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Une douceur de Miel

Chapitre 3

Miel

Inceste
Je suis allé au lit après m’être mis nu parce que je dormais sans pyjama depuis l’adolescence, dans le but de pouvoir m’astiquer la tige tout à mon aise. Bien entendu, Man le savait et elle m’a même surpris une fois en train de me palucher. Lorsque c’est arrivé, j’ai eu la honte de ma vie, je suis devenu écarlate et j’ai rapidement rabattu le drap de dessus sur moi. Mais elle m’a souri, ne semblant pas éprouver la moindre surprise ni aucune indignation, pas plus que de la gêne. Ensuite, elle est ressortie de ma chambre, après s’être excusée de m’avoir dérangé. Pendant que je prenais mon petit-déjeuner un peu plus tard, elle m’a dit :
— Tu sais, c’est tout à fait normal qu’un garçon de ton âge se masturbe. Et c’est même plutôt un signe de bonne santé.
J’ai rougi à nouveau, ne sachant pas trop quoi lui répondre, puis elle a ajouté :
— Toutefois, je préférerais que tu utilises des mouchoirs en papier plutôt qu’un en tissu. Non seulement à cause de l’odeur, mais aussi parce que j’ai toujours une hésitation lorsque je dois mettre dans la machine à laver, celui que tu planques régulièrement dans la corbeille à linge sale, après l’avoir utilisé je ne sais pas combien de fois...
Une fois cette petite mise au point faite, estimant probablement que le sujet était clos, elle n’y a plus jamais fait allusion. Alors j’ai continué mes branlettes, avec la bénédiction maternelle et toujours au moins un paquet de mouchoirs en papier, rangés dans le tiroir de ma table de chevet.
Mais se posait à présent à moi un problème, car si j’avais effectivement l’habitude de me palucher en regardant des femmes à poil plus ou moins jeunes, ce soir, j’allais voir ma maman elle aussi sans aucun vêtement. Et ce pour la toute première fois de ma vie. De ce fait, je ne savais pas de quelle manière mon corps allait réagir. C’est pourquoi j’ai hésité avant d’allumer mon ordinateur portable, que j’avais posé à côté de moi sur mon lit et encore plus lorsqu’il s’est agi d’y insérer la clef USB.
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Après une courte, mais intense réflexion, j’en suis arrivé à la conclusion que si Man m’avait donné ces photos, c’était pour que je les regarde et qu’elle devait se douter qu’elles ne me laisseraient pas insensible. Surtout si sur certaines d’entre elles, elle prenait des poses osées, pour utiliser ses propres mots. Alors me disant que j’avais sa bénédiction, j’ai commencé le visionnage.
Dans le support de stockage, il y avait un unique dossier, dont le nom était Miel. Lorsque je l’ai ouvert, il était composé de sous-dossiers, avec des dates et des titres qui les classaient dans l’ordre chronologique. J’ai donc commencé logiquement par le plus ancien, qui était de septembre 2003 et qui était intitulé « La Robe Noire ». J’ai alors découvert une Man pas beaucoup plus vieille que moi en 2018, puisqu’elle n’avait alors que 20 ans.
Sur la première photo, elle portait une petite robe légère couleur d’ébène, lui arrivant au milieu des cuisses. Elle avait aux pieds des escarpins dorés, avec des talons aiguilles argentés hauts d’une dizaine de centimètres. Elle était assise sur un siège capitonné, de la même teinte que son vêtement.
J’ai ensuite fait défiler les clichés et elle a commencé par retrousser sa robe tout en écartant les jambes, pour montrer son sexe que j’ai découvert parfaitement lisse, couronné par une petite touffe de poils fauves taillés courts. Environ deux centimètres de long. C’est à ce moment-là que ma queue a commencé à gonfler sous les draps, mais je n’étais pas encore décidé à me masturber. Même si j’ai trouvé très excitante la vulve par laquelle j’étais venu au monde. Ses grandes lèvres s’étaient en effet ouvertes, formant deux bandes roses faisant un contraste avec sa peau de rousse bien plus claire. Au milieu se trouvaient ses nymphes un peu plus foncées, qui avaient été écartées l’une de l’autre et faisaient immanquablement penser à un papillon. La tête de ce dernier étant symbolisée par son capuchon, duquel émergeait le bout de son clitoris, pour sa part d’une teinte bien plus vive parce qu’il était humide de rosée.
