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Une décharge à foutre bien hésitante

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous avions plutôt un bon feeling avant qu’elle ne rompe avec Mickaël. J’ai été là pour elle, chaque fois qu’elle traversait des crises existentielles. J’ai tenté de toujours rester objectif. Je lui ai fait réaliser qu’elle pouvait voler, haut, et que la seule chose qui la retenait au sol était lui.Elle était sa prisonnière, son petit trésor qu’il cachait jalousement. Il l’étouffait, la privait de sa liberté, exerçait sur elle une très forte emprise.Mais la faille avait été repérée. J’y avais planté ma graine et elle avait germé. L’idée a fini par faire son chemin, l’envie de liberté est apparue de plus en plus forte jusqu’au jour où elle a finalement eu le courage de le quitter.Moi, je la désirais. Rester objectif, c’était tenter de prendre parti dans les crises qu’elle me décrivait, ni pour l’un, ni pour l’autre mais d’exposer les tords de chacun. Mais au fond, je ne pouvais m’empêcher de penser que c’était un con fini qui ne savait pas ce qu’il ratait. Certainement que si j’avais eu une si belle perle, je ne l’aurais pas traitée ainsi. J’ai tenté de me mettre à sa place : moi aussi, je suis jaloux, je peux comprendre. Mais il vient un âge où l’on doit prendre conscience de ce qu’est la vie : savoir profiter du bonheur quand on l’a, arrêter de s’angoisser pour tout ce qui peut arriver, être conscient des choses qui se passent autour de nous et ne pas rester fixé sur son idée, toujours savoir se remettre en question, écouter l’autre mais surtout le comprendre, arrêter d’être borné, se réveiller, être mâture et se prendre en main, prendre en main sa vie et décider d’aller mieux, d’être heureux surtout quand le bonheur est déjà là.Alors non, je ne pouvais pas comprendre.Elle lui était dévouée, faisait tout pour le rendre heureux.C’était une belle et jeune femme, beaucoup plus jeune que lui, fraîche, bien proportionnée, un cul à faire bander un âne et des seins magnifiques et imposants.En plus d’être cultivée et passionnée de tout, elle avait un don pour les arts et cerise sur le gâteau, une libido disproportionnée faisant d’elle une femme ouverte aux rencontres libertines, au sexe anal et à l’homosexualité.Moi j’en étais amoureux et je brûlais de désir pour elle. Cela fait bien 28 lignes que je vous l’enrobe de caramel alors je vous dois d’être plus direct et concret : j’avais envie de la baiser.Sitôt libre, elle a été prise d’une envie de liberté, de ne plus appartenir à aucun homme et notre gentille relation a disparu. Elle ne savait plus où elle en était. Je ne représentais pas un jouet sexuel, j’étais boyfriend-material, éligible à une relation longue durée mais elle n’en voulait plus : hors de question d’être prisonnière à nouveau. Elle cherchait la relation physique, celle du feeling.J’étais devenu le mec trop gentil, pas assez bad boy et pourtant j’avais toujours bien envie de la tringler.Je me montrais intéressé mais elle se montrait hésitante. Je rêvais à ce moment là d’être n’importe quel autre mec que moi, celui qui n’aurait pas de relation amicale avec elle, tout sauf Mr Friend-Zone dans le sillage de Daenarys. Je m’en voulais de ne pas avoir profité de sa libido.— Je peux être méchant, tu sais.— Je sais, mais je préfère que tu m’écoutes."Mince"— Est-ce que cela changerait quelque chose si je t’embrassais ?"Pourquoi je demande, fais-le connard, juste fais-le !"— Je ne sais pas, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée— Pourtant, tu avais envie il y a quelques temps"Erreur classique de débutant, ressasser le passé, c’est pas comme ça que tu vas te faire dépuceler !"— Je sais, mais là je ne sais plus ce que je veux…"Elle veut un mec, un vrai. Pas un pleurnichard. Elle veut se sentir femme et elle veut sa liberté et sa liberté, c’est celle de pouvoir être la pute de qui elle veut mais je sais qu’elle aime être soumise. Je le sais parce qu’elle me l’a répété maintes et maintes fois." De nombreuses émotions vinrent à moi à ce moment précis. De la peur, celle de ne pas être un vrai homme, de ne pas être le mâle qu’elle attend. De la tristesse, celle d’être dans la pire situation qui soit avec elle, condamné à rester l’éternel ami. De la colère, pourquoi se refuse-t-elle à moi, après tout ce que j’ai fait, pour qui se prend-t-elle ?
Les jours passèrent. J’avais coupé le contact. Je devais me protéger. Je faisais le deuil de notre relation quand j’en vins à la colère. Je me surpris à l’insulter, à lui manquer de respect dans ma tête. Je revoyais les photos coquines qu’elle m’avait envoyé. Je n’y voyais plus l’élue, j’y voyais la salope que j’avais envie de lever pour la faire payer.
Un jour, je décidai sur un coup de tête de forcer le destin.Je sonnais chez elle.Elle répondit, en tenue légère. Une culotte, une chemise à peine boutonnée laissant deviner son opulente poitrine. Elle se permettait de me répondre ainsi car elle n’avait que faire de moi. Cela renforça ma colère.
— Mets-toi à poil ! ordonnai-je— Quoi ? Mat, arrête ! plaisanta-t-elle— Je ne plaisante pas, baisse ta culotte et montre-moi ton cul !— Mat, je t’ai déjà dit, je ne sais pas si on devrait faire ça....— Ce n’est pas une demande, c’est un ordre, je ne te laisse pas le choix. Retire ta culotte où je te violeElle me regarda surprise, mais je sentis une étincelle s’allumer dans ses yeux. La coquine semblait être excitée un moment puis la seconde suivante :— Vas-t-en. Accompagnant le geste à la parole, elle tenta de fermer la porte mais je la retins. Puis je m’avançai vers elle l’obligeant à se reculer contre la commode. J’arrachais alors sa chemise dévoilant ses seins ronds, parfaits. Ceux-ci, durs, trahissaient son désir.— RETIRE… TA… CULOTTE, répétai-jeElle sonda mon regard un moment, cherchant une lueur de doute dans mes yeux mais voyant que je ne scillais pas, sans me quitter du regard, elle descendit sa culotte et s’abaissa pour la ramasser avant de me la tendre.— Voilà, je ne sais pas à quoi tu joues mais maintenant que tu as eu ce que tu voulais, pars.— Je n’ai pas eu ce que je voulais.Je pris un peu de recul pour admirer sa petite chatte rasée.— Tourne-toiElle ne bougea pas.— TOURNE-TOI, répétai-je en insistant bien sur chaque mot.Elle se tourna.— Arrêtes de me faire répéter deux fois chaque ordre, tu vas obéir à mes désirs ou je viendrais prendre ce qui me revient de droit.J’eus un silence pour toute réponse.— Réponds-moi : “oui Mathieu”Elle me testa encore, une dernière fois. Je répétai, le ton assuré.— Oui— Oui qui ?— Oui maîtreCe n’est pas ce que j’avais demandé, mais tant mieux, elle commençait à saisir.— Fais tomber la chemise.Elle se retrouva entièrement nue.Je pris un moment pour observer ses petites fesses rebondies. J’avais envie de les toucher, de les malaxer fort, de les couvrir de ma semence. J’avais envie de couvrir le corps de cette bombasse de tout mon sperme, qu’elle luise à la lumière, souillée comme une pute. J’allais lui faire payer cette insolence.— Ecarte ton cul que je voies bien ton anus et ta chatteElle s’exécuta.— Cambre-toiElle se cambra légèrement en avant, levant le cul, m’offrant sa croupe. Ses mains écartaient ses jolies fesses et son petit trou rosé avait l’air comme vierge. Ces semaines passées sans se faire sodomiser par son ex avaient fini par revirginiser son trou. Elle qui se disait tellement habituée d’être prise par le cul que son élasticité ne lui permettait plus de sentir son copain, elle allait goûter aux joies d’être pleinement possédée. Non seulement son anus avait probablement regagné son élasticité d’origine mais en plus je savais de source sûre que j’avais une bite plus grosse que son ex. Elle la sentirait passer. A cette idée et à la vue de son cul offert, une bosse s’était formée sous mon pantalon.Je m’avançai et lui saisis une main. Sa douce main de pianiste, je la dirigeai vers sa chatte me collant à son dos, ma bosse entre ses fesses.Je dirigeai alors ses doigts sur son clitoris et réalisai qu’elle mouillait abondamment. Son souffle était court.