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Une députée prête à tout

Chapitre 2

Entrer dans le con des Grands

Lesbienne
Eliane avait suite à cette soirée un "petit je-ne-sais-quoi" de différent. 
C’était plus qu’avoir juste évacué sa frustration sexuelle ; avoir couché avec sa jolie collaboratrice, de surcroît plus jeune de 10 ans et qui s’était livrée à elle, avait véritablement fait ressurgir son instinct de lesbienne en chaleur qu’elle avait si difficilement perdu. Une femme nettement plus ouverte aux relations intimes (et plus prompte à mater en toute discrétion ses collègues femmes) arpentait donc l’Assemblée. 
Une femme notamment retenait l’attention de la curiosité érotique d’Eliane : c’était Violaine, une blondinette avec de jolis cheveux longs et de seyantes lunettes rouges, qui était l’assistante du Président de l’Assemblée. Lors des sessions de travaux non-publiques, les deux femmes se croisaient régulièrement ; jamais Eliane n’avait pris plus de plaisir à voir une femme se recoiffer, elle se positionnait systématiquement de manière à avoir vue sur la cascade blonde qui descendait dans le dos de son fantasme. Quand la bretonne perdait un peu sa concentration, c’étaient ses mains qui caressaient les cheveux, son doigt passait le long des fines lèvres de cette beauté si rare dans la politique.. 
Mais voilà, Violaine était une femme assez farouche, les quelques fois ou Eliane avait essayé de lui parler la jeune femme avait tout fait pour écourter la conversation, sans qu’elle sache si c’était par timidité ou par désintérêt. Les femmes qui avaient moins de la trentaine étaient relativement rares dans ce monde assez fermé, Eliane ne pût s’empêcher de penser qu’elle avait dû fortement apprendre à se méfier des gens, du monde politique, des trahisons... 
En ce mardi, Eliane avait un problème autrement plus pressant : les députés MRP avaient voté selon les consignes du parti et n’avaient pas proposé l’amendement pour la dernière séance en commission ; seuls deux députés l’avaient soutenu dans sa démarche, un ancien compagnon de longue date député de Normandie et une jeune femme fraîchement élue qu’elle ne connaissait presque pas. Si Eliane n’arrivait pas à faire voter l’amendement anti-glysophate en commission, impossible qu’il soit voté à l’Assemblée.  
Après une matinée à essayer de rallier quelques collègues à sa cause, Eliane alla déjeuner seule, en dehors de l’Assemblée pour se concentrer sur sa stratégie.  C’est alors qu’elle fût interpellée par une voix féminine : « Alors Eliane, vous aussi allez manger loin de toute cette lourdeur ? » Eliane se retourna et la reconnut immédiatement. Nathalie avait un visage un peu carré, avec un petit quelque chose de masculin, qu’une coupe au carré de cheveux blonds bouclés mettait bien en valeur. Elle était plutôt fine, ses quarante-cinq ans bien conservés, et avait résisté à des années de méchouis, cocktails, buffets,…qui sont célèbres pour donner un bel embonpoint à n’importe quel député ou presque. Et pourtant, Nathalie était depuis 8 ans déjà la présidente du groupe du parti Souverainiste. 
Eliane se demandait bien ce qu’une femme de son acabit pouvait bien lui vouloir, et comment une chef de groupe pouvait la reconnaitre si facilement, elle qui n’était qu’une députée somme toute novice, même si le courant semblait étonnamment bien passer entre elles. Eliane restait cependant sur ses gardes. « Figures-toi que ton petit combat que tu mènes à l’intérieur de ton parti m’intéresse ; c’est assez rare, un petit bout de femme qui se met son parti à dos et qui s’accroche toujours pour faire passer son texte. Eliane ne releva pas le « petit bout de femme ». — Si vous pensez que tu vas mettre le bordel dans mon parti à travers moi, vous vous trompez lourdement — Mais ce n’est absolument pas mon intention ! Mais tu sais comme moi que si tu veux l’emporter, il faudra aller chercher des voix dans les autres partis. Et ça, avec moi, c’est possible. -  Mais qu’est-ce que vous pouvez bien me trouver pour vouloir à ce point m’aider ? — Disons si ça peut te rassurer que participer au vote de ce texte m’aiderait personnellement ; et par pitié appelle-moi Nathalie, j’ai jamais supporté ces députés qui se donnent du « monsieur le questeur » ou « camarade député » ; crois-moi, c’est pas aujourd’hui que je vais m’y mettre ! » 
La lumière vint donc du Parti Souverainiste ; effectivement dans la journée Nathalie mit au parfum plusieurs groupes parlementaires, notamment des députés réputés écologistes. Le texte était donc diffusé au sein de l’Assemblée, et une vraie lutte pouvait s’organiser. Cependant, cela ne changeait pas le fait que le propre parti d’Eliane avait refusé de présenter le texte en Commission. Pour qu’il soit voté en séance plénière, il fallait trouver un moyen subtil d’inscrire son texte à l’ordre du jour… Evidemment, Nathalie le savait aussi. Cette fois, elle invita Eliane directement à son appartement, "pour pouvoir discuter sans crainte d’être observées". Eliane se rendit donc discrètement à l’appartement de la présidente de groupe, non plus vêtue du traditionnel tailleur mais d’une robe saumon un peu plus adaptée à la température. 
