’une fois.— En regardant les photos que je t’ai envoyé.— Tout à fait. Il m’a dit que ce n’était pas un problème. Alors je me suis mise à nue devant lui, j’ai tout enlevé sauf le plug. Il a pris mon portable et a cherché les photos. Il a ouvert la bouche et est resté les yeux écarquillés devant l’écran puis il m’a dit que j’étais vraiment une salope. Il avait déjà utilisé ce mot lors de nos baises les plus torrides mais jamais au calme, en le pensant vraiment. Ça m’a plu. Ensuite, il est allé s’asseoir sur le canapé et m’a demandé de m’approcher. Il m’a dit que je méritais une correction. Je crois que voir mon cul rougi sur les photos lui a donné des idées. Il m’a mise en travers, sur ses genoux, et a commencé à me mettre une fessée. Je ne l’avais jamais vu comme ça! Il n’y est pas allé de main morte, il m’a fessée pendant longtemps, ça me brulait et m’excitait beaucoup. Il a ensuite posé le téléphone avec la photo de moi attachée juste sous mes yeux et s’est mis à me doigter furieusement. J’étais trempée et j’ai joui très rapidement en regardant la photo, comme vous me l’avez demandé. Me voir attachée, à votre merci, comme une petite esclave sexuelle, alors qu’il venait de faire rougir mes fesses et me caressait la chatte comme un fou, c’était si bon...— Mmm, très bien. Jusque là tu n’avais pas enfreint mes ordres. Quand est-ce que ça a dérapé?— Juste après... il était très excité. Il m’a placée à quatre pattes sur le sol, a retiré le plug et m’a prise par le cul comme un malade. Il était déchainé, il m’a bien défoncée, je me suis retenue, j’ai essayé... mais l’excitation de cette situation inédite... je n’ai pas tenu... j’ai joui une deuxième fois...— Et le reste du weekend?— Plus rien. Promis. J’en ai parlé avec lui et il a reconnu que cette baise extraordinaire était due à ma nouvelle situation vis-à-vis de vous, il a été d’accord pour la respecter et jouer le jeu.
Je laisse planer un long silence après ces aveux. Je fais quelques pas dans le bureau de vente en prenant un air soucieux. Puis je la dévisage d’un air grave, la sentence va tomber.
— La prochaine personne à entrer dans ce bureau de vente devra toucher ta chatte. Nue bien sûr.Elle est surprise, choquée par ma requête et met quelques secondes à répondre.— Mais... ça peut être n’importe qui et je pourrais même m’exposer à des plaintes!— Je ne t’ai pas demandé de forcer qui que ce soit. Mais si tu n’y parviens pas, la punition suivante sera bien pire. — Mais je risque de faire fuir un client!— Perdre un client est moins important à long terme que ton apprentissage. Je me moque de tes protestations, tu n’avais qu’à pas enfreindre mes règles. Je vais allumer la webcam de ton ordinateur afin de pouvoir te surveiller à distance. La consigne est claire: la prochaine personne franchissant cette porte doit toucher ta chatte. Tu t’y prends comme tu veux.
Sur ce, j’oriente la webcam afin d’avoir un bel angle de vue sur le petit bureau et m’en vais, la laissant soucieuse et perplexe, elle me lâche un "Au revoir Monsieur." du bout des lèvres et me voilà parti. Je m’empresse de rentrer au bureau pour vite me connecter à la webcam de Julia. Elle est à son bureau, seule. Je remarque que tous les stores sont relevés et que la petite pièce est inondée de lumière. Je comprends alors son premier stratagème, ces bureaux sont en fait des conteneurs de métal avec des ouvertures en verre. Quand le soleil tape sur les vitres, un effet de serre se créé et la boîte devient vite une fournaise. Je garde un oeil sur l’écran tout en me mettant au travail. Je remarque que Julia sort parfois du bureau, elle doit y avoir très chaud et ne peut se dévêtir puisqu’elle porte une robe aux manches longues, imitant une veste et un tailleur, et rien en dessous. Une bonne heure passe. Quand enfin, un peu d’action attire mon attention et me détourne de mon boulot. Une femme d’une cinquantaine d’année gare une belle berline devant le bureau de vente et s’y dirige d’un pas décidé. J’active alors le son de mon ordinateur pour ne pas perdre une miette de l’acceuil que réserve Julia à sa proie.