— Masturbe-toi ! ordonnai-je.Elle titilla légèrement son clitoris puis quand son souffle commença à s’accélérer, elle se stoppa net et remonta délicatement ses mains le long de son ventre jusqu’au creu de ses seins.— Je ne sais pas si c’est une bonne idée, fit-elle timidement— Je sais que c’est une mauvaise idée, mais ce n’est pas ce que tu attends de moi ? Un mauvais garçon ?Et je pris la place de ses doigts sur sa vulve. Je la masturbai. Son souffle s’accéléra de nouveau. Elle remuait le bassin contre ma queue en marmonnant “non”.— Non ?— Si on fait ça, on ne pourra plus être amis— Je ne veux pas que tu sois mon amie, je veux que tu sois ma salope, répondis-je assurément. Suce-moi, sale pute ! ordonnai-je— Très bien maître, dit-elle, reprenant le jeuElle se retourna et me fixa du regard. Elle s’agenouilla devant moi sans rompre le contact visuel. Elle déboutonna mon pantalon puis libéra la bête.Elle l’avait vu de nombreuses fois en photos, avait fantasmé dessus des dizaines de fois et maintenant qu’elle ne la désirait plus, je la forçai à la sucer.Mais visiblement, cela n’avait pas l’air d’être une corvée.Elle prit en bouche ma queue gonflée par le désir, plus large que d’ordinaire car cela faisait un moment que je retenais mon excitation.Elle savait y faire la pute, jouant de sa langue autour de mon prépuce. Mais ses mains lui étaient d’une trop grande aide. — Mets les mains dans ton dos ! ordonnai-jeElle était à genou, son petit cul rebondi posé sur ses talons, ses deux mains réunies dans le creu de son dos. Ses cheveux tombaient sur ses seins. La bouche prête à m’accueillir.J’y enfonçai ma queue. Elle sembla résister un instant puis finit par opiner, le mouvement de la tête suivit. Elle déplaçait ses lèvres le long de ma queue. Mais celle-ci était trop longue pour elle. J’accentuai la pénétration en bougeant le bassin au moment opportun, elle faillit s’étouffer. Elle retira la queue de ma bouche et toussa.— Laisse-toi aller, dis-je. Tu peux laisser couler la salive.Elle opina du chef à nouveau puis reprit son travail. Cette fois, elle alla elle-même chercher la pénétration la plus profonde. Pour mieux supporter, elle se laissa aller à baver, un filet s’écoulait de sa bouche et tombait sur ses seins. Elle finit par atteindre mes boules. Elle y parvint même à plusieurs reprises, elle semblait même heureuse de se rendre compte qu’elle n’avait rien perdu de ses talents de suceuse. Ou alors, heureuse car ce devait être un record au vu de la longueur. Quand elle commença à être plus à l’aise, je sentis ses mains revenir le long de mes jambes, monter vers mes fesses. Je savais qu’elle s’apprêtait à me doigter le cul, c’était un de ses fantasmes dont on avait discuté. Cela avait pour effet de gonfler encore la taille de mon sexe et elle voulait se sentir d’avantage remplie. Mais ce soir j’étais son maître et il était hors de question qu’elle prenne ce genre d’initiative. Une autre fois peut-être.Je saisis ses mains et lui indiqua qu’elle devait les tenir en arrière.