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Une consultation très spéciale

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Après s’être absentée un instant, Léa revint avec un blaireau et un petit bol dont elle fit monter de la mousse parfumée qu’elle étala abondamment sur mon pubis. Utilisant un petit rasoir, elle élimina avec dextérité le peu de poils blonds que j’avais. La lame glissait comme une caresse sur ma peau fragile. En toute confiance, je me laissais aller à l’abandon entre ses mains.
Elle ne put s’empêcher d’introduire un doigt dans mon vagin, imprimant un léger mouvement rotatif avec son pouce sur mon clito à mesure que le rasoir affinait son œuvre. Sans me l’avouer, j’appréhendais un peu qu’elle n’abuse encore de moi, mais elle n’en fit rien.
Une fois fini, elle prit une photo avec son portable et me montra le résultat. J’étais devenue comme elle ; complètement lisse. Elle termina en me passant une crème adoucissante bien au-delà de l’endroit rasé ; sur toute ma chatte, mais aussi jusqu’entre mes fesses. Je réalisais ne plus m’étonner de rien avec cette troublante assistante dont je commençais à être fortement troublée. Elle me possédait entièrement, me demandant même si je ne tombais pas un peu amoureuse pour tout le plaisir qu’elle me procurait.
Toujours massant mon pubis, je sentis son souffle sur ma vulve fraîchement rasée. Elle me regarda un instant avec une lueur coquine dans ses yeux. Plongeant entre mes cuisses, sa langue vint jouer avec mes petites lèvres les léchant et les aspirant. Mouillant toujours abondamment, elle se mit à me boire, se délectant comme un vampire de mon jus.
Avec force et avidité, elle délogea facilement mon clitoris tant il était tendu. Une décharge électrique me secoua quand le bout de sa langue vint chatouiller celui-ci. Je me mis à gémir de plaisir. Ce n’était pas pareil qu’avec un homme. Elle savait vraiment y faire et je ne résistai pas longtemps à la douce torture de la perle de son piercing lingual sur mon bouton. Je retins sa tête sur mon sexe faisant appel à la jouissance. Mon corps entier se crispa, s’arc-bouta tendant mon bassin vers sa bouche.Mon cri fut étouffé par sa main quand j’atteignis un orgasme fulgurant avant de me recroqueviller sur moi-même exténuée. J’étais terrassée, mais divinement heureuse. Les yeux pleins d’étoiles, je lui souris timidement.
— Je ne te demande pas si tu as aimé ma belle, me dit-elle en me rendant mon sourire. De mon côté, je n’ai pu résister. Tu es tellement excitante.
Mais maintenant il y a une dernière préparation avant la consultation auprès du docteur. Je dois te faire un lavement afin qu’elle puisse t’ausculter correctement. Viens !
Elle me prit par les mains et me positionna à quatre pattes. Dans l’attente, et dans cette position indécente, j’entendis bouger divers ustensiles. Je la vis suspendre à un pied à perfusion une grosse poche remplie d’eau prolongée d’un tuyau munie d’une canule. Je sentis alors qu’elle enduisait mon petit trou avec ce que j’imaginais être de la vaseline. Appuyant sur mes reins, elle me fit me cambrer et introduisit lentement un doigt dans mon anus. Elle le fit aller et venir me disant de me détendre et de poser ma tête sur la couche. Ainsi positionnée, les fesses en l’air écartées et exposées à son regard, elle sortit son doigt aussitôt remplacé par la canule graissée.
— Je te sens toujours bien étroite de ce côté. Le docteur et moi remédierons à cela et tu pourras prendre beaucoup de plaisir par là avec ton copain. Ou autre, ajouta-t-elle avec un petit rire.Bien ! Je vais gonfler le ballonnet de la canule pour éviter d’éventuelles fuites, car il faut bien mettre deux litres avant d’évacuer tout le contenu de ton intestin. Allez, j’y vais !
