Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 94 J'aime
  • 7 Commentaires

Une commerciale très motivée

Chapitre 5

Un client pervers

SM / Fétichisme
J’ai été sec, pas de compliment sur sa performance, pas d’instructions plus détaillées, je laisse le mystère et l’anticipation la travailler pendant 24 heures afin de la déboussoler. Le lendemain, je me présente chez mon client de longue date une heure avant l’arrivée de Julia. J’ai déjà eu l’occasion d’échanger des histoires grivoises avec lui lors d’un dîner arrosé et il m’a confié être féru de parties fines endiablées. À cette occasion, il m’avait même dit avoir fait installer du matériel bien particulier dans une chambre de sa grande maison. C’est pourquoi j’ai tout de suite pensé à lui après avoir initiée Julia à mes méthodes. Mon client, Marc, est impatient. Il a déjà pu découvrir le programme immobilier sur internet, il sait que notre société est sérieuse et s’est déjà conditionné à acheter un très bel appartement sur la résidence. Il ne lui reste qu’une dernière chose à découvrir pour assouvir tous ses désirs: Julia.
Elle arrive pile à l’heure. Dès que la porte s’ouvre, je sais qu’elle saura se montrer à la hauteur. Elle est souriante, vêtue de talons hauts, d’une jupe très courte, un chemisier blanc cintré et une petite veste en cuir, elle est ravissante, terriblement sexy. Marc la fait entrer, la complimente immédiatement sur sa tenue et son physique délicieux et lui propose de retirer sa veste. Homme grand, légèrement enveloppé, la quarantaine, bien habillé et sûr de lui, il n’y va pas par quatre chemins:
— Mademoiselle, mon ami m’a déjà présenté le programme, il ne restera qu’à choisir avec votre aide le meilleur appartement pour moi. Si vous êtes ici ce n’est donc pas pour vos talents de vendeuse, qui sont, je n’en doute pas, exceptionnels. La vente est déjà presque faite. Non, si je vous ai invitée chez moi c’est pour bénéficier d’un avantage réservé aux meilleurs clients de votre entreprise: une séance avec vous.— Une séance? demande-t-elle intimidée et rougissante.— Oui une séance. C’est généralement le terme que j’utilise quand j’invite une belle salope comme vous dans mon antre secrète.
Julia me lance un regard interrogateur un peu inquiète mais je la rassure d’un geste d’approbation de la tête et lance:
— Marc, Julia a beaucoup de potentiel mais est assez inexpérimentée, pardonne-lui son ignorance.— Ohh je ne lui en tiens pas rigueur! Le plus simple est de vous montrer de quoi il s’agit, tout sera plus clair. Suivez-moi.
Il tend une main vers un couloir en attendant qu’on le rejoigne puis nous guide à travers sa vaste demeure. Il ouvre une porte et nous dévoile une salle à mi-chemin entre la chambre d’ami traditionnelle guindée et le donjon de torture. Un lit d’hôtel parfaitement fait, un mobilier sorti tout droit d’un magazine déco côtoie un mur couvert de godes et jouets en tous genres, des sangles à chaque angle du lit, une corde pendouillant du plafond et une croix Croix de Saint André fine en bois raffiné contre un autre mur. Julia ne peut laisser échapper un petit rire nerveux, ses yeux gourmands parcourent la pièce, elle entre, fait un tour sur elle-même et me surprend. Elle s’avance juste devant Marc et lui dit:
— Le meilleur appartement pour vous est en dernier étage. 165m2 avec 75m2 de terrasse. 1.900.000€ avec deux parkings. Si cette "séance" vous donne satisfaction, vous prenez?— Je savais bien que vous étiez une vendeuse exceptionnelle! Oui, je prends.— Alors qu’attendez-vous? Prenez. Ajoute-t-elle triomphante, le front relevé, les mains croisées dans le dos, la poitrine bombée.