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Sur les photos suivantes, Man avait abaissé le haut de sa robe, qui lui faisait à présent comme une ceinture autour de la taille. J’ai alors découvert sa magnifique poitrine. Cette dernière était pendante, sans doute à cause de son poids et de la grossesse au terme de laquelle je suis né. Mais étant donné que ses seins étaient plantés haut sur son torse et bien pleins, je les ai trouvés très attirants. Surtout avec ses tétons tout ronds d’à peine trois millimètres de diamètre, ainsi que ses aréoles environ quatre fois plus grandes et bien délimitées. L’ensemble était dans les mêmes tons que son sexe, c’est-à-dire que les aréoles avaient la même teinte que ses grandes lèvres et les tétons de celle de ses nymphes. Ce que j’ai trouvé très harmonieux.

Ma queue était à présent bien tendue, alors sans plus me poser de questions, j’ai rabattu le drap pour qu’elle se retrouve à l’air libre. J’ai ensuite décalotté mon gland et j’ai commencé à me branler, tout en admirant ce magnifique corps maternel. Bien évidemment, j’avais conscience en le faisant de commettre une sorte d’inceste. Pourtant à présent, je m’en moquais, car je me disais que Man en me donnant cette clef USB, savait parfaitement ce qui allait se passer et que par conséquent, elle était d’accord pour que je me paluche en la matant.
Sur les clichés suivants, elle a complètement retiré sa robe et j’ai découvert que son nombril, que je n’avais encore jamais vu était orné d’un piercing. Il s’agissait d’un bijou probablement en or blanc, avec en son milieu en haut une pierre transparente blanche et scintillante. Une petite chaîne longue d’environ deux centimètres pendait de ce bijou, sans doute pour simuler une tige, puisque l’ensemble était, je pense, censé représenter une fleur.
Ensuite, il y a eu une photo d’elle vue de dos et j’ai eu une nouvelle surprise, en constatant qu’elle avait également un tatouage. Il était dans des verts dégradés et il s’agissait incontestablement d’un pampre de vigne, commençant environ cinq centimètres au-dessus de la raie de ses fesses, qui se divisait en montant en deux parties symétriques, qui s’écartaient pour grimper de chaque côté de son dos, couvrant ainsi ses reins. Rien n’y manquait, ni les feuilles ni les grappes de raisin blanc qui étaient au nombre de quatre, ni les sarments et leurs vrilles.
Puis Man a pris des poses tantôt sages tantôt provocantes, pour finir de face devant la chaise accroupie et les cuisses largement écartées. C’est à ce moment-là que j’ai éjaculé dans le mouchoir en papier, que j’avais préparé à cette intention.
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Sur la série suivante, Man posait devant une cheminée allumée, ce qui était d’ailleurs le titre du nouveau dossier, contenant les clichés datés de deux mois après les précédents, c’est-à-dire de novembre 2003. Elle portait cette fois pour tout vêtement des sandales noires très légères, avec des talons aiguilles toujours aussi haut et encore plus fin. Ainsi qu’une ceinture dorée composée en alternance de quatre cercles vides soudés les uns aux autres, ainsi que de disques au milieu desquels il y avait de grosses pierres, tantôt jaunes et tantôt bleues. J’ai également remarqué que Man paraissait plus détendue et arrivait même à sourire, alors que sur la série de La Chaise Noire elle était restée tout le temps sérieuse.
Du haut de mes 18 ans, mon sexe n’a pas tardé à redevenir raide, devant le charmant spectacle qui m’était offert. Cette fois sans me poser de questions, j’ai recommencé à m’astiquer la tige, après avoir remplacé le premier mouchoir qui avait fini sur la moquette. Grâce à ma longue expérience de branleur, je savais que le sperme ne tache pas, ou qu’au pire, il se nettoie facilement.
Les clichés se sont succédé, montrant Man parfois debout parfois assise sur le rebord de l’âtre, pour finir pieds nus à quatre pattes sur un pouf, apparemment en cuir et de couleur parme, avec ses gros seins pendant sous elle. C’est à ce moment-là que j’ai joui pour la deuxième fois, mais sperme a giclé moins abondamment que lors de ma première éjaculation. Quand mes couilles ont été vides, le mouchoir chargé de ma semence est allé rejoindre celui qu’il l’avait précédé, sur le sol de ma chambre.
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La troisième série de photos datée de mars 2004 présentait Man sur un lit avec des draps blancs imprimés de fleurs roses. Pour la première fois de ma vie, je la voyais maquillée et elle portait une guêpière noire, ainsi qu’un slip assorti et des bas fumés autofixés, ornés eux aussi de fleurs à mi-cuisses. Sa tenue était complétée par un collier un bracelet ainsi que des boucles d’oreilles, tous en perles de culture. Alors que je faisais défiler les clichés, elle n’a pas tardé à se retrouver nue, n’ayant gardé que ses chaussettes hautes semi-transparentes et bien entendu, elle prenait des poses parfois alanguies et parfois provocantes.