— Tu as des menottes ?— Oui, maître— Où sont-elles ?Elle m’indiqua le premier tiroir de la commode juste derrière elle. Je l’ouvris, ce qui l’obligea à s’incliner bien bas à mes pieds. La cochonne avait stocké ici tout l’attirail nécessaire aux longues soirées de célibat : godes, plugs, lubrifiant. Les menottes étaient là également, enfouies dans la lingerie sexy. — Reste à genou, lui ordonnai-je, voyant qu’elle commençait à se relever.Je sortis un gode que je posai sur la commode pour plus tard et fermai le tiroir.— Ne bouge pas.Je ne voulais pas qu’elle relève la tête. J’avais accès à ses mains, je fermai alors les menottes autour de ses poignets, puis relevai moi-même son menton.Enfin, je lui saisis la tête en ramenant ses cheveux en queue de cheval et je pénétrai sa bouche une fois encore. Cette fois, je dirigeais.Plusieurs fois je lui enfonçai si profondément mon chibre qu’un filet de base s’écoulait de sa bouche sur ses seins. Puis quelque fois, je la forçai à me lécher les boules, lesquelles étaient pleines de foutre car cela faisait si longtemps que je ne les avais pas vidées.
— Jouis dans ma bouche, s’il te plaît, me supplia-t-elle à un moment.— Tu en as marre, déjà ?— Je veux goûter— Salope ! l’insultai-je.Je sentis son excitation monter. J’avais oublié qu’elle adorait les insultes.— Espèce de décharge à foutre ! l’insultai-je encore. Je ne vais pas te faire ce plaisir, je vais d’abord te souiller tes gros nichons, nous l’étalerons et quand il aura séché, je t’en fournirais une autre dose. Et à la fin, peut-être, si tu es gentille, je t’offrirais mon jus à boire.Je pris ma bite en main alors que je sentais le fameux nectar monter. Puis j’éjaculai de grosses giclées blanches sur ses nichons. Elle était recouverte de sperme. — Tu peux te lever, l’autorisai-je.Elle se leva.— Ne bouge pas, je vais prendre une photo

C’est à ce moment même qu’on entendit frapper à sa porte. Je lui fis signe d’aller voir dans le judas.— C’est Nicolas, me répondit-elleNicolas était un mec pour qui elle éprouvait une attirance physique forte. En rompant avec Mickaël , désirant restée libre, elle avait jeté son dévolu sur lui car elle avait besoin d’une relation légère sans attache. Mais Nicolas était en couple et n’avait pas cédé à ses attentes jusqu’alors.Je pris la clé des menottes et libérai ma petite pute. — Ouvre-lui ! ordonnai-je encore.— Je ne peux pas ! Il ne faut pas qu’il me voit comme ça ! protesta-t-elle.— Pourquoi ?Moi, elle peut me répondre en petite culotte, ça ne pose pas problème si je fantasme sur elle sans jamais l’avoir du moment qu’elle se sente désirée. Par contre lui, c’est certain que pour lui plaire, elle n’ouvrirait jamais la porte en petite culotte, non maquillée, à l’état naturel. Alors imaginez nue, les seins pleins de sperme.— Il n’est pas intéressé, pourquoi m’infliger cette humilation ?— Parce que tu es ma pute ce soir.— Je ne suis pas ta pute.— Ce n’est pas ce que dit ton corps souillé— Tu m’as forcée et je n’apprécies pas çaNicolas frappa à nouveau devant l’absence de réponse. Visiblement, il n’entendait pas la discussion ou pas de manière intelligible.— Tu entends par là que je t’ai violée ?