Marc prend alors un air grave, comme si le ton de défi de la belle méditerranéenne avait éveillé son instinct de chasseur. Il passe derrière elle et entrave immédiatement ses poignets de menottes. Il la fait ensuite se déplacer sous la corde puis enroule celle-ci autour de la queue de cheval de Julia, il y fait un noeud savant aidé par l’élastique tenant les cheveux foncés de la jeune femme puis tire sur l’autre bout de la corde ce qui dresse la mèche de cheveux vers le plafond et oblige Julia à se tendre au maximum, de toute sa hauteur sur ses talons. Il a fait d’elle une liane sensuellement étirée en à peine quelques secondes. Je savoure. Il ouvre complètement le chemisier de Julia, dévoilant sa superbe poitrine, puis noue le tissu blanc sur son ventre, juste sous ses seins. Elle se laisse faire sans un mot, ses yeux pétillent de curiosité. Il défait ensuite sa jupe courte qui tombe à ses pieds, elle porte des bas auto-fixants surmontés de dentelle noire, gainant parfaitement ses jambes fuselées. Évidemment, elle ne porte pas de culotte.
— Tu te balades avec une jupe aussi courte sans culotte? Une vraie salope!— Elle écoute simplement mes consignes, un beau potentiel, je te disais.— C’est ce qu’on va voir, me dit-il en souriant et se dirigeant vers le mur couvert d’accessoires.
Il se retourne vers et me demande si elle a déjà connu le plaisir des pinces à tétons, je réponds par l’affirmative, il hoche la tête un peu déçu et se remet à contempler son mur. Tel un gladiateur choisissant son arme, il hésite, il tâtonne puis finalement, sa main s’arrête sur un martinet noir tout en cuir et alors qu’il s’apprêtait à revenir vers nous, il saisit à la volée un petit sex toy vibrant rose et une ceinture en cuir marron très large avec une grosse boucle en métal. Il revient, l’air satisfait. Sans un mot, il commence minutieusement sa préparation. D’abord, il plaque le petit vibro entre les cuisses de Julia, contre sa chatte. Puis il referme ses jambes pour enserrer le vibro et enroule autour de ses cuisses la ceinture qu’il prend soin de refermer bien serrée afin que ses jambes soit restreintes comme dans un fourreau. La ligne de ses hanches ainsi ressérées, sous sa taille de fine, dessine des courbes délicieuses. Il glisse un doigt dans le creux de ses cuisses pour activer le vibro qui se met aussitôt à bruyamment stimuler le clito de notre jeune proie. Elle pousse un gémissement de surprise et a du mal à rester en équilibre sur la pointe de ses pieds. Marc commence alors à frapper sa poitrine gonflée avec les lanières du martinet. Elle pousse un petit cri à chaque fois que le cuir s’abat sur sa peau fine. Il commence doucement mais accélère vite la cadence. Son bras musclé se lève et fait voler son objet de torture de plus en plus vite, de plus en plus fort. Les gros seins de Julia se zèbre de traces rouges, ses tétons pointent, elle pousse des cris de plaisir et de douleur en ouvrant grand la bouche. Les volées du martinet ne s’arrêtent plus, les lanières de cuir terminées par des petits noeuds durs s’abattent sans ménagement sur cette poitrine généreuse en claquant la peau d’un bruit cinglant et régulier. Sa peau est rouge, elle tire parfois la langue entre deux coups, de la bave apparaît au coin de ses lèvres, ses jambes se frottent, elle crie sans se retenir quand un orgasme puissant l’emporte. La corde dans ses cheveux la retient et lui fait mal, elle n’a pas d’autre chois que de se convulser devant nous tel un roseau secoué par le vent, souple, longiligne, totalement soumise à son plaisir et au traitement vicieux de Marc. Il arrête alors les envolés de martinet et s’approche d’elle pour lui dire:
— Tu as aimé ça?— Oui.... souffle-t-elle.— Dis-le.— J’ai aimé ça.— Tu aimes te faire frapper les seins et te faire attacher comme une salope?— Oui... souffle-t-elle à nouveau.
Il se recule et fais voler le martinet d’un coup puissant sur sa poitrine en gueulant:
— Alors dis-le!!— Ahhhh! J’aime me faire frapper les seins et me faire attacher comme une salope!— Qu’est ce que réclame ta chatte à présent?— Je vous supplie de défoncer ma petite chatte de chienne avec votre grosse queue!— C’est mieux. Et ton cul?— Je rêve de sentir votre martinet sur mon cul de salope!— Moi aussi je sais obéir aux ordres, tu vas voir.
Il la contourne alors et envoie une belle volée de cuir sur son postérieur rebondi. Elle sursaute, ce qui manque de la déséquilibrer et tire sur sa queue de cheval, elle serre les dents et se redresse. Marc fait voler les lanières qui retombent sur sa peau, le cuir fend l’air dans un sifflement bref avant de claquer sur son cul qui rougit un peu plus à chaque nouvelle attaque. Il se met à proférer des insanités en la fouettant vivement.
— Alors ma salope! Tu veux me le vendre comme une petite pute ton appart hein?! Je vais bien m’amuser avec toi et tu vas jouir comme une trainée tu verras! Tu en redemanderas quand je me serais vidé dans tes trous de putain! 
Il continue à l’insulter de tous les noms en faisant pleuvoir les morsures de cuir sur son cul. Je bande comme un âne devant ce spectacle d’une grande obscénité et j’ai hâte de voir la suite. Tout à coup, il cesse ses coups et détache la corde de ses cheveux. Elle s’effondre sur le sol comme un château de carte qui s’effondre, un gratte-ciel que l’on démolit et passe instantanément de la verticalité à un tas informe devant nos pieds. Elle halète, ses joues sont roses, son cul rouge cramoisi, nous pouvons entrevoir sa chatte couverte de mouille et le vibro englué entre ses cuisses. Elle a toujours les mains menottées dans le dos et les cuisses restreintes par la ceinture. Marc s’approche de Julia, défait ses menottes et la ceinture, retire le vibro plein de mouille et repose tout cet attirail ainsi que le martinet à leurs places. Il prend à la place quatre bracelets de cuir noirs rembourrés d’un tissu rouge moelleux. Elle se laisse faire, comme épuisée par le traitement sauvage qu’elle vient d’endurer, elle reprend son souffle en le regardant faire. Il enroule les menottes de cuir autour de ses poignets et de ses chevilles puis les attache au sol à des petits crochets prévus à cet effet. Cette pièce est véritablement faite sur mesure. Julia se retrouve à quatre pattes, clouée au sol. 
— Il manque quelque chose, dit-il, insatisfait.
Il retourne à son atelier et en revient avec un drôle de bâillon. Celui-ci n’est pas fait pour fermer la bouche mais au contraire pour la maintenir ouverte de force. C’est un objet fin en métal qui, une fois posé, impose à la soumise de garder les mâchoires grandes ouvertes. Il le passe autour du cou de Julia qui ne se fait pas prier pour accueillir l’outil entre ses lèvres, elle a maintenant la bouche complètement immobilisée, disponible.
— Voilà. Tu vas pouvoir m’aider à combler cette salope! me dit-il en me faisant signe de m’approcher.— Tu l’as bien préparée, elle est sublime!— N’est ce pas? Regarde comme elle aime ça!
Il plonge alors trois doigts dans sa chatte, les fais tournoyer plusieurs secondes et les ressort couverts de mouille brillante. Il enfonce alors ces mêmes doigts dans la bouche offerte de Julia qui n’a pas d’autre choix que de déglutir tant bien que mal alors que ce pervers enfonce et fais tournoyer ses doigts dans sa gorge comme il vient de le faire dans sa chatte. Il se déshabille prestement et j’en fais de même, nos queues sont bien évidemment au garde à vous.
— Allez, assez plaisanté! Défonçons cette petite pute!— À toi l’honneur, fis-je en désignant Julia.