— Bonjour Madame, bienvenue, comment puis-je vous aider?— Bonjour Mademoiselle, j’aurais aimé avoir quelques renseignements sur ce projet immobilier.— Bien sûr, je vous en prie, assez-vous.
La cliente s’assied face à Julia. Elle est élégante, tirée à quatre épingles, le genre de femme un peu coincée, façonnée par les traditions et l’éducation rigide qui, dans certaines familles, accompagnent une fortune que l’on devine ancienne. Elle porte un chignon impeccable, un chemisier caché par un pull en cachemire fin et un pantalon droit qui surmonte des chaussures ballerines d’une grande maison.
— Dites donc, il fait chaud chez vous!— Oui, veuillez m’excuser, la climatisation ne fonctionne pas encore, nous venons d’installer ce bureau de vente.— Bien. Je recherche un appartement deux pièces pour mon plus jeune fils. Il revient dans la région après ses études et je pense que votre projet pourrait correspondre à ce que je cherche.— Parfait, nous allons voir cela. Quand est-ce que votre fils finit ses études?— Dans deux ans et demi.— C’est idéal, la résidence sera terminée et toute neuve! Voici ce que je peux vous proposer comme deux pièces.
Julia commence à déballer des plans devant la cliente et présente patiemment les avantages de chacun des appartements sans oublier de mentionner les prix et le niveau de prestations du projet. Après quelques minutes, la cliente passe sa main sur son front et demande avec une grande politesse:
— Cela vous dérange si je retire mon pull?— Absolument pas madame.
La femme se lève et tire délicatement sur les manches de son pull pour l’enlever avec distinction, en prenant son temps. Elle se trouve alors en chemisier blanc cintré et je remarque que malgré son âge, sa poitrine paraît généreuse et attirante. Elle se rassied en passant à nouveau la main sur son front. 
— Je me permet de déboutonner ma chemise, j’ai vraiment chaud ici.
Julia se lève et baisse les stores du bureau tout en répondant à la cliente:
— Je vais freiner un peu les ardeurs du soleil. N’hésitez pas à vous mettre à l’aise, d’autant plus que ce chemisier vous va à ravir.
Elle énonce ce compliment en jetant un regard indiscret au décolleté de la cliente. Cette dernière glousse et ajoute:
— Vous me flattez Mademoiselle! Je n’ose imaginer qu’une jolie jeune femme comme vous puisse me trouver du charme.— Vous plaisantez? Vous avez des formes superbes et ce chemisier les met en valeur.
La cliente est gênée par cette remarque mais sourit face à un tel compliment.
— Je vous remercie. Vous avez une silhouette ravissante qui me rappelle mes plus belles années. Mais vous me donnez chaud dans cette robe épaisse et moulante, ma pauvre.— Je ne peux malheureusement rien y faire, je ne porte rien en dessous.— Vous devez bouillir! — Si vous saviez... j’ai encore plus chaud depuis que vous avez enlevé votre pull. 
Julia marque cette dernière phrase par un nouveau regard appuyé sur le décolleté de la cliente et un léger passage de sa langue sur ses lèvres, elle se lâche! La belle quinquagénaire se redresse sur sa chaise et regarde de droite à gauche, cherchant à éviter le regard fixe de Julia, visiblement troublée par ces avances de moins en moins discrètes.
— Bon! Revenons à nos moutons, vous me présentiez un appartement qui semblait parfait pour mon fils.— Tout à fait, le B402. Attendez, je vais imprimer le plan.
