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Une consultation très spéciale

Chapitre 1

Lesbienne
Cela faisait trop longtemps que je n’avais pris rendez-vous pour une consultation gynécologique. Venant tout juste de déménager dans un joli petit appartement dans le centre d’une petite ville de province, je ne savais où aller. C’est en me renseignant sur internet que je pris rendez-vous au cabinet du Docteur Karine W. gynécologue et spécialiste en sexologie et thérapies appliquées. Je ne me posais pas plus de questions quant à cette fonction supplémentaire. J’espérais simplement que je n’aurais pas à payer plus. De toute façon, je n’avais pas d’autre choix ; c’était le seul médecin femme de cette spécialité qui exerçait dans cette ville et je préférai cela plutôt que d’avoir à faire à un homme.
C’est donc après mes cours d’infirmière que je me rendis pour la dernière visite à 18 heures au cabinet de cette nouvelle gynécologue dont je ne connaissais que le nom. Après avoir garé ma petite voiture, je me retrouvais devant une belle villa bourgeoise du dix-neuvième siècle éloignée du centre-ville. Face à moi, un portail en fer forgé, une plaque avec le nom du médecin, une camera et un bouton de sonnerie.J’avoue que j’étais assez impressionnée face à cette demeure cossue en pierres de taille, son toit d’ardoise surmonté de deux hautes cheminées.
Je me décidai à sonner et une voix féminine se fit entendre par l’interphone :
— C’est pour ? — C’est mademoiselle Lucile V. pour la consultation.— Je vous ouvre !
J’entendis le déclic de la grille s’ouvrir. Arrivée à la porte d’entrée, je fus accueillie par une jeune femme souriante d’environ vingt-cinq ans en blouse blanche arrivant au-dessus des genoux, chaussée de petits escarpins noirs à talons. Une belle rousse aux cheveux mi-longs. Elle était mince, pas très grande, comme moi dans les 1m65, aux yeux verts, un petit nez et une belle bouche ourlee. Elle me ressemblait un peu, sauf que je suis blonde aux yeux bleus. Son accueil avenant me rassura.
— Bonjour mademoiselle, dit-elle en me tendant sa main, retenant la mienne presque avec insistance. Je suis Léa pour vous aider et vous servir.
Je fus un peu troublée par cette introduction, mais elle ne me laissa pas réfléchir plus avant en m’introduisant dans l’entrée, en m’indiquant la salle d’attente et les toilettes. Elle ajouta que comme c’était la première fois que je venais ici, elle viendrait me chercher pour remplir ma fiche avant l’auscultation du docteur.
J’entrai en salle d’attente. Une dame élégante en tailleur gris d’une quarantaine d’années attendait son tour. Nous nous dîmes bonjour en nous souriant par politesse. Je m’assis en face d’elle sur un fauteuil des plus confortables. Je sortis mon portable pour lire mes derniers mails tandis que la patiente en face parcourait une revue. Levant yeux hors de mon écran, je m’aperçus au bout d’un moment à quel jeu ma voisine se livrait sans complexe à croiser et décroiser les jambes, pour adopter une position des plus décontractées, voire indécentes. Dans le silence de la salle d’attente, je la vis négligemment poser son pied droit sur la table basse où reposaient les diverses revues. Ceci eut pour effet de faire remonter sa jupe. Mon regard fut aussitôt attiré vers son entrejambe me révélant ainsi son sexe imberbe.
J’étais comme hypnotisée et confondue par cette situation. Relevant mon regard, je vis qu’elle me regardait avec insistance en passant la langue sur ses lèvres maquillées. Le rouge me montait aux joues quand la porte s’ouvrit.
— Madame B. c’est à vous !
— Allons, allons Léa ! Tu sais bien que tu peux m’appeler Ingrid.
Et se levant mollement ajouta :
— Bon oui, on y va !
Se retournant vers moi, elle m’offrit un large sourire et un clin d’œil entendu.
— Au revoir mademoiselle. À bientôt peut-être !
Je restai interdite ne sachant que répondre. L’assistante intervint alors.
— Madame, le docteur va s’impatienter.— Oui, oui Léa, j’arrive ! fit-elle se tortillant en réajustant sa jupe.
L’assistante frappa à la porte du docteur et, sans attendre de réponse, introduisit l’étrange patiente dans la salle de consultation. Celle-ci me confia alors :
— Veuillez la pardonner. C’est une personne un peu fofolle qui aime bien s’amuser de tout et de rien.
Je ne sus répondre qu’un « oui » maladroit.C’est à ce moment même que la sonnerie d’un interphone retentit et une voix directive se fit entendre :
— Léa, venez !