— Oui— Très bien, alors puisque je suis déjà dans de beaux draps, tu vas continuer à m’obéir : ouvre la porte.Je savais qu’elle avait peur que cette situation ne la discrédite auprès de lui et que s’en irait son dernier espoir de le séduire un jour. Mais au fond d’elle, elle savait que cela pouvait aussi prendre une toute autre tournure. C’est pourquoi elle finit par s’exécuter.Elle ouvrit la porte, nue, les seins couverts de foutre. J’étais en arrière plan, le pantalon déboutonné, de l’image qu’eut en premier Nicolas. Mais qu’importe, il ne put pas détacher son regard du corps magnifique de la femme qu’il désirait également en secret.— Entre, l’invitai-je. J’ai besoin de ton aide.Il y eut un moment d’hésitation. Bien qu’elle me faisait dos, je pus deviner son regard apeuré devant l’indécision de Nicolas. Celui-ci finit par entrer. Elle se recula, se retourna vers moi et je vis ses yeux pétiller. Elle était au comble de l’excitation. Un regard vers son entrejambe me suffit à confirmer l’hypothèse : de la mouille coulait le long de ses jambes jusqu’à ses chevilles. Elle me dit même un bref sourire.— Mets-toi à 4 pattes sur le lit, lui ordonnai-je.Elle s’exécuta devant Nicolas. Le mec n’avait pas décroché un mot. Il cherchait à comprendre ce qu’il se passait. Le fait qu’elle réponde à mon ordre lui avait donné un précieux indice. Cet indice, il l’avait probablement rangé dans son boxer. Et cet indice devait prendre de la place à en voir la bosse… A moins que ce soit son excitation à lui qui était rangé là, à cet endroit.— J’ai besoin de toi pour lui donner une bonne leçon. Je ne suis pas sûr d’avoir assez de foutre à moi seul.Je vis dans son regard de la surprise mais aussi une étincelle de colère. Il n’appréciait pas qu’un autre mec parle d’elle de cette manière. — Nous ne dirons rien à ta copine.Cette phrase le calma aussitôt. Soit c’était un gentil garçon. Il pouvait toujours réagir violemment et l’emmener loin de moi, si tant est qu’elle le suive car il ne savait pas si elle agissait sous la contrainte psychologique ou si elle était pleinement consciente de ses actes et consentante. Il pourrait raconter à tout le monde et à sa copine qu’il avait sauvé une amie du viol ou ne rien dire, mais ce serait un jeu dangereux car je connaissais la petite amie de Nicolas. Il risquait d’exposer ses sentiments ou tout du moins son attirance pour elle au grand jour.Soit il était un bad boy, et je suspectai fortement qu’il le soit puisque je sentais bien que c’est ce qu’elle recherchait au fond. Dans ce cas, il profiterait de la situation et j’achetai son silence en même temps que lui achetait le mien concernant sa petite amie. Dans ce petit jeu de truands, elle n’était qu’un objet, le prix d’une récompense à partager. Et cela l’excitait profondément : à 4 pattes, le cul bien en arrière, la chatte ruisselante. J’imagine que ce furent les effluves émanant de ce coin de paradis qui finirent de le convaincre.Il prit le gode sur la table de nuit et s’approcha d’elle.Quant à moi, je me déshabillai totalement. Pour le moment, je n’étais pas encore remonté.Lui caressait sa chatte avec le gode et je le surpris à goûter la mouille au bout du gode.Au moment où il s’apprêtait à lui enfoncer dans la chatte, elle l’arrêta.
— Pas par la chatte, je suis sensible de la chatte, je préfère le cul.
