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Une découverte inattendue

Chapitre 2

Lesbienne
Ce sont des coups sur la porte et la voix de maman qui m’extirpent du sommeil. Je bondis du lit, enfile rapidement un tee-shirt et tourne la clé dans la serrure.
— Tu fermes ta porte maintenant, dit-elle.— Bonjour maman, j’ai dû le faire machinalement, réponds-je sans conviction.— Tu es chez toi, tu fais comme bon te semble, dit-elle en m’embrassant affectueusement. On s’en va, nos amis ont téléphoné, ils nous gardent jusqu’à demain. On rentrera en début de soirée. Tu as tout ce qu’il faut dans le réfrigérateur.— Ne t’inquiète pas, je me débrouillerai. Aurore vient me voir cette après-midi, je vais lui téléphoner si elle veut rester dormir à la maison.— C’est parfait, tu ne seras pas seule. Allez, bisous et amusez-vous bien.— Vous aussi, profitez bien.

Une fois les parents partis, je téléphone à Aurore. C’est sa mère qui décroche :
— Bonjour Léna.— Bonjour Madame, je téléphonai à Aurore pour savoir si elle pouvait dormir chez moi cette nuit, je suis seule, mes parents sont partis chez des amis.— Pour moi ça ne me pose pas de problème, je pense qu’elle acceptera avec joie. Je l’appelle, elle est dans sa chambre.— Bonjour ma Léna, maman m’a informée de ton invitation, je suis chez toi dans une heure, j’ai hâte de te revoir.— Moi aussi, hier soir, je me suis masturbée en pensant à toi, à nos étreintes.— C’est fou, j’ai fait la même chose. Je me dépêche. Bisous.— Bisous ma chérie, dis-je en raccrochant le combiné.

Je file sous la douche, me lave les cheveux, savonne mon corps avec un gel parfumé à la rose, maquille légèrement mes paupières. J’enfile de jolis sous-vêtements, une jupe légère et un chemisier blanc. Je prélève une bouteille de champagne dans la cave, la mets au frigo et me rends au jardin vérifier si le salon de jardin est nickel. Nous n’avons pas la chance d’avoir une piscine, mais il semble que mon père l’envisage dans un avenir proche.
Un coup de sonnette, je fonce ouvrir la porte, Aurore est face à moi, encore plus belle que la veille. Une fois la porte refermée, je l’enlace et nos lèvres se joignent pour un tendre et doux baiser.
— J’ai amené deux DVD d’anciens films avec Kristen Stewart, on se les mâtera ce soir.— Super ! On se boit un p’tit apéro ?— Un gin-tonic si tu as.— Ça peut se faire. Installe-toi au salon de jardin, j’apporte ce qu’il faut.— Tu as besoin d’un coup de main ?— Je me débrouille toute seule, ne t’inquiète pas.

Peu après, le plateau dans les mains, je pose un pied sur la terrasse et manque de tout lâcher en découvrant Aurore complètement nue, vautrée dans le divan.
— Il fait trop chaud, je me suis mise à l’aise, tu ferais bien d’en faire autant, dit-elle tout naturellement.— Je me suis faite belle pour te plaire.— Tu es très chouette, mais tu me plais davantage en étant nue. Tiens, si tu me faisais un strip-tease...— Je vais mettre un peu de musique, ça m’aidera.

C’est sur les premières mesures de "With or whithout you" de U2 que je déboutonne mon chemisier et fais tomber la jupe à mes pieds.
— Stop, ne va pas plus loin, je m’occupe du reste, dit-elle en se ruant sur moi.

Elle m’enlace, écrase ses lèvres sur ma bouche, sa langue tournoyant autour de la mienne alors que ses mains se promènent sur mon dos, me donnant les premiers frissons.
— Tes sous-vêtements sont magnifiques, ajoute-t-elle en dégrafant le soutien-gorge. — Dans ce cas pourquoi les enlèves-tu ?— Pour admirer ton joli corps, répond-elle en baissant ma culotte. — Sois sage, on va déjà boire l’apéritif.

Aurore fait la sourde oreille, me pousse sur un fauteuil, se met à genoux, écarte mes cuisses et plaque sa bouche sur ma vulve. Je n’ai ni le courage ni l’envie de la raisonner, d’autant que mon sexe abonde dans son sens en s’offrant à ses caresses. Sa langue fait sa petite folle sur mon clitoris, son index s’enfonce dans mon vagin et je souffle comme une bête. La petite Léna, timide et pudique, s’est volatilisée, celle qui lui succède est plus mûre, à l’écoute de son corps et ses désirs, et n’éprouve aucune honte à faire l’amour avec une fille et y prendre énormément de plaisir. La jouissance est si forte que je me cambre sur le fauteuil, projetant mon sexe contre sa bouche, ses deux mains sous mes fesses. Je m’offre sans retenue, les cuisses largement écartées, le sexe béant, la bouche grande ouverte, le corps frémissant et impatient de jouir à l’extrême. Aurore, elle, montre plutôt des signes de patience, se délectant de mon intimité.
— J’ai des crampes dans les bras, dis-je entre deux gémissements.— Mets-toi à genoux et tourne-toi, j’ai envie de ton p’tit cul.

Je m’exécute de bon gré et cambre les fesses. Elle les écarte, sa langue dessine de petits cercles autour de mon anus, puis le lèche frénétiquement à en perdre le souffle. Au bord de l’asphyxie, ce sont ses doigts qui prennent le relais, deux dans mon vagin, un dans mon petit orifice. Ils impriment un rythme lent pour commencer puis leurs mouvements s’accélèrent, laminant mes chairs à m’en faire hurler. Des ondes électriques traversent mon corps qui s’agite comme un forcené sous la poussée d’une jouissance incommensurable et qu’il m’est impossible de maîtriser. L’orgasme éclate telle une bombe sur un champ de bataille, je crie, je hurle, je suffoque, pour finir affalée sur le divan, les fesses en l’air, le visage écrasé dans un coussin. Quand je parviens à me redresser, j’aperçois Aurore sucer ses doigts, les yeux pétillants, ce qui me fait sourire.
— Tu m’as épuisée, dis-je en saisissant mon verre de gin-tonic que j’avale d’une seule traite.— Tu es trop belle ma Léna.— Jure-moi que ce n’est pas une passade (mon côté romantique revient au galop).— Je te le jure ! Je vais d’ailleurs te faire une proposition. À la prochaine rentrée universitaire, mes parents vont me louer un petit appart, tu pourrais le partager avec moi si ça te dit.— Génial ! Je paierai la moitié du loyer.— Pas question, ce sont mes parents. Nous n’aurons que la bouffe et les sorties à payer en commun.— On pourra dormir ensemble et faire l’amour sans contrainte, dis-je tout excitée.— Exactement, à nous la liberté. — Tu mérites une récompense, dis-je en la faisant s’asseoir sur le divan.

J’adore lécher son sexe, sentir son parfum se répandre dans ma bouche. Tous ces gestes que j’accomplis naturellement et avec plaisir depuis hier m’auraient paru insensés, voire dégoûtants auparavant. Je découvre avec un bonheur inexplicable l’amour avec une fille, surtout quand elle est ma meilleure amie. On se connaît depuis tant d’années que je n’éprouve aucune gêne à ce que nous nous mettions nues et nous caresser. Je pense même que c’était une évidence, il suffisait qu’une de nous deux prenne l’initiative d’en parler. Ma timidité, ma pudeur, mon inexpérience sexuelle se sont envolées, depuis hier, je me sens femme et désinhibée. Mes lèvres aspirent sa vulve, ma langue s’enfonce dans son vagin, mes mains pressent ses seins, ceci avec un tel plaisir que j’en ai la chair de poule. Quand elle atteint l’orgasme, ma bouche recueille le fruit de sa jouissance, un pur délice dont je m’abreuve sans honte.
Je comprends aujourd’hui que lorsque deux êtres fusionnent, il ne doit exister aucun tabou, il suffit de se laisser guider par son instinct et ses envies.
— On fait une pause. On se boit un autre apéro et on mange, je lui suggère.— D’accord. Ensuite, si tu es d’accord, j’aimerais que l’on se prenne en photo.— Tout ce que tu veux ma chérie, réponds-je en déposant un doux baiser sur ses lèvres.

