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Une croisière

Chapitre 1

Inceste

Cette histoire s’inspire d’évènements réels et d’autres non, à vous de faire le tri.


Cédric était dans une relation plus ou moins suivi avec Lucas, 47 ans, plus vieux que lui de 22 ans. Lucas était en instance de divorce et la mère de Cédric était son avocat. C’est en passant au bureau de sa mère que Cédric avait rencontré Lucas. Les relations s’étaient développées un peu malgré eux et leurs situations respectives ainsi que la différence d’âge n’aidaient en rien.


Cédric venait juste d’arriver sur le bateau de Lucas. Un yacht à moteur ni gros ni petit qui restait à l’année à Porto Vecchio. Cédric allait passer 10 jours de son été avec Lucas et ses deux fils sur le bateau et il se demandait bien comment la présence des 2 garçons allait influer sur sa relation avec Lucas.


Il fut tout simplement décidé que Cédric et Lucas dormirait dans 2 cabines séparées tandis que l’ainé des garçons demandait sa propre cabine, l’ainé, un peu plus marqué par la séparation de ses parents voulait dormir avec son père ce qui n’arrangeait rien aux soucis de Cédric.


Lucas avait décidé d’emmener tout son équipage faire le tour de la Sardaigne et le départ était programmé le samedi aux aurores. Cette nuit là fut des plus frustrantes pour Cédric qui devait dormir à quelques mètres de son amant et ne pouvait le rejoindre. Le lendemain fut tout aussi difficile pour lui, Lucas se promenait dans un maillot de bain shorty qui moulait à merveille cette queue qu’il adorait engloutir. La traversée jusqu’en Sardaigne fut rapide et ils arrivèrent à 15h dans une petite crique isolée déserte où ils amarrèrent le bateau pour la nuit à venir. Les garçons se jetèrent à l’eau et enfin, Cédric et Lucas furent seuls. Malheureusement, il fallait toujours surveiller les fils de Lucas car Lucas ne voulait pas les laisser se baigner sans surveillance.


Ainsi la journée se passa sans que Cédric ne puisse ne serait-ce que voir cette queue qu’il voulait tant. Pourtant Lucas lui effleurait les fesses chaque fois qu’il le pouvait, il le titillait de petits sous-entendus. Et Cédric espérait que Lucas le rejoigne cette nuit. À 2h du matin passé, Cédric n’en pouvait plus, il se caressait le sexe depuis qu’il s’était couché, s’arrêtant chaque fois juste avant de jouir. Il traversa vers la cabine avant, celle de Lucas, et entrouvrit la porte aussi doucement que possible. Il ne voulait pas réveiller Gaël, le fils ainé de Lucas, surtout sachant ce qu’il avait à demander à Lucas.


Cédric resta stupéfait quelques secondes sans vraiment comprendre. Lucas était nu, à 4 pattes, penché en avant. Il fallu un instant à Cédric pour comprendre que Lucas était en train de sucer son fils, Gaël. Malgré lui, son érection montait, sa queue gonflait. Gaël, allongé sur le dos, avait les yeux fermés et il était évident que son plaisir n’allait pas tarder. Oui ça y est, il gémit, il est pris de spasmes courts et son bassin va à la rencontre de la bouche de son père qui prend dans la bouche son tout jeune foutre.


Par réflexe, Cédric quitte la cabine aussi doucement que possible et referme la porte en silence. Il a une érection comme jamais. Il en veut à Lucas mais son excitation est telle… La curiosité est là, l’envie de voir plus aussi. Aussi silencieusement que possible, il monte sur le pont pour aller les observer plus discrètement par le hublot du plafond qui donne directement sur le pont avant du bateau. Le temps d’arriver, c’est maintenant Gaël qui prend la queue de Lucas dans sa bouche. Elle paraît tellement énorme par rapport à son visage, sa bouche. Vu l’état de Lucas, Gaël est très doué. Lucas passe sa main dans les cheveux de Gaël et force légèrement sa bite plus loin dans la gorge de Gaël dont la salive dégouline le long de la verge de Lucas jusqu’à ses couilles. Cédric sait très bien ce que cela veut dire, c’est la façon de Lucas d’avoir la queue bien humide et bien glissante avant la sodomie.


À la fois doucement mais fermement Lucas écarte le visage de Gaël et le met à 4 pattes sur la couchette, se mettant derrière lui. Sa queue vient se placer juste face au petit trou de Gaël qui écarte ses fesses. La queue luisante de Lucas a l’air bien trop grosse pour Gaël mais Lucas prend son temps et son gland avance, pénètre naturellement la petite cavité, le reste de la queue suit, s’engouffre. Lentement, virilement, Lucas commence des vas et viens en tenant son fils par les fesses. Il accélère régulièrement sa cadence, la fermeté de ses coups de reins. Jusque dehors, Cédric l’entend soupirer. Il accélère toujours plus et Gaël a l’air un peu ballotté mais aime visiblement ça. Lui aussi soupire.


