Lorsque Erik fut introduit dans le cabinet de la spécialiste, Léa revint à moi. Alors Lucile, ça va ? Je dois t’avouer que la situation m’a bien excitée. Appuie sur cette touche du clavier. C’est une autre caméra donnant sur le bureau du docteur. L’écran de l’ordinateur me révéla ainsi Erik, debout en caleçon face à la gynécologue, assise et le détaillant. Ton homme a l’air bien intimidé, sourit Léa. Qu’est-ce que ça t’a fait de voir mon accueil envers lui ma Lucile ? Sans attendre ma réponse, je sentis sa main se frayer un chemin entre mes cuisses. Acceptant son initiative, je ne pus m’empêcher que l’encourager en avançant mon bassin. Mmmhhh ! J’ai l’impression que tu es dans le même état que moi, ma coquine. Oui, Léa, j’avoue ! J’ai hâte de voir la suite et de connaître quels vont être les traitements que va lui administrer ta patronne. Regardons cela ensemble pour commencer. Cependant, madame aura certainement besoin de moi. Alors profitons toutes les deux de jouer les voyeuses en attendant. Elle m’entraîna donc dans son bureau, me fit asseoir sur un petit sofa et vint à côté de moi pour suivre les événements concernant mon conjoint. Nos yeux se tournèrent naturellement vers l’écran. Léa monta un peu le son. Nous entendîmes alors sa patronne s’adresser à Erik. Ainsi, cher monsieur, vous avez, comme ça, quelques problèmes d’ordre sexuel ? Pouvez-vous me les raconter ? Euh...! C’est délicat à dire docteur ! Sans rien dire, celle-ci saisit une règle en plexiglas de sa main droite, tapota la paume de sa main gauche tout en se levant lentement de son fauteuil. Juchée sur ses hauts talons, elle contourna son bureau et vint s’asseoir à demi sur celui-ci, dévoilant ainsi une bonne partie de ses cuisses par l’entre-braillement de sa blouse. Nous vîmes qu’elle en rajoutait en bombant son torse, révélant ainsi sa généreuse poitrine au travers son décolleté. Eh bien, j’attends une réponse, jeune homme ! Le pauvre Erik ne savait plus comment réagir, complètement décontenancé, baissant la tête, les mains croisées devant son entrejambe. Cela devenait fort excitant. Nous imaginions bien qu’il n’était pas indifférent aux charmes de la gynécologue, mais aussi à l’autorité naturelle qui émanait d’elle.
Bon.! Vous n’êtes pas venu ici pour rien. Comme vous le savez Lucile, votre jolie compagne s’est beaucoup investie pour apprendre, à s’entraîner, surtout pour accepter vos fantasmes. Maintenant, c’est à vous ! Léa et moi continuons à être fortement excitées et mouillions comme des fontaines. Nos doigts trituraient nos clitoris, mais sans trop de force afin d’apprécier en douceur le spectacle qui se déroulait sous nos yeux. La gynécologue s’approcha face à Erik, et le regardant droit dans les yeux, lui dit d’un ton abrupt : Écoutez, jeune homme, comme je n’ai pas que cela à faire, je vais vous interroger tout en vous examinant ! Enlevez votre caleçon et prenez place sur le siège gynécologique. Une fois nu, Erik s’exécuta. Sans attendre, le médecin redressa le siège en position assise. On voyait les couilles d’Erik pendre dans le vide et sa bite se dresser mollement. Bien, je vais examiner vos testicules. À ces mots, elle lui saisit la totalité de ses bourses et, les tira vers le bas, malaxant les deux glandes, les faisant rouler l’une sur l’autre. Nous comprîmes qu’une douleur sourde intervint à la grimace que fit Erik. Pourtant, sa queue réagit en bandant au plus fort, ce qui fit sourire la gynéco. Mmmhhh ! Je vois que vous êtes bien sensible. La douleur vous donnerait-elle du plaisir à ce point ? J’imagine que vous vous masturbez souvent ? Non ? Attendant sa réponse, nous la vîmes presser ses testicules en lui serrant la verge. Erik, grimaçant, répondit aussitôt : Oui Madame, fréquemment, mais cela fait quinze jours que je me suis abstenu. J’avoue être accro au sexe. Aïe ! Vous me faites mal docteur. Oh ! C’est trop fort ! Hey ! Calmez-vous ! Je vous fais mal, mais cela ne vous empêche pas de bander apparemment. En