Après le repas et deux verres de vin, nous sommes légèrement pompettes et disposées à toutes sortes de folies. Aurore, son portable dernier cri à la main, m’invite à poser la première. Inutile de préciser que ces photos auront un caractère coquin, une fois téléchargées dans nos ordis respectifs, il suffira de les glisser dans un dossier anonyme pour éviter toute intrusion malveillante. Nos parents sont plutôt cool, mais ils seraient certainement choqués si par un hasard exceptionnel, ils y avaient accès. Au début, Aurore se montre peu exigeante, je pose naturellement devant des parterres de fleurs, des buissons aux feuillages de dégradés de vert, rien de bien scandaleux. Lorsqu’elle me demande de rejoindre la terrasse, à son regard, je devine que ce shooting amateur va prendre une autre tournure. Effectivement, quand elle expose ce qu’elle attend de moi, j’en ai des vertiges !
— Tu exagères, tu me vois poser un doigt dans mon minou et un autre dans mon anus ?— Rien ne peut être indécent chez toi ma Léna, tu es l’innocence même et ce n’est que pour une seule photo.— Et les autres, les cuisses écartées, ma foufoune en gros plan...— Tu es moins timide quand on fait l’amour !— Je te fais marcher, je ferai tout ce que tu voudras, dis-je en me moquant.— P’tite saleté, dit-elle en me pinçant un mamelon.— Aïe, tu m’as fait mal.— Allez, en place, tu t’assois sur le fauteuil et tu écartes les cuisses.

Je prends docilement la pose, la première photo en plan large, la seconde un gros plan de mon sexe. Les suivantes explorent mon anatomie sous tous les angles, particulièrement mes fesses dont elle est raide dingue. Pour clore la séance en apothéose, elle propose de filmer me masturbant. En l’état, excitée comme je suis, je n’hésite pas une seconde et lui sors le grand jeu. Je m’agenouille, cambre les fesses, glisse une main entre mes cuisses et introduis deux doigts dans mon vagin et de l’autre, commence à caresser mon anus avant d’y glisser mon index. Aurore, à peine un mètre derrière moi, tient son portable à une main et se caresse de l’autre. J’atteins rapidement l’orgasme, me relève et glisse mes doigts entre ses lèvres qu’elle suce avec délectation.
— J’ai envie de toi Léna, tu me prendras en photo plus tard, dit-elle en m’attirant vers le divan. — Viens avec moi, il y a un matelas de plage dans le placard de l’entrée, ce sera plus confortable.— On se dépêche, je ne tiens plus...

On dépose le matelas sous le chêne centenaire, son feuillage dru offrant un écran aux rayons ardents du soleil. Je suis à peine allongée qu’Aurore s’agenouille au-dessus de mon visage, saisit mes jambes, les relève jusqu’à ce que mon intimité soit à portée de sa bouche. Seule ma tête repose au sol, position peu confortable, mais j’oublie rapidement cet inconvénient quand sa langue se balade sur mon sexe et mon anus.
— Baisse-toi un peu, moi aussi j’ai envie de te lécher.— Il suffit de demander, dit-elle en écrasant sa vulve sur mes lèvres.

Ma langue s’imprègne du doux parfum de son intimité, à m’en donner des frissons. Faire l’amour avec Aurore est plus qu’un plaisir, c’est une nécessité, un besoin à renouveler sans cesse. Aucun geste, aucune caresse n’est taboue, on se laisse aller au gré de nos fantaisies pour atteindre une jouissance jusqu’ici méconnue. Le sexe fait aujourd’hui partie de notre quotidien et savoir qu’à la rentrée nous partagerons le même toit m’ôte la déprime qui pointe son nez à chaque fin de vacances.
Heureusement, nous n’en sommes qu’au début et je savoure l’instant présent, d’autant qu’elle écarte mon sexe de ses doigts pour y laisser pénétrer sa langue qui joue sur les parois de mon vagin à m’en faire hurler. Je fais fi de ma position tant la jouissance irradie mon corps. Malgré cela, je me targue de bien la lécher, j’adore le parfum de son sexe, il m’enivre ! Nous atteignons l’orgasme dans un concert de cris et de gémissements que les chants des oiseaux ne parviennent pas à couvrir. En sueur, nous filons prendre une douche puis nous nous allongeons sur les transats pour un repos amplement mérité. Aux alentours de vingt et une heures, on s’installe devant la télé et regardons les deux films avec Kristen Stewart, Aurore ne pouvant s’empêcher de se caresser lorsque l’actrice dévoile sa jolie poitrine.
— Dommage qu’elle ne montre jamais son cul, il doit être divin, ajoute-t-elle la main droite entre ses cuisses.— Dans personnal shopper elle est en string, ça te donne une idée.— Oui, mais j’aimerais en voir plus... ajoute-t-elle en affichant un air frustré.— Puisque je lui ressemble...— Je fais l’amour avec toi par désir et non pas parce que tu lui ressembles, coupe-t-elle avec sincérité.— J’espère bien ! Je suis crevée, on va se coucher ?— Dormir à tes côtés est un cadeau inespéré.— Demain, c’est à ton tour de poser, tu n’as pas oublié ?— Oh non, tu ne seras pas déçue !— Avec toi, j’imagine le pire !— Je ferai comme toi, mais plus relâchée.

Effectivement, le lendemain, elle se montra à la hauteur de ses promesses. Elle n’eut aucun complexe à afficher son sexe béant et à y introduire trois doigts, idem pour son anus, mais avec son seul index, ceci dans un érotisme à me donner la chair de poule. Comme vous l’imaginez, la séance photos terminée, nous avons fait l’amour passionnément, sachant que quelques heures après, mes parents seraient de retour. Elle décida de partir avant leur arrivée afin que nous puissions nous quitter sur des baisers et des caresses scellant un amour profond et sincère. Je ne pus retenir quelques larmes quand elle s’éloigna malgré sa promesse de nous revoir très vite. Je pris une douche pour effacer toutes traces de nos étreintes et m’installai sur un transat avec un bouquin avant l’arrivée de mes parents.
Plus tard, je profite que ma mère soit seule à la cuisine pour me confier à elle :
— Maman, j’ai besoin de te parler.— Bien sûr, ma chérie, je t’écoute.— Ce n’est pas facile, pardonne-moi d’être directe sinon je vais m’embrouiller.— Je suis ta maman, tu n’as rien à craindre.— J’aime les filles maman, Aurore et moi entretenons une relation intime.— Tu es sûre de toi ?— J’ai eu un rapport avec un garçon, il s’est comporté comme un mufle à me dégoûter des mecs.— Tu aurais dû m’en parler.— Je n’ai pas eu le courage.— Ecoute Léna, tu es majeure, ton corps t’appartient, tu es libre de vivre ta sexualité tu l’entends.— Tu n’es pas choquée ?— Absolument pas, l’homosexualité n’est pas une tare. — Oh merci maman, dis-je en me jetant dans ses bras. Et papa, quelle sera sa réaction ?— Ton père est ouvert d’esprit, tolérant, il comprendra très bien. Si tu veux, c’est moi qui lui en parlerai...— Je préfère.

Le soir, dans ma chambre, je visionne nos photos sur mon portable, ce qui m’excite terriblement. J’enlève mon tee-shirt de nuit, me caresse jusqu’à l’épuisement, mais n’atteins pas l’orgasme souhaité. Je prends une douche, me couche nue et éteins la lumière, Aurore marquée à mon esprit.
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