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Une douceur de Miel

Chapitre 1

Un ange, tombé du ciel.

Inceste
Je m’appelle Enzo Volpetta, je mesure un mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilos, avec un physique plutôt athlétique et j’habite à Aix-En-Provence. Mon histoire débute la veille de mon anniversaire, alors que j’allais avoir 18 ans. J’étais en terminale au Lycée Émile Zola et j’étais un garçon sans histoires, jusqu’à ce vendredi 13 Avril 2018. C’est ce jour-là que cet enculé de Martin, s’est approché de moi et qu’il m’a demandé :
— Hé Volpute ! Ça te dirait d’avoir des photos de ta daronne à oilpé ?
Man c’est ma seule famille vu que je suis fils unique et que mon père, qui était légionnaire à Aubagne, est mort avant ma naissance. De plus pour des raisons que j’ignorais alors, je n’avais jamais rencontré mes grands-parents. Alors il ne faut pas toucher à elle, surtout qu’à mes yeux elle est un ange tombé du ciel. Son prénom c’est Alessandra et c’est une petite rousse, qui mesure à peine un mètre soixante-cinq pour un peu plus de cinquante kilos. Ce qui fait que je la dépasse de quinze centimètres, lorsque nous sommes tous les deux pieds-nus. Elle est tellement menue malgré sa grosse poitrine, qui se devinait tout de même sous les vêtements toujours très sage qu’elle portait à l’époque, que ça me donnait envie de la protéger. Comme elle le faisait avec moi quand j’étais enfant. C’est pourquoi mon sang n’a fait qu’un tour, quand ce connard de Martin l’a insultée. Et comme il était à ma portée, je lui ai mis un coup de boule.
Défendre l’honneur des siens c’est bien. Malheureusement, l’honneur et la justice ne s’entendent pas toujours. Surtout parce que le premier est souvent intransigeant, alors que la seconde est aveugle. Mais ne rien voir ça n’a pas été le cas de tout le monde, car il y a eu des témoins. Et vu nous étions toujours dans l’enceinte du lycée, je n’ai pas tardé à me retrouver convoqué par le censeur.
Celui-ci avait la réputation d’être un dur impitoyable, envers les fauteurs de troubles. C’est sur une chaise placée juste en face de la porte de son bureau, que j’ai attendu Man en balisant. Pas à cause du sous-dirlo qui ne m’intimidait pas vraiment, mais parce que j’avais peur de sa réaction a elle. Qu’elle soit déçue par moi, en apprenant que j’avais été violent.
Toutefois cela ne s’est pas du tout passé comme je m’y attendais, puisque lorsqu’elle m’est apparue toujours aussi angélique, débouchant au coin du couloir dans lequel je prenais mon mal en patience, dès qu’elle m’a vu elle m’a souri. Cela a été pour moi comme un rayon de soleil. Elle portait un tailleur-jupe de couleur crème, avec dessous un chemisier vert-pastel boutonné jusqu’en haut, moulant parfaitement sa grosse poitrine. Elle avait aux pieds des escarpins à talons-aiguilles, d’une dizaine de centimètres de haut. Ses cheveux étaient attachés en un chignon strict, qui lui donnent lorsqu’elle est coiffée de cette manière un air sérieux. Surtout lorsqu’elle porte ses lunettes de vue, comme c’était le cas. Cela m’a confirmé qu’elle arrivait directement de son travail, puisqu’elle est responsable des ressources humaines, dans une grande entreprise de notre ville. La première chose qu’elle ma demandé de sa voix douce, après s’être assise à côté de moi, a été :
— Tu n’as rien, mon Biquet ?
Mon Biquet, c’est comme ça que Man m’appelle depuis que je suis tout petit. Enfant j’adorais ça, adolescent j’ai détesté et maintenant que je suis grand, j’aime surtout parce que cela me montre son affection pour moi. Par conséquent j’ai tout de suite compris qu’elle n’était pas fâchée. Après que je lui ai répondu que j’allais bien, elle a ensuite voulu que je lui raconte ce qui c’était passé. Alors je lui ai tout dit, sans cacher aucun détail.
