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Une cousinade ou plus encore?

Chapitre 1

Erotique
Une cousinade ou plus encore?écrit par BloodthirstyBorn

Le romantisme est de mise, comme la poésie est transmise.La tendresse est la clé qui ouvrira les portes à l’amour qui vous fera ronronner.Oubliez la moral que peut vous dictez votre conscience banal.Si vous ne vous laisser point envahir de plaisir.Vous passerez à côté de ce qu’il y a de plus glamour, ... l’Amour.
    Bloody

Je me présente, Samuel Carmen, 26 ans. Je suis né d’une mère, aux origines Inuit et Algonquin. Mon père possède des origine canadienne très forte et irlandaise éloigné. Je mesure 170cm et pèse 62kg, j’ai un tour de taille de 109cm et un tour de biceps de 36cm. Côté physique, j’ai un corps bien équilibré, de corpulence normale, avec un ventre plat qui laisse entrevoir de jolis abdominaux. Mes épaules larges renforcent ma silhouette en V. Je possède de petites fesses bien musclées et bien équilibrées. Le profil ectomorphe est le plus présent chez moi et mon physique n’est pas aussi athlétique que l’on pourrait s’imaginer, malgré ma musculature assez bien proportionnée pour mon corps. Ma verge mesure 16.5cm de long et 15cm de circonférence, ce qui me parait être dans la normal. De plus, je suis circoncis depuis ma naissance. Je n’affiche ni un corps d’apollon, ni un teint caramel, ni un regard de feux… mais le secret de mon charme, je pense, se trouve dans ma nonchalance et mon côté distant et mystérieux. Ça donne envie de me consoler et de me protéger, comme certains(es) amis(es) m’ont déjà dit. Pour ce qui est de ma voix, elle est douce, emplie d’émotion et de vécu, tout en restant dans un ton Soul, surtout lorsque je chante. Ma voix est une source de chaleur et de réconfort, de ferveur et d’émotion collective, comme disait mon professeur de chant.J’ai un visage aux traits ciselés, presque féminins. Une couleur de peau aux traits diaphane. Mon sourire est un peu pâle, comme ma peau, mais demeure charmeur. J’ai les yeux de couleur gris-vert ainsi qu’un regard qualifié de ’’bleu laser’’, celui d’un serial séducteur, selon ma coiffeuse et plusieurs autres copines au salon de spa. J’ai les cheveux de couleurs châtains et niveau barbe, je porte une barbe de 3 jours combiné à un bouc de 10 jours. Mes sourcils encadrent bien mes yeux et font ressortir ceux-ci. Côté vêtement, je m’habille avec un jeans bleu, une camisole blanche et une chemise grise aux motifs lignés blancs. Je porte souvent ce style de vêtements.Je parle couramment 8 langues apprissent depuis mes 5 ans. Le français, l’anglais, l’espagnol, l’inuktun (langue inuit), l’algonquin (langue algonquienne), le gaélique d’Irlande (langue irlandaise), l’allemand et le portugais brésilien. J’ai pris des cours de danse, de cuisine, d’art martiaux et de musique, depuis l’âge de 8 ans. J’ai également appris la mécanique avec mon père durant mon adolescence. Cela fait beaucoup d’enseignement me direz-vous. Moi je vous dirai que l’apprentissage est primordiale et c’est l’un de mes passe-temps favoris. Voilà qui je suis.

Chapitre 1 : Une nouvelle rencontre
Bonjours, je m’appelle Samuel. Je suis un homme comme les autres, et je vais vous raconter l’histoire incroyable que j’ai vécu lors d’une cousinade, cette été.Certains penseront que ce genre de chose est immorale, voir même dangereuse, en ce qui concerne la relation entre un cousin et une cousine, mais je vais vous démontrer qu’il n’en est rien.
Nous sommes le 29 juin 2014. Comme chaque année, à cette époque de l’année, je prend des vacances. Cette année-ci, par contre, je ne savais vraiment pas où aller. J’avais l’habitude d’aller voyager un peu partout mais, pour le moment, cela ne me disait vraiment rien.
À la sortie du spa où je travail, je me dirigea vers mon auto pour retourner à la maison, quand le téléphone sonna. C’était mon cousin Alan, au 4ième degré maternelle
— Salut Sammy, tu fait quoi là?
— Al? Ça fait longtemps. Je sors du boulot et toi ?
— Pareil. Dit-moi, fais-tu quelque chose pour les vacances? Aller voyager ou autre chose du genre, que t’aime tant?
— Non cela me gave au bout d’un certain temps. Je ne sais pas quoi faire pour les vacances. Peut-être rester à la maison et faire quelques sorties.
— Si tu n’a pas d’idée, tu pourrais venir à la réunion de famille qui est organisée par l’un de nos cousins? Ça te dit?
— C’est chez qui, quand et pour combien de temps?
Alan m’expliqua que la réunion allait se dérouler chez Hervé Gilbert, un cousin du côté maternel, au 5ième degré. De plus, Hervé voudrait que l’on reste chez lui afin de passer deux mois de vacances. Je n’étais pas sure que cette idée allait me plaire, car je ne le connaissait pas, mais je consentis à m’y rendre. Arrivée à la maison, je pris une douche réparatrice, pour me remettre de mes efforts dû à mon travail éreintant. En sortant de celle-ci, j’enfilai promptement quelque vêtement tout en me parfumant au Axe, fis mes valise et partis rejoindre Alan à son domicile. Je ne l’avais plus revu depuis 10 mois, alors je me demandais ce qu’il faisait maintenant. S’il travaillait encore comme photographe.

