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Une délicieuse amie

Chapitre 1

Divers
Notre première rencontre a eu lieu dans des conditions exceptionnelles et pour le moins étonnantes. Comme à mon habitude, je suis encore parti cet été avec des amis chers pour un petit séjour à la montagne. Il m’est agréable de me sentir ainsi entouré à une époque où nombre de mes congénères se retrouvent isolés à la ville sans véritable contact. Handicapé en fauteuil, je suis contraint de limiter mes déplacements autonomes tant en durée qu’en mode de transport. Du coup je déteste cette première quinzaine d’août ou la ville est déserte. Même l’épicier chinois de mon quartier en profite pour passer quelques jours en famille au bord de la mer. Lorsque, il y a quelques années, mes amis m’ont proposé ce petit séjour régulier vers les cimes, je n’y ai vu que des avantages. Quel être humain isolé ne trouverait particulièrement agréable d’être ainsi entouré, chouchouté, et de passer de longues soirées à plaisanter et à refaire le monde. Comment ne pas être sensible à ces paysages de montagne aussi attrayants que spectaculaires ? Aujourd’hui j’en connais les limites.
Pendant que mes amis randonnent, je n’ai d’autre distraction que de descendre laborieusement le petit chemin qui mène au village. Mon fauteuil électrique aime assez peu cet univers caillouteux en pente importante. Je m’y suis pourtant habitué dans le but d’aller retrouver au bar quelques anciens du village toujours prompts à raconter leur pays. Et puis il y a le marchand de journaux et son incroyable rayon de romans du terroir… Elle y est apparue tout d’un coup, immense, dans l’entrebâillement de la porte, questionnant le buraliste sur le chemin qui mène notre chalet. Ce dernier m’a présenté à elle comme l’un des occupants capable de la renseigner. Je ne sais pourquoi, je me suis immédiatement senti en empathie avec cette géante qui, miraculeusement, avait besoin de moi pour la guider. Je lui propose de faire une petite halte au café du village histoire de faire un peu plus connaissance alors que le chalet est vide de tout habitant. Elle accepte et je commence à découvrir ce qui l’amène ici. Mes amis sont aussi ses amis. Elle est de passage dans la région et souhaite se faire héberger quelques jours et passer du temps avec eux. Elle aime la randonnée en montagne et sait qu’ils en sont adeptes. Ancienne basketteuse professionnelle, elle a dû abandonner sa carrière sur blessure et s’applique à la reconversion. C’est une grande fille athlétique ; sa peau bronzée, ses cheveux noirs ondulés, son nez légèrement épaté, laissent penser à un lointain ancêtre d’origine africaine.
Je ne sais si elle correspond aux canons de la beauté, mais pour moi elle est « la beauté ». Hormis sa taille, tout est modeste chez elle. Ses mains fines, ses bras délicats, sa poitrine discrète et ferme, ses petites fesses rebondies, charment mon regard. Malgré sa tenue sportive, j’imagine assez bien les courbes divines de ce corps élégant. Elle est force quand je suis faiblesse, terriblement grande quand je suis absolument petit, belle en diable quand je me sens disgracieux. Pourtant, l’intérêt soutenu qu’elle porte à ma personne me fait me sentir son égal, proche d’elle au point que l’émotion me gagne peu à peu. Nous entrons en confidence. Son visage s’illumine et je me sens tout à coup important… Nous n’avons plus aucune conscience du temps qui passe.En fin d’après-midi, après avoir pris le temps de stationner correctement sa voiture, elle s’empare de son volumineux sac à dos et me suit tranquillement jusqu’au gîte. À l’arrivée de nos hôtes l’excitation collective et à son comble. Tous sont ravis de se retrouver et de se raconter les mille histoires, les mille anecdotes, les mille brefs instants de leur vie que les uns et les autres ont vécus séparés. Bref, je participe, sans être concerné, à un enthousiasmant moment de partage entre les différents protagonistes. Lorsque la soirée prend fin, alors que notre couple d’amis se retire, nous nous préparons au partage de la chambre qui m’accueille fort opportunément équipée de deux lits séparés. Tandis que je me tortille pour enfiler avec difficulté un vêtement de nuit, elle se dénude furtivement et me laisse contempler quelques bribes de sa beauté naturelle. J’ai beaucoup de mal à m’endormir ce soir-là. L’arrivée de notre nouvelle amie m’a un peu bousculé et j’avoue que son charme agit fortement sur moi.
Installé dans nos lits, si près et si loin à la fois, je me sens particulièrement oppressé. Stupidement, je tends le bras et attend vainement qu’elle me saisisse la main. Des images érotiques envahissent mon esprit et je m’agite pendant des heures faisant parfois craquer le bois de ma couche. Mais ma compagne d’une nuit s’endort du sommeil du juste sans même, je crois, se rendre compte de mon état. Sa respiration régulière finit par me bercer et je m’endors la tête peuplée de rêves ou sa nudité radieuse occupe une grande part.