Je savais qu’elle n’appréciait pas être prise de manière conventionnelle. Par la chatte, elle avait généralement mal et réservait cet orifice à un sexe plus intime. Le cul était pour elle l’outil de jouissance et de soumission le plus adapté. Nicolas utilisa sa cyprine pour humidifier le petit trou et présenta plusieurs fois le gode aux abords de son cul.A un moment, elle fit, elle-même, le mouvement qui permit l’introduction de l’outil dans son anus. Il en fut surpris. Elle n’en pouvait plus d’attendre. La cochonne était excitée depuis un bon moment déjà et n’avait pas eu sa part de plaisir encore.Nicolas la goda pendant quelques minutes.
— Déshabille-le et suce-le comme tu me l’as fait ! ordonnai-je à ma soumise.
Elle se retourna, le gode encore dans le cul et s’assit, sur les fesses, maintenant l’objet au fond de son cul, face à Nicolas. Puis elle le regarda dans les yeux, comme elle avait fait avec moi. Il prononça son nom. C’était la première fois qu’il parlait. Son ton avait quelque chose de plaintif lui demandant si elle était sûre de ce qu’elle faisait.Mais elle n’était sûre de rien. Ce n’était pas le moment dans sa vie où elle était capable de prendre des décisions basées sur le bon sens. Sa rupture l’avait trop affectée.Peut-être est-ce pour ce ton plaintif ou parce que je devenais soudain le mauvais garçon et lui le gentil qu’elle détacha son regard de lui et le plongea dans mes yeux. Elle déboutonna le pantalon de Nicolas tout en me fixant. Elle descendit le pantalon, lui retira son tee-shirt. Il bandait sévèrement. Lui aussi avait une belle bite, assez grosse. Il était moins poilu que moi. Il était plutôt bien foutu et si je n’avais pas été dans un trip dominant, j’aurais pu y goûter également. Car je suis bisexuel, plutôt soumis avec les hommes, dominant avec les femmes. Mais ce soir, c’était à elle que j’en voulais.Elle se mit à genou devant lui, les mains derrière le dos, laissant le gode sur le lit puis débuta sa tâche et ne cessait de me regarder.Cette insolente aimait ça. Etre ma soumise mais sucer un autre devant moi. C’était sa manière de se venger, de prendre le pouvoir. J’entrepris de prendre le gode traînant sur le lit et de le faire tenir entre ses pieds pour qu’elle puisse l’enfourcher tout en suçant. Cela rendrait certainement sa fellation plus agréable.Je commençais à bander de nouveau. L’envie de la dominer, de la souiller me vint de plus en plus puissante. J’avais envie que l’autre mec aussi la souille, qu’elle soit couverte d’un mélange de semences, une vrai pute qui s’offre à tous les hommes. Je lui ordonnai ensuite de se relever. J’étalai le sperme qui avait commencé à sécher sur ses nichons. Elle luisait. Sa bouche aussi, pleine de bave et de liquide séminal. Je lui ordonnai de mettre ses nichons contre la table en verre, le cul en arrière.— Nicolas, encule-la maintenant ! l’encourageai-je Celui-ci ne se fit pas prié. Il enfila sa queue dans le cul de ma petite soumise. Au bout de quelques vas et viens plutôt violents, il ne put se retenir. Cette fille l’excitait trop, il jouit sur son cul.Avec sa bite, il étala le foutre sur ses fesses et sur son trou. Du foutre coulait également sur sa vulve dans cette position.