Cédric le voit, Lucas ne tiendra plus très longtemps. À peine l’a-t-il compris que Lucas sort sa queue du cul de Gaël et se fini à la main sur la petite rondelle rose et luisante de son fils. Gaël se laisse retomber sur les draps et laissant son père lui caresser les fesses, étalant son sperme sur son cul, glissant encore un doigt par moment dans le petit trou encore souple et vorace de Gaël.


Cédric lui n’a pas pu retenir son éjaculation qui macule le hublot. Il essuie comme il peu avec son t-shirt. Sur la pointe des pieds, il retourne jusqu’à sa cabine. Le sommeil met du temps à venir.


Le lendemain, Lucas vient le réveiller à 9h. Il veut changer de mouillage. Juste avant de sortir de la cabine, il passe sa main sur le sexe de Cédric.

— Je suis désolé qu’on ait pas de temps tous les deux tu sais.

— Je pourrais te rejoindre ce soir ?

— Je dors avec Gaël, ce sera compliqué.

— Bon, on verra.

La journée file lentement. Cédric est obsédé par ce qu’il a vu la nuit précédente. Il réfléchit sans cesse au moyen de rejoindre Lucas et Gaël.


Le soir venu, Gaël et son frère vont se coucher dans leurs cabines respectives et Lucas et Cédric restent seuls sur le pont. Cédric se penche en avant, ouvre le short de Lucas et en sort sa queue qu’il commence à caresser. Il donne quelques coups de langue légers sur le pourtour du gland, fait remonter sa caresse le long de cette verge qui gonfle. Tout en prodiguant ces caresses dans les dernières lumières du jour, il se décide.

— Lucas ?

— Hum ?

— Tu sais comment j’ai commencé avec les hommes ?

— Non ?

— Mes parents se sont séparés quand j’avais 7 ans et ma mère a mis longtemps avant de se remettre avec quelqu’un.

— Hum.

Cédric continue ses caresses et la queue de Lucas est devenue dure, raide.

— Quand enfin ma mère a trouvé quelqu’un, il est venu s’installer chez nous très vite. J’étais très triste parce que je les ai surpris dès leur première nuit. J’espérais tellement que ce soit mon père avec ma mère que je suis resté quelques temps avant de réaliser que ce n’était pas mes parents que j’avais vus.

— Ça a du te faire mal quand tu as réalisé ?

— Oui, c’est vrai. Mais au final, Jean était quelqu’un de très gentil. Il nous a fait voyagé dans toute l’Europe. Je me souviens d’un voyage en Grèce. On logeait dans des petits hôtels où on avait des petites chambres. Une seule pour nous 3.

La queue de Lucas redescend lentement, Cédric la reprend en bouche quelques secondes.

— Le problème, c’est que ma mère avait retrouvé des envies de jeune femme et ils baisaient tous les soirs, après que je me sois endormi. Parfois je me réveillais et je les regardais. Quand on est arrivés à Sparte, on a logé dans un hôtel un peu minable, celui que nous voulions étant complet. Mon lit était juste à côté du leur. Le matin, quand je me suis réveillé, ma mère était allongée entre les cuisses de Jean et le suçait. J’en avais marre de cette situation et je n’ai même pas caché que j’étais réveillé. J’ai demandé à Jean ce que maman faisait.

— Qu’est-ce qu’il t’a dit ?

— Il m’a dit de venir voir, qu’elle le soignait. Je ne sais pas pourquoi, j’y suis allé. Mon érection se voyait sous mon caleçon et ma mère n’arrêtait pas ce qu’elle faisait. Jean lui a dit que j’avais besoin d’être soigné aussi.

— Hum… Et elle l’a fait ?

— Non, elle a levé la tête et je crois qu’elle avait pas réalisé que j’étais là. Jean a montré la bosse de mon caleçon et lui a dit qu’il fallait me soulager quand même. Ma mère, elle a refusé au début et puis finalement, Jean a baissé mon caleçon et ma queue est sortie, toute raide. J’étais paralysé. Ma mère a approché sa main et elle a commencé à me branler. Elle a à peine eu le temps de faire trois allers retours que j’ai éjaculé sur la cuisse de Jean.


Alors que Cédric raconte son histoire la bite de Lucas a repris de l’ardeur. Cédric est même certain qu’elle n’a jamais été si grosse.

— Je savais plus où me mettre et je n’osais toujours pas bouger.

— Qu’est-ce qui s’est passé ?

— Jean a demandé à ma mère de lécher mon foutre sur sa cuisse et il m’a dit que c’était pas grave que c’était très bien. Il m’a montré sa bite et il m’a demandé si je voulais essayer. Je ne voulais pas mais je n’osais rien dire, alors il m’a pris la main et m’a approché de sa queue. Il a mis ma main dessus et il m’a dit de la faire monter et descendre. Ma mère me regardait pendant que Jean la caressait. Au bout d’un moment, il ma tendu le doigt qui était dans sa chatte et m’a dit de le sucer.

