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Une cousine délicieusement soumise

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Elle a encore perdu ! Nous avons refait encore un jeu de carte à gages et elle a perdu ! Il faut dire qu’elle a pris des risques ; comme elle perdait, elle m’a mis au défi de trouver sur le net la phrase « je vais boire ton sperme ». Si je ne la trouvais pas, on recommencerait la partie, sinon elle se soumettrait à ma volonté tout le week-end. Tout un week-end ! J’ai cherché et je l’ai trouvée une fois, dans une histoire où le gars disait à sa nana de lui demander çà avant de jouir dans sa bouche. Une seule fois, mais çà suffisait. Maintenant, elle doit m’obéir et je vais bien en profiter. Nous sommes chez elle et je vais faire durer le plaisir. En prévision, j’avais amené un petit ouf vibrant et je lui ai fait mettre dans son vagin. J’ai la télécommande en main et j’essaye les différentes vitesses. Je vais la faire languir de plaisir avec ce petit jouet coquin. Elle est devant moi en chemisier et en petite culotte.. « C’est bon ? ». « Mmm ! çà vibre doucement ! çà me rend toute chose. Çà commence bien, tes gages ! ». « Vaques à tes tâches ménagères et je vais tester les différentes vitesses. »Elle commence à préparer une lessive. Je caresse ses belles cuisses du regard. Son chemisier se lève pour laisser apparaitre sa petite culotte blanche quand elle se baisse. Je fais défiler les vitesses. De surprise, elle s’interrompt parfois dans ses mouvements en passant sa langue sur ses lèvres gourmandes. J’arrête alors l’appareil pour laisser décroître son excitation. Je repère vite que le mode pulsé alternatif semble lui apporter le plus de sensations. Je la suis dans ses déambulations et elle me provoque. Sous prétexte de ranger du linge sur une étagère, elle se dresse en s’étirant pour me faire découvrir ses fesses moulées par sa petite culotte. J’y aperçois alors une auréole sur le devant.. « Je vois que ce petit jouet ne te laisse pas indifférente ! ». « C’est délicieux ! met le plus fort, s’il te plait ! ». « C’est encore trop tôt. Lave ton linge d’abord. »Elle s’y met. J’essaye de la distraire en activant les modes les uns derrière les autres. Elle tend alors les fesses et s’arrête fréquemment dans son travail ! Comme elle a les mains dans la lessive, j’en profite pour caresser ses cuisses qui me fascinent, mais aussi ses seins, à travers le chemisier. Elle s’abandonne en gémissant.. « Met le à fond .. ». « Non, non. Va étendre ton linge, d’abord. » Elle finit d’essorer son linge, et tend la main vers sa jupe avant d’aller sur le balcon. Je l’interromps :. « Vas-y comme çà. »Et je remets en service l’appareil. . « Tu veux me faire jouir dehors, hein ? »Et elle se dirige vers le balcon avec son linge. Elle habite au 2ème étage et l’immeuble d’en face en comptant quatre, un voyeur éventuel pourra contempler ses belles gambettes. Pour qu’elle y prenne plaisir, j’accélère un peu la vitesse. De l’intérieur, je la vois étendre lentement son linge. Elle prend son temps. Ses seins gonflent le chemisier ; on les distingue entre les boutons, car elle n’a plus de soutien-gorge. Son exhibition en petite tenue m’excite. Elle aussi. Je la vois soudain descendre une main entre ses cuisses. J’arrête immédiatement l’appareil. . « C’est moi qui décide quand tu auras ton plaisir ! Rentre, maintenant. On va passer à autre chose. »Elle rentre, un sourire espiègle aux lèvres. Çà me donne une autre idée. Je vais chercher une cordelette à la cuisine. . « Çà te manquait, depuis la dernière fois » me dit-elle. « Je vais t’attacher les mains derrière le dos ; puis tu iras sur le palier. Comme çà. » J’ai une autre idée. Je retourne vers le réfrigérateur et j’en reviens avec un tube de lait concentré.. « Ouvre la bouche ! ». « Du lait concentré ? c’est presqu’aussi bon que . » dit-elle en laissant planer un sous-entendu émoustillant. Elle ouvre la bouche et j’y fais aussitôt couler le contenu du tube. Quand elle a la bouche pleine, je lui dis :