Je sentis alors mon rectum se remplir petit à petit.Pendant que le liquide se déversait en moi, Léa massait mon ventre sans oublier délicatement mes seins et ma chatte. Sans rien dire, je regardais l’eau diminuer lentement de la poche pour envahir et peser dans mes intestins. J’appréhendais le moment de ne pas pouvoir me retenir et de tout expulser sans prévenir. Cela aurait été une véritable honte.
Alors que j’étais toujours dans une position vraiment humiliante, Léa vint regonfler le ballonnet de la canule et se coucha face à moi, blouse ouverte, ses cuisses grandes écartées, elle commença à se masturber, toute proche de mes yeux. J’étais subjuguée par sa beauté, mais aussi par l’obscénité qui émanait d’elle. Elle semblait prendre un véritable plaisir à me voir en situation si délicate et soumise.Elle s’approcha alors de moi et collant sa chatte sur ma bouche, lança sans retenue :
— Lèche-moi, petite salope. J’ai encore trop envie. Dépêche !
Contrainte, je m’exécutai, le visage coincé entre ses cuisses, mon derrière relevé dans cette posture si dégradante.
M’appliquant comme elle l’avait fait pour moi, je titillai son clito. Osant introduire ma langue dans son vagin, je goûtais pour la première fois le fruit d’une fille ; m’enivrant à mon tour de son jus odorant. Je la vis se tortiller longuement et alors qu’elle allait atteindre l’orgasme, encore une fois, elle se recula, se masturba à une vitesse folle. Ses doigts s’agitant en tout sens, elle jouit dans un râle profond accompagné de spasmes, les yeux révulsés. Se délivrant d’un trop plein de plaisir contenu, elle m’aspergea d’un coup le visage d’un jet abondant de sa mouille.
Je restais figée, n’osant plus rien faire que de serrer les fesses. Léa vint alors me lécher, nettoyer de sa langue mes joues et ma bouche comme un animal, me voyant tenir mon ventre en grimaçant ; il était temps que j’évacue toute l’eau de mon intestin au plus vite. La poche étant vide, elle approcha un seau.
— Accroupis-toi au-dessus ! Je vais enlever la canule, mais retiens-toi ! Serre les fesses !
Je sentis le ballonnet se dégonfler et la canule s’extraire.
— Retiens-toi encore ! m’ordonna-t-elle.
Elle entreprit alors de me masser encore le ventre. C’était à présent une véritable torture qu’elle me faisait subir. Quand ses doigts chatouillèrent mon anus, prise de tremblements, je ne pus me retenir. Mon sphincter lâcha. Accroupi, la tête dans mes mains, j’évacuais le trop-plein de mon ventre avec un véritable soulagement jouissif, mais honteux du bruit que l’eau fit en percutant le fond du seau.
Sans rien dire, Léa me redressa et me fit pencher en avant. Je n’étais plus à ça près et m’exécutai sans rien dire.
— Écarte tes fesses avec tes mains que je t’essuie, ma belle, afin d’être présentable devant le docteur. Elle passa à plusieurs reprises une serviette douce entre mes fesses.
D’une autre parfumée, elle m’essuya le visage. Elle m’enfila ensuite une blouse de patiente verte transparente qu’elle attacha par-devant et me dit :
— Je pense que ça va être à toi maintenant. Je vais prévenir le docteur que tu es prête pour ton auscultation. Je serai là pour l’assister, mais je te vouvoierai comme une patiente ordinaire.
Elle me fit un clin d’œil tout en déposant un baiser sur les lèvres et me dirigea vers la porte du bureau.