Marc hésite un instant et finit par se positionner derrière elle, je prends donc place devant sa bouche. Il me fait un petit clin d’oeil, donnant le top départ, et nous nous enfonçons simultanément et entièrement dans les orifices offerts de la jeune femme. Nous poussons tous deux un râle rauque de plaisir en sentant nos queues complètement enfouies dans les cavités humides de notre soumise, nous attendions cela depuis de longues minutes. Le corps de Julia tremble, un frisson lui parcourant la colonne vertébrale alors que nos queues l’embrochent de part en part. En quelques secondes, c’est la débauche. Nous nous mettons à la défoncer comme des forcenés. Moi les deux mains sur sa tête, lui les deux mains sur son cul, nous maintenons une prise puissante pour pouvoir donner de grands coups de bassins vers l’avant, les muscles de nos hanches et de nos abdominaux tendus pour assaillir sans aucune retenue la proie qui nous est offerte. Les cris de Julia sont étouffés par ma queue, rien n’entrave le passage vers sa gorge grâce à l’écarteur posé par mon compère et je m’en donne à coeur joie. Parfois à genoux, parfois en appui sur mes pieds, je varie les angles de pénétration et la cadence afin de prendre un maximum de plaisir tout en me contrôlant pour offrir à ma soumise l’endurance qu’elle apprécie tant. Je remarque que Marc en fait de même et il finit carrément par se retirer pour aller chercher d’autres ustensiles dans son attirail. J’enfonce alors ma queue dans la gorge qui m’est offerte et reste planté là, sans bouger, pendant de longues secondes. L’attente et la contrainte font bouillonner Julia qui bave abondamment sur mes couilles et son menton. Elle s’étouffe sur mon pieu et je me retire d’un coup pour la laisser respirer. 
Marc s’avance alors avec deux plugs, un de taille normale et un second beaucoup plus massif. Il me lance nonchalamment :
— Je t’en prie, continue de t’amuser. Je vais préparer son cul, j’adore prendre mon temps.
Surpris par cette initiative, je reste immobile, curieux de voir ce que ce vicieux de client nous prépare. Julia se retourne comme elle peut pour tenter d’apercevoir ce qui se trame derrière son fessier relevé, un cri grave émane de ses lèvres obscènement écartées par l’outil de métal quand elle voit s’avancer vers elle deux nouveaux jouets. Marc s’agenouille derrière elle et se met à la lécher de haut en bas goulûment et sans précaution, ce qui dénote avec ses airs raffinés et sa patience habituelle. Sa langue dévore la fente trempée devant lui et s’insinue dans la raie jusqu’à s’écraser sur l’anus serré de son objet sexuel du jour. Julia se met à haleter, ce qui donne un souffle étrange et saccadé à cause de l’harnachement qui l’entrave. Je m’avance pour retrouver la chaleur moite de sa bouche et fait coulisser mon gland sur sa langue tout doucement, sans forcer. Marc investit sa rondelle, repasse sur sa chatte puis se redresse pour cracher de la salive mousseuse sur son petit trou étoilé. Il se met alors à lui flanquer des belles fessées sonores en crachant plusieurs fois entre ses fesses. Quand sa main puissante s’écrase sur le cul bombé de Julia, je la sent tressaillir et s’avancer sur ma queue. Cela a pour effet d’appuyer mon gland contre le fond de sa gorge ce qui ne manque pas de réveiller le feu de mes pulsions animales. Je prends alors Julia par les cheveux et lui envoie des grands coups de bite dans le gosier. Le son de sa gorge baisée se mêle à celui des claques sur ses fesses, je me dis que je ferais bien de me calmer un peu pour ne pas devancer le client salace que nous devons combler. Ce dernier cesse alors ses fessées et introduit doucement le premier plug dans le cul de Julia. Il y entre facilement, lubrifié par la salive et l’excitation, l’anus avale l’objet métallique sans encombre. Marc sourit, le fait tournoyer un peu et me dit, hilare:
— Bon, ça ne sert à rien quoi!— Passe direct à la suite, il lui en faut plus que ça!
Se faisant, je maintiens ma queue plongée dans sa gorge chaude en la maintenant fermement par les cheveux. Elle ne bouge pas et reste bien cambrée alors que Marc retire le premier plug et tente d’enfoncer le deuxième dans son cul. L’objet est bien plus gros, le diamètre maximum du cône a une largeur qu’aucune queue ne pourrait atteindre, le cul de Julia ne peut donc pas être prêt à encaisser une telle invasion. Quand Marc enfonce le jouet métallique, notre petite soumise fait un mouvement vers l’avant comme pour l’éviter. Mais elle se trouve bloquée par ma queue plantée dans sa gorge et, contrairement à elle, je ne bouge pas d’un poil. Embrochée de la sorte, elle n’a pas d’autre choix que de se laisser faire en râlant sourdement sur mon pieu. 
— Allez ma salope, détends toi, ça va rentrer...