Je vis alors le visage de l’assistante changer et obéissant comme à un ordre elle se précipita vers le cabinet du docteur.
Je ne me posai pas plus de questions et en profitai pour aller aux toilettes et me rafraîchir. Assise sur le siège des WC, la culotte aux chevilles je me demandais dans quelle maison j’étais tombée. Me remémorant les dernières scènes, je ne pouvais considérer qu’à part le comportement déplacé de la patiente, rien ne prévalait un sentiment déstabilisant montant en moi. Je me raisonnai en me disant que l’assistante avait fait preuve de bienveillance envers la nouvelle cliente que j’étais.
Je décompressais, mais sans m’empêcher de repenser aux différentes situations où je m’étais trouvée depuis mon arrivée dans cette demeure. Du charmant accueil de cette jeune hôtesse à l’exhibition de cette femme mature, je sentis mon entrejambe perler.Passant mes doigts entre mes cuisses et constatai que je mouillais. Mon Dieu ! Il fallait que je m’essuie avant la consultation. Je profitai, avant tout, de vider ma vessie. Tout en m’essuyant, je ne fis que de raviver l’envie de me soulager autrement. Mais tant pis, je remontai ma culotte, repris mes esprits et sortis des toilettes pour reprendre ma place dans la salle d’attente.
C’est alors que j’entendis des gémissements provenant du bureau du docteur. La porte de celui-ci était restée entrouverte. Ma curiosité fut plus forte que moi. Je glissai un œil dans l’entrebâillement et vis la dénommée madame B, nue, les jambes écartées, pieds fixés dans les étriers d’un siège gynécologique, les bras attachés dans le dos, sa bouche obstruée par une balle munie de sangles fixées derrière sa nuque, afin que je supposai étouffer d’éventuels cris. L’assistante se tenait près d’elle et essayait de la calmer en caressant ses seins opulents tout en étirant ses tétons. De mon côté, je ne voyais que le dos de la gynécologue et ne comprenais pas s’il s’agissait d’un examen ou d’un traitement que subissait la patiente. Je devinais juste que la praticienne était une femme brune, aux cheveux coupés très courts. Assise sur un tabouret, elle s’affairait au-dessus de sa cliente avec une lampe éclairant l’entrecuisse de celle-ci.
Léa qui s’était absentée un instant revint avec un plateau et divers instruments que je ne pouvais distinguer. Cette scène m’excitait au plus haut point et je ne pus m’empêcher de me toucher la chatte. J’étais encore une fois trempée. Essayant cependant de revenir à la raison, j’allais repartir discrètement quand que la voix du docteur se fit entendre :
— Alors ma chère Ingrid ? Prête pour la pose de vos piercings ? Par où commence-t-on ? Vos tétons ou votre sexe ?
Celle-ci ouvrit les yeux, puis les écarquillant regarda Léa en levant le menton en ma direction !
— Mmmhhh, fit-elle la bouche toujours obstruée par la balle.
Le gynécologue Karine W. dût prendre cette réponse pour un assentiment à la pose du premier piercing et commença à désinfecter un des mamelons.De son côté Léa, l’assistante, suivit la direction que lui indiquait le regard effaré de la patiente toujours entravée sur le fauteuil et immanquablement me vit, qui plus est, la jupe relevée la main dans la culotte en train de me caresser. J’étais prise en faute.Celle-ci dit alors promptement:
— Docteur, si vous n’avez plus besoin de moi, je dois remplir la fiche de votre prochaine cliente et la préparer. — Vous avez raison Léa ! Nous avons encore du travail et je n’en ai pas fini avec Ingrid, mais ça ira, vous pouvez disposer.
Je me précipitai alors dans la salle d’attente, les joues en feu.
J’étais dans mes petits souliers quand l’assistante vint me chercher et me pria de la suivre dans une salle attenante au cabinet du docteur. Une fois dans la pièce, elle ferma la porte à clé et déclara, se retournant vers moi avec un sourire narquois et les mains sur les hanches:
— Alors mademoiselle, on s’intéresse à l’auscultation des patientes du docteur ?
Je baissai les yeux comme une petite fille.
— J’espère pour vous que Madame B. ne vendra pas la mèche au docteur. Elles sont de véritables amies très intimes, si vous voyez ce que je veux dire. Votre petit manège ne lui a pas échappé. Telle que je la connais elle doit être dans un état d’excitation extrême par le spectacle que vous lui avez donné de voir. Malgré la pose de ses petits bijoux, ne vous étonnez pas si on l’entend gémir plus de plaisir que de douleur.
