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Une descente aux enfers

Chapitre 2

Erotique
Lisez « Une descente aux enfers 1 » avant d’attaquer la suite.Les dimanches étaient longs, parfois sa mère l’amenait faire les magasins. Faire les magasins c’est beaucoup dire, elles badinaient plus devant les vitrines qu’autre chose. Mais ce jour-là Momo lui avait donné rendez-vous au Mc Do du coin,
— Juju j’ai réfléchi, faut que tu changes.
Il avait pris l’habitude de la surnommer Juju, elle détestait ça, elle trouvait que ça faisait vulgaire, elle le lui avait dit plusieurs fois, mais...
— Que je change comment ?— Maintenant qu’on couche ensemble t’es une vraie femme t’es d’accord ?— Oui, je me suis donnée à toi— Et t’es contente de t’être donnée à moi comme tu dis ?
Elle fixa le plafond en faisant tourner lentement les glaçons de son coca dans le gobelet en carton glacé.
— Oui mais... J’aurais voulu que ça se passe autrement, de façon plus romantique, mais je dois sans doute rêver aux jolies histoires de mes romans à l’eau de rose... Après tout c’est sans doute toi qui as raison, une jeune fille doit se donner à son petit copain, aujourd’hui ça se passe comme ça.— Bien sûr, maintenant les filles couchent direct, elle te l’a dit Aïcha et pourtant ma sœur elle est plutôt tradition mais quand tu as un mec et qu’il veut te baiser il te baise c’est normal, excuse-moi de te le dire direct, je sais que t’as pas été éduquée comme ça et ça te choque un peu les oreilles mais tu connais pas grand-chose de la vie, il faut que je te fasse une autre éducation.
Justine baissa les yeux.
— Oui je sais... Je suis ta meuf maintenant... Mais ça me gêne que tu parles comme ça, laisse-moi un peu le temps de m’adapter, je n’avais pas connu de garçons avant toi, même pour flirter, ma mère ne m’a jamais parlé de tout ça, chez nous c’est tabou, alors je sais que je ne connais pas grand-chose mais il faut que je m’adapte. — Ouais c’est ça et rappelle-toi que tu dois me respecter, je veux pas que tu parles avec un autre mec. — Mais j’ai le droit d’avoir des amis tout de même.— Tu as mes amis comme amis c’est tout, on est d’accord ?— Oui...— Maintenant il faut changer ton look, tu ressembles à rien comme t’es, tu me fais un peu honte avec tes jeans trop larges et tes tee-shirts à trois sous.
— Tu aimerais que je sois comment ?— Je sais pas moi, comme toutes les filles avec des fringues classe, je sais pas moi, des jupes des jolis tee-shirts des jolis pantalons, enfin tu vois quoi.— Mais tu sais bien que mes parents n’ont pas les moyens de m’offrir tout ça.
Elle resta dubitative, il était loin maintenant le temps ou l’été elle se baignait avec ses amis dans la piscine familiale, le temps ou les dimanches c’était les barbecues, le temps ou avec ses amis ils mettaient de la musique sur la grosse chaîne hi-fi de son père et dansaient en riant. Ses copains avaient disparu, c’est comme ça, les gens ne se mélangent pas, maintenant qu’ils n’avaient plus un sou ils n’étaient plus dignes de fréquenter les milieux bourgeois, maintenant leur décor c’était ces tours grises, ces poubelles malodorantes, ces espaces verts pas entretenus. Son père ne travaillait plus, à 57 ans c’est difficile... Il consommait de plus en plus d’apéritifs, sa mère elle faisait des ménages dans des commerces de la galerie. Avec les allocs ça leur permettait de vivre, de vivre c’est tout.Il tapota sur la table nerveusement.
— Oui je sais j’ai pensé à ça, voilà, tu vas dire à tes parents que t’as trouvé un travail de serveuse dans un restaurant les week-ends, comme ça, tu pourras dire que tu gagnes de l’argent et tu pourras t’acheter ce que tu veux, en plus tu pourras sortir sans qu’ils te posent des questions.— Mais je n’ai pas d’emploi de serveuse, si je ne travaille pas, je l’aurais comment cet argent ?— C’est moi qui te le passerai, j’t’ai jamais dit mais avec Alex et Boubou on vend un peu de chit, alors le fric pour nous c’est pas un problème. — Vous vendez de la drogue ?— De la drogue, de suite le grand mot, t’es grave, mais non, juste de l’herbe, tout le monde le fait, y a des pays ou c’est même pas interdit.