Pas de répit pour cette pute ! J’avais de nouveau envie et j’allais prendre le relai le temps que Nicolas reprenne des forces. Fou d’ivresse pour ce cul souillé, je décidai d’y fourrer ma langue goûtant ainsi au fabuleux nectar de Nicolas et la mouille salée de ma petite pute. J’insistai particulièrement sur son petit trou et sur son clito. Cela semblait la faire grimper aux rideaux, elle attrapait tous les objets de la table en les serrant très fort avant de les faire tomber.— Oh oui ! cria-t-elle"Tout témoin de ce “oui” pourrait alors confirmer qu’il ne s’agit pas vraiment d’un viol !"Puis j’approchai ma queue dure près de sa chatte…— Pas par la chatte, me supplia-t-elle.— Tais-toi ! répondis-je contre toute attente. Puis j’enfilai ma queue dans son vagin. Je l’entendis crier ne sachant pas vraiment s’il s’agissait de cris de douleur ou de plaisir mais au bout de quelques vas et viens, j’entendis des “oui”, s’accélérant puis soudain elle fut prise de spasmes et jouit bruyamment.Je me retirai, lui saisis le poignet droit et la retourna violemment. Je l’embrassai alors langoureusement. Je surpris alors sa main gauche glisser dans mes cheveux. Puis, toujours en lui tenant le poignet, je l’entraînais sur le lit. Je m’allongeai sur le dos et lui ordonna de venir s’empaler sur ma verge tendue.Elle ne rechigna pas une seconde. Je la sentais en transe.Transpirante, mouillée entre les cuisses d’excitation, souillée sur les fesses et les seins.Elle me chevaucha dans cette position pendant que je léchais ses seins souillés avec ma langue. Elle était bonne.— J’en veux plus, j’en veux encore ! cria-t-elle à l’adresse de Nicolas.Celui-ci qui nous avait observé jusque là était paré à reprendre du service. Il vint alors se placer au-dessus de nous et enfoncer sa queue au fond du cul de mademoiselle. Elle était maintenant prise en double, par la chatte et par le cul. Elle était en extase et nous aussi. Je la sentis chercher quelque chose du bout des mains. C’était le gode qui avait pénétré son intimité anale quelques minutes plus tôt. Nicolas l’aida à s’en emparer et je la vis fourrer l’objet dans sa bouche. Elle était en train de goûter son cul. Mais plus important encore, elle avait besoin de se sentir pute, prise par tous les orifices. Elle avait une violente envie de ne plus être elle-même, de se laisser aller à la soumission, d’être complètement bourrée de tous côtés, remplie.Enfin, le dernier acte arriva.Nicolas se retira. Elle aussi et s’allongea à plat ventre sur le lit en travers, la tête dépassant sur le côté. Nicolas vint placer sa queue au niveau de son visage et elle la goba toute entière. Cela la rendit complètement folle. Cette queue venait de sortir de son cul.Quant à moi, je décidai qu’il était temps d’explorer son anus à mon tour. Je me maintins en équilibre au-dessus d’elle à la force d’un bras et glissa mon sexe imposant et gonflé entre ses fesses serrées. Cette position rendait difficile l’accès à son cul mais était des plus excitantes. Nicolas finit par jouir sur la langue de notre petite pute qui avala la décharge de foutre. Dès que je l’eus pour moi seul, je remontais son bassin vers moi pour mieux apprécier la pénétration et la fouiller en profondeur. Pendant que je la sodomisais profondément, j’accompagnais ses doigts sur son clitoris.Elle sentait enfin une bite énorme lui déformer l’anus, cette impression d’être défoncée comme jamais. Son clitoris ultra sensible subissait les vibrations de nos doigts. Enfin, nous jouirent ensemble. Ses spasmes déclenchèrent des contractions de son sphincter et je déchargea mon foutre dans son cul. Autant pour la bouche, tantpis. Il faudrait qu’elle redonne à mon sexe sa seconde chance.Nicolas, dont l’excitation était retombée ne savait plus où se mettre tandis que elle et moi nous embrassions et que je sentais le goût de sa semence de Nicolas dans sa bouche.

Quelques minutes après ce moment d’extase, j’ouvris les yeux. Je jetai les mouchoirs souillés, fermai les photos d’elle et me maudis de ne pas être un mauvais garçon.
Puis je me réjouis de savoir que ce n’est pas avec eux que l’on peut devenir heureux et que ce n’est pas parce que le prince charmant est gentil qu’il ne peut pas être un bad boy au lit.
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