— Tu l’as fait ?

— Oui, j’étais vraiment tétanisé. Il m’a demandé si j’aimais le gout. J’ai dit oui. Il m’a montré sa bite et il m’a dit de la sucer aussi. Pour la première fois, j’ai osé dire non. Mais il a juste eu à insister une fois et je l’ai fait.

— Elle était grosse.

— Pour le garçon que j’étais oui. Et même aujourd’hui, je dirais oui. Ma mère décalottait son gland pendant qu’il me disait ce que je devais faire, monter, descendre, lécher, mettre la langue, lécher les couilles… Au final, il a attrapé mes cheveux et m’a coincé sur sa queue pour éjaculer dans ma bouche. Ça m’a tellement surpris que j’ai failli m’étouffer. J’essayais de recracher et de ne pas m’étouffer mais il me retenait. C’est ma mère qui lui a dit de me lâcher. J’en avais partout dans la bouche sur les lèvres, le bas du visage.

— Tu n’as pas avalé ?

— Non, je ne pouvais pas et il y en avait trop de toute façon. Ma mère m’a tendu un coin de draps et je me suis essuyé. Elle m’a même félicité.

— He ben.


La queue de Lucas est gonflée, son gland rouge, gros, prêt à éjaculer son foutre. Cédric l’engloutie encore.


— Et c’est arrivé une seule fois ?

— Avec ma mère, c’est arrivé assez peu mais Jean a vite pris l’habitude de venir me voir la nuit. Au début, je ne faisait que le branler et le sucer mais un soir, il m’a dit qu’il était temps que j’essaye quelque chose.

— Et lui, il t’a jamais sucé ?

— Non.

— Moi, je t’aurais sucé.

— Tu aurais peut être pas pris l’habitude de baiser ton beau-fils ?

— Avec toi, qui sait… ?

— Moi, je sais.

— Comment ça ?

— Je t’ai vu hier soir.

— Comment ça ?

— Je voulais te parler mais je ne voulais pas réveiller Gaël alors je suis venu sans faire de bruit et je vous ai vus.

Lucas reste silencieux.

— Tu crois que je pourrais, je sais pas, participer avec vous ?

— Je… Euh, oui, si Gaël est d’accord.

— Merci


Satisfait, Cédric avale d’un coup la bite de Lucas qui regonfle presque immédiatement. Cédric pousse aussi loin qu’il peut ce sexe au fond de sa gorge pendant que Lucas appuie sur sa tête forçant sa queue un peu plus profond encore. Cédric espère que Lucas jouira vite, c’est à peine s’il peut respirer. Les premiers spasmes de jouissances gonflent encore la queue qui a déjà peu de place dans sa bouche. Les derniers espaces se remplissent de longues giclées chaudes d’un sperme salé qu’il essaye d’avaler. Les sensations qu’il ressent sont proches de cette première fois où il avait failli s’étouffer du sperme de Jean et pourtant il adore ça. Aujourd’hui, il avale tout ce qu’il peut, il savoure chaque giclées de sperme qu’il avale.


Enfin, Lucas le relâche alors que sa queue débande. Cédric la garde en bouche, fait jouer sa langue autour. Il aspire les dernières gouttes de foutre. Il bande si fort lui-même. Il se redresse, debout face à Lucas qui empoigne sa bite et l’allonge sur la tablette du pont, face à son siège. Il prend le sexe de Cédric dans sa bouche et fait glisser sa langue contre l’anus de Cédric. La caresse est exquise. Lucas se met debout, fini de retirer son maillot de bain. Il bande très fort et Cédric réalise qu’il va en prendre pour son grade. Il a déjà fait jouir Lucas une fois et il en sera d’autant plus endurant.


Cédric sent le gland épais de Lucas qui vient caresser son anus, qui pousse. Cédric va a la rencontre de son amant et écarte ses fesses. Ça y est, Lucas est en lui et commence à aller et venir. Il se penche au-dessus de Cédric et attrape sa queue dont il se sert comme d’une poignée pour maîtriser ses mouvements. Cédric sent les couilles de Lucas qui frottent contre son anus, ses fesses. Il adore ça. Lucas y va de plus en plus fort, de plus en plus loin, de plus en plus vite. Cédric avait raison, Lucas est très en forme. Le plaisir de Cédric monte à chaque coup de rein, du sperme coule lentement de sa queue sur la main de Lucas qui glisse de plus en plus autour de sa bite. Cédric a envie de crier son plaisir. Lucas se laisse aller aussi.

— Tiens prends ça. Tu aimes hein. Comme avec Jean, hein.

— Baise moi, baise moi comme lui.

— Tu devrais appeler ta mère, ça fait longtemps qu’elle a pas du voir la petite salope que tu es.

Cédric éjacule enfin dans une longue giclée qui vient jusqu’à son visage. Lucas y trempe les doigts et les lèche. Dans un dernier élan, il plante sa queue au plus profond de Cédric qui sent la queue grossir et lâcher son jus au fond de lui.

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