effet, nous vîmes Léa et moi, la verge d’Erik se tendre au maximum. Je conclus surtout que la douleur vous provoque un plaisir certain à la vue de votre belle érection. Ne seriez-vous pas un peu masochiste ? À moins que la domination ne vous plaise tout autant ? Répondez ! continua ironiquement la maîtresse des lieux. Oui ! Oui ! J’avoue, j’aime les deux ! Je ne sais où j’en suis ! Comment faire ? La spécialiste tira d’un coup sur ses bourses le faisant crier. Allons ! Allons ! Ne me dites pas que cela ne vous plaît pas ! Relevez-vous ! Nous allons procéder à une analyse d’urine. Une fois debout, la gynéco lui tendit un petit pot et retourna s’asseoir à son bureau tout en l’observant. De notre côté, confortablement installées sur notre banquette, toutes les deux surexcitées à la vue du spectacle qui se déroulait sous nos yeux, nous ne pûmes résister à nous coller l’une à l’autre. Nous nous embrassâmes fougueusement, entrelaçant nos langues. Nos doigts fureteurs s’agitaient en tous sens sur nos chattes respectives lorsque ceux de Léa, plus entreprenants, investirent mon vagin. Seul son pouce continuait à stimuler mon clitoris. Sans plus réfléchir, je pris la même initiative. Je voulus moi aussi prendre le dessus sur elle. Je savais déjà qu’avec Léa tout était permis. Je la sentis vite vibrer et se tendre sous mes attaques digitales.Dans un dernier effort, elle atteignit également mon point G. Submergées, secouées de spasmes, nous atteignîmes chacune un fulgurant orgasme.Après nous être remises de nos émotions, joue contre joue, nous reprîmes le film qui se déroulait en direct, dans le cabinet. Restant debout avec son récipient à la main, Erik intervint timidement : Veuillez m’excuser, docteur. Je crains de ne pas pouvoir uriner de cette manière. Que voulez-vous dire ? demanda-t-elle avec un sourire. Eh bien, dans cet état d’érection. Vous n’allez tout de même pas éjaculer sur mon parquet ? rétorqua-t-elle. Il est impératif que vous vous reteniez, car c’est aussi l’un des objectifs : retarder votre éjaculation ! De plus, j’ai besoin de procéder à cette analyse. Vais-je devoir vous insérer une sonde pour prélever l’échantillon à la source ? Je vis Erik blêmir. Il allait y passer, tout comme je l’avais été, me dis-je. Consciente que sa patronne allait avoir besoin d’elle, Léa se redressa. Je crains que le devoir m’appelle Lucile, mais je pense que nous aurons besoin de toi pour le meilleur, me dit-elle avec un sourire énigmatique. Effectivement, la voix de sa patronne résonna dans l’interphone : J’ai besoin de vos services, Léa ! Celle-ci ouvrit la porte de la pièce et réapparut sur l’écran, dans le bureau du docteur. Monsieur est dans l’incapacité d’uriner pour l’analyse, Léa. Je remarque, madame. Ce n’est pas surprenant compte tenu de son état. Nous pourrions lui appliquer de la glace pour le faire débander, dit-elle de son air ingénu, sans détacher son regard de la bite de mon copain. Peut-être, mais, ce n’est pas certain que ce soit très efficace. Le sondage serait plus direct. Procédons comme à l’accoutumée, lui répondit-elle d’un air entendu. À peine vingt secondes furent écoulées que Léa revint avec le matériel : un désinfectant avec des compresses, un gel anesthésiant, des gants en latex et la fameuse sonde. Erik, pris de panique, se tortilla sur le siège. Non, docteur. Ce n’est pas nécessaire tout cela. Je vais essayer d’uriner normalement. S’il vous plaît ! Ah non ! C’est trop tard maintenant. Nous avons d’autres exercices après. Tenez-vous tranquille. De son côté, Léa comprit l’allusion de sa patronne. Toutes les deux s’empressèrent d’attacher ses poignets et ses chevilles avec les sangles du fauteuil qu’elles inclinèrent en position horizontale. Pris au piège de ces troublantes femmes, il n’avait pas pour autant débandé. J’en étais impressionnée et conclus qu’il était très excité de la situation. Voilà ! Nous sommes beaucoup mieux installées pour opérer ainsi, commenta la gynéco. De son