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Une députée prête à tout

Chapitre 5

Lesbienne
Le jour du vote était enfin arrivé ; même si Éliane avait eu beaucoup d’écho dans son combat contre le glysophate, la dynamique pro-interdiction s’était un peu essoufflée. La bataille se jouerait donc à quelques députés près, après un intense lobbying de la part des deux camps, les arguments d’Éliane se confrontant à ceux de son propre parti, qui ne voulait absolument pas perdre l’électorat agriculteur. Mais elle pouvait compter sur les députés écologistes du Parti Souverainiste et du Front de représentation Populaire. Au final, ce serait la mobilisation dans son camp, le MRP qui ferait la différence : les consignes du parti seront-elles fidèlement suivies ou bien les mots de la bretonne auront-ils fait mouche ?
Notre héroïne venait de discourir devant toute l’Assemblée en tant que rapporteuse de l’amendement anti-glysophate ; c’était une première, elle en était ressortie complètement essoufflée et avait besoin d’un moment seule ; elle passa discrètement aux toilettes quelques minutes après son discours, applaudi par une bonne partie de l’Assemblée.
Elle se passa de l’eau sur le visage et commença à déboutonner sa chemise. Tout d’un coup, Violaine arriva à son tour dans les toilettes alors qu’Éliane défaisait un bouton. Elle sursauta sur le coup, tourna la tête juste à temps pour la voir venir l’embrasser fougueusement. "Tu as été formidable", entendit-elle dans un souffle. Violaine s’en alla un instant après pour reprendre sa place au perchoir de l’Assemblée. "Cela faisait du bien, un peu de réconfort" pensa Éliane après cette savoureuse étreinte. "mais tout de même, elle aurait pu se poser des questions en voyant ça sur mon cou...". Et pour cause : après avoir défait son col de chemise, elle dévoila au miroir le "collier" d’animal de compagnie offert par Nathalie.
Éliane ne pouvait cesser de contempler son reflet, portant cet accessoire honteux. Ainsi parée, elle se sentait pourtant sereine, elle faisait corps avec l’envie de se faire dominer, d’appartenir à Nathalie, elle restait collée aux sensations éprouvées lors de sa nuit avec elle, ou elle s’était sentie si honteuse, si vulnérable... Contempler cette marque de soumission sur son cou la calmait, la mettait dans un état de calme excitation ; elle revint assister à la séance publique en pensant au dernier colis qu’elle avait reçu : un ensemble de sous-vêtements chics rouges, avec des motifs de chats. "Pour quand on se verra la prochaine fois ma petite chatte... Signé Nathalie" était écrit sur le mot qui accompagnait le paquet. Éliane n’avait étrangement jamais été aussi sereine.
La sérénité ne suffit pas toujours en politique : l’amendement d’Éliane fut rejeté, à 5 voix près. Elle n’eut pas le temps d’être dépitée puisqu’elle fut assaillie par les journalistes à la sortie de la salle ; ne pouvant que bégayer quelques mots de déception, elle se sortit de la foule avec difficulté, luttant pour ne pas lâcher de larmes. Elle vit la journaliste qui lui avait confié son admiration (Chap 3) lors de ses premières prises de paroles en public : elle était la seule à ne pas se ruer sur la sortie de la salle, exprimant du regard son regret à Éliane.
Elle se réfugia finalement dans un petit bar de la capitale, pleurant intérieurement son échec. Nathalie l’y rejoignit un peu après elle, s’assit en face. "Je suis sincèrement désolée" commence-t-elle après un moment de silence. Éliane ne prit même pas la peine de lui demander comment elle l’avait retrouvée. "Je sais à quel point ce projet comptait pour toi, j’ai tout fait pour t’aider. Il faut que tu ailles là ou tes positions seront respectées, pas dans ce parti de crétins qui t’a fait perdre aujourd’hui. — Que tu penses... Qui voudra d’une perdante ? — Mais... Mon parti bien entendu ! -...? — Ne t’en fais pas, je m’occupe de tout auprès de mes collègues. Ce serait un grand honneur que tu nous rejoignes, vraiment. — Tu perds pas de temps en tout cas... — Éliane, quand tu trouves dans ce milieu quelqu’un avec des convictions respectables et avec qui tu peux travailler en confiance, ne le lâche pas. Tu n’auras qu’à annoncer ton départ dans la presse, de façon à mettre en valeur ta position. Il suffit juste d’une journaliste un peu conciliante... comme celle qui te faisait les yeux doux tout à l’heure." Éliane se demanda s’il y avait un secret à son sujet qui pût résister à Nathalie. " Tout ce que je fais, c’est pour ton bien. — Même envoyer des photos de moi nues à Diane ? — Surtout ça !" rétorqua Nathalie avec passion. "Car tu as aimé ça. Je le sais. J’ai bien fait de tester mes nouvelles mini caméras chez toi... Notre nuit ensemble, tu l’as aimée aussi. Comme je sais qu’au fond de toi, tu as aimé mes petits cadeaux..." Après quelques instants d’hésitation, Éliane dévoila le collier qu’elle portait. Après un sourire, Nathalie se leva.
"Viens"
Nathalie ouvrit son appartement en tenant la main d’Éliane. L’instant d’après, elle se jeta sur sa conquête, qui l’accueillit sans résister. Sa machination prenait fin ce soir, tout ce qu’elle avait planifié allait enfin aboutir à la cueillette de ce joli fruit qu’était la députée bretonne... Nathalie assena le coup de grâce après avoir un lent baiser.
— J’espère que tu as apporté ce que j’avais demandé... — Oui... — Oui comment ? Demanda Nathalie en donnant une fessée à sa conquête. — Oui maîtresse !
Nathalie se pencha et donna un coup sec sur la jupe d’Eliane, dévoilant le cul harmonieux paré du sous-vêtement en dentelle rouge qu’elle avait reçu. Elle passa lentement sa main sur le fessier, enleva la chemise ensuite, dévoilant le reste de l’ensemble.
— Maintenant tu es à moi... Ma petite chatte ! Tu les aimes ? — Je les trouve très beaux, maîtresse — Entre mes mains n’est plus Eliane, tu es ma chatte, tu ne vis que pour le sexe, je veux que tu ne penses qu’à donner et recevoir du plaisir, je veux que tu y plonges et que te faire l’amour soit comme embrasser un corps qui n’est que sensualité. Je t’ai montré la voie, ce que tu pouvais être... — Vous avez été si bonne pour moi... — Tu trouves aussi ? Et bien viens le montrer...
Eliane, inspirée par le sourire malicieux de Nathalie, commença à enlever lentement les vêtements de sa maîtresse. Lorsqu’elle enleva son pantalon, la culotte en dentelle noire était déjà mouillée, Nathalie finissait par trépigner d’excitation... Mais Eliane prenait son temps, elle essuyait patiemment la mouille... Sa maîtresse n’y tient plus et fit basculer Eliane sur le canapé ; elle l’enjamba, se colla contre elle et lui susurra à l’oreille :
— Alors ma chatte, tu portes un collier bien vulgaire... — Mais j’aime bien ce collier, maîtresse...
Nathalie introduisit sa main dans la culotte rouge, frottant sans ménagement les petites lèvres de sa protégée, embrassant le corps collé contre elle. Elle eût vite fait d’explorer sans retenue la chatte de son esclave, qu’elle plaquait contre le canapé, elle fouillait la grotte en y mettant de la force, qu’Eliane puisse avoir un avant-goût de ce qui l’attendait...