Une fois introduite dans la pièce, je vis la fameuse chaise gynécologique, une armoire vitrée avec différents instruments dont je ne connaissais pas trop l’utilité pour certains. Puis, tout de suite sur ma droite, le docteur assise à son bureau. Une femme aux cheveux noirs comme je l’avais aperçue dans entrebâillement de la porte. Se levant, je constatai qu’elle avait bien plus d’une tête que moi. Une quadragénaire aux pommettes saillantes et une bouche pulpeuse maquillée de rouge pourpre. Elle était vêtue d’une blouse blanche serrée à la taille laissant apparaître un décolleté des plus échancrés. Perchée sur ses hauts talons, elle me détailla de haut en bas quelques secondes et finit par dire :
— Bonjour mademoiselle, voilà donc votre première visite ici. Je viens de terminer de lire votre fiche sur mon ordinateur. J’ai bien pris en compte tous vos problèmes. Je me ferai un plaisir de les résoudre avec mon assistante, Léa, que vous connaissez déjà bien, je suppose.
Je me demandai alors sur le sens de sa supposition. Interrogative, je me tournai vers ma complice qui me fit les gros yeux me laissant comprendre de ne rien dire.
— Bien, continua la gynécologue, je vais vous ausculter.
Léa m’enleva ma blouse et m’invita à prendre place sur la chaise gynécologique. Les pieds bien calés dans les étriers écartés au maximum. Je me sentis honteuse du fait que j’étais encore toute humide et que cela puisse se voir.Je vis alors le docteur prendre un spéculum et annoncer:
— C’est un peu froid, mais ça va passer.
Elle introduisit l’instrument sans difficulté et commença à l’actionner afin d’écarter les parois de mon vagin au maximum. Après avoir inspecté mon col utérin et pratiqué un frottis, elle en vint à me demander.
— Vous n’avez pas de problème urinaire, je suppose, mais il serait souhaitable de connaître la contenance de votre vessie. En avez-vous une idée en tant que future infirmière ?— Euh non ! répondis-je naïvement. — Bien nous allons alors le savoir, dit-elle en souriant en me regardant droit dans les yeux. Sachez qu’une vessie peut contenir en moyenne cinq cents millilitres, mais il est toujours bon de connaître le maximum.
Sans rien ajouter de plus, s’adressant à son assistante :
— Léa, préparez le nécessaire !
Je vis alors celle-ci préparer une poche à perfusion avec une tubulure et tendre une sonde urinaire au docteur.
— Attendez Léa, le spéculum glisse trop avec ses sécrétions abondantes. On va procéder autrement. Amenez les jarretières.
Celle-ci revint alors avec deux larges bandes en latex circulaires réglables possédant deux sangles élastiques chacune munie de petites pinces. Je compris alors l’utilité de ces accessoires quand le docteur et son assistante, chacune de mon côté enfilèrent les jarretières sur mes cuisses. Je commençais à paniquer quand elles saisirent les pinces en les approchant de mes grandes lèvres.
— Ne vous inquiétez pas, mademoiselle, dit alors le docteur malicieusement. Cela tire un peu, mais nous serons plus à l’aise pour travailler.
Lorsque les deux pinces se refermèrent sur chacune de mes lèvres, je ne pus retenir un cri de douleur.
— Allons, allons ! Calmez-vous, mademoiselle ! Vous ne voulez pas que l’on vous bâillonne comme certaines de mes patientes, comme vous savez ! Eh oui ! continua-t-elle. On m’a mis dans la confidence voyez-vous ! Ce n’est vraiment pas bien d’être aussi voyeuse, rajouta-t-elle tout sourire, en lâchant la sangle d’un coup.
Je criai une nouvelle fois. Affolée, je cherchai le regard de Léa qui, imperturbable, fit la même chose que le docteur. Elles recommencèrent toutes deux en clipsant les deux autres pinces. Je hurlai une nouvelle fois, gigotant sur le siège.Le docteur s’emporta soudainement.