Justine resta un long moment sans rien dire, les idées se bousculaient dans sa tête, quelle orientation prenait sa vie... Que devait-elle faire ? Tout plaquer et partir sur-le-champ ou rester ? Mais partir pour aller où ? Elle naviguait entre deux sentiments, d’un côté elle sentait qu’elle se retrouvait maintenant dans un monde qui n’était pas le sien, qui ne correspondait ni à son éducation, ni à ses valeurs, ni à ses rêves, mais par ailleurs elle savait que désormais sa vie était ici dans cette cité et qu’elle le resterait probablement, ses parents ne pouvaient pas lui payer des études universitaires, d’ailleurs sa mère lui avait bien fait comprendre que dès l’année prochaine il faudrait qu’elle trouve un emploi. Un emploi de quoi ? Caissière ? Ouvrière ? Il fallait bien qu’elle se rende à l’évidence, sa vie était ici dorénavant, alors après tout si son petit ami voulait lui offrir les jolies tenues qui lui faisaient envie pourquoi pas... ?
— Bon j’accepte, c’est vrai que ça me ferait plaisir d’être bien habillée mais vos histoires je ne veux pas que tu m’en parles, votre chit je ne veux rien savoir de tout ça. — Bien sûr pas d’problème, je veux juste que ma meuf me fasse honneur et fait baver des mecs, c’est tout.
Il se fit tendre.
— Et puis j’veux que tu sois bien c’est tout.
Elle prit sa main et la serra. Avec ses allures de cacou il était son seul ami, non, son mec plutôt et elle décida de lui faire confiance... Avait-elle raison...?Le lendemain il l’amena dans les boutiques du centre et lui offrit une robe d’été Camaïeu rose à fleurs, une jupe en jeans mi-cuisses Terance Kole, un tee-shirt noir et un débardeur rose Kaporal.Au lycée elle fit sensation, elle avait mis sa petite jupe en jean mais avait gardé un de ces tee-shirts quelconques et n’était pas maquillée, pourtant elle attira le regard de tous les garçons car cette petite jupe très moulante mettait en valeur ses jolies petites fesses bombées, plusieurs garçons auraient bien aimé la brancher mais Justine était une propriété privée et ça se savait. Quelques jours plus tard elle portait son tee-shirt Kaporal noir, il la serrait un peu trop, laissant clairement deviner son soutien-gorge et accentuait sa chute de reins, c’était Momo qui avait insisté pour qu’elle prenne une taille en dessous.Petit à petit elle avait pris l’habitude que les garçons la regardent avec convoitise, Momo lui demandait d’être toujours plus féminine et plus sexy, de sorte qu’au bout d’un mois elle avait complètement changé, elle était arrivée au lycée avec un jean moulant, un débardeur rose qui laissait apercevoir son nombril et des petites chaussures mi-talons, elle avait aussi défait ses cheveux qui lui tombaient maintenant sur les épaules et s’était légèrement maquillée. Même les profs avaient du mal à dissimuler les regards qu’ils ne pouvaient s’empêcher de porter sur les galbes parfaits de son corps.
Ce soir-là, en rentrant il l’invita à prendre le thé chez lui, il voulait que sa sœur la voie. Justine fut très gênée quand Aïcha l’accueillit en sifflant.
— Ouah t’es magnifique comme ça, je vais être jalouse.
Justine ne répondit pas et baissa les yeux. Ils prirent le thé, Aïcha la félicita d’avoir changé de look lui répétant que désormais elle serait une autre fille.Lorsqu’elle fut partie Aïcha fit un clin d’œil à son frère.