Elle releva alors mon menton, plongea ses jolis yeux verts en amande dans les miens et me dit encore :
— Du coup, vous n’avez pas été jusqu’au bout. Vous n’avez pas joui.
Encore une fois, à ces propos, détournant les yeux, confuse, je rougis de plus belle.Elle me sourit, se serra contre moi et déposa un baiser sur mes lèvres. C’était la première fois qu’une femme m’embrassait. Ce n’était pas si désagréable, mais j’étais décontenancée, je ne savais plus où me mettre. Je restais interdite et troublée.L’assistante comprenant mon embarra s’exprima :
— Oh allons ! Ne vous inquiétez pas. Je peux comprendre votre petit dévergondage, vous savez. Ce petit baiser est juste pour vous rassurer. Et puis vous êtes si belle aussi. Ce n’est pas tous les jours que le docteur et moi avons une si jolie patiente que vous.
Je ne pus que lui marmonner un « merci » gêné.
Elle m’invita alors à m’asseoir sur une banquette et assise devant moi à son bureau m’interrogea tout en frappant sur les touches de son clavier d’ordinateur. Je lui répondais sur divers renseignements administratifs, date de naissance, âge (juste 20 ans), adresse, numéro de téléphone, etc !Du point de vue santé, je lui répondis que tout allait bien. Que je venais pour une visite de routine puisque je fréquentais un garçon depuis six mois. Me regardant avec intérêt, elle me sourit encore une fois. Elle finit par me demander sans hésitation.
— Et ça se passe bien sexuellement ?
Elle avait réussi à établir un climat de confiance depuis son baiser. Pour me rassurer davantage, elle me dit qu’elle avait peut-être juste vingt-cinq ans, mais qu’ayant travaillé ici déjà depuis trois ans, je pouvais me confier pleinement à elle sans complexe.Je lui avouai alors avoir besoin de conseils en sexualité en plus de l’examen gynécologique. Un besoin d’en parler. Je n’étais pas suffisamment amie ou complice avec les étudiantes autour de moi pour avoir de bons conseils. Elle vint alors s’asseoir près de moi et me dit :
— Pas de soucis. Lucile, dites-moi.
Je me lançai alors dans de grandes confidences concernant ma vie de jeune couple. Je racontais alors à Léa comme à une copine que mon copain était plus âgé que moi. La trentaine. Que tout allait bien du point de vue sexuel, mais qu’il était très exigeant sur ce plan. Il voulait me faire des choses que je n’avais jamais faites. Que je voulais bien satisfaire tous ses désirs pour lui faire plaisir autant que pour moi, mais que j’appréhendais.Léa intervint alors :
— Lucile, on ne va pas tourner autour du pot. Dites-moi quelles sont ces choses. On peut beaucoup vous aider ici, le docteur et moi.— Déjà, il aimerait que je le suce mieux que je ne le fais. Je ne suis pas très experte.— Vous n’avez jamais vu de vidéos pornos afin d’apprendre comment font les actrices ?— Si, bien sûr ! Mais je n’y arrive pas. Il voudrait des gorges profondes pour le satisfaire. — Cela s’apprend, dit-elle toujours en souriant. Rien d’autre ?— Si. Il est aussi très porté sur la sodomie. Mais j’ai du mal. On a déjà essayé. Il est trop gros ; ça a du mal à rentrer et j’ai peur d’avoir mal.— C’est-à-dire ? poursuivit-elle.
Je sortis mon smartphone et lui montrai une photo de mon copain nu.
— Ah oui ! Effectivement ! Félicitations ! Un bien bel homme. Ce serait dommage de ne pas pouvoir profiter d’un si bel organe que la nature lui a pourvu. J’avoue que c’est très excitant ! Quelle belle érection ! Un bon cinq centimètres de diamètre sur dix-huit, vingt ? Je comprends que ça a du mal à rentrer, mais le docteur et moi-même pouvons vous y aider avec quelques exercices de dilatation anale. Vous ne le regretterez pas.Et quoi d’autre encore ? continua-t-elle. — Je dois dire que parfois, il est tellement excité qu’il a du mal à se retenir. — Ah ?! On peut toujours trouver un remède à cela, m’assura Léa, les yeux brillants. Il faudrait que vous nous l’ameniez pour que le docteur puisse l’entraîner, avec son accord et le vôtre bien sûr. Mais je ne peux pas vous en dire plus. Cependant, je pense que chacun pourrait en tirer son parti.
Après son interrogatoire, elle reprit.