côté, Léa s’empara de la verge d’Erik, la saisissant à la verticale de la main gauche, elle introduit le petit embout du gel anesthésiant dans le méat urinaire et appuya sur le piston. Ne vous inquiétez pas, ça surprend un peu, mais ça ne fait pas mal. Détendez-vous et tout se passera bien. Erik sursauta au moment de l’injection, mais je le vis ravi de sentir la douce main de Léa emprisonner sa queue en effectuant un léger mouvement d’aller-retour. Une fois ses gants de latex enfilés, la gynéco intervint : Bien ! Assez joué, Léa ! Puis, s’emparant de la sonde, l’inséra lentement dans l’urètre d’Erik. Ah ! Ça bloque un peu ! On est au niveau de la prostate, c’est physiologiquement plus étroit. C’est normal. Je la vis alors horizontaliser le pénis devenant alors plus mou. Léa appuya au niveau de la vessie d’Erik. Un petit jet d’urine sortit de la sonde et se déversa dans le récipient d’analyse. Eh bien voilà ! Ce n’était pas si pénible. On y est arrivé jeune homme ! Allons de l’avant maintenant, dit le gynécologue, nous allons justement examiner votre prostate. Même si vous êtes encore jeune, il n’est pas négligeable de procéder à un toucher rectal. En entendant ces paroles, Erik frémit. Pour ma part, j’étais fascinée de le voir ainsi pris au piège de ces deux ensorceleuses. En peu de temps, Léa apporta d’autres gants en latex, de la vaseline et déposa une grosse noix sur l’anus d’Erik. La gynéco introduisit son majeur. Erik se contracta. Hey, doucement ! Je vous prie de vous calmer et de vous détendre. En prononçant ces paroles, elle inséra un deuxième doigt tout en le fixant intensément, avec un sourire moqueur. Tout en palpant sa prostate, elle empoigna sa queue redevenue raide. Bon, tout va bien de ce côté-là. Je remarque que cela vous excite que d’être exploré par ici. Nous allons, à présent, étudier votre résistance à retenir votre éjaculation. Léa, apportez le vacuum et le double cockring. Erik était rouge de honte, mais passablement excité lorsque Léa lui appliqua lentement, de haut en bas du gel, sur son pénis. Je le vis soupirer d’aise en la regardant faire.Lorsque la gynéco enfila le vacuum muni du cockring à sa base et enclencher l’aspiration sur sa queue déjà bien raide, Erik tressauta et réalisa qu’il était maintenu prisonnier sous l’emprise de la machine. Comme ce fut le cas pour mes seins lors de ma consultation, le même scénario se produisait pour lui, mais cette fois, pour faire croître et gonfler son sexe. Je caressais inlassablement ma chatte en me demandant quels tourments allaient administrer ces deux diablesses à mon conjoint. Son pénis était aspiré à chaque pression sur la poignée du tube, l’emplissant jusqu’à sa totalité. Erik transpirait, remuait son bassin, gigotant sur le siège. Je n’en peux plus, madame ! Ça fait un mal de chien ! Il faut que je jouisse ! Oh que non ! Il n’en est pas question ! Il faut résister. Vous êtes là pour ça, répliqua-t-elle d’un ton sans ambiguïté. Léa à vous ! Je vis alors celle-ci faire glisser le premier cockring étranglant la base du pénis, puis le deuxième suivit au-dessus des testicules. Le vacuum fut enlevé en laissant la queue d’Erik énorme, raide et épaisse, ainsi garrotée. Satisfaites de leur travail, la gynécologue et Léa ne purent s’empêcher de caresser leur uvre monstrueusement érigée, aux veines saillantes, au large gland violacé. Chacune palpait, tâtait la fermeté du bel ouvrage, tandis que leur autre main s’activait entre leurs cuisses, sous leurs blouses respectives.Erik suait à grosses gouttes. Quel bel ouvrage Léa ! On en mangerait, quel beau phallus, s’exclama le médecin en ricanant. S’adressant à Erik, elle ajouta : Avec ces garrots, vous ne pourrez pas éjaculer. Nous allons donc faire un petit test afin d’apprécier votre résistance. Sous son ordre, Léa lui apporta une petite roulette à piques. Erik écarquillât les yeux et paniqua d’un coup : Oh non ! Pas ça ! Docteur ! Je vous en prie ! Pourquoi cette torture ? Détachez-moi, s’il