Marc lui flanque une fessée qu’il fait suivre d’une caresse, il crache sur la membrane rose qui s’écarte doucement et continue de faire tournoyer le plug en l’enfonçant toujours un peu plus.
— Voilààààà, tu y es presque, encore un petit peu... 
Voir son anus ainsi dilaté au maximum est un spectacle qui m’obnubile. Julia ferme les yeux, se concentrant pour encaisser l’assaut. Marc appuie encore plus fort.
— Ça y est! Tout est entré! Tu es bien remplie là! annonce-t-il victorieux.
Je me retire d’un coup de sa bouche et la laisse gueuler un cri profond, un soulagement intense qui vient du fond de ses entrailles. Le plug énorme est complètement ancré dans son cul et nous admirons un flot de mouille jaillir de sa chatte pour inonder ses cuisses puis ses genoux. Son plaisir résonne comme un coup d’envoi pour les deux mâles surexcités que nous sommes, comme un seul homme nous enfonçons à nouveau nos sexes durs comme de la pierre dans la bouche et la chatte de la jeune femme. L’orgasme qui vient de la transpercer fait faiblir ses bras et ses jambes, elle manque de s’affaler à même le sol mais je la maintient par les cheveux tandis que Marc en fait de même avec ses hanches pour bien la pilonner en rythme. Marc appuie sur le plug tout en la baisant violemment, je sens la jouissance monter devant cette débauche et je sais déjà que je ne vais pas pouvoir me retenir bien plus longtemps. Ma main se crispe dans la chevelure brune de ma belle commerciale, je donne de grands coups de bassin vers l’avant en m’enfonçant complètement dans sa gorge déployée par l’écarteur. Si je pouvais pousser encore davantage et y enfoncer mes couilles, mon pubis et tout ce que j’ai, je le ferais. À cet instant précis je ne pense plus à rien d’autre qu’à mon plaisir de défoncer cette belle bouche, le rapport de force et de domination que j’exerce sur le corps de ma partenaire à ce moment-là vaut, pour moi, tout l’or du monde. Je finis par faire jaillir une abondance de foutre épais derrière sa glotte, j’ai l’impression de déverser un flot puissant de jouissance bien profondément dans sa gorge, je gueule de plaisir, les doigts crispés sur le crâne de Julia. Mes abdominaux se contractent, mes bourses convulsent et ma tête tombe sur ma nuque alors que le sperme continue de remplir la gorge offerte de ma soumise. Je finis par souffler longtemps, le corps de Julia toujours secoué par les assauts de Marc, puis je me retire enfin. 
— Ahhhh j’en peux plus... dis-je le front rougi par l’effort.— Enlevons ça, elle n’en aura plus besoin. 
D’un geste précis, Marc décroche l’écarteur buccal et libère enfin la mâchoire endolorie de Julia qui ne se prive pas fermer ses lèvres avec empressement, déglutir et se passer la langue sur les lèvres. Marc se retire alors lui aussi mais sans avoir éjaculé, son sexe tendu témoigne de son envie de poursuivre les ébats. Il détache les poignets et les chevilles de la jeune femme et l’aide à se redresser. Il le tient par la main pour la guider vers un autre coin de la pièce mal éclairée, elle a beaucoup de mal à marcher. Entre le plug géant qui obstrue son cul et le traitement intense qu’elle subit depuis une bonne heure, rien d’étonnant! Il l’emmène vers un angle où est suspendue du plafond une sorte de balançoire toute en lanières et sangles. Comme un baudrier élaboré qui flotte au-dessus du vide. Sans trop comprendre, Julia laisse Marc attacher ses cuisses, ses chevilles et sa taille en le regardant hébétée. Une fois bien arrimée, il tire sur une corde et voilà Julia qui se retrouve suspendue dans le vide, jambes repliées, écartées, les mains se raccrochant aux cordes qui la rattachent au plafond pour ne pas tomber en avant. Marc la fait doucement tourner en l’air, comme pour l’exhiber.
— Regarde comme elle est belle! Tu en as de la chance de bosser avec une beauté pareille!— Je sais. Mais crois-moi, la chance est partagée. N’est-ce pas Julia?— Oh oui Monsieur! me dit-elle en affichant un sourire ravi.— Je n’en ai pas fini avec elle, je veux me vider les couilles dans son cul de petite pute.— Fais-toi plaisir Marc, ne te retiens surtout pas!