— Bien Lucile ! J’ai noté tout cela. On va s’arrêter là pour l’entretien. Je vais vous préparer pour l’auscultation auprès du docteur. Veuillez vous lever s’il vous plaît. J’ai besoin de prendre vos constantes et différentes mesures. Cela fait partie du bilan de routine. Déshabillez-vous !
Assise sur son bureau, face à moi, je la vis qui attendait tout en me détaillant. Contrainte, et par la force des choses, je laissai tomber ma robe à mes pieds et attendis. L’assistante se redressant vint vers moi.
— Mademoiselle, il faut tout enlever ! dit-elle. Pas de chichi ici, voyons ! Nous sommes dans un cabinet médical. Et puis nous sommes entre femmes.
Convaincue, j’enlevai mon soutien-gorge et ma culotte encore tout humide.Tout en me souriant, elle fit le tour de moi lentement. Je sentais son regard scrutateur posé partout sur moi dans un long silence pesant. Enfin, elle m’invita à passer sous la toise pour me mesurer, puis monter sur une balance. Elle me demanda ensuite de me pencher en avant pour vérifier ma colonne vertébrale. De mettre les mains à plat au sol. J’étais assez souple, mais pas suffisamment sans être obligée d’écarter les jambes m’obligeant à exhiber mon sexe de façon plus qu’impudique.
Une de ses mains se posa sous mon ventre pendant que l’index et le majeur de son autre main suivaient la ligne de ma colonne descendant doucement jusqu’à la naissance de mes fesses. J’en eus un véritable frisson. Elle recommença ainsi plusieurs fois.
Elle me demande d’appuyer mes avant-bras sur un mur et de me cambrer pour mesurer l’angulation maximale de mes lombaires. C’était hypergênant. J’avais l’impression de passer un casting pour le Crazy Horse. Cependant, j’éprouvais une certaine excitation à être manipulée et obéir ainsi.
Les examens préliminaires n’étaient pas finis pour autant. Munie d’un mètre ruban, elle mesura mon tour de poitrine, ma taille, mes hanches, mais aussi la longueur de mes jambes et cuisses jusqu’à affleurer ma vulve à plusieurs reprises.Se relevant, elle me demanda si j’avais déjà été auscultée des seins ou eu une mammographie. Je lui répondis que non. Elle me répondit d’un air très sérieux que c’était important comme examen, tout comme les frottis du col utérin. Que cela faisait partie du bilan.Le docteur étant toujours occupée avec sa cliente, elle m’expliqua qu’elle avait toute l’expérience requise pour effectuer une palpation mammaire.
— Allez Lucile, levez les bras et pliez-les sur votre tête.
Je fis ce qu’elle me demanda. Se plaçant derrière moi, elle empoigna chacun de mes seins dans une main et tout en les soupesant, déclara:
— Quelle belle poitrine vous avez là. Vos seins sont fermes, se tiennent bien.— Mon copain aimerait pourtant qu’ils soient plus gros. — Ah ces mecs ! C’est toujours plus avec eux. Mais au fait, avec les femmes, jamais eu de rapport ? — Ben non, répondis-je, interrogative.— Pourtant vous étiez semble-t-il bien excitée en matant l’auscultation de madame B., il y a quelques minutes. Elle a de gros seins qui se tiennent fort bien pour son âge. — Oui j’avoue. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris. — Bah ! Ce n’est pas bien grave après tout. Allez savoir les mystères de la nature.
Léa reprit sa palpation, imprimant un mouvement circulaire avec ses doigts à la recherche d’une quelconque anomalie. Elle passa d’un sein à l’autre, les pressant fortement à deux mains presque comme pour les traire, puis les massa et les caressa doucement.Elle insista ensuite plus sur mes mamelons et en particulier sur mes tétons turgescents en les faisant rouler. C’était bon ! Mais elle se mit à les étirer tout en les pinçant fortement, je me mordis les lèvres sous la douleur.
— Ça fait un peu mal, mais c’est nécessaire. C’est pour vérifier qu’il n’y ait pas d’écoulement. Elle les tira encore plus vers le haut m’obligeant à me lever sur la pointe des pieds.
Elle soutint la position jugeant ma réaction. Je commençais à avoir les larmes au bord des yeux quand elle me lâcha. Le sang revint alors dans mes tétons accentuant la douleur. Elle prit alors un tube de pommade et m’appliqua une noisette de celle-ci pour me soulager.
— C’est bien, dit-elle. Tout en me massant. Vous avez une bonne résistance. Mais je pense que le docteur utilisera sa nouvelle machine pour mieux vous étudier, dit-elle mystérieusement.