. « Ainsi, tu n’ameuteras pas l’immeuble. Mais si tu en perds une goutte, gare à la fessée. Allez, vas-y. »Nous nous dirigeons vers la porte. Au moment, où elle en franchit le seuil, j’allume l’appareil. Je referme la porte. Pas un son. Elle habite au dernier étage et seuls les voisins de palier peuvent la surprendre. Il s’agit d’un couple ayant la trentaine. Elle m’a d’ailleurs dit que le mec la reluque dans l’escalier, en essayant de voir sous sa mini. Elle fait exprès de l’exciter en ralentissant pour qu’il puisse bien se rincer l’oil ! La cochonne ! S’il sort et qu’il la trouve dans cette tenue, il va exploser, c’est sûr. Avec la bouche pleine, elle devra intérioriser son plaisir jusqu’à la dernière limite. Une petite minute passe. J’écoute à travers la porte : rien ! J’accélère alors et passe en mode pulsé. Quelques secondes, puis je perçois un sourd gémissement. Puis un autre beaucoup plus fort ! Elle a du avaler le lait concentré. J’arrête l’appareil et j’ouvre la porte. Je la découvre, à genoux, la bouche ouverte ! . « Oh non, j’y étais presque ! ». « Je vois que tu n’as pas respecté ton engagement ; allez, rentre. »Frustrée, elle s’exécute. Je referme la porte. Je la contemple, haletante. Je défais un bouton du chemisier, puis un autre. Ses seins sont presque entièrement libérés. Qu’elle est bandante comme cela ! . « Tu es à violer ! Va t’agenouiller sur le canapé. »Elle y va. A ce moment, on sonne à la porte. Je regarde par l’oil et je vois la porte d’en face ouverte et un couple qui attend. J’ai alors une idée abominable ! J’ouvre. J’entends un "non !" étouffé venant du salon. Un noir de forte stature et une blonde en jean aux cheveux coupés courts me font face. La jeune femme s’adresse à moi : . « Bonjour, je suis Marie et voici Georges, mon ami ! nous habitons en face et avons entendu des cris bizarres. Nous voulions simplement savoir si tout allait bien ! »Je réponds aussitôt :. « Ne vous inquiétez pas ! Je suis le cousin de Christine et nous nous livrions simplement à quelques petits jeux avec Christine ; mais entrez donc ! » et m’adressant à Georges « Çà devrait d’ailleurs vous intéresser car Christine m’a dit que vous étiez un de ses admirateurs ! »Je les fais pénétrer au salon et ils découvrent Christine, le corsage largement ouvert, agenouillée en petite culotte avec les mains liées dans le dos ! Le visage de Georges s’éclaire d’un large sourire. Marie dit aussitôt :. « Alors c’est toi qui t’amuse à exciter mon ami ! il m’en parle avec des lueurs perverses dans le regard ! mais je vois que tu apprécies les jeux coquins ».Je réponds à la place de Christine. . « Nous avons fait un jeu et elle a perdu. Elle doit m’obéir totalement. En fait, elle obéit au doigt et à l’oil » dis-je en manouvrant la télécommande Christine ne peut retenir un mouvement de surprise. . « Vous pouvez essayer si vous voulez. » et je tends la télécommande à Marie.Christine est médusée, mais elle n’a toujours pas joui et les légères vibrations la maintiennent dans un état de désir. . « Je sais bien me servir de ces petits jouets » dit-elle en faisant évoluer les vitesses ; « Alors, c’est toi qui es excitée cette fois ? »Christine ne peut se retenir de gémir. Je remarque une bosse qui déforme le pantalon de Georges. Le mien est déformé depuis longtemps ! Je renchéris :. « C’est une gourmande et ces petits jeux l’excitent beaucoup ! »Christine me regarde en rougissant.. « Une gourmande . ? Je crois que je vais offrir une petite revanche à mon ami. Vois-tu, Christine, Georges adore les fellations. Mais je n’aime pas qu’il jouisse dans ma bouche car ses éjaculations sont très abondantes ». « Très ? » souligne-je, . « Très ! » reprend Georges.Christine a déjà compris ce qu’on va lui demander et me regarde interrogative. Je renchéris donc :. « Ce n’est pas un problème pour Christine ; elle adore avaler le sperme »L’intéressée rougit mais elle passe sa langue sur ses lèvres car le petit ouf continue son office. J’en rajoute donc :. « Vous savez ce qu’on a même fait dernièrement ? » et je marque un temps d’arrêt pour observer mon effet. « Je lui ai fait boire mon sperme dans un verre ! »Georges est au bord du malaise ! . « Oh, la grosse gourmande ! » s’extasie Marie ; « Elle est donc tout à fait prête à accueillir Georges dans sa bouche »Marie accélère un peu la vibration et je vois Christine ouvrir la bouche de plaisir en se trémoussant légèrement. Marie prend alors les choses en main et fait lever Christine qui obéit docilement. Elle déboutonne les 2 boutons restants et dégage le chemisier vers l’arrière en le faisant glisser jusque sur ses mains liées. Christine se retrouve offerte à la vue de tous, vêtue de sa seule petite culotte. Georges s’approche et caresse ses seins. C’est très excitant de voir Christine sans défense se laisser peloter par ce grand noir, en essayant d’imaginer la suite, éclaboussante ! Georges s’accroupit et caresse ses cuisses en disant :. « Qu’est-ce qu’elle est belle, cette petite cochonne ! Je rêve depuis si longtemps qu’elle me fasse une pipe ; et en plus, tu vas tout boire ? »Marie accélère encore. . « Ouiii ! » répond Christine, . « Passons donc aux choses sérieuses ! » dit Marie en ralentissant les vibrations. « Je vois que Christine a une furieuse envie de jouir. Mais je propose qu’elle n’obtienne satisfaction qu’à la fin. Ce sera ma petite vengeance personnelle, pour m’avoir rendue jalouse ». « D’accord ! » répondons nous comme un seul homme.. « J’ai une dernière condition : quand Georges jouira, tu devras tout garder dans ta bouche pour nous montrer l’abondance de son éjaculation ». « Surtout que j’ai vraiment très envie ! » dit Georges en baissant slip et pantalon.Il fait agenouiller Christine sur un coussin et lui enfourne son sexe dans la bouche. Marie se place à côté d’elle et lui maintient la tête. Elle ne peut plus échapper au déluge de foutre qui se prépare sur sa langue ! Je bande très fort ! La pipe ne dure pas trop longtemps. Georges se raidit et dit :. « Que çà va être bon ! » et s’adressant à Marie « Tiens lui bien la tête !»Et il lâche tout, en criant, plusieurs fois. Je jouis presque, moi-aussi, en essayant d’imaginer les jets abondants qui remplissent sa bouche, petit à petit, noyant son palais, ses dents, sa langue dans un bain de sperme ! Çà doit être aussi abondant qu’espéré car je la vois incliner légèrement la tête en arrière pour ne pas en perdre une goutte. Marie lui caresse les seins et l’encourage :. « Encore ! Encore ! »Au bout de longues secondes, Georges se calme enfin. Il se retire et va s’affaler dans le canapé. Christine reste avec la tête légèrement inclinée. Marie demande :. « Maintenant, montre-nous tout ! »Elle entrouvre la bouche et je vois le bout de sa langue dépasser d’une mare blanchâtre. Difficile d’en évaluer la quantité, mais cela semble effectivement abondant ! Marie dit cependant : . «Oh ! que çà ? je suis un peu déçue ! il a un goût fort, n’est-ce pas ? »Christine approuve