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Man a rougi lorsque je lui ai parlé des soi-disant photos d’elle nue, cependant elle n’a pas fait de commentaire. C’est toujours aussi calme, qu’elle m’a dit en se relevant :
— Suis-moi.
J’ai obéi, elle a frappé à la porte du censeur et nous sommes entrés, avant qu’il nous donne la permission de le faire. Lorsqu’il a vu Man le sous-dirlo a rougi, visiblement impressionné par sa beauté.
Il faut dire que je ne mens pas lorsque je dis que ma maman est un ange, puisqu’elle en a le visage. Elle n’a que 35 ans, car elle a accouché de moi alors qu’elle en avait à peine 17. Par conséquent elle est encore jeune et n’a pas encore de rides. Son joli minois sur lequel elle ne met jamais de maquillage est ovale, encadré par sa chevelure rousse tirant sur le blond. Son nez à l’arrête concave et parsemé de taches de son, est fin avec des narines légèrement saillantes. Sa bouche est plutôt grande mais bien carnée, avec des coins qui remontent vers le haut surtout lorsqu’elle sourit, avec une lèvre inférieure un peu plus pulpeuse que celle du haut. Quant à ses dents elles sont blanches et régulières. Elle ne se maquille jamais parce qu’elle n’en a absolument pas besoin, par conséquent je ne l’ai jamais vu avec du rouge à lèvres, ni le moindre vernis sur les ongles de ses main ou de ses pieds. Pas plus que de fard à paupières.

Mais ce que je préfère chez Man ce sont ses yeux, dont les iris sont verts avec un cercle plus foncé sur l’extérieur, qui deviennent progressivement ambrés en se rapprochant de la pupille. Ses sourcils fins tout comme ses longs cils sont de la même teinte que ses cheveux. Cerise sur le gâteau, elle a une légère fossette au menton.
Moi je me suis retenu de sourire, quant je me suis rendu compte que les rôles étaient inversés, surtout lorsque le gros dur s’est levé précipitamment et qu’il a tendu sa main vers elle, en bafouillant :
— Ma... dame Volpetta... je suis... enchanté... de faire... votre connaissance...
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Mais lorsque nous avons tous les deux été assis sur des chaises en face de lui, alors qu’il avait repris sa place derrière son bureau dans son fauteuil, comme il était revenu de sa surprise il a repris son rôle. Il a dit à Man :
— Vous comprendrez que vues les circonstances et étant donné que l’élève Martin a été amené aux urgences, je ne peux pas faire autrement que sanctionner votre fils, pour son comportement inqualifiable. Par conséquent, il sera exclu temporairement de notre établissement, pour une durée d’une semaine à compter de lundi.
Man n’a pas parue émue par cette sentence. Elle lui a aussitôt demandé :
— Vous a t’on raconté comment les choses se sont passées ? Et êtes vous au courant, que Enzo a été provoqué et insulté ?— Certes... mais la violence dont votre fils a fait preuve...— Je suis d’accord avec vous, sur le fait que Enzo mérite d’être sanctionné. Mais ce sera à la condition, que le véritable fauteur de troubles le soit lui aussi.— Mais il s’agit du fils de...
Jusqu’à ce jour je n’avais jamais vu Man se mettre en colère, ni après moi ni après personne d’autre, parce qu’elle est un mélange de douceur et de gentillesse. Alors quand elle s’est levée, qu’elle s’est penchée en avant pour poser ses mains à plat sur le bureau, que ses gros seins ont tendu son chemisier au point que j’ai cru que ça allait éclater ses boutons, qu’elle a rapproché son magnifique visage de celui redevenu écarlate du censeur, j’ai eu la première grosse surprise de ma vie. J’ai alors eu l’impression d’avoir devant moi un Ange Vengeur, ce qui n’a pas été démenti lorsqu’elle a dit au sous-dirlo, d’une voix devenue tranchante et glaciale :
— Alors nous y voilà ! C’est l’éternelle histoire du pot de terre contre le pot de fer ?!— Mais Madame...— Dites moi une chose monsieur le Censeur, quelle est votre rôle dans cet établissement ?— Eh bien... je dois m’assurer de sa gestion et faire régner la discipline.— Et d’après vous, que va-t-il se passer une fois que vous aurez sanctionné mon fils, alors que celui qui a créé ce désordre s’en sortira en toute impunité ?— Mais il a eu le nez cassé... — Par un garçon qui n’a pas supporté que l’on insulte sa mère et qui a voulu défendre son honneur.— Mais... son père risque de porter plainte...— Si cet homme aussi puissant soit-il a un peu de bon sens, il se renseignera pour savoir ce qui s’est passé, avant d’aller voir la police. Et comme je suppose qu’il est intelligent, il en restera là. Quant à ce garçon, si vous le faites passer pour un martyre ou pour un héros alors qu’il n’est qu’une crapule, il se sentira plus fort et il recommencera ses provocations. Envers mon fils ou s’il en a peur à partir de maintenant, il se choisira d’autres victimes. Jusqu’à ce que vous finissiez par comprendre, que c’est lui la source du problème.— Je... dans ce cas... il sera sanctionné également. Mais vous devez comprendre... que je ne peux pas le renvoyer aussi longtemps que votre fils, parce c’est quand même lui... qui été agressé...— Combien de temps ?— Trois jours ?— C’est parfait.