Enfin, elle me demanda de mettre mes avant-bras sur son bureau et de me cambrer et d’écarter mes jambes. Elle appuya sur mes reins faisant ainsi tendre ma croupe.Je compris que cette auscultation prenait une tournure des plus scabreuses. Je n’eus pas à attendre la réponse quand je sentis alors ses mains soupeser mes fesses, les masser et finalement les écarter mettant à jour mon petit trou. J’étais encore une fois morte de honte lorsqu’un doigt humecté pénétra celui-ci et commença lentement à aller et venir en moi.
— Il est vrai que votre anus est très serré, mais tout n’est pas perdu pour le rendre plus souple ! Détendez-vous Lucile ! m’ordonna-t-elle.
À ces mots, son index rejoignit son majeur. Je frémis quand ceux-ci s’écartèrent à plusieurs reprises forçant ainsi mon sphincter à se dilater. Son pouce vint en renfort s’arrimer dans mon vagin pour compléter la tenaille ainsi formée. Alors qu’elle fouillait ainsi mes trous plus que pour un examen médical, je me mis à mouiller abondamment. Elle finit, presque à mon regret, par retirer ses doigts.
Son inspection terminée, elle me demanda de me relever et enchaîna :
— Bien ! Je vois aussi que vous avez un joli petit « ticket de métro » comme on dit, mais il est préférable d’enlever tout poil superflu, c’est encore plus joli, et pour les examens c’est mieux. Je vous avouerai que moi-même suis entièrement épilée.
A ces mots, elle ouvrit sa blouse, la laissa tomber à terre, apparaissant entièrement nue. Tout sourire et sans pudeur aucune, elle déclara :
— Par souci d’égalité et de confiance, je me dévoile à vous Lucile. Voyez !
Je ne pouvais que constater qu’elle était d’une réelle beauté, époustouflante, ensorcelante, avec une peau diaphane parsemée par endroit de petits grains de beauté. D’une plastique exceptionnelle, sportive avec de jolies courbes sinueuses. Des seins pleins, hauts, arrogants, dont les bouts pointaient, percés de petites barres. Un ventre plat également orné d’un joli piercing à son nombril. Au-dessous une jolie vulve bombée, effectivement imberbe, laissait deviner de jolies petites lèvres rosâtres dépasser légèrement. Se retournant en levant les bras, je pus apprécier la cambrure de ses reins et ses fesses rebondies et fermes.
— Alors, Lucile ? Je vous ai convaincue ? demanda-t-elle en s’approchant.
Se collant d’un coup à moi, corps à corps, tout en me fixant de son regard envoûtant, elle prit ma main et la posa sous sein gauche. Je sentais son cœur battre à tout rompre autant que le mien.Sa bouche se rapprocha de la mienne. Je commençais à fondre ne pouvant plus réagir. Elle guida ma main plus bas sur son ventre chaud puis sur sa vulve brûlante.Ses autres doigts vinrent explorer ma petite chatte. Je recommençais à mouiller comme une folle et constatai qu’elle était dans le même état que moi ; toute poisseuse et dégoulinante. Son odeur de rousse me montait à la tête, à m’enivrer. Je vibrais, me trémoussant cuisses écartées quand je la sentis me pénétrer de deux doigts et par son pouce débusquer mon clitoris et le faire rouler. Elle m’embrassa alors langoureusement tournoyant sa langue autour de la mienne. Je sentis qu’elle possédait là aussi un piercing sur celle-ci augmentant ainsi mon plaisir.
Toutes mes barrières furent alors brisées, je flanchais et me mis à lui rendre le plaisir qu’elle me procurait. J’étais tombée dans son piège dont je ne pouvais plus sortir.J’oubliais tout et ce pourquoi j’étais venu faire en ce lieu. J’osais aussi la pénétrer et la masturber comme elle me faisait. Nous étions à égalité dans un combat érotique et sensuel. Les caresses s’accélérant nous fûmes pris à notre propre égarement. Le temps resta un instant suspendu. Je la sentis alors se contracter en même temps que j’atteignis mon premier orgasme avec elle. Je crus mourir. Je ne revenais pas que je puisse prendre autant de plaisir avec quelqu’un du même sexe. Tout se chamboulait en moi. Pourtant un bien-être indescriptible m’envahit malgré moi.
Revenue à elle, Léa remit sa blouse à même la peau et m’invita à m’allonger sur la banquette. Elle me caressa tendrement les cheveux et me dit :
— Voilà! Nous sommes complices maintenant. Je te remercie de ce doux moment de plaisir, mais il va falloir penser à revenir à la réalité. Nous avons encore un peu de temps avant de passer dans le cabinet du docteur. Allez ! Écarte les cuisses que j’enlève ces vilains petits poils blonds inutiles.
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