A genoux, les mains attachées dans le dos, Eliane n’attendait plus que Nathalie vienne s’occuper d’elle. Elle tremblait d’excitation, complètement immergée dans son rôle de soumise, elle sentit les mains de Nathalie monter lentement sur ses fesses, puis sa langue s’introduire en elle. Quand elle sentit son clito remuer sous l’effet des caresses, elle n’eut plus aucun problème à s’avouer définitivement vaincue, à hurler son plaisir...
— Vas-y maîtresse, lèche-moi, écarte-moi, oooh c’est si booooon !! Mes profondeurs sont à toi, à toi, à toiiiii !!!!
Nathalie poursuivant son travail, en bonne maîtresse elle inspectait sévèrement la vulve qui lui était offerte, toucha du doigt les grains de beauté des jolies fesses, poursuivit l’inspection dans l’autre trou... Oui, très sévèrement ; sa soubrette méritait ce qu’il lui arrivait, elle était beaucoup trop belle...
— Décidément tu es bien trop jolie ma petite chatte... Je ne voulais pas être trop sévère avec toi mais il me faut passer aux grands moyens pour te punir à la juste mesure — Tout ce que vous jugerez nécessaire maîtresse...
Nathalie banda les yeux d’Eliane ; lorsqu’elle sentit deux doigts rentrer entre ses fesses aguichantes, ce fut encore plus fort, elle ressentit la pénétration bien plus intensément, idem pour les caresses de Nathalie sur son corps, jusqu’à ses tétons qui avaient eu le temps de durcir depuis qu’elle était entre ses mains... Elle ne se fit pas prier pour lui dire de continuer, excitée comme elle l’était par sa cécité...
— Hmm, c’est tellement bon... — Tu aimes ta punition ma petite chatte ? Ca ne va pas du tout... — Alors allez-y plus fort maîtresse !! Oui, voilà ! Voilà !
Les deux femmes exténuées finirent par s’accorder une pause dans leur jeu de domination, préférant pour un temps les mots doux et les lentes caresses... Pour un temps, du moins.
Le lendemain, Eliane annonça son départ du MRP.
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