Au matin du lendemain, je me réveille dans une chambre vide. Je me prépare aussi vite que je peux et me rends sur la terrasse ou nos amis petit-déjeunent. Mon arrivée n’interrompt pas une discussion passionnée sur la balade du jour. Ils envisagent d’aller visiter le site d’un petit lac d’altitude situé à moins de deux heures du chalet. Je dis mon regret de ne pouvoir les accompagner. J’entends alors une étonnante proposition de notre basketteuse qui m’offre de faire la randonnée sanglé à son dos. Je suis à la fois intéressé est un peu inquiet de l’inconfort de la situation et du risque de fatiguer notre amie. Mais plus j’argumente sur les inconvénients plus chacun se passionne pour faire dans les meilleures conditions cette randonnée avec moi. Nos hôtes entassent tout le matériel et les denrées indispensables à la balade dans leur sac à dos. Un drap neuf, particulièrement solide, est désigné pour me servir de nacelle et me voici ficelé au dos de ma porteuse. Dès les premiers pas la sensation est étonnante.
Les fines couches de coton qui nous habillent ne sont pas suffisantes pour nous isoler et j’ai l’impression d’être peau contre peau. Malgré l’inconfort, la sensation est délicieuse. J’enserre ses épaules et son cou de mes bras. Je sens chaque battement de son cœur, chaque mouvement de son corps, comme si je n’étais plus qu’une partie d’elle. Et en même temps, je me sens comme un amoureux collé à sa promise vaguement gêné et totalement ravi. Lorsque ma porteuse fatigue, elle me pose délicatement au bord du chemin et nous contemplons ensemble les somptueux paysages montagnards. Au soir de cette étonnante promenade, nous nous endormirons fourbus et contents de nos découvertes communes.Le surlendemain, elle repart vers d’autres horizons, me laissant orphelin la tête plein de souvenirs. Je n’oublierai jamais ces moments privilégiés. Bien des mois plus tard, à l’occasion d’un dîner chez nos amis communs, mon sang n’a fait qu’un tour en apprenant que ma belle basketteuse vient s’installer dans notre ville. Elle y a trouvé un emploi dans l’éducation populaire avec, par chance, un appartement de fonction dans un immeuble neuf d’un quartier calme proche du centre. Pendant des semaines je ne trouve d’autres destinations à mes promenades que sa rue, le parc public proche de chez elle, sans jamais la rencontrer. Tantôt je me désespère, tantôt je me console en me disant qu’elle n’est pas pour moi mais que je ne tarderai pas à la revoir chez nos amis communs. Il en fut tout autrement.Un beau matin, je trouve dans ma boite aux lettres, sous pli non affranchi, une invitation à venir prendre le thé le dimanche suivant à son domicile. Je ne me fais aucune illusion et pense qu’elle a décidé de « pendre la crémaillère » avec toutes ses connaissances de la ville. Aussi, armé d’un splendide bouquet de roses rouges, je roule paisiblement mon fauteuil sur un itinéraire que je connais maintenant par cœur. Je sonne, on m’ouvre, et je bénis le ciel que son immeuble soit parfaitement aux normes pour faire rouler ma prothèse électrique. Elle m’accueille sur le pas de la porte, vêtue d’une petite robe de cotonnade noire, sans maquillage ni artifice. Se seins pointent sous le tissu. Je ne vois nulle trace de sous-vêtement lorsqu’elle bouge. Mon dieu qu’elle est naturellement belle et provoquante ! Elle s’émerveille de la qualité de mon bouquet et s’interroge avec humour sur le langage des fleurs et la signification des roses rouges… Personne d’autre que moi n’est à l’évidence invité.
Une tasse de thé et quelques petits gâteaux plus tard, elle vient s’asseoir à mes pieds et continue à me parler la tête appuyée sur mes genoux. Mon cœur s’accélère et je commence à caresser doucement son visage et ses cheveux. Je suis heureux et en même temps inquiet car mon sexe a délibérément décidé de se dresser quelque peu à l’immédiate proximité de sa nuque. Mes doigts entrent dans sa toison, ma caresse se fait tendre. Nous restons ainsi de longues minutes silencieux, sans beaucoup bouger, en parfaite osmose. Mes sens sont en ébullition et je suis à peine étonné lorsque je sens sa main déboutonner mon pantalon et dégager mon sexe de sa gangue. Une douce caresse excite ma colonne, un baiser impudique me fait frissonner, sa bouche gourmande avale l’objet du délit. Le va et vient sur ma hampe résonne dans mon corps entier qui dépasse ses habituelles limites. Prudemment, elle m’astique sans hâte jusqu’aux profondeurs de sa gorge. Sa langue s’enroule en berceau sur mon sexe. Ses lèvres fines ajoutent à la douceur du mouvement régulier. Je brule et tressaille de désir !
Lorsqu’elle s’écarte un peu de moi, je vois soudain la petite robe noire lui passer par-dessus la tête. Elle n’a effectivement rien dessous et son corps à la fois fin et musclé m’apparait dans toute sa splendeur. Il est entièrement halé, sans aucune trace disgracieuse. Je suis surpris par ses petits seins fermes, son bassin plus large que perçu et ses fesses rebondies, la ligne discrète de son sexe épilé. Elle s’assoit à nouveau à mes pieds et entreprend de me dévêtir. Me voici fesses à l’air, sexe dressé, jambes nues. Je me sens ainsi à l’aise, débarrassé de cette honte pudibonde qui jusqu’ici m’habitait. Ses mains remontent sur mon torse emmenant avec elle mon sweat-shirt. La caresse est divine. Je suis fier de m’exhiber ainsi devant elle, totalement nu.Elle me soulève et m’attire à elle. Je suis collé à son corps, excité, sans pudeur. Mes bras entourent son cou et je m’envole de mon fauteuil pour atterrir sans heurt, comme en apesanteur, sur son lit au contact duveteux. J’ouvre mes bras et curieusement, en un seul mouvement, mon sexe est à nouveau happé tandis qu’en une rotation de tout son corps son entrecuisse se propose à ma bouche. Un 69 que diantre ! Voilà une bien agréable entrée en matière. Je lape ses sécrétions intimes alors que ses lèvres s’agitent sur mon phallus. Son ventre et sa poitrine, à peine posés sur moi, me caressent tout entier. Ma tête bouillonne. Je suis entièrement soumis à mes hormones qui me gouvernent sans relâche. Mon champ de vision est réduit à ses fesses écartelées. Je les saisis à pleine main, en caresse les abysses, m’essaie à quelques volutes sur son cul presque ouvert. Je risque un doigt agile vers son clitoris. Elle redouble d’ardeur et son corps commence à vibrer.Soudain elle se relève, se retourne et m’enfourche. Elle guide mon sexe dressé dans le sien tandis que mes mains se tendent vers ses seins. Elle se penche un peu pour faciliter la caresse. Dans un mouvement gracieux elle entame un va et vient vertical si délicieux que mon sexe durcit encore. Elle a pris le relai de ma caresse intime tout en bougeant avec la régularité d’un métronome. Bizarrement, elle sera la première à jouir, secouée d’imperceptibles tressautements, ses fesses devenues immobiles collées à mon bas ventre. Je ne tarde pas à la rejoindre et, alors que mon sexe tressaille en elle, j’émets un puissant hululement rauque qui me surprend moi-même. Nous sommes, tous deux, luisants de sueur, haletants, collés l’un à l’autre et toujours l’un dans l’autre. Je sens maintenant le poids de son corps. Je la caresse et la serre contre moi, heureux.Quelques instants plus tard, alors que je reprends un peu de vigueur, elle se désengage de mon sexe gluant de foutre et de cyprine et lui présente la rosette de son cul. Elle maintient ma bite droite et  l’enfonce doucement en elle. Le passage est tout d’abord difficile puis, au gré des va-et-vient, se distend peu à peu. Ce nouveau contact génital, plus serré, renforce mon désir et durcit encore mon appendice. L’accomplissement de ce fantasme me surprend par la violence de ce que je ressens. Après quelques minutes, mon amante s’agite avec plus de force, sans doute dopée par le plaisir de transgresser ce tabou. Cette fois ci, je jouis le premier  mais plus lentement que la précédente. A chaque spasme, j’ai l’impression de m’enfoncer plus encore dans le corps désiré, de le posséder plus. Alors que je suis redevenu maitre de moi, je la vois creuser ses reins et jeter ses épaules en arrière. Son corps se bande comme un arc. Le mouvement s’accompagne d’une multitude de petits cris suraigus. Elle est comme tétanisée et, en même temps habitée d’une étonnante vibration que seule ma peau décèle.

Lorsque le calme revient, elle se sépare de moi et saisit une serviette pour effacer de nos corps les liqueurs gluantes. Ceci fait, elle s’allonge à mes côtés et nous restons un long moment à nous caresser l’un l’autre sans relâche. Ce doux contact nous apaise peu à peu. Je ne sais quel avenir aura notre relation mais je me sens éperdu de reconnaissance pour celle qui m’a fait découvrir ces deux plaisirs extraordinaires : entrevoir les joies de la montagne et posséder son corps de déesse…
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