À peine le temps de finir ma phrase que Marc a déjà commencé à retirer le plug du cul de Julia. Elle pousse un cri phénoménal quand la partie la plus grosse traverse son fondement puis reprends son souffle rapidement, sachant déjà ce que la suite lui réserve. Il pénètre son cul dilaté d’une traite et la brutalise immédiatement. Brinquebalée sur sa balançoire, Julia bouge dans tous les sens sous les impulsions bestiales de l’étalon qui se déchaine dans son dos. Il la tient par la taille et la démonte comme un barbare, elle crie, gueule son plaisir, laisse échapper des jurons et lui demande même de ne pas s’arrêter. Le regard de Marc devient fou, son visage rouge tourne à la démence, il remonte ses mains sur le corps bronzé de Julia jusqu’à son visage. Là, il plante ses deux mains dans la bouche de sa poupée d’un jour, quatre doigts à chaque commissure de lèvres, il la tient par derrière comme s’il voulait monter une jument. Un hurlement rauque émane de cette bouche largement ouverte alors que Marc défonce son cul comme un vrai forcené.
— Sale chienne! Tiens va, sale pute! Prends ma grosse queue va! Salope! Tu m’as bien excité petite putain hein?! Ah tu m’as bien excité! Je vais te remplir ton cul de chienne tu vas voir... Raaaaaah!
Son corps se contracte alors qu’il pousse sa queue au maximum dans le petit trou de la belle brune. Elle-même bave sur les doigts qui écarte ses lèvres et tire la langue. Ils sont tout deux secoués de spasmes et un jet de cyprine luisant s’échappe de la chatte ouverte de ma subordonnée. Je reconnais que témoigner de cette jouissance simultanée entre deux personnes qui se sont complètement laissées aller à la luxure est un instant privilégié. Les mains de Marc quittent la bouche envahie, se plaquent sur ces gros seins qu’il presse en grognant, alors que son bassin bouge doucement d’avant en arrière, vidant toute sa semence dans le cul endolori de la jeune femme. Après quelques secondes il se retire laissant un filet de sperme s’échapper et couler sur le sol. Il titube sur quelques pas, ramasse les plugs et les range sur la table puis me dit:
— Viens, on va se rafraîchir. 
Je le suis vers le salon, nous laissons derrière nous Julia suspendue, tournoyant au bout de son gréement salace, épuisée et repue. Marc me tend deux serviettes, l’une humide et fraîche, l’autre sèche et chaude. Il a vraiment tout prévu. Nous nous nettoyons puis il m’offre un thé glacé qui tombe à pic après une telle chevauchée. Nous discutons quelques instants avant de regagner la pièce si particulière où Julia retrouve à peine son souffle et un teint normal. Marc ramasse ses vêtements, j’en fais de même. Puis Marc commence à la détacher et lance:
— Je prends l’appart, sans condition. Ah si, une seule, j’aurais besoin de faire modifier le plan pour y placer une pièce de ce type, j’espère que vous m’aiderez à la dessiner. — Bien sûr! Julia et moi répondons d’une seule voix.— Merci Monsieur, ajoute-t-elle.— Merci à toi. Tu peux prendre une douche si tu veux, je serai dans mon bureau au fond du couloir, j’ai du boulot. À bientôt.— À bientôt Marc.— Au revoir Monsieur.
Je tends une serviette à ma collègue afin de lui permettre d’être à peu près en état avant de sortir de ce rendez-vous pour le moins mouvementé. Je la raccompagne à sa voiture sans manquer de la féliciter. Avant de partir, je l’embrasse tendrement en passant ma main dans ses cheveux. Elle se blottit contre moi et nous restons quelques secondes enlacés avant de nous détacher presque à regrets.
— Pfouuu... c’est la meilleure vente de ma vie! dit-elle en souriant avant de s’engouffrer dans sa voiture.
Je souris en la voyant partir et pense déjà aux futures aventures que nous vivrons ensemble. Je commence à vraiment m’attacher à cette acolyte. Les liens qui accompagnent inévitablement la Domination/soumission peuvent prendre bien des formes!
Diffuse en direct !
Regarder son live