— Bon ça suffit maintenant ! Si vous continuez comme ça, on vous attache, gronda-t-elle. — Si vous me permettez, intervint Léa. Je pense savoir comment la calmer. Elle peut être très docile, je crois.— Faites donc, répondit le docteur d’un air entendu et complice en me pinçant un téton. Je ne supporte pas les jérémiades. Je vous fais entièrement confiance si ça peut l’empêcher de bouger.
L’assistante prit alors un flacon et déversa un peu de son contenu sur mes seins qu’elle commença à masser doucement puis avec plus de vigueur. Le produit chauffait ma peau et je commençais à me détendre et prendre énormément de plaisir sous ses mains douces. Même si je me disais que j’étais devenue leur proie, je réalisais aussi que c’était bien de par ma faute que tout cela arrivait ; il fallait me l’avouer. De plus, malgré l’étirement des sangles, je commençais à m’habituer à la douleur et éprouvais presque du plaisir d’être exposée ainsi ; la chatte grande ouverte.J’étais à leur merci, mais en même tant presque désireuse de me donner à leurs jeux pervers.
— Vous avez vu Léa comme sa chatte est belle ainsi grande ouverte ? observa la gynécologue. C’est comme une planche anatomique. Tiens ! Je vais prendre une photo.
Ceci fait, elle montra l’image à son assistante et à moi-même.
— Regardez mademoiselle, cette belle fleur que vous avez là, éclose. Vos grandes lèvres étirées laissant voir votre vagin grand ouvert entouré de vos petites lèvres roses toutes humides. Ici votre méat urinaire par où nous allons introduire la sonde. Au-dessus votre joli clitoris tout gonflé.
Mon clitoris qu’elle fit rouler lentement entre son pouce et son index. Je ne pus me contenir en gémissant et pousser mon bassin vers sa main. Léa de son côté, me caressait toujours inlassablement les seins.Je me laissais aller au plaisir, défaillante. Alors que la gynéco accélérait son geste de façon impitoyable et que j’allais enfin jouir, celle-ci stoppa net. Je restai frustrée. Me regardant d’un air narquois, elle déclara:
— Vous avez remarqué, Léa, comme elle vient vite. Elle semble très excitée cette petite, apparemment ! — Oui, docteur. J’ai pu constater ça pendant que je la préparais. Elle mouille facilement, c’est une fille très chaude en effet.
Comme si je n’étais qu’un cas d’étude, la gynéco poursuivit :
— Bon ! Il faut continuer l’auscultation avant le sondage.
À ces mots, elle me pénétra de deux doigts, les faisant aller et venir avec persévérance. Un troisième s’arrima aux deux autres, puis l’auriculaire et le pouce suivirent. Elle poussa, ressortit, me faisant gémir encore tant et plus. Léa fit couler de son huile magique sur ses phalanges exploratrices. La main du docteur avançait presque à me déchirer. Puis à force d’aller et venir, d’un coup, finit par investir entièrement mon vagin.
Je sentis alors ses doigts bouger à l’intérieur de moi, explorant, palpant, tâtant mes parois les plus intimes jusqu’à mon col utérin. Je n’avais pas mal. Je me sentais pleine, mouillant et haletant fortement. Envahie par une sensation de bien-être extrême entre leurs mains expertes, j’ondulais du bassin pour arriver à l’orgasme. Léa n’était pas en reste de ses attouchements, prolongeant ses massages mammaires de plus en plus appuyés, martyrisant mes tétons de temps à autre.
Se penchant à mon oreille, elle chuchota quelques mots crus pour le moins fort excitants.
— Alors ma petite salope ! On aime bien se faire baiser aussi par une femme mature dirait-on ?! — Mmmhhh ! Oui ! répondis-je en gémissant et en remuant mon bassin. C’est trop bon !
Justement de son côté, la gynéco accéléra le mouvement de son poignet. Faisant pivoter sa main, la ressortant de moitié et me pénétrant de nouveau à plusieurs reprises. La regardant, je la surpris m’observer, analyser mon plaisir grandissant. Je la vis alors adopter un sourire sadique et comme j’allais enfin jouir elle s’arrêta brusquement. Se retirant d’un coup, elle me laissa encore une fois privée de tout plaisir.