d’un léger hochement de tête. . « Veux-tu que je te fasse jouir, maintenant ? »Nouveau hochement accompagné d’un « hmm ! ». . « D’accord, mais avant cela, j’aimerais quand même bien te voir avec la bouche pleine à raz bord de sperme et ce n’est pas le cas. Tu peux faire quelque chose pour moi ? » me demande t’elle. « Fais un geste et ta cousine connaîtra l’orgasme dévastateur avec les vibrations maximales de son petit ouf ! »Je la regarde, incrédule :. « Allez, branle toi dans sa bouche ouverte ! » dit MarieElle augmente légèrement le niveau de vibrations.. « Tu veux ? » demande-je à Christine. « Hmm ! Hmm ! » acquiesce t’elle . « Alors d’accord ! moi-aussi, je suis très excité d’ailleurs !"Je sors mon sexe tendu et commence à me masturber devant la bouche presque pleine du sperme de Georges. Je fais durer un peu le plaisir quand je me rends compte que Marie fait varier les vibrations pour conduire Christine près du point de non retour. Je la regarde se trémousser, les yeux mi-clos, en faisant attention de bien conserver le précieux liquide dans sa bouche. C’en est trop et je me laisse enfin aller ; j’approche mon sexe tout près de sa bouche. Christine approche également la tête et j’explose. Une dizaine de giclées viennent s’écraser avec violence dans sa bouche. Les paquets blanchâtres surnagent à la surface du liquide dont le niveau augmente nettement. Cette fois, sa bouche déborde presque. Pleine de foutre. Je contemple le spectacle en reprenant mon souffle. Christine reste immobile pour ne pas en perdre une goutte. J’entends Marie dire :. « Cette fois, je suis comblée. Ta bouche aussi, d’ailleurs est comblée ! tu vas connaître un orgasme suprême, depuis le temps que tu attends. Cependant, j’ai une dernière exigence »Christine écarquille les yeux. Elle a refermé la bouche pour mieux conserver le jus.. « Oui : je veux que tu jouisses en gardant la bouche pleine de sperme ; si tu l’avales avant la fin, tu devras subir un gage, avec l’accord de ton cousin, bien sûr ! ». « Elle n’a rien à me refuser pour ce week-end. ». « Dans ce cas, il faudra que tu fasses une petite exhibition devant quelques jeunes amis qui apprécieront beaucoup tes talents ; installons nous confortablement pour assister au spectacle. prête ? »Nous prenons place sur le canapé tandis que Christine est à genoux sur le coussin. Marie accélère aussitôt l’appareil. Christine pousse alors gémissements sur gémissements, s’agite en tous sens. Elle connaît rapidement un premier orgasme ponctué d’un râle profond. Marie accélère encore. Pendant plusieurs minutes, Christine résiste en gémissant, les lèvres hermétiquement closes, les joues gonflées. Georges me demande :. « Tu crois qu’elle va tenir jusqu’au bout ? ». « Je crois bien que non ! ». « Ce serait un régal de la voir se soumettre aux amis de Marie ! »Marie dit alors :. « Assez joué, je vais t’achever maintenant. »Et elle passe l’appareil au mode pulsé alternatif maximal. Christine écarquille les yeux puis émet un râle rauque en se cassant en deux. Elle se redresse et nous la voyons déglutir précipitamment le contenu qu’elle avait réussi à sauvegarder depuis le début du supplice. En deux gorgées, elle vient d’avaler tout notre foutre. Et d’être soumise à l’obligation de s’exhiber devant les amis pervers de Marie. Elle s’exprime alors sans retenue et jouit longuement, très longuement jusqu’à s’affaler sur le dos sur le sol du salon. Ses jambes écartées laissent apercevoir la large auréole détrempée sur sa petite culotte. Marie éteint l’appareil. . Tu t’es bien régalée, pas vrai ? mais demain, ce sera encore mieux, tu verras ! »
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