"Entre ! Dis donc, tu t’es mise sur ton 31, ca me fait plaisir..." il est vrai que la quadra portait juste un jean et un T-shirt noir, la robe d’Eliane la rendait un peu plus élégante en comparaison. Les deux femmes s’assirent, un verre de vin à la main, sur un canapé comme de vielles amies. "Alors, tu as une solution pour faire passer mon texte ? — Chut, petite impatiente, tu es bien pressée ! Parles-moi un peu de toi plutôt... — Désolé, j’ai encore du mal à être à l’aise avec v..euh, avec toi je veux dire... — Si ce n’est que ca...ne t’inquiètes pas, je me charge de te mettre à l’aise... Et Nathalie glissa doucement sa main sous la robe d’Eliane pour la poser sur sa jambe nue. La bretonne eut un mouvement de recul, mais Nathalie la retint. " Nathalie, qu’est-ce que vous faites... — Je fais juste plus ample connaissance avec toi, c’est tout....c’est curieux, ca ne te dérangeait pas quand c’était ta petite stagiaire qui te caressait !  
Eliane resta bouche bée. Comment pouvait-elle savoir qu’elle et Iris avaient couché ensemble?  Nathalie poussa son avantage, alla chuchoter à l’oreille de sa prisonnière :  "Et je t’ai déja dis de me tutoyer, ma petite gouine..." 
A ce moment-là, Eliane était sous son contrôle, ne pouvant ni s’échapper sans vraiment vouloir rester, alors que Nathalie caressait plus passionnément sa jambe. Elle sut alors qu’elle pouvait attaquer franchement : sa main attrapa la nuque d’Eliane en un geste rapide et sa langue rentra dans la bouche mi-ouverte de sa conquête pendant quelques secondes. 
"Si tu savais comme je me suis branlée en te regardant baiser avec ta petite métis ! Je sens qu’on va faire une belle équipe, toi et moi..." Eliane était en fait un peu sous le choc. Elle ne réagit que quand Nathalie l’embrassa à nouveau, sans opposer de résistance...Nathalie n’eut pas besoin de la retenir, elle pouvait se jeter sur elle et l’embrasser de toutes se forces, la langue d’Eliane répondait peu à peu à son baiser tandis qu’elle pouvait passer ses mains sur ses hanches, sur sa jambe à demi dévoilée...Nathalie savourait cet instant, elle venait enfin de mettre la main sur cette ravissante petite lesbienne. Sa main remonta vers l’entrejambe tant convoitée.. "Pitié, Nathalie, pas là... — Silence ! Tu m’as suffisamment excitée comme ca, à mon tour de m’amuser un peu...et puis c’est pas comme si tu trouvais ca désagréable non? 
De fait, Eliane ne sut trouver la force de ne pas frémir quand sa séductrice plongea dans le décolleté de sa robe, en sentant sa langue sur ses seins libres de tout soutien-gorge. Elle ne sut rien répondre quand elle sentit des doigts étrangers sur sa culotte qui frottaient déjà ses lèvres extérieures à travers le tissu bleu. Elle retira finalement elle-même sa robe, découvrant tout son corps pour le plus grand bonheur de la prédatrice qui la convoitait tout entière, ne restant qu’en petite culotte. "Tu vois que tu es plus belle quand tu es nue...allez, laisse-moi passer derrière chérie.." Eliane s’agenouilla pour lui faciliter le passage, aussitôt Nathalie se mit dans son dos, ses mains remontant lentement son torse pour palper ses seins, elle embrassa Eliane dans son cou, la bretonne ne put retenir un frémissement : "Oui vas-y... — Comment? je n’ai pas entendu... — Vas-y Nathalie, baise-moi.... Une fessée claqua sur les fesses rebondies d’Eliane — on dit : baisez-moi, MAITRESSE ! — BAISEZ-MOI, MAITRESSE !  — Tes désirs sont des ordres, ma belle !  
La bouche de Nathalie s’enfonça dans les fesses de sa conquête encore recouverte de la culotte. Nathalie prenait possession de son corps, prenant son temps, elle finit par retirer le sous-vêtement et mit aussitôt deux doigts dans la chatte mouillée d’Eliane, qui cria aussitôt de surprise. Les doigts de Nathalie n’eurent aucun mal à glisser, et elle ne se priva pas de faire des allers-retours puissants dans la vulve de sa soumise, pendant qu’Eliane avait complètement accepté de se faire dominer et essayait de contenir sa jouissance. Cependant elle dû lâcher sa mouille, ne pouvant résister à la technique bien affûtée de Nathalie, elle jouit à la grande satisfaction de sa doigteuse du soir. " Aaaaah j’en peux plus... — tu as joui vite ma coquine, je t’avais prévenue que tu serais pas déçue...surtout reste allongé pendant que je prépare la suite..." Sous les yeux de la Bretonne, Nathalie enleva son haut, son jean, et enleva ses sous-vêtements de dentelle noir pendant qu’elle se rapprochait de sa victime allongée "Et maintenant tu vas bien me brouter le minou chérie, montres-moi comment tu te sers de ta jolie bouche.. — Oui maîtresse...vous avez de beaux seins maîtresse... — Mmh c’est gentil mignonne, je te les laisserai si tu me fais bien jouir, c’est promis !  Prise ainsi au jeu, Eliane laissa poser Nathalie son minou sur son visage, respira à fond la senteur de la touffe pubienne et se mit à lécher avec ardeur l’offrande, s’aidant de ses mains pour pousser les fesses et améliorer le contact avec les lèvres intimes. Tout en appréciant les mouvements de langue, Nathalie ondulait du bassin, prit sa belle paire de seins entre ses mains, savourant le spectacle de sa dominée dont la tête en contrebas léchait sa chatte d’une belle manière.. La soirée se finit tard, plus tendrement qu’au début ; et oui, Eliane put lécher la belle paire de nichons de sa séductrice... 
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