Puis Man s’est redressée ce qui a eu l’air de soulager son chemisier, avant de me demander en ayant retrouvé sa voix et son air doux, que je lui avais toujours connus avant ce jour :
— Tu viens mon Biquet ? Nous rentrons à la maison.
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Nous avons dit poliment au revoir au censeur qui semblait soulagé de nous voir partir, puis nous avons quitté le lycée. Une fois dans la Mini-de Man et sur le trajet du retour, nous n’avons pas échangé une seule parole parce qu’elle était pensive. Quant à moi, je n’en menais pas large. À aucun moment elle ne m’avait fait de reproches et même si elle avait l’air convaincue, que dans cette histoire j’étais la victime, cela ne m’empêchait pas de me sentir coupable.
Une fois à la maison la vie a semblé reprendre son cours normal. Man est allée mettre ce qu’elle appelait sa tenue d’intérieur, qui était invariablement composée d’un t-shirt XXL qui couvrait entièrement le haut de son corps, mais sous lequel elle avait l’habitude d’enlever son soutien-gorge. Puisque sa grosse poitrine se balançait librement, au rythme de ses mouvements. Sa tenue était complétée par un bas de jogging en coton, lui aussi large et attaché à sa taille par une ficelle, ainsi qu’une paire de mules à talons plats qui avaient l’air très confortables. Ce que bien entendu je n’ai jamais pu vérifier, étant donné qu’elle chausse du 36 et moi du 43. Elle relâchait également sa belle crinière ambrée, qui une fois détachée lui arrive jusqu’au reins, que j’aime beaucoup voir bouger lorsqu’elle se déplace.
Cette fin de journée de vendredi, s’est déroulée comme bien d’autres avant elle. Je ne savais pas à quoi j’allais occuper la semaine à venir, pendant laquelle je ne pourrais pas retourner au lycée. Ni même si je serais puni par Man. Les vacances de Pâques ou de printemps comme on les appelle maintenant, auraient lieu la semaine suivante. Ce qui faisait qu’à ce moment-là je pourrais retrouver mes amis, mais qu’avant cela j’allais me retrouver tout seul, puisqu’au contraire de moi ils seraient en cours. Cependant je n’étais pas vraiment inquiet à ce sujet, parce qu’avec internet dont Man avait retiré le contrôle parental depuis trois ans, plus le fait que dehors il faisait beau, j’étais convaincu que je trouverais bien de quoi m’occuper. Par conséquent, mon unique souci était que la seule femme que j’avais vraiment aimée jusqu’à présent, qui était le centre de mon univers, gardait ses beaux sourcils légèrement froncés. Comme si elle était soucieuse. Ou alors parce qu’elle réfléchissait de manière intense à un problème qui s’était posé à elle, qu’elle ne savait pas comment résoudre. Cette situation me rendait triste parce que je m’en sentais responsable, que je ne savais pas quoi faire pour changer son humeur, qui habituellement était enjouée ou au pire neutre. Il m’était bien évidemment impossible de revenir en arrière, pour faire en sorte que rien ne ce soit passé.