J’ai sans surprise été pris d’une troisième érection, alors j’ai recommencé à me masturber et j’ai été de plus en plus excité, lorsque j’ai vu Man avec un vibromasseur rose bonbon à la main, avec lequel elle a commencé par stimuler son clitoris sorti de sa grotte protectrice. Ensuite, elle l’a introduit dans son vagin tandis que le haut de ses petites lèvres était écarté, me faisant cette fois encore penser à un papillon.
Elle a fini par s’empaler sur son gode, alors qu’il était posé verticalement sur le lit et qu’elle s’était retrouvée à genoux dessus. Étant donné qu’elle était alors de dos, la vision de son anus fripé entrouvert aussi rose que ses petites lèvres et ses tétons, m’a fait penser qu’à ce moment-là, sa carrière de joueuse de boules avait déjà dû commencer.
Après que j’ai éjaculé une troisième fois dans un nouveau mouchoir, ce dernier est allé rejoindre les deux premiers.
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La quatrième série datant de mai 2004 montrait Man debout devant un miroir, habillée d’une nuisette blanche collant à sa peau, parsemée de fleurs roses et jaunes. Un ruban couleur lavande était gansé juste en dessous de sa grosse poitrine, elle aussi gainée par le fin vêtement. Un autre ruban identique, se trouvant au niveau de ses reins. Elle avait cette fois aux pieds des mules en cuir blanc, toujours à talons aiguilles d’une dizaine de centimètres de haut et ces derniers étaient entourés de cuir doré. De plus, elle portait les mêmes bijoux que la fois précédente, à savoir un collier un bracelet et des boucles d’oreilles en perles.
Elle n’a pas tardé à se retrouver sur un lit blanc, sur lequel elle s’est débarrassée progressivement de son habit de nuit, pour finir nue, mais en ayant gardé ses chaussures. J’ai été légèrement étonné lorsque j’ai senti mon sexe redevenir raide, alors profitant de cette aubaine, j’ai recommencé à me palucher, tout en regardant ces photos toujours très excitantes.
J’ai éjaculé avec encore moins de sperme et mon sexe commençait à être douloureux, à force d’être sollicité aussi longtemps. Ce qui ne m’était jamais arrivé avant cette nuit. Mais constatant sur mon réveil posé sur la table de chevet qu’il n’était pas encore minuit, j’ai décidé de continuer de visionner les photos de ma Man, dans des tenues très sexy et exhibant peu à peu ses trésors cachés.
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La cinquième série et la dernière que j’ai regardée ce soir-là datait du mois de juillet 2004. Elle présentait Man cette fois complètement nue et sur une chaise longue en bois, avec pour seul bijou son piercing au nombril. Elle était apparemment dans une salle de bain, au sol carrelé de blanc et aux murs recouverts de carreaux anthracite. La pièce se trouvait sous les toits, puisqu’on pouvait voir un velux sur le plafond incliné. Elle posait ensuite soit sur le siège, avec une serviette éponge pour amortir la dureté des lattes sur siège, soit directement par terre, ne semblant pas avoir à souffrir de sa froideur.
Cette fois encore, elle adoptait des positions qui se voulaient tantôt naturelles tantôt provocantes, exhibant sa vulve rose et sa rosette fripée de la même teinte. Ma queue bien que le spectacle offert par celle qui m’avait porté neuf mois dans son ventre, soit toujours aussi excitant, n’est pas arrivée à devenir raide toute seule, bien qu’elle ait recommencé à prendre du volume. C’est pourquoi je l’ai aidée en me masturbant, jusqu’à être à nouveau en pleine forme.
Il m’a fallu plus longtemps pour éjaculer, regardant certaines photos à nouveau et seules quelques gouttes de sperme sont venues atterrir dans le mouchoir en papier destiné à les recueillir.
Ensuite, j’ai arrêté mon ordinateur portable sur lequel j’ai laissé la clef USB, puis je l’ai posé sur la moquette de ma chambre, juste à côté de mes tire-jus. Après, j’ai éteint la lumière et je n’ai pas tardé à m’endormir, épuisé par mes cinq jouissances de la soirée. J’ai néanmoins eu le temps de penser que malgré tout l’amour que je lui portais, ma maman était en fin de compte une femme comme toutes les autres. Elle avait un corps aussi beau que son visage d’Ange, ce qui faisait qu’elle devait plaire énormément aux hommes. La preuve en était qu’elle avait réussi sans problèmes à faire bander son propre fils, et ce malgré le tabou de l’inceste.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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