— C’est bien, tu l’as décoincée mais c’est pas fini, je veux que tu m’en fasses une vraie salope.— Oh... T’excite pas, c’est ma meuf, je partage pas.— Arrête de faire l’abruti, réveille-toi, tu veux quoi ? Te marier avec elle ?— Non bien sûr.— Je t’ai dit que cette fille je peux pas me l’encaisser, je vais lui faire perdre ses manières de bourgeoise moi à Mademoiselle... T’as envie de t’amuser un peu ou non ?— Ouais bien sûr.— Bon alors prend du bon temps, je vais t’expliquer comment il faut faire maintenant.
Tous les samedis soir, Justine l’accompagnait au casino, il jouait à la roulette et comme c’était un habitué il avait droit à une chaise au bord de la table de jeu, Justine elle, restait debout à ses côtés sans rien dire, lui commentait ses tours, poussant des cris aigus quand il gagnait et soufflant bruyamment quand il perdait. Avoir une jolie blonde silencieuse plantée là à ses côtés c’était pour lui le summum de la revanche sociale. Ce soir-là en rentrant du casino il l’amena à la cave, dès qu’ils furent arrivés il l’embrassa vigoureusement, sa langue déformait ses joues, il souleva sa jupe et lui malaxa les fesses, ce joli petit cul si ferme et bien bombé puis il mit un peu de salive sur son doigt et l’introduisit dans son trou du cul faisant des petits cercles pour le faire pénétrer, elle se tortilla pour qu’il le retire puis finit par accepter, à sa grande honte elle prenait du plaisir.
— Un jour je vais t’enculer.
Elle répondit non dans un souffle discret.
— On verra.
Ensuite il la fit mettre à genoux pour se faire sucer, il prit son temps, il avait réglé les opérations si l’on peut dire, elle devait d’abord elle-même défaire sa braguette et sortir son sexe déjà à moitié dur, ensuite elle se mettait à genoux pour le branler doucement en lui léchant les couilles, puis elle devait faire des lippes en remontant des couilles au gland, il était alors raide comme un bâton. Enfin après les préliminaires si l’on peut dire, elle prenait son gros sexe en bouche et là elle devait bien serrer les lèvres pour qu’il sente mieux ses lèvres, il lui tenait la nuque pour imprimer son rythme en alternant, parfois plus rapide parfois plus lent, parfois il retirait son sexe pour le lui faire lécher du gland aux couilles puis le lui remettait en bouche, souvent il caressait ses cheveux délicatement ou lui donnait de légères petites tapes sur les joues pour exprimer sa satisfaction, enfin quand il sentait la jouissance venir il appuyait plus fort avec les deux mains pour qu’elle prenne le sexe au plus profond de sa gorge, elle toussotait en s’étouffant, puis dans un soupir rauque il se déchargeait, il restait un long moment comme ça, jusqu’à ce que son pénis ramollisse puis se retirait se contentant de lui dire, « c’est bien », son sperme dégoulinant sur le bord de ses lèvres elle sortait un Kleenex.
Il s’asseyait alors un peu plus loin pour griller une cigarette, mais étant un garçon très viril il rebandait vite, alors quand il se sentait à nouveau vigoureux, il la couchait sur le petit matelas qui leur servait de lit pour la pénétrer, d’abord doucement, presque tendrement de façon classique, « à la missionnaire » comme on dit, il caressait ses longs cheveux blonds lui déposant parfois un petit bisou sur le bout du nez, puis d’un coup il se retirait, la retournait et sans ménagement la prenait en levrette, il lui tenait alors fermement les hanches de ses mains puissantes et la torpillait dans un rythme rapide, elle soufflait très fort, son visage grimaçait mais son souffle était celui du plaisir... Elle n’arrivait pas à se l’avouer à elle-même... Ils étaient là dans une cave et elle prenait du plaisir à se faire... baiser... Ensuite elle rentrait chez elle triste, sa mère lui demandait si la soirée au resto s’était bien passée, elle lui disait que oui en agrémentant sa réponse de détails inventés pour être plus crédible. Justine avait aussi appris à mentir... Quand elle se glissait dans sa couette, souvent une petite larme coulait sur sa joue, comment se faisait-il qu’elle ait du plaisir à se faire prendre comme une chienne ? Elle avait fini par se « libérer » et par accepter sa nouvelle condition. Les week-ends étaient les bienvenus quand Momo l’amenait au cinéma puis au restaurant. Là il changeait, il lui racontait des blagues, il était souriant ça la rassurait, elle lui était reconnaissante de ce qu’il faisait pour elle, de lui permettre de s’habiller mode, d’aller au restaurant et au cinéma, mais elle se sentait aussi mal à l’aise quand elle croisait le regard lourd des passants la déshabillant des yeux. Ce dimanche-là, il l’amena au restaurant puis lui dit qu’ils iraient en boîte après, elle n’était jamais allée en boîte alors elle fut ravie. Elle portait une minijupe satin noir et un chemisier pourpre en Tulle suffisamment transparent pour qu’on puisse deviner la couleur noire de son soutien-gorge, elle était divine, ses fines petites chaussures mi-talons la cambraient encore plus, elle était le point de mire de toute la boîte, excitant les garçons, recevant les regards hostiles des filles. Ses cheveux très blonds encadraient un visage d’ange et faisaient ressortir le bleu clair de ses yeux.