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Quand j’ai dit que Man était la seule que j’aimais, ce n’est pas tout à fait vrai puisqu’il y avait également Chloé, la plus belle fille de ma classe et même du lycée. Chloé mesure un mètre cinquante-cinq pour moins de quarante cinq kilos, elle est blonde comme les blés et ses cheveux lorsqu’ils sont libres, lui arrivent au milieu du dos. Mais ils sont la plupart du temps, attachés en queue-de-cheval. Ses magnifiques yeux sont bleu-gris, les traits de son visage triangulaire sont fins et réguliers, avec un nez court légèrement retroussé au narines saillantes, une bouche sensuelle de chaque côté de laquelle de petites fossettes se dessinent, lorsqu’elle sourit. Ses sourcils bien dessinés tout comme ses longs cils, sont plus foncés que sa crinière, comme c’est souvent le cas chez les blondes. Sa peau est d’un teint de lait, comme si elle évitait de s’exposer au soleil. De plus, que Chloé ait conscience ou pas de sa beauté naturelle, tout comme Man elle ne portait jamais de maquillage, tant il vrai qu’elle n’en a avait nul besoin.
J’étais amoureux d’elle mais secrètement, car nous n’étions pas du même milieu. Vu que ses parents sont des bourgeois du genre bigots, qui vont à la messe tous les dimanches. Qui plus est ils appartiennent à l’une des plus vieilles familles de la ville, alors que nous nos racines sont ailleurs. Le pompon étant qu’ils sont amis avec les Martin, ce qui fait que Chloé traînait souvent avec le fils de ces dernier. Par conséquent elle et moi ne nous voyions pas en dehors des salles de classes, même si elle me souriait systématiquement lorsque nos regards se croisaient. Nous ne nous parlions également que rarement ce que je trouvais bien dommage, parce que j’aime beaucoup le son de sa voix qui est légèrement éraillée. Pour résumer Chloé était pour moi un rêve inaccessible mais étant donné que j’en avais conscience, je n’en étais pas malheureux.
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C’est dans la soirée de ce même vendredi, que Man est venue s’asseoir près de moi sur le canapé. Pas pour regarder la télévision comme j’étais en train de le faire, mais en posant un de ses genoux sur les coussins pour être face à moi. Une fois qu’elle a été installée elle m’a dit tout en me prenant la main, de sa voix douce rendue légèrement rauque par l’émotion, qu’elle était en train de ressentir :
— Je suis désolée que tu l’aies appris de cette manière, mais à présent je pense que tu es assez grand pour comprendre. Alors je ne veux plus qu’il y ait de secrets entre nous.
Lorsque j’ai tourné la tête vers elle, je n’avais pas saisi de quoi elle était en train de me parler. Cela devait se voir sur mon visage, puisqu’elle a continué tout en rougissant légèrement :
— Ce que ce garçon t’a dit est vrai. Il existe effectivement des photos de moi, pour lesquelles j’ai posé nue.
J’étais abasourdi par ces révélation, d’autant plus que Man avait toujours été très pudique avec moi. Bien que la petite villa qu’elle louait et dans laquelle nous habitions possède une piscine, je n’avais même jamais vu son nombril et encore moins ses gros seins. Elle mettait en effet toujours des maillots de bain d’un modèle une pièce, assez larges à l’entrejambe et recouvrant intégralité de ses fesses menues, ainsi que son buste généreux. De ce fait, seules ses épaules et le haut de son dos, parsemés tous les deux de taches de rousseurs, m’étaient visibles. De plus bien qu’elle ne ferme jamais la porte de la salle de bain, lorsqu’elle allait y faire sa toilette, jamais je ne me serais permis d’y entrer. Même en lui en demandant la permission, puisque qu’avec l’éducation qu’elle m’avait donnée j’avais hérité de ses manières réservées.
Néanmoins malgré la honte et la jalousie que j’ai ressenties à cet instant, en pensant qu’elle avait exposé son corps qui devait être magnifique à d’autres que moi, sans que je n’en aie jamais rien su, je n’ai pas retiré ma main que Man caressait doucement, comme pour me réconforter. C’est sans doute, ce qui l’a encouragée à continuer :
— Le mieux je pense, c’est que je te raconte mon histoire depuis le début. Comme ça tu sauras également pourquoi, tu n’as jamais connu tes grand-parents.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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