Julia récupère la feuille A3 qui sort de l’imprimante et la pose devant la cliente. Elle commence à commenter le plan en pointant différents détails. Ce faisant, elle se penche ostensiblement pour exposer son décolleté plongeant juste sous le nez de la cliente. Je remarque avec amusement que cette dernière ne peut s’empêcher d’y plonger un regard que je devine mi-outré mi-concupiscent. Julia continue son exposé et pose une question à sa cliente mais elle reste sans réponse. Après quelques secondes Julia tourne la tête pour découvrir la cliente perdue dans ses pensées, ou plutôt dans son décolleté. Celle-ci relève alors la tête d’un coup, terriblement gênée et se met à bafouiller:
— Pardonnez-moi... j’avais la tête ailleurs!— Je vois ça, dit Julia en souriant d’un air espiègle.La cliente se relève alors prestemment, prend son pull sur sa chaise et se remet à trembler:— Je... je dois y aller... je vous rappellerai...Julia lui barre alors la route et se tient tout près d’elle. Elle pose une main sur son avant bras.— Je pense que vous n’oserez pas me rappeler si nous ne jouons pas cartes sur table maintenant.— Comment ça?— Je pense que vous êtes troublée, que vous aviez les yeux dans mes seins et que vous n’avez pas l’habitude de faire face à une telle situation.— Mais je...Julia la coupe et reprend d’une voix très douce:— Moi non plus je n’ai pas l’habitude, c’est peut-être la chaleur, je ne sais pas, mais je sens que... Puis Julia se penche lentement et dépose un baiser sur les lèvres de sa cliente. Surprise, celle-ci recul d’un pas et tend sa main comme pour se protéger de ses propres désirs.— Je ne vous permets pas! Je n’ai jamais fait ça! Pas avec une femme... Non, non!— Pardon, je suis désolée. Je ne sais pas ce qui m’a pris, vous êtes si... désirable.— Vous... vous trouvez? demande-t-elle en réajustant son chignon.— Laissez-moi faire. 
Julia avance alors vers la cliente transie par l’idée d’avoir embrassé une femme. Décidée, Julia caresse délicatement la joue de sa proie du revers du doigt, elle est douce, souriante, radieuse, elle ferait fondre la plus coincée des bourgeoise. Elle embrasse tendrement la belle prude qui peu à peu se laisse aller, passe sa main dans le dos de la jeune commerciale et laisse enfin son corps se détendre face à ces caresses nouvelles et inattendues. Leur baiser devient plus passionné, leurs mains se joignent et leurs doigts se mêlent, je n’en perds pas une miette. Cette Julia sait vraiment être persuasive! Je remarque que Julia remonte doucement sa robe sur ses hanches, profitant de l’excitation, des yeux fermés et de la perte de lucidité de sa cliente. Elle ramène sa main entrecroisée avec celle de sa partenaire sur son ventre chaud et la fait glisser sur son corps. Sans plus attendre, elle plaque leurs mains sur sa chatte moite et chaude. La cliente fait alors un bond en arrière, leurs corps se détachant, leur langues se quittant après un ballet improvisé.
— Non... je ne peux pas, je suis désolée, je préfère partir.— Vraiment? dit Julia avec une moue déçue.— Oui, il vaut mieux. Au revoir.
Rajustant son chemisier et passant le dos de sa main sur ses lèvres, elle est chamboulée. Elle reprend son pull et dis au revoir à Julia avant de marquer une pause devant la porte pour finalement s’enfuir jusqu’à sa berline. Pour la petite histoire, cette cliente reverra Julia pour un second rendez-vous à peine plus intime, excitée mais entravée par sa conscience, elle n’osera pas aller bien plus loin. Elle achètera cependant l’appartement pour son fils sans même négocier le prix.
J’appelle alors Julia pour lui confirmer que sa mission est bien réussie. J’en profite pour lui annoncer qu’elle doit se présenter le lendemain à 16h chez un client à moi. Je la préviens que je connais le personnage, il est riche, impulsif, exigeant et vicieux. Il a déjà acheté trois appartements chez nous pour de l’investissement mais cette fois-ci, il veut une résidence principale de haut standing pour passer de sa luxueuse maison à un grand appartement. 
— Je te préviens, il est avisé et m’a annoncé que si tu parviens à le convaincre, il signera immédiatement un contrat. Ramène les plans des plus beaux apparts, habille toi en conséquence et prépare toi à un rendez-vous bien moins doux que ce que je viens de voir. À demain.— À demain Monsieur.
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