Parvenu à l’avenue Lajoie, après plus de deux heures de route qui séparait Gatineau de Montréal, j’aperçu enfin sa maison. Je sonna à la porte et une très belle femme me répondit. Elle avait, de surcroît, une voix suave à redonner sa vigueur à un mort.
— Bonjours, que puis-je faire pour vous?
— Eh, excusez-moi, je crois que je me suis trompé d’adresse.
— Et qui cherchez vous?
— Je suis venu chercher mon cousin Alan mais je crois qu’il a déménagé d’ici. Je vais l’appeler.
— Non il est ici, entrez. Je vais le prévenir de votre arrivez. Je ne pensais pas que vous arriveriez si tôt.
J’entrais dans le hall d’entrée et pendant ce temps, je regardais la magnifique silhouette de cette beauté qui s’éloignait petit à petit de moi et qui montait l’escalier. Du haut de ses 165cm et 55kg, elle avait un corps de rêve. Une poitrine de 85B avec une mensuration de 82-58-85. Ses longs cheveux blond ondulés et épais faisaient ressortir ses yeux bleu pâle. Ses yeux lui donnaient un regard tout à fait sublime et captivant, malgré le peu de maquillage qui ornait son visage. Sa peau légèrement bronzée, sans imperfection, afficha une disparité qui perfectionna son corps à l’allure athlétique. Ses courbes très sensuelles contrastaient avec sa féminité par de jolies petites fesses bien équilibrées et par de longues jambes fines ayant reçu l’épilation intégrale, tout en affichant une poitrine ronde et généreuse. Elle était une vision érotique bien réelle, en prenant en compte ses vêtements qui n’enlevaient rien à son charme. Un joli petit chandail blanc renfermant ses avantages certains, qui je devinais être ferme, et une jupe bleu assortie à ses yeux. Ses parents l’avaient bien réussi, cette vénusienne sur deux pattes.Je suis au paradis, pensais-je un court instant, avant de voir arriver Alan, tout joyeux à la descente de l’escalier. Il avait quelque peu changé depuis la dernière fois que l’on s’était vu. Il était moins musclé qu’avant, en dépit de ses 172cm de haut et 62kg. Il avait pourtant conservé ses jolies petites fesses, comme quelques filles indiscrètes disaient entre elles, durant notre jogging du matin. Ses vêtements de jogging rouge, arborant deux bandelettes blanches sur les côtés, faisaient ressortir ses yeux brun. Il arborait une coupe de cheveux asser courte et une barbe totalement rasé. On aurait dit un joueur de la NBA qui se préparait pour aller au championnat, malgré qu’il n’avait pas la taille des joueurs. Il a 32 ans.
— Salut Sammy! me lança t-il.
— Salut Al, comment vas-tu?
— Bien et toi? Tu es prêt pour prendre la route et direction les vacances?
— Ouais alors on y va?
Ah, j’allais oublier de t’en parler. C’est qui c’est déesse que j’ai vu en arrivant? La fille des voisins qui est venu squatter chez toi. Dis-je ironiquement.
— Non c’est ma petite-amie mais c’est vrai qu’elle n’est pas mal, hein?
— Plus que pas mal. (Je laissais échapper quelques secondes et lui dit) Va t-elle venir aussi?
— Oui, elle nous accompagne et pour te mettre au parfum son nom est Rachelle Rodrigez Azwalt. Mais appel la Rachelle, ça sera moins compliquer. Elle a 29 ans.Toi et moi avons du temps à rattraper, alors si tu es partant, nous pourrions tous monter à bord de ta voiture afin de se rendre à Wakefild. Nous en avons pour 2 h30 plus ou moins et de cette manière, nous pourrons nous raconter nos dix mois passer sans nous visiter. Quand penses-tu?
— D’accord mais tu ne pourras pas aller à la ville autant que tu le souhaites sans voiture.
— T’inquiète, Hervé m’a dit qu’il avait plusieurs voitures chez lui et qu’il m’en prêterait une.

Sur cette phrase, nous partîmes tous dans ma Civic manuel de couleur noir, direction la maison d’Hervé. Le chemin faisant, nous parlâmes de nos accomplissement durant le temps où l’on ne se visitait plus car trop occupé par le soucis de la vie. Alan m’expliqua qu’il était devenu écrivain et moi je lui raconta le chemin parcouru afin de devenir massothérapeute en attendant de terminer mes études en médecine. Après une bonne heure de discutions, nous nous avions tout contés et Rachelle eut envie d’écouter de la musique country. Elle me demanda si j’étais d’accord pour qu’elle installe son CD et, après le hochement de tête opportun, elle s’exécuta. Dès la première chanson, elle s’est mise à chanter. Alan, qui était assis derrière et moi qui conduisait devant aux côtés de Rachelle, l’accompagnèrent car ce CD était dans notre liste de favori également. Ce qu’elle avait une belle voix, une voix puissante avec une étendue vocale impressionnante.Après plus de 2 heures de route interminable, nous voilà enfin arrivés à destination. Devant nous se dressa une très belle maison et grande par dessus le marché. Elle est située à l’écart du village, à la campagne. Il y a un étang qui fait presque penser à un petit lac personnel, à environs 100m de la maison, derrière une haie d’arbustes. Donc, ceux qui s’y baignent sont à l’abris des regards indiscrets. À gauche de la maison, il y a une grande forêt qui dit-on, selon Alan, n’abrite plus aucun animal sauvage. À droite, une grange.Nous débarquons de voiture au moment où Hervé viens à notre rencontre.
— Salut les jeunes, pas trop fatigués de cette longue route? Venez à l’intérieur. Je vais vous montrer vos chambres et vous présenter ma femme Suzanne Reynaud.
Nous acquiesçons et le suivirent. Il faut dire qu’Hervé semble être un bon vivant. Il mesure 172cm pour un poids de 67kg. Il a un corps bien proportionné et conservé dans une bonne forme outre ses 50 ans et son métier de comptable qui ne lui laisse pas beaucoup de temps pour s’entraîner. Il a une coupe de cheveux de couleurs bruns avec un teins gris sur les côtés, coiffés en arrière et arbore une barbe de 7 jours. Il a les yeux bleu vraiment foncé, ce qui donne, avec sa silhouette, une allure d’homme mature assez viril et un peut mauvais garçon. Il s’habile avec une paire de jeans bleu marine, une chemise blanche et porte des lunettes de soleil noir. Sa voix a un ton plutôt grave et en est un peu rauque.

En entrant dans la maison, nous passâmes par la cuisine et je remarqua immédiatement Suzanne. Belle grande blonde brésilo-amérindienne de 48 ans, aux mèches noircis, mais qui parait en faire 36. 168cm de haut pour 57kg. Ses mensurations sont de 89-63-91 et elle affiche une poitrine de 85C. Ses yeux couleurs paires s’harmonise bien avec sa longue robe rouge aux motifs blancs. Dès qu’elle nous parles, pour se présenter, je distingue une voix un peu plus aiguë que la moyenne. Elle est tout de même bien jolie, du type BCBG qui fait fantasmer plusieurs gars dans ses habits de secrétaire d’hôpital.Après avoir fait connaissance avec Suzanne, Hervé nous amène à nos chambre respectif et nous y déposons nos valises. Comme nous sommes arrivés une journée avant le reste de la famille, Hervé nous dit de profiter de son étang personnel, derrière la maison, où l’accompagner en ville dans le but de faire une réserve de nourriture. Alan propose tout de suite ses services, tandis que moi, je préfère aller me baigner car la route fût longue et le début de la journée très chaude, surtout dans mon pantalon. Il faut aller rafraîchir le colosse. Blague à part, je pris mon maillot de bain, simple short, et je me dirige vers l’étang. Rachelle, quand à elle, resta aux côtés de Suzanne. Il devait être aux environs de 13h20.Arrivée devant cette source d’eau, il ne me restait plus qu’à traverser la petite haie d’arbuste quand soudain, je remarqua une silhouette féminine dans l’eau. Cette femme se leva et je ne pus croire ce que je voyais. Une femme nue mesurant 165cm, ne faisant pas plus de 55kg et dandinant un 90B de bonnet. Ses mensuration sont de 87-60-88. Elle a une morphologie qui lui sciée bien, étant svelte et d’une beauté qui ne passe pas inaperçue. Une silhouette rectangulaire avec des hanches peu marqué et une musculature bien présente de type ectomorphe. Des courbes très sensuelle contrastant avec sa féminité par de jolies petites fesses bien équilibrées, rattachées à de longues jambes fines ainsi qu’une poitrine généreuse et bien galbée.La jolie brune a un visage arrondi doté d’un front haut et bien dégagé, qu’elle sait parfaitement équilibrer grâce à ses très beaux cheveux lisses et épais. Cette chevelure fuligineuse lui arrive un peu en-dessous des fesses. Elle possède une peau sans imperfection au teint halé parfais. Mais sa vrai force lui viens de ses yeux au regard intense, d’un bleu pâle mélangé à une nuance de vert un petit peu foncé, qui sont sublimé par son teint au métissage unique. Elle arbore également un petit nez fin et un bout de nez un peu anguleux, parfait pour attraper la lumière et lui donner un air mutin. Ses lèvres sont pulpeuses, sans être vulgaire pour autant, et affiche un contour bien régulier. Ses sourcils sont épilés à la perfection et encadrent bien son jolie visage. Côté maquillage, elle aime intensifier son regard de chat et il lui suffit de peu de chose pour avoir un regard hypnotique. Pour le reste de son visage, elle garde un effet naturel illuminé par son teint métissé. Juste un coup de blush abricoté et le tour est joué, un peu de blush pour donner du pulpe à ses lèvres.Je m’approche un peu plus près des arbustes, pour mon plus grand plaisir, afin d’admirer ses trésors cachés d’un peu plus près. Son intimité renferme de belle lèvres lisses et douces, sans poils apparent, dût à une épilation intégrale de tout son corps. Ses seins ronds et fermes exhibent de petits aréoles d’un rose pâle surmontés de petits tétons d’un rose un peu plus foncé mais demeurant dans la palette des roses pâles. Bref, j’ai cru pendant quelques secondes que je venais de voir une nymphe. C’était d’autant plus crédible en l’écoutant chanter. Une voix magnifique. Cette vision angélique me mis dans tout mes états, j’étais hypnotisé par cette femme et je dus manquer de subtilité car cette déesse s’aperçu de ma présence et essaya de cacher son intimité.
— Qui est là? Montrer vous! (dit-elle en affichant un visage rouge de honte, probablement).
— Désolé, je ne voulais pas vous faire peur mais je me demandais qui cela pouvait bien être. Je pensais être seul au alentour de ce terrain. Qui êtes-vous? Et pourquoi êtes-vous ici sur ce terrain? Il appartiens à M. Gilbert.
— Je suis Julie et je suis sur la terre de mon père. Vous, qu’est-ce que vous faites ici? Qui êtes-vous?
— Oh... Je ne savais pas qu’Hervé avait une fille. Je suis Samuel et j’ai été invité à venir passer les vacances d’été ici ainsi que participer à la fête des retrouvailles familiales.
— Ah bon, retournez-vous afin que j’enfile mon maillot de bain et, en suite, vous pourrez venir vous baigner.
Je me retournais mais ne savais penser à autre chose, qu’au sublime corps de rêve que j’avais eu la chance inopinée d’apercevoir. Je devais absolument essayer, et ce de toute mes forces, de penser à autre chose car mon short était déformé par cette vision du nirvana, LA BEAUTÉ mythique, celle que chacun rêve en secret de rencontrer. J’avais le Saint-Graal derrière moi, à porter de main, et je ne pouvais même pas espérer m’y abreuver. Car cette créature mythique était ma petite-cousine, au 5ième degré maternelle. Nous avions un bisaïeul en commun.
— C’est bon, vous pouvez vous retourner, je suis habillée.
— Julie, vu que nous sommes cousin, est-ce qu’on peut se tutoyer. Ça serait mieux je pense.
— Ok. Tu peux te retourner, tu sais.
C’était bien beau tout cela mais ma colonne de chair ne voulait toujours pas fondre. Elle préférait être dure comme une poutre de métal. Je dus entrer dans l’étang à reculons, ce qui faisait rire mon interlocutrice. Avec cette manœuvre, je ne voyais pas où je mettais les pieds alors j’ai trébuché et me suis retrouvé, sur le dos, à quelques centimètres de ses jambes. Là, plus la peine de lui cacher quoi que ce soit, elle avait une vue imprenable sur la bosse qui déformait mon maillot.
— Est-ce moi qui te met dans cet état?
— Oui mais ce n’est pas quelque chose que je peux contrôler comme bon me semble.
— Je comprend mais, d’une certaine manière, j’en suis flattée. (dit-elle timidement)
— Rougissant, je lui dis : Qu’est-ce que tu faisais ici sans maillot? Il aurait pu y avoir quelqu’un qui te surprenne et étant mal intentionné...
— Comme toi? dit-elle en me coupant la parole. Non je rigole [elle rougissait à son tour].Je voulais profiter du soleil car je n’en ai pas l’occasion, étant souvent partie étudier à l’université.
— Et en quoi est-ce que tu étudie?
— En infirmerie. Je veux devenir infirmière. Je travail également comme esthéticienne après mes cours. Donc je n’ai pas beaucoup de temps libre avant mes vacances.
— Ah c’est bien.
— Et toi? Qu’est-ce que tu fais? Je veux dire es-tu au étude ou travail-tu?
— J’étudie également à l’université avec l’objectif de devenir pédiatre. Et en attendant de finir mes études, je travail comme massothérapeute dans un spa réputé de ma région.
— C’est marrant, tous les deux on pratique le massage dans notre travail. Drôle de coïncidence.
Nous avons continués à bavarder pendant plus d’une heure, à faire plus ample connaissance et avons décidés, d’un commun accord, de rentrer à la maison. Je m’étais calmé depuis un moment et c’étant parfais car je ne voulais pas que Julie dise quoi que ce soit à propos d’érection. Encore moins rencontrer Alan ou Hervé, qui devait être revenu du village depuis le temps.

Arriver à l’intérieur, nous avons pris une douche à tour de rôle et sommes partie en direction de nos chambres respectifs, situé l’une à côté de l’autre, à l’étage. D’ailleurs, il n’y avait que deux chambres à l’étage et elles étaient réservés pour Julie et moi. Nous nous sommes ensuite dirigés vers la salle à dîner. Julie demanda à sa mère quel serait le repas du soir.
— Maman, qu’est-ce qu’on mange ce soir?
— J’ai pensée faire une fondu au fromage ou une lasagne. Qu’en dites-vous?
— J’aimerais bien Suzanne mais mon estomac ne supporte pas bien le fromage. (dis-je)
— Comme c’est dommage, je vais penser à autre chose alors.
— Dites, et si je préparais le repas? Est-ce que cela dérangerais quelqu’un? (demandai-je sur l’impulsion du moment)
— Moi non et je ne crois pas pour Hervé et les autres. Toi Julie?
— Non. Mais sais-tu y faire dans la cuisine?
— Oui je me débrouille, j’ai pris des cours de cuisine vers l’adolescence. (Et j’ai obtenu un diplôme en art culinaire, dis-je dans ma tête.)
Après un accord de tous, je décida donc de préparer comme entré : de belles langoustines juste saisies au Combava avec un succulent vin Riesling blanc. Comme plat principale : un ris de veau doré au sautoir, cristaux de sel « Maldon » avec de jeunes poireaux grillés et légumes printaniers arrosés d’un jus de veau tranché. Comme désert : une bananes caramélisées au vieux rhum et vanille Bourbon avec une glace à la praline rose et citron vert. Et pour finir en beauté, un bon vin Beaujolais rouge. J’avais les ingrédients car j’en avais donné la liste à Alan. J’avais l’intention de cuisiner ce plat le lendemain soir mais je décida de le faire de suite.Je me mis à la tâche et commença donc mes plats. J’avais appris cette recette avec mon ancien instructeur, donc je la connaissais sur le bout des doigts et je savais qu’ils allaient en être friands. Julie resta depuis le début jusqu’à la toute fin, tandis que Suzanne partie au bout d’un moment rejoindre Hervé et les autres au salon. Après avoir terminer, nous passâmes au salon pour nous reposer. J’ai été chercher, dans ma chambre, l’un de mes livres préférés. Faust de Johann Wolfgang von Goethe, un poète, romancier, dramaturge allemand né en 1749.Je m’installa sur le divan, près d’une lampe de table afin de lire la suite de mon livre, quand Julie vint s’asseoir à mes côtés. Intriguer, elle voulais connaitre l’histoire de mon livre et me demanda de le lui tendre.
— Est-ce que je peux le voir quelques instant?
— Bien sur! (je lui tendis et esquissa un léger sourire car je savais bien qu’elle ne réussirait pas à le lire).
— C’est écris en quel langue? Je n’arrive pas à le lire. Qu’est-ce que ça raconte?
— C’est écris en allemand, c’est Faust, un conte de Goethe. Il l’a écris il y a près de 200 ans.
Ça raconte l’histoire de Faust qui y est présenté comme un homme admiré par le peuple pour sa sagesse, épris de connaissance profonde, vivante, transcendante. Accablé par l’insignifiance de son savoir et désespérant de ne rien découvrir qui puisse le satisfaire, il signe un pacte avec Méphistophélès. Celui-ci doit l’initier aux jouissances terrestres et le servir fidèlement dans ce monde. En échange de cela, Faust s’engage à lui livrer son âme dès qu’il ira dans l’autre monde, au lieu de chercher sans trêve de nouvelles jouissances, il dira paresseusement à l’instant qui passe « Arrête-toi, tu es si beau ! ».
— Veux-tu en lire une partie pour moi et me le traduire si tu en es capable? En plus je ne savais pas que tu parlais allemand.
— Il y a beaucoup de choses que tu ignore de moi. Mais oui je veux bien en lire.
— Je ne demande qu’à connaître, me lança t-elle avec un sourire radieux.
— Peut-être plus tard. Je vais commencer par le début.
Je ne pouvais pas le lui refuser, elle était si belle et avec sa voix si douce. Je lui fis la lecture pendant plus de deux heures et elle s’endormit sur mon épaule comme une gamine à qui on lisait une histoire pour l’aider à fermer les yeux. Hervé remarqua que sa fille s’était assoupie contre mon épaule et le fit remarquer à Suzanne. Alan et Rachelle étaient parti se coucher depuis un moment déjà.
— Hé, Sue, regarde notre petite Julie. Elle dort contre Sam.
— Il faudrait la porter à sa chambre tu ne crois pas? (Dit-elle à Hervé en me regardant).
— Je crois bien que oui. (Dit-il, avec un léger sourire, tout en me regardant à son tour).
-Tu devrais aller la porter sur son lit, me dit-il.
Je mis le livre sur la table à mes côtés, pris Julie dans mes bras, non sans afficher mon contentement, et la porta jusqu’à son lit comme Hervé me l’avait demandé. Elle sentait tellement bon que j’aurais bien voulu la toucher à des endroits érogènes, afin de la stimuler pour l’inciter à aller plus loin, mais je ne voulais pas le faire sans sa permission. Je lui offris un baiser sur le front, me retourna et parti prendre une autre douche en m’assurant de bien fermer sa porte, pour ne pas la réveiller en passant devant sa chambre quand je sortirais de la salle de bain. Cette douche allait être bénéfique et j’en avais besoin. Les images de Julie nue me revinrent à la mémoire, me hantaient, pendant que l’eau coulait sur ma peau. Je sentis une chaleur monter depuis mes reins et commença un lent va-et-viens avec mon amante de toujours, ma main. C’était tellement bon car cela faisait plusieurs jours que je ne m’étais branlé. Maintenant, j’avais vraiment les bonnes images pour le faire, Julie. En dépit de notre liens de parenté car elle était ma cousine, si éloignée soit-elle, elle n’en demeurait pas moins une créature de rêve. Il fallait qu’elle me laisse goûter à ce fruit du paradis. Au moment ou je m’imaginait la faire jouir avec un cunnilingus d’enfer, j’exposa et vit quatre longs jets successifs s’expulser du bout de mon membre qui se balança au gré des spasmes.Cette jouissance m’avait fait un bien fou, malgré que je ne l’avais fait qu’une seul fois. Moi qui étais habitué à me masturber de deux à quatre fois par jour. Je sortis de la douche, me sécha et enroula une serviette autour de ma taille avant de partir. Au moment d’ouvrir la porte de la salle de bain, j’entendis des bruits de pas. Je n’y porta pas attention, ouvris la porte et sortis. Je me dirigea vers ma chambre quand je remarqua la porte de Julie entre-ouverte. J’étais sure de l’avoir fermer. Je m’approcha et vis Julie endormit avec la couverture au niveau de son nombril. La personne qui avait fait du bruit était peut-être Hervé, pensais-je. J’entrais dans la chambre pour remettre la couverture sous le menton de Julie. En me retournant pour partir, je sentis quelque chose tirer sur la serviette, qui tomba par terre. Je me retourna pour demander à Julie ce qu’elle faisait mais je la trouva endormi. Un réflexe, pensais-je, cela doit être un réflexe car elle a du entendre ou sentir ma présence. Je me couvris de la serviette et parti vers ma chambre pour aller me coucher. Et oui, je dort nu.

Le matin suivant, je me réveilla vers 5h00 comme tous les matins, afin d’accomplir mon entraînement quotidien, qui dure en moyenne deux bonnes heures, en face de la forêt. Environs trois minutes avant de terminer mon entraînement, je remarque une présence qui m’espionne. Je m’avance et vois que c’est Julie.
— Que fais-tu là, cachée près de la grange?
— Je me suis levée pour boire un vers d’eau et en passant devant ta chambre, j’ai remarquée que tu n’y étais pas. Je ne t’ai pas vue dans la maison alors je me suis dise que tu étais surement dehors. Et je suis venue voir ce que tu faisais à cette heure-ci.
— Je me réveil quotidiennement vers 5h00 pour m’entraîner. Voila ce que je fais.
— Pourquoi?
— Pour me maintenir en forme et parce que je fais partie d’un club d’art martiaux. Vu qu’il n’y a pas de dojo ici, je vais à l’extérieur.
— Et quel art martiaux est-ce que tu pratique? Le karaté? (rigolais-t-elle, en affichant un petit sourire).
— Non, le ninjutsu. Pourquoi est-ce que tu as souris en pensant au karaté?
— C’est que plusieurs l’apprennent.
— Tout art martiaux se valent. Tout dépend du combattant. S’il n’est pas bon dans le style choisi, c’est qu’il n’est pas adapté pour lui. Il lui faudra donc en essayer un autre.
— Et toi, de quel niveau de ceinture es-tu? (me lança t-elle sur un ton sensuel tout en avançant de manière provocante, vers moi).
— La ceinture importe peu. Elle n’est là que pour maintenir le pantalon. (lui dis-je, tout en avalant ma salive, quand elle arriva devant moi et parcourra ses mains sur mon torse).
— Au fait, nous sommes quitte pour hier, dit-elle.
— De quoi veux-tu parler?
— Moi aussi je t’ai vu nu.
Je réfléchis en me demandant quand elle aurais pu m’apercevoir nu et il ne me fallu pas longtemps pour comprendre.
— Alors tu ne dormais pas hier quand j’ai replacé ta couverture.
— Non, dit-elle en arborant un grand sourire espiègle.
— Tu l’a fais exprès de faire tomber ma serviette et s’est surement toi qui étais près de la porte de la salle de bain, un peu avant que je ne sorte.
— Oui j’avoue mais s’étais tellement tentant. Tu ne te rend pas conte à quel point j’ai pu avoir honte, quand tu m’a surprise hier. Alors j’ai voulu mettre les choses à égalité, mais toi tu t’es couvert trop vite et il faisait noir.
— Honte? Je peux comprendre, quoi que tu ne devrais au moins pas avoir honte de ton corps. Mais de là à vouloir me voir nu pour égalisé quelque chose, je ne t’ai pas vu exprès. Je croyais qu’il n’y avait personne, au début.
Je la sentais mal à l’aise par cette situation et lui proposa de couper net cette conversation et de rentrer à la maison. Elle accepta mais me demanda si je serais d’accord pour être à égalité avec elle.— Peut-être plus tard, lui répondis-je et nous sommes parti manger un déjeuner plutôt frugale.Quelques heures plus tard, je dus me rendre en ville pour acheter un paquet de crème solaire et quelques autres articles que j’avais oublier d’apporter. Julie voulu m’accompagner, prétextant vouloir faire les boutiques (une robe ou je ne sais quoi d’autre). Nous nous dirigeâmes vers ma voiture quand Hervé sorti de la maison et me demanda de lui rapporter un peu d’huile à moteur pour son frère qui venait de l’appeler et était en chemin. Suzanne sorti de la maison, se mis au côté de son mari, sur le porche. Elle lui dit quelque chose tout bas, au moment où nous quittions la cours avant.
— Elle semble heureuse au côté de Samuel, notre petite Julie. N’est-ce pas mon chéri?
— Oui tu as raison. J’espère qu’ils vont bien s’entendre entre eux et faire connaissance. Après tout, il est de la famille et il ne doit pas être bien méchant, ce garçon. De plus, ils ont presque le même âge. Lui il a 26 ans et elle 24 ans. Il m’a donné l’impression d’être assez doux,
— Oui j’ai également eu cette impression, dit-elle avec un sourire au coin des lèvres.
Sur la route, Julie s’étais assise à mes côtés et me demanda si j’accepterais de la laisser conduire ma voiture. Je lui répondis que je conduisais déjà et elle n’insista plus. Je la voyais songeuse depuis quelques minutes et je lui demanda ce qu’elle avait. Elle me dit, dans un ton assez décontracté, si elle pouvait venir s’asseoir sur mes genoux à la place. De cette façon, je n’aurais pas à changer de siège avec elle. Cette question me laissa sans voix pendant un temps. Par la suite, je me rangea sur le côté et lui dit oui. Elle s’assis sur mes genoux, avec sa mince petite jupette qui lui arriva près de sa petite culotte. J’eu de la difficulté à me contrôler tant elle m’excitait.

Arriver à la ville, nous ne perdîmes pas de temps et achetions tout ce don nous avions besoin. Avant de partir, Julie voulu s’arrêter dans un salon où il vendait de l’huile de massage.
— Entre, me dit-elle. C’est une amie à moi qui travail ici, c’est pas mal. Elle a le même âge que moi.
J’entrais et alla observer les différents produits. C’est vrai que c’était pas si mal. Il y avait un très grand choix de produits.
— Sam!, me lançait Julie. Viens que je te présente mon amie.
Je me tourna de 90 degré et aperçu une belle femme bronzé, affichant un tattoo en forme de papillon, près du nombril. Elle portait une petite camisole jaune, qui dévoila un magnifique ventre plat avec un piercing en forme de dauphin accrocher à son nombril et un 34C magnifiquement bien ferme. Un pantalon de jogging noir moulant ses superbes courbes entretenues par le sport et de très long cheveux blond, attachés en une queue de cheval.
— Bonjours, je suis Amanda Gabriella Di Cortèz. Mais appeler-moi Amanda ou Mandy comme mes amies m’appel.
— Bonjours, moi c’est Samuel Carmen. Vous avez ici une très belle collection d’huile à massage.
— C’est vrai que l’on en a plusieurs. Vous vous y connaissez en huile? Ou sinon je peux vous aider.
— Non laisse faire Mandy, il s’y connait. Il est massothérapeute.
— Ah... mmmm..., alors est-ce que je peux vous demandez si vous accepteriez de m’offrir un massage pour détendre mes muscles endoloris, au moment qui vous plaira? Je vous paierai, cela va de soit.
— Je suis en vacance pour le moment, alors je suis pas trop intéresser de reprendre le travail régulier. Mais si c’est pour une ou quelques exceptions, c’est d’accord.
— Chouette, vous n’aurez qu’à m’appeler le moment qui vous agréera. Juju a mon numéro.
— Oui mais fait lui bien attention, je ne voudrais pas perdre mon cousin que je viens à peine de rencontrer.
— Oh, je vais pas le manger tout de même, c’est juste un massage.( rigola t-elle).
Nous nous quittâmes avec quelques échanges de rires.Sur le retour, Julie me dit quelque chose qui me laissa songeur et perplexe, tout en laissant sa main gauche sur ma jambe.
— Je crois que tu as un ticket avec Mandy. Elle est plutôt pas mal, non? J’espère que tu n’iras pas vers elle et m’abandonner seul dans mon coin. Elle n’est plus... Tu sais? (à ce moment, j’ai remarqué qu’elle avait rapprocher sa main droite de sa petite culotte. Mais dans quel but, la replacer ou plus encore?)
— Vierge?, lui dis-je.
Elle acquiesça.

Sur ce, nous repartîmes à la maison. Durant le trajet, je me demandais ce qu’elle avais voulu dire par l’abandonner. Nous n’étions pas un couple, et je crois qu’il n’y avait rien qui laissait présager une future partie à trois ou autre chose du genre. Je la vis qui étais troubler et regardait par la fenêtre mais je ne savais pourquoi. Mes idées se bousculèrent jusqu’à notre retour. Je fît la connaissance de Jacques, le frère d’Hervé qui était venu pour la réunion de demain.Après un repas copieux et quelques films devant la télé, je décida d’aller me coucher. Ce n’était qu’une excuse car j’avais été si émoustillé par ma journée et les images qui accablèrent mon esprit, que j’étais désireux de relâcher la pression par une bonne branlette traditionnel.À peine avais-je commencer que quelqu’un frappait à ma porte. Je passais sous les couvertures et demanda qui était-ce.
— C’est Julie, me répliqua t-elle. Est-ce que je peux entrer.
— Oui, entre.
— Salut, me dit-elle avec un léger sourire tout en refermant la porte.
Je m’aperçu immédiatement de sa tenue, pour le moins excitante. Une nuisette rosé. Elle tenait également une bouteille à la main.
— Dit donc, tu n’a que cette tenue?
— Oui c’est ça que je porte toutes les nuits.
— Qu’est-ce que tu veux?
— J’avais une question à te poser, me dit-elle en faisant tomber les deux petites bretelles de ce minuscule vêtement, qui commença à glisser le long de son corps.
Cet instant, j’en avait rêver depuis que mes yeux s’étaient poser sur elle mais même dans mes rêves les plus fou, je ne pensait jamais que Julie se dévêtirait devant moi. Elle s’avança jusqu’à quelques centimètres de mon visage et me demanda si la vue me plaisait. Rouge, non de honte mais plutôt par excitation, je lui dis un oui dans un souffle court. Elle rit trois secondes et me dit,
— Je vois ça. Il y a une tente dans ton lit, il me semble. Je vais m’en occuper mais avant cela, j’aimerais que tu fasse quelque chose pour moi.
Elle se pencha et me susurra à l’oreille,
— Fait moi un massage. Un massage sensuelle.
Tout exciter par sa façon de me le demander, d’une voix toute tremblante, je m’exécuta. Elle s’étendit dans le lit, sur le ventre et m’offris une vue imprenable sur ses petites fesses ainsi que l’œillet un peu foncé entre ces deux lobes. Mon érection était tels que j’en avais mal juste en balançant ma verge de gauche à droit.
— Viens, me dit-elle?
Je pris l’huile à massage qu’elle avait apportée, en appliqua un peu sur mes mains et enduit une petite quantité sur son dos. En déposant mes paumes sur sa peau, Julie fut parcourut d’un courant électrique. Cela lui avait donner le frisson et je le voyait à sa peau qui se crispait. Je commença un massage en douceur, de la naissance de ses fesses jusqu’à ses omoplates. Je répéta la manœuvre plusieurs fois.
À près en avoir fini avec son dos, je descendis vers ses cuisses. Elles étaient tellement douces que je m’attardais dessus. Je passais souvent tout près de son intimité dépourvu de poils mais sans y toucher. Ce traitement dura un long moment, qui à mon avis devait être interminable pour elle car je la voyais essayer d’approcher son sexe vers mes mains. Dommage pour elle, je m’y soustrayais à chaque tentative. Le plaisir n’en est que meilleur.
— À présent, retourne toi, lui lançais-je. Je vais faire l’autre côté.
Julie, impatiente, fit demi tour. Totalement renverser par ce magnifique corps, j’en avais le souffle coupé. Ce qu’elle était belle. J’allais bientôt touché à ses fruits défendues, pensais-je, et j’y avais hâte. En m’attelant à la tâche, je huilais ce corps, au courbe hypnotique. Commençant par la naissance de son mont de vénus, tout en remontant lentement vers ses épaules en décrivant de petits cercles, je passa vers ses seins et m’y attarda quelques instants. Depuis plus de dix minutes maintenant, Julie avait une respiration saccadée qui ne laissait plus aucun doute sur son excitation.
Je me décida à passer à ses jambes pour lui prodiguer mes soins. Je répéta le manège comme précédemment mais maintenant, Julie avait les mains libres. Elles empoigna ma mains droite, me regarda droit dans les yeux avec une lueur brumeuse, et entrepris de faire descendre ma main vers ses petites lèvres. J’arrêtais son élans mais elle me regarda les larmes aux yeux.
— J’en ai envie, me lança t-elle. Touche moi, prend moi, fait moi jouir. Je veux savoir ce que l’on ressent. Déjà, ce que je ressent est incroyable, n’arrête surtout pas.
Dans un sourire, je descendis ma main vers cette antre du plaisir. Dès l’instant où j’ai posé un doigt sur sa fente, elle eut un petit orgasme qui la traversa. Je n’allais tout de même pas m’arrêter au début, alors j’entrepris de goûter à cette source abondante. Je passais ma langue agile, sur chaque centimètre de son corps, qui était offert pour moi. Au moment où ma langue toucha ce petit bouton du plaisir, Julie cria fortement et joui instantanément. Je dû lui mettre une main sur la bouche afin de couvrir ses cris car nous n’étions pas seuls dans la maison. Quelqu’un pouvait arriver à chaque instant. Quand Julie fini de crier son plaisir, j’enleva ma main de ses lèvres et continua de laper son petit minou. Un doux nectar s’y écoulait en quantité phénoménal et je dus m’appliquer avec entrain pour tout boire. Ma partenaire, quand à elle, se tortillait dans tout les sens.
Je m’appliquais à lui offrir un cunnilingus de premier choix, touchant à tout ses points sensibles, et elle, pour me remercier de ce traitement, criait de plus belle et m’inonda la bouche de son jus intime. J’alternais entre ses seins et son vagin. Elle jouissait maintenant sur commande. Un orgasme n’attendait pas l’autre. Elle eut droit à cette cure pendant plus d’une vingtaine de minutes avant de s’effondrer, tant l’extase qui l’envahissait était à son paroxysme. Je me pencha à ses côté pour la regarder, en attendant qu’elle reprenne son souffle et qu’elle redescend sur terre.
— Wow... C’étais totalement génial. C’est la première fois que quelqu’un me fait ça et j’ai tant joui, dit-elle entre deux respiration.
— Ça m’a fait plaisir que de te faire plaisir.
J’allais lui dire autre chose quand elle m’embrassa tendrement, goulûment puis devint frénétique. Elle sentait et goûtait tellement bon que je faillis éjaculer de plaisir mais je me retins. Elle cessa de m’embrasser et me demanda quelque chose qui me fit plaisir.
— Sammy, j’ai envie d’essayer de sucer ton pénis. Est-ce que ça te tente?
— Bien sur, lui dis-je.
Pour me tenter, ça me tentait. Julie descendit au niveau de mes hanches, en embrassant mon torse au passage, puis commença par lécher le revers de ma queue, dans un mouvement de bas en haut. Que cela était bon. Je me détendis et la laissa faire tout en lui expliquent ce qui me faisait le plus d’effet. Sa salive était chaude et me faisait beaucoup de bien. Elle dura un petit moment sur l’extrémité de mon gland mais ce qui faisait vraiment monter la sève, s’était quand elle passait sa langue sur les côtés de mon gland et en dessous de celui-ci. Elle arrêta plusieurs fois quand je lui dis que j’allais éjaculer afin de faire durer le plaisir. Le fait qu’elle manquait d’expérience m’excita encore plus. Après cinq à sept minutes de ce traitement, j’allais décharger mon plaisir et le lui dis. Elle retira sa bouche de mon pénis et m’acheva par une branlette. Elle reçu plusieurs giclées sur sa main et le reste tomba sur les couvertures.
Pendant que je me remis de mes émotion, Julie approcha sa main couverte de mon fluide, jusqu’à sa bouche et goûta. Elle me fit la remarque à propos de la saveur.
— C’est un peu amer mais ce n’est pas aussi mauvais que ça laisse penser. Il faudra m’y habituer je crois.
J’en revenais pas. Sa réponse répondait directement aux questions que je me posaient. À savoir si elle me laisserait recommencer ce traitement chaque soir. Remis de mon éjaculation, cette déesse me réclamait maintenant d’aller encore plus loin mais un autre jour.
— Il faudrait recommencer demain, tu ne crois pas? Et aller plus loin aussi, si tu es partant.
— Un peu que je le suis. Mais est-ce que tu es vierge? Car tu as dit que c’était ton premier cuni. Donc j’en déduis que tu l’es, non?
— Oui et je veux bien te donner ma virginité mais pas ce soir. Demain.
Après ces paroles, nous nous embrassâmes quelques minutes et dormîmes, lover l’un contre l’autre.

À notre réveil, il s’est dérouler une autre parti très importante de mes vacances, une partie que je n’oublierai jamais. Une partie qui changea l’orientation que prenait ma vie.Mais ce qui s’y passa est pour une autre suite...
À suivre.
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