Tous les étés je venais passer quelques semaines à la ferme de mes grands-parents au Lac St-Jean. J’étais natif de Roberval mais la vie fit en sorte que lorsque que j’étais très jeune, mon père trouva un emploi pour une compagnie aérienne. Toute la petite famille déménagea donc à Montréal. J’avais plusieurs cousins et cousines encore à Roberval et nous nous amusions beaucoup ensemble sur la ferme. Je participais à la récolte du foin, des petits fruits sauvages comme les fraises des champs, les framboises et les bleuets, la traite des vaches et l’alimentation des animaux de la ferme. L’une de mes tantes, sœur de ma mère, hébergeait une très jolie fille qui se trouvait en famille d’accueil en quelque sorte dans la maison voisine de mes grands-parents. De mon âge, elle avait un visage d’ange, les cheveux noirs mi-longs, les seins bien droits, une taille de guêpe, de belles jambes et un cul à faire rêver. Elle s’appelait Nicole. J’étais en plein milieu de ma puberté et le désir montait en moi à chaque fois que je la voyais. Je me masturbais déjà depuis un certain temps et la seule pensée de pouvoir avoir une relation sexuelle avec elle me permettait de jouir facilement et rapidement. Nicole venait pratiquement chaque jour à la ferme et je savais que ses parents adoptifs la surveillaient de près et observaient ses moindres agissements. Je cherchais un moyen de me retrouver seul avec elle quelque part dans l’un des bâtiments de la ferme mais nous étions constamment suivis par son frère et sa sœur adoptifs, enfants plus jeunes de ma tante. Nicole et moi aimions passer du temps ensemble mais ces deux chaperons indésirables ne cessaient de nous épier. De temps en temps je réussissais discrètement à lui voler un baiser sur la joue et dans le cou. Elle disait que ça la chatouillait et lui donnait des frissons. Mon intention était claire, je voulais faire l’amour pour une première fois avec cette fille. Je la désirais plus que tout et sa façon d’être avec moi me laissait croire qu’elle me désirait tout autant. Je devais planifier une situation pour éloigner tous ceux qui nous surveillaient de près ou de loin. Heureusement Nicole dormait seule dans sa chambre et je savais que ma tante, mon oncle et leurs deux enfants se couchaient tôt. J’avisai Nicole de rester près de sa fenêtre et que j’allais prendre une marche au bord du lac un certain soir. Nicole m’attendait tel que prévu et je réussis à la faire descendre de sa fenêtre de chambre en la soutenant de mes mains. et de mes bras. Je l’amenai dans le petit chemin qui menait à la voie ferrée près du lac. Il y avait une petite plage à environ 100 mètres perpendiculaire au bout du chemin et accessible en marchant le long de la voie ferrée. Des arbres cachaient l’endroit que nous connaissions puisque nous venions nous baigner dans le lac de temps à autre. Le ciel était dégagé, et la pleine lune éclairait le soir. Arrivés sur place, Nicole se mît à genoux dans le sable et je fis de même devant elle. Je lui passai la main sur la joue et vers ses cheveux en approchant ma bouche vers la sienne. Enfin nos lèvres étaient rassemblées et je ne cessais de l’embrasser follement partout sur son visage et dans son cou. Ses murmures et gémissements m’incitaient à continuer de plus belle. Elle passa ses mains sous mon gilet pour me le retirer et ensuite porter ses lèvres sur mon torse qu’elle caressait aussi de ses mains agiles. Elle remonta vers mon visage et m’avoua alors qu’elle était vierge. Je collai mon front au sien et rassurai en lui disant que nous allions prendre tout notre temps pour que ce soit merveilleux pour nous deux. Nicole s’éloigna un peu pour lui permettre de détacher sa blouse et l’ouvrir devant moi. Elle avait des seins magiques et bien fermes sous son soutien-gorge qu’elle s’empressa de détacher du devant. Seulement les bonnets retenaient sa poitrine et elle m’invita à les déplacer moi-même pour voir ses atouts féminins. Ses seins étaient en forme de poires et ses mamelons étaient pointus et surexcités. Chaque fois que mes doigts glissaient dessus, elle fermait les yeux pour apprécier le mouvement et le plaisir que cela lui apportait. Je posai ma bouche sur l’un de ses seins en faisant tournoyer ma langue sur son mamelon. Sa respiration était devenue saccadée. Je pris ses seins dans mes mains et je remontai l’embrasser passionnément. Elle avait une odeur de parfum délicat qui se dégageait de tout son corps. Je sentais que mon pénis ne pouvait rester coincé dans mon pantalon bien longtemps. Elle s’en rendit compte et porta ses mains à ma ceinture pour la détacher et avant de déboutonner la taille, elle passa sa main sur ma verge dont la forme apparaissait bien clairement sur le tissu de mon pantalon. Un frisson me parcourut le corps en entier et Nicole continua les caresses telle une femme expérimentée. Elle baissa ma fermeture éclair et vit que ma verge avait déjà laissé écouler un peu de liquide pré séminal au travers de mes sous-vêtements. Elle posa son pouce sur mon gland et prit plaisir à le masser avec cette huile qui lui facilitait la tâche. Elle baissa mon pantalon et approcha sa bouche vers ma queue encore cachée sous mes boxers et la mordilla