vous plaît. Tss ! Tss ! Allons, jeune homme, pas de rébellion ici. Tout ça est pour votre bien, vous ne le regretterez pas. Je suis certaine que cela fait partie de vos fantasmes. Ce sont de tout petits picots de rien du tout, sourit-elle. La spécialiste appliqua l’instrument sur les testicules congestionnés et déplaça lentement la roulette de droite à gauche. Erik se tétanisa et plus encore lorsque les piques parcoururent le long de son pénis jusqu’à son gland. Essayant de se dégager, le docteur lui saisit la queue et lui dit d’un ton menaçant : Arrêtez de vous agiter sinon, j’appuie plus fort. Léa, la main sous sa blouse, se caressait la chatte, tout comme moi, absorbée par cette scène sadique. Les yeux brillants, le docteur passa la roulette sur le gland et au niveau du frein du pénis. Erik se crispa, s’agrippant aux accoudoirs du siège et râla, comme s’il avait eu un orgasme. Satisfaite, le docteur déclara : Pas mal ! Il n’a pas éjaculé ! Continuons ! Léa, amenez les plaques et le bandeau. Quand celle-ci revint, je vis que le siège avait été redressé. Erik se retrouvait en position demi-assise, bandant comme un âne sous l’action des cockring. Ses couilles pendaient dans le vide. Bien, jeune homme ! Voici presque l’ultime étape où vos sens vont être mis à rudes épreuves. Sachez que plus vous résisterez, plus vos efforts seront récompensés. Est-ce bien compris ? Erik, presque tremblant, répondit : Oui docteur ! Vous pouvez m’appeler : « Maîtresse », maintenant au point où vous en êtes. Je suis certaine que vous adorez cela. Oui, doc..., euh ! Maîtresse. En réponse, un sourire sardonique se souligna sur les lèvres du médecin. J’étais effarée de la scène qui se déroulait sous mes yeux. Quant à Léa, se tournant vers la caméra, m’envoya un baiser accompagné d’un clin d’il.Se plaçant derrière Erik, elle lui demanda de fermer les yeux et lui mit un bandeau noir. Je la vis tendre ensuite deux plaques de métal doré à sa patronne. Celle-ci s’empara de la première, articulée de deux mâchoires, la positionna au-dessus des testicules et la referma avec un petit loquet.La deuxième plaque garnie de picots et de deux vis papillon fut placée, cette fois, en dessous de ses couilles. Les vis introduites dans les orifices de la première plaque pouvaient sous l’action de doigts diaboliques resserrer le petit étau ainsi constitué. Alors jeune homme. Est-ce que cela correspond à vos attentes ? Avouez que cela ravive vos fantasmes ! Je ne sais pas madame... euh ! Maîtresse. Ah bon ? Cela ne vous dit rien ? Moi, j’ai découvert cela dans une vidéo, sur une clé USB voyez-vous ! Je m’en suis inspirée. Je pensais donc que cela ne vous déplairait pas de vivre la même expérience. Je vis Erik perdu, acculé, baissant la tête. Ne disant plus rien. La gynéco, attendant une réaction de sa part, tourna les vis d’un tour, faisant ainsi se rapprocher les plaques métalliques entre elles. Non ! Non ! Pas ça ! Arrêtez ! S’il vous plaît. S’il vous plaît qui ? Pardon ! Maîtresse. Bon, j’arrête ! dit-elle en soupirant. Léa à vous ! Je vis alors Léa s’approcher, les yeux pétillants, saisir les papillons des vis et donner deux tours complets, arrachant un cri rauque à Erik. Oups ! Vous y avez été un peu fort Léa, ricana la gynéco. Oui, madame, mais cela correspond à un tour de ma part et un autre de la part de Lucile. Oui, je vois ! Mais vous, mon ami, bravo ! Vous avez réussi à vous retenir, dit-elle en lui caressant la queue. C’est alors que je vis celle-ci enlever sa blouse et apparaître comme elle m’était apparue la dernière fois en démone provocante. Les mains sur les hanches, juchée sur ses talons hauts, ses seins opulents reposaient sur les balconnets de son corset et ses jambes parées de bas noirs formaient un compas jusqu’à son sexe lisse et luisant de mouille. Léa ouvrit la porte du bureau et me fit signe d’entrer en silence : Viens Lucile ! À toi de t’amuser maintenant.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !