A peine relevée debout face à lui, il me retourne, je faisais face au au miroir de la vanité. Quelques secondes à genoux à le sucer furent suffisantes pour l’enflammer. Mes mains agrippées de chaque côté du lavabo, il relavât ma jupe, ne prit pas la peine de retirer mon string, il l’écarta du chemin de sa main gauche et sa droite guida son membre vers mon vagin détrempée par l’excitation du moment, un moment interdit, la réalisation d’un fantasme. Nous étions sorti 3 copines et moi dans ce resto branché du centre-ville. Assit à une autre table, j’ai reconnu Édouard, lui aussi avec une bande d’amis. Édouard est une connaissance de longue date de mon fiancé sur qui j’ai toujours fantasmé. Je me marierai cet été et j’attendais l’occasion depuis un petit moment de me faire prendre par un autre homme, une dernière fois. Je voulais un mâle, un vrai, une homme qui me faisait perdre mes repères rien qu’à le regarder, c’était lui. Nos regards se sont croisés, il est venu me saluer, nous nous sommes échangé des regards toute la soirée. Son intérêt était sans équivoque. Je me leva pour aller à la salle de bain et tenta un coup d’œil vers lui juste avant de tourner le coin vers le couloir, il me regardait encore. Le petit signe de tête que je lui fit fut rapidement décodé, il me suivi. Sa verge, malgré sa dimension plus que respectable, pénétra en moi avec aisance, mes lèvres gonflées et rougit par l’excitation n’offrirent aucune résistance. Il me prit avec vigueur, m’enfonçant son pénis avec force à chaque coup de rein. Ses mains tenaient mes hanches et ramenaient mon petit cul vers lui a chaque pénétration. Je senti monter en moi le plaisir à une vitesse fulgurante. Le miroir devant moi nous renvoyait l’image de nos ébats, mes seins ballotant sous ma camisole au rythme de ses coups de bassin. Je le regardais dans les yeux à travers la glace lorsque d’un seul geste brutal, il descendit ma blouse, dévoilant mon soutient gorge puis le tira au-dessus de ma poitrine, laissant sortir mes seins librement qu’il empoigna fermement de ses deux mains tout en augmentant encore la puissance de ses mouvements de va-et-vient. J’atteignis l’orgasme aussitôt. Je tentai de rester silencieuse vu l’endroit où nous nous trouvions, je n’y arrivai que partiellement, laissant échapper plusieurs cris de jouissance étouffés. Je m’attendais à recevoir sa décharge en moi, ce ne fut pas le cas. Il continuait ses mouvements sans relâche. Je n’avais jamais pratiqué la sodomie, bien que j’en fantasmais secrètement depuis toujours, je n’avais jamais osé en parler à mon fiancé et lui ne me l’avait jamais proposé non plus. Après 8 ans de relation, je savait que mon fiancé et moi n’allions jamais le faire. C’était l’occasion dont je rêvait, je me retournai vers mon amant d’un soir et lui demanda sans détour de m’enculer. Il ne fit pas prier, il se retira de mon sexe, tassa davantage mon string et travailla lentement pour faire entrer son membre dans mon anus, mes mains tenaient fermement chaque côté du lavabo. J’aurais préféré pour une première fois un engin de moins grande taille. Il parvint a s’insérer lentement puis à chaque réinsertion il entrait sa verge un peu plus si bien qu’avant que je ne réalise, il me sodomisait de toute sa longueur. Il me pistonna les fesses bientôt sans retenu, j’éprouva une certaine douleur et aussi une sensation très agréable mais surtout la satisfaction d’être enfin sodomisée, à 26 ans. Je sentais que son orgasme approchait à mesure qu’il allait et venait de plus en plus rapidement entre mes entrailles. Je me retournai à nouveau vers lui pour lui mentionner que j’allais l’avaler, il fallait terminer proprement, après tout, je devais retourné à ma table. De nouveau à genou devant lui, je n’eu pas à le sucer bien longtemps, il était prêt à exploser, il empoigna mes cheveux et se masturba lui-même. Prête à tout avaler, j’ouvris la bouche bien grande attendant son éjaculation au fond de ma gorge, je reçu plutôt un jet de sperme en plein front. J’approchai ma bouche de son pénis pour lui permettre de mieux viser, il me recula plutôt la tête tirant mes cheveux vers l’arrière et une deuxième décharge volumineuse s’étala sur ma joue et mon œil, il le faisait exprès. Je pensa un instant à me tourner la tête mais le liquide visqueux sur mes cheveux serait pire que dans mon visage dans les circonstances. Les décharges de liquide séminal gluant se succédèrent sur ma face, je dû encaisser jets après jets, il me couvrit littéralement le visage de son sperme, son éjaculât était tout simplement titanesque. Il me fourra sa queue dans la bouche en me traitant de salope pour terminer pendant que son sperme coulait lentement sur mes seins et mes vêtements. Il remonta son pantalon et quitta la salle-de-bain aussitôt prétextant que sa longue absence allait être dure à expliquée. J’étais ravi et comblée mais, tout en essuyant mon visage recouvert de semence, me regardant dans le miroir, je réalisa à quelle point je n’étais plus présentable, cheveux ébouriffés avec quelques mèches rendues luisantes par le sperme gras, visage rougit par l’orgasme et l’activité physique, camisole couverte de tâches de sperme. Je ne pouvais retourner à ma table. Je décida de prendre la poudre d’escampette et de sortir par les cuisines. J’avais désormais quelques minutes devant moi pour téléphoner à mes amies au restaurant et inventer une excuse rocambolesque...