tout du long pour faire monter l’excitation d’un cran. Elle gémissait et murmurait des sons d’une sensualité inouïe. Nicole descendit l’une de ses mains sous sa jupe, vers ses parties génitales et sentit comment sa chatte était devenue mouillée et son clitoris avide de plaisir. Elle passa l’autre main sous mon slip le long de ma cuisse pour aller chercher mon pénis et mieux apprécier son érection au toucher. Après quelques instants elle enleva mes boxers et se mit à sucer ma queue avec sa langue tout en la masturbant avec vigueur. Avec mon pénis entre ses mains elle frôla mon gland sur ses seins et ses mamelons en laissant de sa salive inonder cette verge qui glissait facilement partout sur sa poitrine. Je lui demandai d’arrêter temporairement son petit manège très excitant pour ne pas éjaculer tellement j’étais tout près. Je voulais absolument déflorer cette fille vierge et dès ce soir-là. Je déroulai une grande serviette de plage et invita Nicole à s’allonger dessus sur le dos. Aussitôt couchée, je m’approchai d’elle en posant mon torse sur le sien pour sentir ses seins sur ma peau et toute la chaleur qui s’en dégageait. J’embrassai Nicole passionnément sur tout son corps et descendit mon visage jusqu’à son pubis. Je lui retirai sa jupe et lui laissai seulement sa petite culotte de couleur blanche. Elle était à fleur de peau. Ses jambes ouvertes, j’approchai mon pénis vers le dessous de sa culotte en y allant de va-et-vient pour apprivoiser sa chatte vers ce qu’elle allait vivre pour la première fois de sa vie. Nicole poussait de petits rires chaque fois que mon gland appuyait sur ses parties génitales sous son sous-vêtement. Elle caressait ses seins en pinçant ses mamelons avec ses doigts en gémissant continuellement. Je me rabaissai pour glisser mes doigts sous l’élastique de sa culotte que je tassai de côté vers le haut de sa cuisse pour enfin apercevoir sa vulve où je pouvais distinguer son hymen en ouvrant de mes doigts ses lèvres vaginales bien humides. Ma bouche monta le long de ses cuisses jusqu’à ce que ma langue atteigne son clitoris. Nicole se cambra et laissa échapper un jet d’éjaculation féminine, semblant prête à une première pénétration. Je mis un doigt dans l’ouverture de son vagin en continuant de lécher son clitoris et puis un deuxième comme pour façonner ce tunnel érotique pour mieux me recevoir. Nicole retira sa culotte et me demanda de la pénétrer sur le champ. Je pris le temps de bien lubrifier l’entrée de son vagin et mon gland de ma salive pour faciliter la pénétration. J’y allai doucement par petits coups en position du missionnaire. Nicole se crispa et ses ongles s’incrustèrent dans la serviette sur laquelle nous étions étendus l‘un sur l’autre en train de faire l’amour, enfin pour la première fois, nous deux. Je lui demandai d’essayer de se détendre et elle me répondit que ça lui faisait mal mais qu’elle voulait que je continue. Au fur et à mesure, lentement la virginité de Nicole s’est finalement donnée à moi et je sentis tout l’intérieur de son vagin très serré sur mon sexe. Nicole bougea ses hanches et se trémoussa pour mieux ressentir tout le plaisir et la jouissance que cette première expérience lui apportait. Elle releva ses jambes de chaque côté pour que mon corps soit sur le sien et qu’elle puisse m’embrasser front contre mon front et yeux dans les yeux pendant que je la pénétrais. Elle gémit très fort. L’orgasme était tout près et se manifesta en même temps dans la chaleur de nos deux éjaculations qui s’accouplèrent à l’intérieur de son vagin. Nicole pleurait de joie après cet acte d’amour que nous venions de vivre ensemble. Je la rassurai et la complimentai. Qu’elle pouvait être fière de cette belle sensualité qui l’habitait. Elle me serra fort dans ses bras et d’un coup décida d’aller se baigner dans le lac. Nous devions évidemment effacer toutes traces de cet acte sexuel dont nous rêvions. Malgré la température de l’eau qui était un peu froide, nous sommes restés plusieurs minutes à nous enlacer et nous embrasser avant de ressortir, de nous éponger et de nous rhabiller. J’accrochai la serviette de plage sur une branche d’un arbre avant de retourner à la maison. Je fis la courte échelle pour que Nicole puisse retourner dans sa chambre à coucher par la fenêtre et sans bruit. Elle m’envoya un baiser de sa main et me fit signe qu’on allait se revoir le lendemain ! Je souhaitais passer la nuit avec elle mais la situation ne le permettait pas. Plusieurs fois au cours de l’été, nous fîmes l’amour en cachette, sans que personne ne le sache. J’avais dissimulé une couverture et placé quelques bottes de foin dans la grange de manière à ce que nous puissions atteindre facilement et discrètement cet endroit inusité pour satisfaire nos passions sexuelles. L’été passa et je devais revenir chez moi. C’est avec beaucoup de tristesse que Nicole et moi nous sommes quittés en nous disant à bientôt, au revoir ! Malheureusement, l’année suivante Nicole n’était plus en famille d’accueil chez ma tante. Je sus qu’elle avait été récupérée par l’une de ses sœurs qui en prenait bien soin. Mais une nouvelle et très jolie jeune fille habitait, elle aussi, à son tour chez ma tante......!