— Bien, dit-elle tout est bon de ce côté. Maintenant, la sonde ! — Voilà docteur, intervint l’assistante en lui présentant l’objet en question. Je l’ai déjà lubrifiée. Il n’y a plus qu’à l’introduire !
Je sentis alors le petit tube en caoutchouc s’enfoncer en moi à travers mon urètre avec une sensation étrange, mais sans mal.
— Nous y sommes Léa ; l’urine sort de la sonde. Il n’y a plus qu’à gonfler le ballonnet, brancher la tubulure et faire couler.
Ainsi, comme le même principe pour mes intestins, je vis le liquide d’eau physiologique diminuer progressivement de la poche, mais pour cette fois remplir ma vessie.
Le docteur reprit une photo de mon sexe grand ouvert avec le montage. Peut-être pour des cours, me dis-je. Je n’en avais plus rien à faire du moment qu’on ne verraot pas mon visage. J’eus un frisson en m’imaginant être reconnue par des étudiants infirmiers ou infirmières de ma promo.
Au bout d’un temps, Léa reprit ses massages, mais sur mon ventre cette fois, en insistant juste au-dessus de mon pubis. Cela commençait à m’inquiéter, car j’avais sérieusement envie d’uriner.
— Où en est-on Léa ? intervint le docteur.— Cinq cent millilitres.— Bien ! Comment vous sentez-vous jeune fille ?— Je commence réellement à avoir besoin, madame. Ça presse !
S’adressant alors à son assistante tout en me souriant malicieusement:
— Bon ! Voyons voir jusqu’où elle peut résister !
Joignant le geste à la parole, elle appuya sur mon ventre. J’essayais de resserrer mes cuisses par réflexe.
— Eh ! Doucement petite rebelle. Nous n’en avons pas encore fini.
Je regardais le liquide diminuer dans la poche maintenant presque vide. Ma vessie allait exploser. Je suppliais alors:
— Docteur ! S’il vous plaît ! Je n’en peux plus. Ça fait trop mal !
Se levant à regret de son siège en soufflant et s’adressant à son aide:
— Et maintenant Léa ? Combien ? — Sept cent cinquante millilitres. La contenance d’une bonne bouteille de vin, pouffa-t-elle.— C’est pas trop mal, avoua la spécialiste. Enlevons la sonde ! Je pense que tel qu’elle se trémousse ça va gicler fort. Vous, mademoiselle : retenez-vous !
Une fois la sonde retirée, elle me demanda de marcher jusqu’à elle, de m’accroupir et de me relever à plusieurs reprises. M’exécutant sous leurs regards amusés, je fis six mètres en serrant les cuisses à petits pas pressés afin d’arriver jusqu’au récipient. Me positionnant au-dessus de celui-ci, c’est au bout de seulement cinq exercices de flexions fort humiliantes et douloureuses que je ne pus me retenir. Sous leurs yeux moqueurs et rires à peine contenus, je lâchais un jet puissant qui n’en finissait plus. Malgré la largeur du récipient, j’aspergeais une partie du contenu de ma vessie en dehors de celui-ci salissant le parquet du bureau.
— Eh merde ! Quelle sale gourde ! s’exclama vulgairement la propriétaire des lieux en fronçant les sourcils. Il va falloir nettoyer ça maintenant.
J’étais couverte de honte.
— Je suis désolée docteur, mais c’était trop fort.— Ouais bon ! Il va falloir réparer vos bêtises. Léa apportez-lui une serpillière.
C’est à quatre pattes que je m’affairai alors à nettoyer mes dégâts. Une fois fini, Léa me releva, et ne put s’empêcher de venir m’essuyer la chatte avec insistance sous le regard amusé de sa patronne.
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