Au début par timidité elle ne voulut pas danser puis Momo insistant elle alla sur la piste, c’était pas dur après tout, il suffisait de faire comme tout le monde. Il avait commandé un punch pour lui et un coca pour elle, c’est elle qui lui demanda de goûter à son punch, elle aima il lui en commanda un, avec le jus d’orange ça passait facilement, ils en reprirent un second. Pour lui deux punchs c’était rien mais pour elle c’était beaucoup, elle dansait maintenant de façon presque exubérante. Au retour à deux heures du matin il l’amena à la cave, elle était fatiguée mais n’osait pas le lui dire, elle savait ce qui allait se passer, une pipe puis elle se ferait troncher. Effectivement à peine arrivés il déboutonna son pantalon pour se faire sucer, La pipe dura longtemps, plus longtemps que d’habitude, il voulait faire durer le plaisir, elle le suça pendant près d’un quart d’heure jusqu’à ce qu’il se vide en elle, une fois assouvi il grilla une clope, les yeux évasifs soufflant la fumée vers le plafond. Puis d’un ton ferme, il lui dit
— Fous-toi à poil !
Sans dire un mot elle s’exécuta. Elle était là assise nue quand il se dirigea vers elle et la retourna pour la prendre directement en levrette, ce fut facile elle était humide. Contrairement à ses habitudes il éteignit la lumière, c’était le noir absolu. Il la ramona calmement cinq minutes, elle poussait des petits gémissements. Qui aurait dit que cette fille si timide, si rangée, aurait pris du plaisir à se faire tirer sur un matelas posé à même le sol dans la cave d’une cité des quartiers nord.Au bout d’un moment il se retira.
— Ne bouge pas je reviens.— Où vas-tu ?— T’inquiète je vais prendre un peu d’eau, bouge pas, reste comme t’es.
Trente secondes plus tard alors qu’elle commençait à être fatiguée d’être à quatre pattes, elle le sentit se renfoncer en elle sans dire un mot. Elle était prise plus vigoureusement encore, le pénis la pénétrait profondément, elle sentit le plaisir monter en elle, puis elle eut un sursaut, les halètements de Momo étaient différents, pourquoi ? Alors elle lança entre deux souffles.
— Momo ?— Surprise c’est pas Momo c’est Alex, tu sens pas que la bite est plus grosse ?
Disant cela, il accéléra le rythme qui devint frénétique, elle hoquetait, prise par le tourbillon de la jouissance, cette situation à sa grande honte l’excitait, étourdie elle ne fit pas le geste de vouloir se libérer. Enfin il jouit en soufflant, elle aussi jouit intensément, puis au bout d’un moment, reprenant ses esprits elle se retourna.
— Mais... Mais...?!
Momo avait rallumé la lumière et tous les trois s’observaient.
— Qu’est-ce que vous avez fait ??? C’est horrible !!!
Elle pleurait mettant les mains sur ses yeux pour tenter de se cacher la vérité.
— Tu y as pris du plaisir je crois...— Du plaisir ? Mais vous êtes fous...— Tu t’es rendu compte que c’est Alex qui te baisait et tu l’as laissé continuer, donc tu as accepté, c’est vrai ou pas ?
Justine baissa la tête.
— Oui mais j’ai honte...
La suite ?
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